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Mon plan cul régulier

Chapitre 4

Sous les yeux de ma femme

Orgie / Partouze
L’histoire que je vais vous raconter se passe au début de l’année. Je vois régulièrement un homme approchant la cinquantaine, Stéphane. J’adore le sucer et surtout sentir sa queue épaisse en moi. Je prends énormément de plaisir avec lui à chacune de nos rencontres. Nos rencontres, justement, se sont toujours passées à deux. Julie, ma femme, n’a jamais souhaité être présente. Elle ne voit cependant aucun inconvénient à ce que je m’accorde de temps à autre du bon temps avec un autre homme.Un soir, alors qu’on regarde un film sur le canapé, Julie commence à me parler de ma relation avec Stéphane. Elle finit par me dire :
— J’aimerais bien être là la prochaine fois.— Bien sûr, si tu veux. Je vais demander à Stéphane, mais à mon avis, ça ne le dérangera pas. Tu voudras faire quoi ?— Comment ça ?— Eh bien, tu voudras juste regarder ou...
En me souriant et en me faisant un clin d’œil, elle me répond :
— Pour regarder.
J’envoie alors un message à mon amant, qui me répond presque aussitôt qu’il n’y voit aucun inconvénient. Je finis par l’inviter samedi après-midi.
Le grand jour, je suis malgré tout un peu anxieux, je ne sais pas vraiment pourquoi. Je me prépare seul dans la salle de bain et j’en profite pour me goder un peu.Je ne porte qu’une chemise et un jean, sans rien en dessous. Julie quant à elle porte un haut noir très moulant et franchement transparent. On devine clairement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle porte également un jean et des sandales qui mettent en valeur ses pieds vernis de rose (c’est une petite attention pour Stéphane qui est fétichiste des pieds).Mon amant arrive à l’heure, comme à son habitude. Je fais les présentations et nous allons dans le salon. La première chose que Julie lui dit, c’est :
— Enchantée. J’ai beaucoup entendu parler de toi. J’ai hâte de te voir à l’œuvre !
Il semble assez à l’aise, il discute avec ma femme. Je vais chercher à boire dans la cuisine. Quand je reviens, ils sont en train de parler des fois précédentes où Stéphane est venu. Il est surpris que Julie soit au courant de tout. Nous discutons quelques minutes tous les trois, puis ma femme s’est mise en retrait, disant même :
— Faites comme si je n’étais pas là.
Il y a un court moment de flottement, puis je prends les devants en déshabillant mon amant. Je commence par le haut. Une fois torse nu, je me mets à genoux devant lui pour lui enlever ses chaussettes et son jean. Je descends son boxer pour enfin libérer l’objet de mes désirs. Il ne bande pas encore. J’en profite pour la mettre entièrement dans ma bouche. Le goût et l’odeur m’excitent beaucoup. Assez vite, la queue de Stéphane prend de l’ampleur, je ne peux garder que son gland entre mes lèvres. Je joue beaucoup avec ma langue, comme à mon habitude.
A un moment, ma femme vient s’asseoir à côté de mon amant pour mieux admirer la scène. Je la regarde plusieurs fois, elle me sourit. Stéphane a les yeux rivés sur les seins de Julie (il faut dire que son haut ne cache pas grand-chose), il a visiblement envie d’elle. Je continue ma fellation du mieux que je peux puis je m’arrête. J’ai envie de plus.En me relevant, je dis :
— Tu mets une capote ? Tu veux que je me mette comment ?
C’est ma femme qui répond :
— Vous voulez aller dans la chambre ?
Je la regarde comme pour lui dire "tu es sûre ?". Elle me fait un petit signe de la tête. Je prends le lubrifiant et la boîte de préservatifs et nous montons à l’étage.Je me déshabille et m’allonge sur le lit. Julie se déchausse avant d’en faire de même. Stéphane met une capote et me demande de me mettre à quatre pattes. Il se met à genoux derrière moi et me doigte à l’aide d’un peu de lubrifiant. Ses doigts rentrent facilement. A un moment, il les sort et pose sa queue contre mon anus. Le gland a un peu de mal à rentrer. Je lâche d’ailleurs un "hmm putain", entre plaisir et douleur. Le reste de son sexe rentre sans aucune difficulté. Mon amant entame alors de lents et profonds va-et-vient. Je me laisse aller et je commence à gémir.J’avais les yeux fermés jusque-là. Quand je les rouvre, je regarde ma femme. Elle me demande à voix basse :
— Tu aimes ?— Oui ! C’est trop bon.
Elle me sourit. J’ai envie de l’embrasser, mais ce n’est pas très pratique. Dans le même temps, Stéphane accélère le rythme et s’agrippe de plus en plus fort à mes hanches. C’est souvent le signe de sa jouissance prochaine. Je ne me trompe pas puisque quelques secondes plus tard, il se plante au fond de moi et remplit la capote. Je suis un peu frustré, j’en veux encore. En tournant la tête, je lui dis :
— Déjà ?— Ne bouge pas, je reviens.
Il sort sa queue de moi d’un coup, ce qui m’arrache un petit cri de surprise. Il va dans la salle de bain. En l’attendant, je me penche pour embrasser Julie. Je me mets au-dessus d’elle, tout en restant à quatre pattes. Mon amant revient à peine deux minutes plus tard :
— Vous voulez que je vous laisse ?— Non, je t’attends !
Il met un préservatif et se place derrière moi. Alors que je suis en train de rouler une pelle à ma femme, il me pénètre d’un coup. Stéphane m’encule plus fort que la première fois. J’ai du mal à retenir mes gémissements alors même que ma langue joue avec celle de Julie. Je suis surexcité !
J’embrasse ma femme dans le cou, puis lui saisis tant bien que mal un sein par-dessus son haut (j’essaye de garder l’équilibre puisque je suis à quatre pattes). Je bande pendant que je me fais sodomiser, ce qui arrive rarement. Je sens le plaisir monter en moi bien plus rapidement que d’habitude. Je sens que du sperme s’écoule de mon sexe et aussitôt après, je ressens une vague de plaisir intense m’envahir. J’arrête d’embrasser ma femme. Je reste la bouche ouverte, mais aucun son n’en sort.
Quand je reprends mes esprits quelques secondes plus tard, Julie et moi nous regardons dans les yeux, elle me sourit. Mon amant, lui, continue de me baiser en faisant des mouvements à la fois rapides et profonds. Mon anus se contracte autour de sa queue, ça me fait un peu mal, mais je n’ai pas envie qu’il s’arrête. Je gémis à chaque va-et-vient.
Au bout d’un moment, Stéphane accélère puis se plante en moi pour jouir. J’adore sentir les spasmes d’une bite en train d’éjaculer en moi. Il se retire ensuite et s’assied en tailleur au milieu du lit. Quant à moi, je m’allonge sur le dos à côté de ma femme. J’ai l’impression d’avoir couru un marathon.
Julie me demande :
— C’est comme ça à chaque fois ?— Presque oui.— Eh beh...
Elle baisse ensuite la tête et se rend compte qu’elle a du sperme sur son jean et sur son haut. Elle me dit :
— Oh non, t’abuses ! Je voulais les garder pour ce soir...— Désolé.
Elle se redresse alors pour retirer son haut, qu’elle jette au milieu de la pièce. Elle retire ensuite son jean et le jette également. Ma femme ne porte plus qu’une culotte blanche. Elle ne semble pas du tout gênée de se montrer ainsi devant un homme qu’elle ne connaissait pas une heure avant. Stéphane, toujours assis avec sa capote sur la queue, la regarde avec envie.
Je lui propose d’aller nous laver rapidement. Nous prenons une douche rapide et revenons dans la chambre. Julie n’est plus là, elle est partie dans le salon. Nous la rejoignons. Elle est assise confortablement au milieu du canapé, toujours uniquement en culotte, les pieds sur la table basse. Nous discutons tous les trois en buvant un verre. Stéphane n’arrête pas de regarder le corps de ma femme, d’ailleurs je remarque qu’il se remet à bander. Ça m’excite toujours autant de voir qu’un autre homme a envie de ma femme.
Nous échangeons quelques regards complices Julie et moi, et je devine dans son regard coquin qu’elle a envie de s’amuser. A un moment, la discussion s’oriente vers le fétichisme des pieds de Stéphane. Je le sens moyennement à l’aise au début. Ma femme lui pose quelques questions assez directes. Sans rien dire, elle se tourne vers notre invité (me tournant donc le dos) et pose ses pieds sur son sexe. Elle commence à le branler doucement. Elle demande :
— Ça te plaît ?— Oui, continue !
Je colle mon torse contre le dos de ma chérie pour mieux observer la scène (et sentir sa peau contre la mienne). Ce que je vois m’excite beaucoup, surtout quand Julie caresse la queue dressée avec la plante de son pied.Après à peine cinq minutes, Stéphane prévient qu’il est sur le point de jouir. Ma femme continue comme si de rien, jusqu’à ce qu’il jouisse sur ses pieds. Il la remercie, un large sourire aux lèvres. Je donne un paquet de mouchoirs à mon amant. Il essuie son sexe et le sperme sur les pieds de ma femme. Elle dit :
— Je n’ai plus qu’à aller me laver maintenant !— Désolé.— Ne t’excuse pas.
Julie va dans la salle de bain. Mon amant me dit que j’ai beaucoup de chance d’avoir une femme comme la mienne. Je ne peux qu’acquiescer.Elle revient quelques minutes plus tard, vêtue d’un peignoir légèrement entrouvert. Nous discutons un peu puis, quand je propose un dernier verre à Stéphane, il refuse en disant qu’il devait y aller. Pour lui dire au revoir, Julie lui fait la bise en appuyant sa poitrine contre le torse de notre invité.A peine la porte fermée, je viens contre ma femme et lui enlève son peignoir. Nous faisons l’amour deux fois ce jour-là.
C’est la seule fois où ma femme a été présente alors que j’ai invité mon amant. Je l’ai revu quatre ou cinq fois avant le premier confinement et à chaque fois, nous nous sommes bien amusés. Mais depuis le confinement, il ne m’a plus donné signe de vie, ne répondant plus à mes messages...
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