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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Mon plus beau souvenir d'Afrique

Chapitre 1

Hétéro
Ca m’est arrivé au Sénégal à l’époque assez lointaine aujourd’hui de mes vingt ans. Je n’avais pas de voiture et devais donc me déplacer en taxi collectif. Une fin d’après-midi que j’étais à la gare routière de Dakar, le temps menaçant a laissé place à un orage violent. Des pluies diluviennes se sont abattues sur la ville. J’étais trempé quand j’ai pris un taxi de passage presque complet. Il ne restait qu’une place libre au fond, à côté d’une jeune Noire très mignonne. Elle n’a pas particulièrement apprécié que je me sois assis près d’elle car j’étais aussi mouillé que si je sortais tout habillé du bain... En plus, je transportais avec moi un énorme poste radio-cassette qui était fort encombrant. On a quand même fini par discuter. J’ai appris qu’elle s’appelait Aicha et qu’elle était en terminale au lycée. Elle baillait fréquemment, découvrant de belles dents blanches.    - Fatiguée ?    - Oui, je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit...    - Pourquoi ?    - J’étais avec mon petit ami...    - Et qu’est-ce qu’il t’a fait ton petit ami ?    La jeune fille a placé son index sur sa bouche : des oreilles indiscrètes pouvaient nous entendre. La conversation et surtout la simplicité de ma voisine m’avaient beaucoup excité.     - On reparlera de tout ça à destination ? lui dis-je.    Elle me fit un signe qui voulait dire qu’elle n’en savait rien. Alors j’ai joué le tout pour le tout ! En tournant la tête, absolument stupéfaite, la jeune fille a découvert ma queue toute raide, hardiment sortie de mon jean mouillé. Protégé par le poste radio-cassette, j’exhibais même les couilles. Le chauffeur qui lançait un oeil dans le rétroviseur ne pouvait rien voir, non plus que les autres occupants. Le poste radio-cassette nous protégeait des regards. Je fis comprendre ma voisine qu’elle pouvait me caresser. Elle ne s’en est pas privée, pouffant de rire.    Arrivés à destination, très amusée par mon audace, elle m’a proposé de poursuivre notre ’conversation’ quelque part. Elle connaissait un petit hôtel qui louait des chambres à proximité. Ce n’était pas cher. Certes, l’endroit était miteux mais ça m’a plu. A peine entrés dans la pièce, elle s’est déshabillée très vite. Elle avait un corps parfait, mince et musclé, avec des seins en forme de bombe sexuelle, un petit cul à tomber assis et quand elle a baissé culotte, elle m’a découvert une foufounette de rêve, joliment crépue et qui semblait me sourire. Allongés côte à côte sur le lit, elle m’a longuement sucé, gobant mes couilles plusieurs fois. Par moments, j’ai dû lui demander d’arrêter tant je craignais d’éjaculer trop vite.    Moi, j’ai passé mes doigts entre ses cuisses, avec beaucoup de douceur, le plus doucement que j’en étais capable, prenant tout mon temps pour les préliminaires avant de passer à l’action. Aicha avait des préservatifs sur elle. Quand elle s’est sentie prête, elle m’en a enfilé un bien épais avec un grand réservoir et puis s’est laissé pénétrer sans problème. A chaque va-et-vient, elle poussait une espèce de sifflement-soupir qui me rendait dingue. Je l’aidais avec plaisir à prendre son plaisir, en haletant moi aussi comme un fou !    J’appréciais surtout sa maîtrise. A chaque fois que je me trouvais au bord de l’éjaculation, elle savait me calmer, je ne sais comment. Et puis, elle changeait de position et c’était reparti ! La jeune fille était vraiment une virtuose de l’amour comme seules les Africaines peuvent l’être ! J’ai toujours pensé que les Noires étaient douées pour le cul parce qu’elles s’y mettent tôt et s’entraînent beaucoup.    J’ai fini par gicler quand même, par salves, avec de divins gonflements dans la queue à chaque passage du sperme. Je suis resté à l’intérieur de son ventre. Ma partenaire contractait le vagin pour continuer à sentir la présence du membre. Enfin, celui-ci a glissé dehors. Aicha a retiré le préservatif qui menaçait de couler sur le couvre-lit et le mit dans la corbeille à papier que j’eus la surprise de voir à moitié remplie d’autres capotes usagées, mêlées à des mouchoirs de papier chiffonnés. Elle m’entraîna ensuite sur le lavabo et entreprit de me nettoyer le sexe avec du savon. Ca me procurait un plaisir indéfinissable d’être lavé aussi simplement que ça. Puis, surprise, après quelques instants, je me suis remis à bander tout doucement !    La jeune coquine semblait moins étonnée que moi. Nous sommes retournés vers le lit, et là elle prit l’initiative de s’asseoir à califourchon sur ma queue bien droite, si dure déjà, habillée d’un préservatif tout neuf. Je me suis mis à faire des mouvements de haut en bas lentement, puis plus rapidement. La fille avait rejeté la tête en arrière et soupirait à n’en plus pouvoir. J’étais très fier du plaisir que je lui donnais. Surtout que cette seconde fois, je sentais que je mettrais davantage de temps pour jouir. Mais quand j’ai déclenché, ce fut vraiment extraordinaire parce que Aicha s’est violemment agitée en poussant des cris vraiment peu discrets, très explicites de nos ébats amoureux. Quand elle s’est calmée, elle m’a contemplé en souriant. Comme elle était belle ! Je crois que j’aurais pu continuer à lui faire l’amour toute la nuit mais elle devait rentrer dans sa famille.    Rapidement, nous nous sommes lavés et rhabillés ! On s’est quittés en échangeant nos coordonnées. Je ne sais pas pourquoi je ne lui ai jamais téléphoné. Je ne sais pas pourquoi j’ai épousé une Blanche. Mais ce qui est sûr, c’est que cette jeune Sénégalaise incarne mon plus beau souvenir d’Afrique.
E-mail: eric.equatorial@voila.fr
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