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Mon Plaisir d'écrire

Chapitre 12

Gay
Plaisir d’écrire est étonné de voir la pièce dans une semi-pénombre. Un grand drap de bain a été étalé sur le lit. Sur la table un seau contient une bouteille de Champagne. Mon amant m’interroge du regard. L’œil égrillard, je réponds :– D’abord je vais nous débarrasser de ces peignoirs bien inutiles…Nos deux vêtements tombent au sol dans un même mouvement.– Ensuite nous allons déguster cet excellent Champagne… Une gorgée… Une sucée ! – Humm… Je suis prêt à vider la cave s’il le faut ! Vous sucer toute la nuit !– Gourmand… C’est juste une entrée. affirme-je en débouchant la bouteille pour servir deux flutes. Ensuite je vais m’occuper de votre corps…– Mes fesses sont prêtes à tout !– Quel excité ! Pourquoi seulement vos fesses ? Je vais m’occuper de tout votre corps…Un regard autant intrigué que salace me montre qu’il n’a pas encore compris.– Un massage… Je vais vous masser longuement, partout ! Pas un centimètre-carré de votre épiderme n’échappera à mes doigts !– Y compris ma rondelle ? s’exclame-t-il.– Evidemment ! Et votre jolie petite queue que je vais branler…– La vôtre dans ma bouche ?– J’allais le proposer ! Vos lèvres et vos doigts seront en totale liberté… Mais vous serez soumis à mes fantaisies tactiles… Jusqu’à ce que mon sexe vous pénètre et se joue de votre adorable petit cul !– Voilà un programme qui me va ! déclare-t-il d’un ton enjoué en prenant la flute que je lui tends.Nous avalons les premières gorgées. Avant de nous embrasser suavement. Puis de tremper à nouveau nos lèvres sur le verre pour une nouvelle exquise gorgée.A ses yeux brillants je devine ce qu’il va faire. Il s’affaisse lentement. Il pose sa flute au sol en ouvrant ses lèvres face à mon sexe. Il le met en bouche en grognant sourdement, avant d’entamer des délicieux va et vient.Ses lèvres achèvent de me décalotter. Il reprend sa flute, se relève, m’embrasse. Nous reprenons une gorgée. Il est certain qu’à mon tour je vais le sucer. Mais non. Je reprends du nectar en bouche avant de me saisir de son visage, de le faire pivoter vers le plafond tout en abaissant son corps. Et le nectar passe de ma bouche à la sienne qui s’ouvre.A plusieurs reprises nous jouons à partager le nectar champenois. Mais l’appel de la sucée est le plus fort. Je m’agenouille pour venir déguster son gland nappé d’un sperme savoureux. Nos regards se fondent. Nous sommes en totale harmonie. Pareillement quand c’est lui qui revient me déguster le vit. Je suis fier de lui. Il suce avec un appétit de loup ! Et avec talent ! Lui aussi déverse le nectar champenois dans ma gorge à son entière disposition. Il pousse la luxure jusqu’à garder du Champagne en bouche alors qu’il avale tout entier mon éperon, le recouvrant de vin pétillant.Le résultat semble le réjouir au plus haut point puisqu’il le lèche soigneusement, toute la longueur de la hampe jusqu’au gland qui réagit par contraste entre acidité du nectar et douceur linguale. Je réalise que plus notre relation s’approfondit, plus il est coquin. Moi aussi. Nous nous mettons l’un l’autre dans un état de totale abandon au plaisir des sens.
Après deux coupes entrecoupées de délicieuses gâteries, le corps en feu, ma Muse vient se coller de dos contre moi. Mon sexe calé contre sa raie, il entame des frottements intimes par de lascives montées et descentes. Très vite de doux gémissements sortent de sa gorge. Je sens ses fesses s’écarter, sa rondelle se détendre, mon sexe durcir davantage encore.– Enculez-moi… finit-il par gémir.– Tout doux mon beau ! Soyez certain que je vais percer cette jolie corolle anale en manque de virilité… Mais d’abord présentez-la à ma langue…Mon amant bondit en avant pour se placer en levrette, le dos complètement cambré, les genoux écartés, une jolie rosette frémissante s’agitant sous mes yeux. Je ne résiste pas au plaisir de déguster cette fleur pleine de promesse, léchant largement toute la longueur du sillon avant de venir la picorer du bout de la langue.Comme je le pensais il est en transe anale : alors que ses gémissements s’amplifient, le bout de ma langue ne tarde pas à le percer. Une demi-langue dans son conduit et c’est une symphonie virevoltant dans les aigus qui s’élève. Je m’inquiète un bref instant du manque de discrétion vis-à-vis de nos voisins de chambre, mais l’image des deux gars s’enculant en public surgit dans mon cerveau enflammé. Si nos voisins ne sont pas, comme nous, en train de s’aimer, c’est qu’ils viennent de le faire ou qu’ils vont le faire sous peu ; autant les exciter un peu par notre douce mélodie charnelle…Quand mes lèvres sont collées à ses fesses, car toute la longueur de ma péninsule linguale le butine de l’intérieur, mon amant repousse encore les limites de l’aigu. Il se met à chanter les notes les plus hautes du « miserere » d’Allegri, ce qui réjouit tous mes sens.J’attends qu’il me supplie pour la troisième fois de le prendre pour cesser mon butinage anal. Ma main se pose sur ses fesses. Elles sont si douces et moelleuse avec leur fin duvet que je ne peux que les caresser en grognant sourdement de satisfaction. Mon sexe est tendu comme jamais. Mais c’est par une claque que je romps le charme. Une gentille fessée attentionnée qui nous sort de notre état second de mâles en rut.Je m’assois même sur son dos, jouant à caresser et fustiger son fessier au gré de mon imagination. Des baisers sur sa rondelle se transforment en longs coups de langue. Mes couilles posent lourdement sur sa peau chaude et humide. Je ne suis plus certain de contrôler la situation. Ce superbe cul m’excite bien trop !Je réussis pourtant à mettre un terme à cette déculottée en reculant pour passer au-dessus de sa tête et déposer une trainée séminale gluante dans ses cheveux et sur sa joue. Immédiatement ses lèvres engloutissent la moitié de ma hampe pour laisser sa langue déguster mon impatience.Je me laisse sucer un instant, heureux de l’entendre grogner joyeusement alors que ses yeux me lancent des flammes enjouées. La cambrure de ses reins, son anus souple et ouvert, sa gourmandise buccale, ses grognements satisfaits : je sais qu’il a aimé mon traitement doux-sévère.J’ai du mal à extirper mon sexe d’entre ses lèvres. Je pose deux doigts sous son menton pour faire pression vers le haut et le forcer à se relever. Il résiste à moitié en râlant un « prenez-moi ! » mais se relève quand même. La beauté de son visage, ses lèvres si charnues, ses yeux noisette… Je craque. Je l’enlace, écrasant nos phallus entre nos ventres. Mes mains s’emparent de ses petites fesses bien chaudes… Nous nous embrassons ardemment, goulument, passionnément. Si ses mains se saisissent à leur tour de mes fesses, instinctivement l’un de mes doigts court s’enfoncer dans son anus et le masse de l’intérieur. Les grognements assourdis par notre baiser reprennent. Des mouvements verticaux de bassin nous embarquent dans un doux branlage. Ajouté au pelotage de cul et au baiser sauvage, je sens l’éruption venir à grands pas.C’est heureusement lui qui met un terme à nos douceurs, écartant son visage du mien pour regarder fixement vers le lit.– Qu’est-ce…Je tourne la tête pour regarder ce qui l’intrigue. Je comprends immédiatement. Je souris. Mon plan…– Allez donc voir ce que c’est, beau garçon…– En me décollant de votre corps ? Jamais !– Vous êtes vexant ! Vous ne me faites pas confiance ! Quand je vous dis que, oui, mon pubis sera bientôt collé à vos fesses…– Votre sexe enfoncé en moi ! Je vous veux en moi ! Longuement ! Quoique… Dans l’état d’excitation où nous nous sommes mutuellement mis, ce n’est pas gagné…– Raison de plus pour aller voir ce que c’est que ce flacon…Il sourit, dépose un baiser sur mes lèvres, s’écarte pour faire le tour du lit et prendre en main le flacon posé sur la table de chevet. Ses yeux lisent l’étiquette. Son sexe vibre dans l’air.– Huile de massage « explosion des sens » ! Tout un programme ! C’est pour qui ? Cela a l’air sympa…– A votre avis ? Je vais m’occuper de votre jolie anatomie… Un massage complet… Tout partout…– Entre mes fesses aussi ?– Obsédé ! Bien sûr… Tout partout… Couchez-vous sur la serviette. Sur le ventre…Alors qu’il s’exécute, je lui explique que c’est une demande particulière que j’ai faite lors de la réservation de l’hôtel. Je ne dois pas être le premier puisqu’immédiatement j’ai reçu quatre propositions de parfum, du plus sauvage au plus sensuel.– Et celui-là ? Quelle catégorie ? – Juste avant le plus sauvage…– Humm… Cela promet… C’est sympa de leur part. – Ils connaissent leur clientèle. Capotes et gel dans le tiroir de la table de chevet… En attendant, soulevez votre bassin, beau garçon !Ses délicieuses fesses se soulèvent et s’écartent spontanément. Je souris en remarquant que son anus reste entrouvert. J’ai une folle envie de replonger ma langue en lui, de le doigter, de le pénétrer pour le sodomiser bestialement. Mais je me retiens. Pour ce soir, j’ai choisi la douceur. Ma main caressante s’empare de son joli petit membre bien raide et tire délicatement sa merveille phallique vers l’arrière. Son sperme s’étale sur ma main. Il bande encore très dru. Je pose chacun de ses testicules autour de son phallus en lui demandant :– Ça va ? Ce n’est pas douloureux ?– Ma verge est assez souple pour cela… – Tant mieux ! Je ne voudrais pas l’abimer…– Mon corps est tout entier à vous. Dit-il en écartant une fesse de la main. – J’espère bien ! conclus-je en donnant d’abord un coup de langue sur son bonbon baveux et ses testicules lourds, puis, après avoir dégluti goulûment son nectar, entre ses fesses offertes.Il grogne de bonheur en écartant grand les jambes. La vision de son anatomie offerte est un régal. Résister m’est de plus en plus difficile. Je commence donc par m’assoir sur ses fesses, posant mon sexe dans la chaleur réconfortante de sa raie. Un gémissement de bonheur accompagne la projection d’huile sur ses épaules.Penché en avant, je peux démarrer le massage de ses épaules. Très vite il exprime son plaisir, agitant son bassin comme pour faire glisser mon dard en lui, roucoulant de satisfaction, tournant la tête en me tendant ses lèvres.Nous nous embrassons langoureusement, enflammés par le parfum épicé de l’huile qui embaume nos sens. Je prends tout mon temps pour pétrir sa peau blanche et douce. Il s’abandonne entièrement à l’action de mes doigts, au doux contact de mes bourses et de mon sexe contre la partie ultrasensible de son corps.Après un bon moment, je quitte la chaleur de sa peau pour me placer face à lui afin de démarrer un pétrissage du dos tout en longueur. Mon sexe baveux affleure sa joue. C’est comme un signal. Il ouvre grand la bouche pour refermer ses lèvres sur mon membre, le suçant lascivement juste pour le plaisir d’en garder saveur et sensation.C’est une joie immense pour moi de me régaler de sa peau tout en me faisant dévorer galamment le sexe. Ni lui ni moi ne sommes pressés.Quand mes doigts débordent sur ses petites fesses, il accroit encore le compas de ses cuisses tout en lâchant, à regret, ma hampe. Je peux frotter mon membre sur son visage en l’entendant grogner. Et surtout pétrir sa chair la plus moelleuse.Je finis par me rassoir sur le haut de ses fesses, mais en sens inverse. Je recale mon sexe dans sa raie. Ses gémissements remontent vers les aigus. Je me penche de plus en plus pour masser ses cuisses, faisant ainsi pression avec mon sexe sur sa raie surchauffée. Au moment où mes mains touchent ses chevilles, il décale son bassin pour se faire pénétrer à l’envers. La posture est si scabreuse que c’est un échec immédiat, mais qui nous fait glousser joyeusement. Je pivote alors pour me coucher de tout mon long sur son dos. Nos lèvres se retrouvent.– Prenez-moi… susurre-t-il.– Bientôt… Très bientôt… C’est si bon de vous masser…– C’est si bon d’être massé… D’être en contact, en union avec votre corps…Un poids un peu trop imposant sur son bassin le fait grimacer. Son sexe renversé vers l’arrière apprécie peu. Je me soulève immédiatement, l’invitant à en faire de même, pour venir cajoler son sexe endolori tout en présentant mes excuses. Instinctivement une de mes mains se pose sur une fesse et l’écarte. Je crois l’entendre miauler. L’expression « avoir le feu aux fesses » n’a jamais été aussi vraie…Je peux prendre mon temps pour pétrir encore ses jolies petites fesses en les écartant, en massant sa corolle anale avec mes pouces, en le fessant délicatement. Seuls des roucoulements me répondent. M’abandonner son fessier est pour ma Muse le plus émoustillant des cadeaux. Je ne cesse de l’en remercier par des gestes et des baisers tendres et appuyés.La corolle se détend peu à peu, devenant si souple que mes doigts glissent à l’intérieur. J’utilise abondamment l’huile pour enfoncer un doigt coquin qui le détend de l’intérieur. Un doigt qui entre entièrement dans son puits grand ouvert, détendant ses chairs intérieures. Un doigt, puis bientôt deux, amplifiant ses grognements heureux.Assurément il est depuis un bon moment prêt à se faire sodomiser. Mais jouer avec ses formes est si bon que je fais durer plus que nécessaire le massage externe comme interne. J’en profite pour lécher son gland recouvert de son sperme sucré. Et aussi pour frotter mes parties génitales sur son dos, le contact de mes testicules lourds déclenchant des gémissements de plus en plus aigus.Cela fait une petite heure que je le masse quand, cette fois, je décide de satisfaire à ma pulsion coïtale. Il le sent au plus profond de lui puisqu’il écarte ses fesses et soulève son bassin. Mon vit s’approche. Et s’invite en lui.Mon sexe pénètre une chair chaude, douce, tendre, accueillante. Je m’enfonce sans coup férir, me glissant sur son dos, recueillant un long gémissement de plaisir. Quand mes testicules viennent battre contre les siens car je suis enfoncé jusqu’à la garde, il crie un « enfin ! » qui m’attendrit.J’ai été cruel. Je l’ai trop fait attendre. Je connais ce sentiment de manque quand tout son corps appelle à la pénétration. Cela fait des heures que je repousse la sublime sensation.Nos épidermes trempés de sueur s’unissent. Nos lèvres se retrouvent. Un long baiser, un très long baiser démarre alors que son bassin se soulève lentement, très lentement, lascivement, très lascivement, et que je vais et que je viens doucement, très doucement, en lui.Rien d’animal dans notre saillie. Que de la tendresse, de la délicatesse. Nous ne copulons pas. Nous nous unissons dans le plaisir. Douceur et langueur. Le temps coule lentement au gré de notre danse amoureuse. Nos grognons des mots doux, des mots de reconnaissance, la chaleur de mon bas-ventre moulé à ses fesses, la délicatesse de ses lèvres, la bonté de son conduit adouci, si généreux en sensations.L’inexorable approche. Je le lui dis. Il me supplie de tenir encore. Je résiste. Les délicieuses minutes s’égrènent. L’huile de massage fait mystérieusement luire sa peau. Son parfum nous enivre. Je me bats contre moi-même. Il me promet de tenir encore, de m’offrir en bouche son nectar. Je sens que son explosion est tout aussi proche que la mienne. Enfin ses yeux illuminés me disent :– Allez !Je jouis. Je jouis en criant. Je jouis tout le plaisir du monde entre ses fesses si merveilleuses. J’éjacule de tout mon saoul. Je me vide de tous les sentiments que je ressens pour lui.Il accompagne mon orgasme en léchant mes lèvres, en serrant son sphincter qui fait merveilleusement pression sur mon épieu tout entier en lui. Je halète. Je gémis. Je multiplie les répliques jouissives. Je remplis son joli petit cul de semence…Je m’écroule sur lui, hors d’haleine, le corps en nage. Sa main tendu vers l’arrière vient se poser sur une de mes fesses pour la pétrir. Bientôt la pincer. Je sursaute. Je me redresse. Nous nous sourions. Nous nous embrassons.– Voulez-vous votre récompense en bouche ? me demande-t-il.– Avec joie ! m’exclame-je, espérant qu’il n’a pas encore joui dans les draps.Je décule délicatement en rehaussant mon bassin, sans cesser de l’emboucher. Il se dégage de mon emprise pour s’assoir en haut du lit. Ma semence s’coulant de son conduit grand ouvert macule le drap de bain. Peu nous importe.Aussitôt je rampe jusqu’entre ses jambes. Une envie puissante s’empare de moi. Mon regard salace ne lui échappe pas.– Quelle nouvelle perversité traverse votre esprit ? me demande-t-il.– Humm… Juste une envie… Laissez-vous faire. Résistez !Ma langue entre en action. J’ai la puissance envie de ne lécher que ses bourses, de gober et sucer ses boules en bouche. Tout pour ses couilles, rien pour sa hampe. Ma langue se déchaine.Il ne résiste que quelques minutes avant de prendre son sexe en main.Trois mouvements de va et vient et il éjacule en criant, un puissant jet jaillit d’un coup, heurtant mes lèvres et ma joue, emplissant partiellement ma bouche avant de retomber sur sa cuisse. Langue tendue, les yeux fondus dans les siens écarquillés, je prends enfin ma récompense séminale. Et très vite mes lèvres se referment sur son gland pour accueillir dans ma bouche une multitude de délicieuses répliques. Le long baiser qui s’ensuit est exquisément savoureux. Nous nous lovons l’un contre l’autre pour nous cajoler tout en nous glissant sous les draps.La journée a été longue, intense. Bien vite, nos paupières se referment, nos souffles s’apaisent, le bonheur nous entraine dans les limbes.
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