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Mon petit-frère

Chapitre 1

Gay
Tout d’abord, des présentations s’imposent. Je m’appelle Tristan, j’ai 19 ans. Je suis encore au lycée, en terminale (j’ai redoublé). Je n’ai jamais connu mon père, et ma mère a cessé de nous héberger mon petit-frère et moi à mes 18 ans, donc l’année dernière. Mon petit-frère s’appelle Charles, il a 18 ans depuis peu, et lui est par contre en 1ère, il a lui aussi redoublé. Eh oui, comme quoi l’intelligence n’est pas de famille chez nous. Personnellement, je suis blond, yeux bleus, pour ce qui est du physique, on peut dire que je n’ai pas à me plaindre niveau muscles et abdos, etc.J’ai découvert ma bisexualité à mes 16 ans, quand j’ai couché pour la première fois avec un garçon. Dans ma famille, personne n’est au courant, pas même mon petit-frère. Pour mon petit-frère, il est assez différent de moi: cheveux noirs bouclés, yeux verts. Niveau physique, il est aussi bien bâti. J’ai commencé à avoir un petit pincement au cœur pour lui aux alentours de mes 17 ans, quand il s’est mis à la muscu et a commencé à devenir bel homme. Pour lui, il a toujours ramené des filles, alors je ne pouvais pas dire s’il était gay, ou non. Je dis bien "pouvais", puisqu’un événement a chamboulé notre vie. Avant d’en parler, je vais revenir sur notre situation familiale. Comme je l’ai dit, notre mère a cessé de nous héberger à mes 18 ans, pour rejoindre son mec dans une autre région. Elle est partie un jour après mon anniversaire, en nous laissant la maison de campagne dans laquelle nous avons toujours habité. Pour ce qui est des grands-parents, nous les voyons pendant les vacances mon petit-frère et moi.
Notre maison est une assez belle maison, presque une villa, située dans la campagne, à quelques kilomètres de notre lycée. Heureusement, j’ai le permis, je peux donc nous emmener Charles et moi au lycée, vu que lui n’a pas de permis. Bref, revenons-en à notre histoire.C’était quelques jours avant les grandes vacances. Notre maison étant assez vieille, il arrive parfois que des coupures de courant arrivent. Fort heureusement, nous avons nos téléphones pour prévenir ce genre de problème et remplacer les réveils. Mais ce jour-là, Charles a laissé son téléphone dans le salon qui est éloigné des chambres, et le mien était déchargé, et génie que je suis, j’ai oublié de l’allumer. Je me réveille donc en catastrophe en boxer, à 7h50, alors qu’on commence les cours à 8h10. En voyant l’heure, je cours vers la chambre de mon frère en hurlant son prénom. En ouvrant sa porte, je tombe sur mon petit-frère nu dans son lit, et étant attiré par lui, une demi-molle survient. Ah oui, j’ai oublié de préciser: mon frère et moi sommes des confidents, et nous nous sommes tellement habitués à vivre ensemble que voir l’autre nu n’est plus qu’une habitude. Revenons-en à l’histoire.
— Mais pourquoi tu ne m’as pas réveillé plus tôt ! me hurle-t-il.— C’est pas ma faute, mon téléphone est déchargé. Bouge-toi, on va être en retard !
Ayant conscience de l’urgence de la situation, il se lève, et arrive une question existentielle: celle du premier à la douche. Je lui demande donc :
— Tu veux y aller avant moi ?— Non, on a pas le temps, faut qu’on y aille en même temps ! me dit-il— OK, on se dépêche alors !
On rentre dans la douche, et une petite érection arrive, en pensant à mon frère qui se savonne derrière moi. Et là, il me demande de le savonner pendant qu’il me savonne pour que l’on prenne moins de temps. Je suis donc obligé de me retourner, et exhiber mon érection à mon petit-frère.Il me demande:
— Dis donc, t’es bien équipé! Combien ?— Euh... 19,5 centimètres et 17 de circonférence...— Bah dis donc, t’es mieux gâté que moi ! Je suis qu’à 17 centimètres et 15 de circonférence.— C’est déjà pas mal...
On commence à se savonner. Pour lui, c’est sans ambiguïté, mais pour moi, c’est un pur bonheur de pouvoir le toucher, le savonner. Il me demande de lui savonner le dos en se retournant, et j’ai une magnifique vue sur son petit cul, absolument magnifique. Je lui lave donc le dos, et descends un peu en dessous de ses reins. N’émettant pas d’objection, je lui savonne d’abord la fesse gauche, puis la fesse droite tout en les malaxant bien. A ce moment-là, c’est impossible qu’il ne comprenne pas. Ayant bien savonné, je lui demande la pareille et me retourne. Il fait de même, en savonnant également mes fesses, une par une.
— Hum... t’as un beau boule grand-frère...— Bah... merci, mais le tien est quand même mieux...
Après ces délicats massages, nous nous rinçons, sortons de la douche, nous habillons rapidement et partons en cours.XxXxXxXxXNous sommes le premier jour des vacances, en fin de soirée. Depuis l’autre jour dans la douche, plus rien ne s’est passé entre nous, et j’ai perdu espoir d’arriver à quelque chose avec l’objet de mes fantasmes. Ne parvenant pas à me passer de lui, je me dirige vers sa chambre, en réfléchissant à un sujet de discussion. En arrivant, je ne prends pas la peine de toquer, étant donné nos habitudes naturistes. En rentrant dans sa chambre, je tombe sur mon petit-frère, en train de se branler sur une vidéo porno. De loin, je n’arrive pas à voir quel type de vidéo, et Charles étant déstabilisé par mon intrusion, il n’a pas le temps de fermer son onglet.
— Bah dis donc petit cochon, t’es en manque de cul à ce point-là? demandais-je, un petit sourire au coin des lèvres.— Bah ouais, ça fait presque 1 mois que j’ai pas baisé, et ça me manque.
En me rapprochant, je recherche la ou les filles sur sa vidéo, mais surprise ! Ce n’est rien d’autre qu’un porno gay ! Charles n’a toujours pas réagi, et quand il remarque que je regarde son écran, il ferme vite son onglet et se met à rougir.
— Euh... C’est pas ce que tu crois Tristan, j’suis pas pédé moi !— Mon cul ouais, c’était quoi ça alors ?— Euh... j-je voulais juste voir ce que c’était... me dit Charles en bredouillant.— En te branlant ? T’es sûr que tu voulais que voir ce que c’était ? Je pense plutôt que c’est une habitude pour toi !— Ouais... euh, et toi, l’autre jour dans la douche, tu crois que j’ai pas vu que tu me tripotais le cul ?
Intéressé par sa tentative de rébellion, je me rapproche de lui pour l’intimider
— N’esquive pas le sujet, Charles. Tu sais, je pensais que tu me disais tout. Je ne m’attendais pas à ce que tu me caches une chose pareille...— J’suis pas pédé! Je... je suis juste bi... me dit-il, honteux— Ah bah voilà! Nikel, un deuxième bi dans la famille !— Ouais, c’est ça... attends, t’es aussi bi ? me demande mon petit-frère, soudainement intéressé— Ça se pourrait... Et je te dis par avance désolé.
Il me demande, effrayé que je fasse une connerie
— Désolé pour quoi ?— Pour ça.
Je réduis les quelques mètres qui me séparent de lui et l’embrasse à pleine bouche. Il est tout d’abord surpris, puis il répond à l’appel que ma bouche lui lance. Nous nous embrassons pendant une trentaine de secondes, avant qu’il rompe notre contact buccal.
— Depuis le temps que j’attends ça, grand-frère...— Ah, tu n’es pas le seul dans ce cas-là.
Puis nous reprenons notre baiser hâtivement. Sentant mes mains baladeuses sur son corps, il commence à descendre mon boxer pour faire sortir mon engin qui ne demandait que ça. Lui étant à poil, je n’ai malheureusement rien à lui enlever, mais cette fois-ci, j’aventure mes mains sur son outil et commence à le masturber. Après avoir descendu mon boxer, il se met à genoux devant moi et prend ma bite en main.
— Ouah, t’es bien dur frérot ! me dit-il en approchant sa bouche de mon engin— Oh putain... Tu peux pas savoir à quel point j’attendais ça...
Je penche la tête en arrière et ferme les yeux pendant que mon petit-frère me prodigue la meilleure fellation que j’ai jamais reçue.
— Eh ben, tu suces trop bien ! Même mes ex ne m’ont jamais fait une telle fellation ! T’as de l’expérience on dirait !
Il me répond difficilement, ma queue dans sa bouche
— Humhum... T’es crop bon frérot !— Viens sur le lit, on va faire un 69.
Il s’exécute et retire ma bite de sa bouche et attends que je m’installe sur le dos sur le lit. Il me suit et grimpe au-dessus de moi, et aspire ma bite dans sa bouche, pendant que je fais pareil avec la sienne. Je me mets alors à sucer cette bonne bite qui me fait fantasmer depuis plus d’un an. Je savoure cette queue pendant de longues minutes avant de monter ma bouche vers sa raie.
— Bah dis donc, t’es déjà bien ouvert ! On dirait qu’y en a eu du passage par là! lui dis-je en rigolant
Il retire ma bite de sa bouche pour répondre:
— Ouais, j’ai déjà pris quelque bites, et je me doigte assez souvent.
Puis il remet ma queue dans sa bouche, et je me mets à lécher son anus, déjà bien ouvert. Après 5 minutes de fellation et d’anulingus, je lui demande de se mettre au bord du lit. Il s’exécute, et je place ma bite à l’entrée de son trou déjà bien ouvert.
— Vas-y, baise-moi frérot, défonce-moi, encule-moi. J’attends que ça !— Avec une invitation pareille, je vais pas me gêner ! dis-je.
Et je pousse ma bite dans sa grotte. Au début, j’y vais doucement, mais en voyant qu’on pourrait faire passer deux bites tellement que c’est ouvert, je me mets à le besogner bien plus rapidement.
— Oh putain, t’as une de ces bites grand-frère ! Vas-y, baise-moi à fond ! HMMMMM, c’est trop bon...— Je vais te défoncer le cul tellement fort que t’auras du mal à marcher correctement !
Je lui donne de grands coups de reins, avec son sphincter souple, ça va tout seul. Je sors ma bite et re-rentre mon gland à l’intérieur de son fion, je le défonce comme il me demande, tandis qu’il gémit sous mes coups de bite.
— Oh, oui, prends-moi, PREND-MOI !
Et c’est dans ces cas-là que je suis content d’habiter dans la campagne: je peux le défoncer sans qu’il ait à retenir ses gémissements, enfin ses cris plutôt. Je continue à le défoncer comme ça pendant 3 bonnes minutes, avant de lui demander de se mettre en levrette. Il se retourne, se met à 4 pattes et me dit:
— Reviens me prendre, ta bite me manque ! Y a trop d’air qui me rentre dans le cul !
Je m’exécute et remets ma bite au fond de son fion. Je continue à le baiser pendant encore 10 bonnes minutes, et je le préviens que ma jouissance est proche.
— Vide-toi dans mon cul, je veux tout ton sperme dans mon colon ! Refais ma peinture intérieure !
Je lui donne encore quelques coups de bite, le plus profondément possible, avant de tout lâcher bien au fond de son cul, dans un râle de plaisir.
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