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Mon plan cul régulier

Chapitre 3

Gay
Cette histoire se passe entre Noël et le jour de l’an. Nous passons le réveillon dans ma belle-famille. Il est prévu que l’on rentre chez nous le 26 dans l’après-midi, mais le matin, Julie me dit qu’elle a envie de rester un ou deux jours de plus. Même si j’aime bien ma belle-famille, je n’ai pas spécialement envie de rester quelques jours de plus. Les repas qui s’éternisent, ce n’est pas vraiment mon truc... Je vais donc rentrer comme prévu et ma femme rentrera en train.
De retour à la maison, j’en profite pour me reposer. Le lendemain matin, Julie m’appelle pour me dire qu’une de ses cousines qu’elle n’a pas vu depuis longtemps viendra chez ses parents le soir. Elle rentrera donc demain après-midi.
Je vais prendre une douche avant de manger. Après m’être lavé, je décide de rester nu. Je mange léger, puis je me pose devant la télé. Je ne sais pas si c’est le fait d’être seul ou d’être nu, mais très vite, je me mets à me caresser l’anus. Ça me donne envie de plus.
Je vais me préparer dans la salle de bain. Je vais ensuite dans la chambre pour prendre mon gode. Mais une fois que j’ai le sextoy en main, je me dis que ce serait mieux avec une vraie queue. J’hésite quelques secondes : me goder ou bien inviter Stéphane ? Au fond de moi, je sais très bien de quoi j’ai envie. Il décroche rapidement et me dit qu’il peut être là dans moins d’une heure. Parfait ! Je lui dis :
  - On sera seuls, tu pourras rester tout le temps que tu veux !  - Intéressant ! Tu veux que je prenne une petite pilule bleue ?  - Quoi ? Tu en as ?  - Oui...
Je ne sais pas s’il plaisante ou non, alors je dis juste "d’accord" puis je raccroche. Je prends mon gode, du lubrifiant et la boite de préservatifs avant de redescendre au salon.
Je suis à poil sur le canapé, je regarde sans attention la télé. L’envie est de plus en plus forte. Je commence par me titiller le petit trou avant d’y enfoncer un doigt. Je ne résiste pas longtemps à l’envie de me pénétrer avec mon gode. Je mets du lubrifiant et j’enfonce sans difficulté le sextoy en moi. Ça me fait un bien fou, surtout quand il est au fond de moi. Je me gode assez lentement mais profondément.
Vers 15h, on sonne à la porte. Je me rends compte à ce moment-là que ça fait presque un quart d’heure que je me fais du bien. Je vais ouvrir nu (avant j’ai quand même regardé par le judas si c’était bien Stéphane, on ne sait jamais). Il me dit :
  - Toi, tu as encore commencé sans moi...  - Oui, j’avais trop envie !
Je ferme la porte et lui propose une bière. Avant de nous installer sur le canapé, je lui demande de se mettre à l’aise. Ça le fait sourire. Nus, assis côte à côte, je lui demande s’il était sérieux quand il parlait de prendre du viagra. Il m’a dit qu’avec sa femme il en prenait parfois pour pimenter leurs soirées et qu’il lui en restait un peu. Je lui demande alors :
  - Ça fait effet pendant combien de temps ?
  - Ça dépend. En général, à peu près 1 heure et demi.  - Ah ouais !!?
Je lui pose quelques questions. Il finit par me dire que si on en a envie tous les deux, il en prendrait peut-être plus tard.
On discute un peu et, l’air de rien, je pose ma main sur sa queue encore molle. Je me mets à genoux et gobe cette belle bite directement. Je joue beaucoup avec ma langue. Je sens sa queue grossir dans ma bouche, j’adore ça ! Une fois bien dure, je lèche avec insistance son frein. Il semble apprécier.Je ne le suce pas très longtemps, à peine cinq minutes. J’ai trop envie de sentir son sexe en moi. Je prends une capote que je lui mets moi-même. Je mets du lubrifiant sur mon anus et, tournant le dos à mon amant, je m’empale sur sa queue. Une fois le gland passé, le reste est entré facilement. Je fais plusieurs lents va-et-vient mais la position n’est pas très confortable. Je me relève d’un trait pour me mettre à quatre pattes sur le canapé. Au moment où sa bite sort de moi, je ressens un grand vite qu’il me faut vite combler.
Stéphane se met derrière moi, à genoux sur le canapé. Il fait entrer sa queue épaisse directement en moi. Il me tient ferment par les hanches. Je prends de plus en plus de plaisir, je commence même à gémir. J’accompagne parfois ses mouvements, surtout pour bien la sentir au fond de moi. Au bout de cinq à dix minutes, mon amant se plante en moi et je ressens les spasmes de son sexe. J’adore sentir un homme jouir en moi. Je suis un peu frustré, j’aurais voulu que ce moment dure bien plus longtemps...
Stéphane part seul dans la salle de bain et en revient rapidement. Il s’assied à côté de moi et nous buvons notre bière en discutant. On parle de tout et de rien. Je n’arrête pas de regarder son sexe à demi-bandé. Jusqu’au moment où, n’y tenant plus, je le prends dans ma main pour le branler délicatement. Je le décalotte pour admirer son gland. Mon amant me sourit et se laisse faire. Je me penche pour le sucer. Sa queue est maintenant bien dure, j’ai envie de la sentir en moi.
A nouveau, je m’arrête rapidement pour lui mettre une capote. Je me remets en levrette, totalement offert. Je m’attends à ce qu’il me pénètre directement, mais il préfère me doigter avant. Il rentre son index, puis son majeur en moi. Il fait quelques allers-retours avec ses doigts dans mon anus, mais j’ai envie de plus, je veux sentir sa queue. Je le supplie presque :
  - Viens...
Il retire ses doigts et m’écarte les fesses avec ses mains. Il pose son gland contre mon petit trou. Ça rentre tout seul, c’est bon ! Il me pénètre lentement jusqu’à être entièrement en moi. Il entame alors de profonds va-et-vient qui me font gémir. Malgré tout, j’ai envie de plus, j’ai envie qu’il y aille plus fort. Je lui dis :
  - Vas-y !  - Quoi ?  - Plus fort !
Le message passe immédiatement. Il fait sortir sa queue avant de me la remettre d’un trait tout au fond.
  - Comme ça ?  - Hmm putain...  - C’est ça que tu veux ?  - Oui, continue !
Il le refait plusieurs fois, m’arrachant des "putain" ou des "encore". Je me sens totalement ouvert. Le plaisir est de plus en plus fort. Il m’encule ensuite comme j’aime, c’est-à-dire en faisant des mouvements amples et rapides. Je gémis presque en continu, j’adore !
Ça dure plus longtemps que la première fois, environ quinze minutes, jusqu’à ce que, dans un râle de plaisir, Stéphane se plante au fond de moi. Il me tient fermement par les hanches et je sens les spasmes de son sexe. Il reste quelques secondes en moi avant de faire sortir lentement sa queue. Je me sens vide, j’en veux encore.
Il s’affale sur le canapé. Je m’assieds à côté de lui. Je ne sais pas pourquoi, mais je pose ma main sur ses couilles et je les malaxe. Il me sourit et me demande :
  - Tu as encore envie ?  - J’étais pas loin d’avoir un orgasme...
En prenant une petite pilule bleue dans sa main, il me dit :
  - J’ai bien fait d’en ramener !
Nous échangeons un sourire, puis il me dit qu’il faut une demi-heure pour que ça fasse effet. En attendant, nous partons nous laver dans la salle de bain.
De retour au salon, je lui propose une deuxième bière. Nous discutons un petit moment. Quand je vois que son sexe a retrouvé toute sa vigueur, mes yeux restent fixés dessus. Nous ne parlons plus, le silence s’installe dans la pièce. Je me mets à genoux et je commence par lécher l’objet de mes désirs. Ma langue parcourt le moindre recoin de son sexe. Plusieurs fois, je lui lèche le frein avant de gober son gland. Il semble beaucoup apprécier (et moi aussi d’ailleurs). Je lui dis de mettre une capote et, en me relevant, je lui demande :
  - Tu veux que je me mette comment ?  - Je sais pas... Tu peux t’allonger ?Je me suis allongé sur le dos, en relevant les jambes, mais la position n’était pas pratique du tout sur un canapé. Spontanément, j’ai dit :  - Tu veux qu’on aille dans la chambre ?  - Oui, si tu veux. Ce sera sûrement plus pratique.
Je prends les capotes et le lubrifiant et nous montons à l’étage. Je m’allonge sur le dos au milieu du lit. Stéphane m’écarte les jambes et s’installe en face de moi. Il me pénètre avec son pouce avec l’aide d’un peu de lubrifiant. Il bouge son doigt puis le retire. Je lève les jambes pour lui faciliter l’accès à mon petit trou. Sa queue entre en moi sans aucune difficulté.Mon amant me pénètre assez lentement au début, mais en faisant presque ressortir son sexe à chaque mouvement avant d’aller au fond de moi. C’est vraiment très bon, je me laisse aller. Il accélère progressivement. Le plaisir monte en moi, mes gémissements sont de plus en plus bruyants. Je ne fais rien pour les retenir, je lâche totalement prise. Je regarde Stéphane dans les yeux pendant qu’il me baise. Je me sens possédé et j’aime ça !Plusieurs fois, alors qu’il me tient par les chevilles, il porte un de mes pieds contre son visage. Il semble avoir envie de plus. Je ne dis rien et me contente de me laisser faire.Je me fais enculer depuis environ vingt minutes et, alors que je suis à deux doigts d’avoir un orgasme, il me dit :
  - Je vais jouir.
En disant cela, il se plante en moi dans un grand coup de rein et remplit la capote. Il reste un peu en moi avant de se retirer.
Il va dans la salle de bain et en revient quelques instants plus tard, le sexe toujours au garde-à-vous. Il s’allonge à côté de moi en mettant ses mains derrière sa tête. Presque naturellement, je prends sa bite dans la main pour la caresser doucement. Je lui demande :
  - Ça t’a plu ?  - Oui ! Et toi ?  - Oui, beaucoup. J’y étais presque...  - C’est vrai ? Tu veux qu’on recommence ?  - Pourquoi pas ! Mais avant, dis-moi, pourquoi tu as mis mon pied contre ton visage ? Ca t’excite ?Je le sens gêné de ma question. Ce n’était pas du tout le but, je veux simplement lui donner un maximum de plaisir. Il balbutie :  - Oui...euh... J’aime bien oui, pourquoi ?Je le rassure comme je le peux en lui disant qu’il n’a pas à avoir honte. Je lui révèle que j’aime beaucoup lécher les pieds de ma femme. Je lui avoue aussi nos penchants pour les jeux uro. Il dit alors :  - C’est vrai ?  - Oui. Alors tu vois, tu n’as pas à te sentir gêné ! Et puis, après ce qu’on vient de faire... Tu peux te laisser aller avec moi !
On continue à en parler un peu, moi en le branlant toujours. Il se libère petit à petit. Surtout, la discussion nous excite tous les deux. A un moment, je lui dis que j’ai encore envie. Pendant qu’il enfile un préservatif, je me mets à quatre pattes. Stéphane vient derrière moi et me pénètre sans ménagement. Il imprime directement un bon rythme, je laisse d’ailleurs échapper un "oh putain !". Il me demande :
  - Ça va pas ?  - Oh si ! Continue !
Je l’entends rire. En me tenant fermement par les hanches, il continue d’intenses va-et-vient qui me font beaucoup de bien. Après quelques minutes, j’ai envie de changer de position. Je m’allonge à nouveau sur le dos, les jambes relevées. Stéphane me la met directement et reprend sur le même rythme. Je sens le plaisir monter en moi. Je ferme les yeux pour profiter du moment. Quand je les ouvre, je croise le regard de l’homme qui m’encule. Nous échangeons un sourire. Instinctivement, je porte mon pied droit contre sa bouche. Mon amant me sourit puis prend mon pied dans sa main et se met à l’embrasser. Il me suce ensuite les orteils, ce qui est plutôt agréable. Je sens que ça l’excite puisqu’il me donne maintenant de grands coups de rein qui me font gémir en continu.
Je m’abandonne totalement au plaisir, je perds tout contrôle. Je sens une vague de plaisir m’envahir. Cela dure une ou deux minutes, durant lesquelles je ne saurais pas décrire exactement ce que je ressens, mais en tout cas c’est très fort. Je sens également du sperme couler de mon sexe alors que je ne me touche pas.
Quand cette vague de plaisir retombe, je me sens un peu bizarre. Stéphane continue de m’enculer assez fort, mais ce que je ressens est différent, presque un peu douloureux. Je demande à mon amant :
  - Ralentis s’il te plait...
Il ne répond pas et continue sur le même rythme, toujours en me léchant les orteils. Ce ne sont plus des gémissements qui s’échappent de moi, mais des cris. Je me sens comme un objet sexuel et, malgré une légère douleur, j’adore ça. Mon amant me baise au moins cinq bonnes minutes encore jusqu’à ce qu’il jouisse en moi (enfin dans la capote). Plusieurs sensations se mêlent en moi. Je me sens ouvert comme jamais, je sens que j’aurais eu du mal à me faire sodomiser plus longtemps. Mais d’un autre côté, je sens que si ça avait durer quelques minutes de plus, j’aurais pris encore plus de plaisir.
Stéphane s’allonge à côté de moi, mains derrière la tête. J’ai l’impression d’avoir couru un marathon. Nous restons allongés l’un à côté de l’autre sans rien dire pendant plusieurs minutes. Je romps finalement le silence :
  - Bon, on va se laver ?
Nous allons sous la douche. Mon amant bande encore. Même si mon anus est quelque peu endolori, je suis encore excité. Sans rien dire, je coupe l’eau et m’accroupis pour sucer cette queue qui agit comme un aimant avec moi. A ce moment-là, je n’ai qu’une obsession : recevoir son sperme sur mon visage. Je le branle énergiquement tout en gardant son gland dans la bouche. Il met un peu de temps à venir, mais il finit par me prévenir de sa jouissance prochaine. Évidemment, son éjaculation n’est pas abondante, mais je sens quand même du sperme couler sur ma joue.
Je me relève et remets l’eau. Stéphane et moi échangeons un sourire. Nous nous lavons sagement, puis nous retournons dans le salon. Je propose à mon amant une bière qu’il accepte. Nous discutons un bon moment, nus tous les deux. Cette fois, il ne se passe rien, nous ne faisons que discuter (et pas forcément que de sexe).Vers 19 heures, nous nous disons au revoir en nous promettant de remettre ça rapidement.
Peu de temps après le départ de l’homme qui m’a enculé tout l’après-midi, ma femme m’ appelle. Elle n’a pas trop de temps pour parler, je lui dis que Stéphane est venu et qu’il est resté pendant environ quatre heures. Elle me dit :
  - C’est vrai ? Vous avez fait quoi pendant tout ce temps ?  - D’après toi... ?  - Tu me raconteras tout ça demain.
Après cela, je reste nu le reste de la soirée. Je décide de regarder un film dans le lit. J’ai un peu de mal à m’endormir.
Le lendemain, Julie rentre vers midi. Je lui raconte tout dans le moindre détail. Nous faisons l’amour plusieurs fois.
Depuis ce jour, j’ai revu Stéphane plusieurs fois avant le confinement. J’ai toujours pris beaucoup de plaisir (mais jamais autant que dans l’histoire que je viens de vous raconter). A chaque fois, nous n’étions que tous les deux, sauf une fois où Julie, ma femme, a voulu être présente. Cela fera l’objet de ma prochaine histoire si vous le souhaitez.
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