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La sœur de mon pote cachait bien son jeu

Chapitre 1

Hétéro
Les amplis délivraient toute leur puissance au sous-sol, mais dans le reste de la maison, personne n’était dérangé. C’était vraiment une bonne idée de venir faire ce week-end de répétition chez Lucas, mon meilleur pote. Il était à la guitare, notre collègue Juan à la batterie, et moi à la basse. On avait déjà joué toute la matinée, et, durant le repas de midi, les parents de Lucas nous avaient confirmé qu’ils ne nous avaient presque pas entendus. J’avais cherché du regard sa sœur, Lucie, et j’avais vu son bref sourire indiquant que pour elle non plus, notre présence ne gênait pas.
C’était déjà ça. Bien sûr, j’aurais aimé qu’elle soit un peu plus enthousiaste. Depuis que Lucas me l’avait présentée quelques années auparavant, elle alimentait régulièrement mes fantasmes. Il faut dire qu’elle était très attirante, avec sa silhouette exquise, son visage angélique et ses longs cheveux châtain. Maintenant qu’elle était étudiante, elle ne revenait que rarement chez ses parents, et j’avais été agréablement surpris de voir qu’elle était là pendant le même week-end que nous. Malheureusement, elle ne s’était jamais départie de son habituelle indifférence un peu hautaine à mon égard, et à aucun moment elle ne m’avait laissé une ouverture qui m’aurait permis d’éveiller son désir ou au moins sa curiosité.Pourtant j’aurais cru avoir toutes mes chances : plutôt grand, beau brun bien constitué, j’avais plutôt l’habitude de plaire aux filles. Mais dans son cas, elle semblait me tolérer dans son entourage en tant qu’ami de son grand frère, et rien de plus.
— Oh, tu saoules !
Je revins tout d’un coup au présent. Perdu dans mes pensées, j’avais raté le passage au riff suivant et obligé tout le monde à s’arrêter. C’est alors qu’on entendit un rire derrière nous. Évidemment, c’est le moment que Lucie avait choisi pour descendre. Elle était toujours aussi ravissante, habillée d’une robe en jean laissant deviner ses courbes, et je m’en voulus d’avoir foiré le morceau pile à ce moment-là. Mais manifestement, ce n’était pas pour écouter la musique qu’elle était descendue.
— Papa et maman veulent que tu viennes avec eux chercher des planches au magasin, lança-t-elle à Lucas.— Ils pouvaient pas choisir un autre moment ? On répète, là !— Allez, on mérite une pause, non ? Je vais vous accompagner, je dois acheter des cigarettes, rétorqua Juan.
Mes deux comparses se tournèrent vers moi. Je réfléchis rapidement : je n’avais aucune course à faire, et si je les accompagnais, je perdais une occasion potentielle de voir Lucie sans le reste de la maisonnée, et de lui faire comprendre mon intérêt pour elle.
— Ça ne me dit rien, si vous bougez, j’en profiterai pour me reposer.
Continuant ma réflexion, je réalisai qu’après presque une journée de répétition, je ne devais pas avoir une odeur très agréable.
— Je vais prendre une douche, tiens.— Comme tu veux, répondirent-ils.
Lucie fit une moue et me regarda :
— Ce serait pas du luxe !
Les deux autres éclatèrent de rire. Je ne trouvai pas de réponse, mais je parvins à camoufler ma mortification au plus profond de moi et même à simuler un sourire entendu. Était-ce mon imagination ? Lucie semblait me rendre mon sourire. Puis elle remonta dans la maison en rigolant.
Une fois tout le monde parti, je me rendis dans la salle de bain pour prendre cette douche. L’eau chaude me fit du bien, mais très vite, mes pensées revinrent à Lucie qui ne devait pas être très loin. Ses beaux cheveux, ses yeux, parfois froids, mais parfois rieurs, son sourire et sa bouche, le décolleté qu’elle arborait parfois, jusqu’à la naissance de sa poitrine... Avec un peu d’imagination, ses seins bien fermes, son joli ventre et son nombril, ses hanches... et plus bas... Mon corps réagit à ces divagations de la manière la plus naturelle qui soit, et je sentis rapidement mon sexe se gonfler de désir. Tout d’un coup, la porte de la salle de bain s’ouvrit.
— Je suis sous la douche ! annonçai-je, comme si ce n’était pas évident. Malgré ça, l’intrus ne repartit pas. Sans doute Lucie qui a oublié une de ses affaires dans la salle de bain, pensai-je. Mais au lieu de fouiller dans les placards, elle se planta devant la douche. Et ouvrit la porte.
J’étais tellement surpris que je ne pus esquisser un geste, même pas pour me couvrir. Je bégayai :
— Euh, j’avais dit que... Je prenais une douche...
Pour toute réponse, Lucie m’intima le silence en posant son index sur sa bouche. Son regard s’attarda sur mon sexe en érection, et elle esquissa un sourire. Elle fit redescendre sa main de son visage, le long de son cou, puis de sa robe, jusqu’à son ventre. Puis elle la tendit dans ma direction tout en faisant un pas vers moi, et soudainement, elle tenait ma verge entre ses doigts.Tout en effectuant quelques va-et-vient, elle vérifia que son geste avait l’effet escompté et fut sans doute rassurée en me voyant complètement subjugué, incapable du moindre geste de peur de briser cet instant, et profitant de chaque mouvement de sa main délicate. Puis, d’un regard rapide, elle vérifia qu’elle avait bien fermé la porte de la salle de bains, et lâcha mon pénis afin de dégrafer sa robe, déjà un peu mouillée par l’eau de la douche.
Elle ne portait pas de sous-vêtements, et elle m’apparut encore plus belle que je l’avais imaginée. Sa robe s’était ouverte sur de magnifiques seins saillants, un petit ventre adorable, un pubis bien entretenu, et un sexe qui respirait la fraîcheur. Je m’avançai pour l’aider à laisser glisser sa robe le long de ses épaules et de ses hanches.
— Tu es sûre ? Et si les autres reviennent ? dis-je en essayant de l’enlacer. Mais, une nouvelle fois, elle m’intima le silence, en plaçant son doigt sur ma bouche, avec assez de conviction pour me repousser sous la douche toujours allumée. Elle empoigna une serviette qu’elle laissa tomber sous l’eau à mes pieds, puis s’agenouilla dessus, face à moi.
Je n’en revenais pas. Toujours en me regardant, toujours souriante, elle se mit à embrasser mon gland et ma verge, puis à les lécher, de plus en plus goulûment, tandis que sa main recommençait ses va-et-vient. Sa langue et ses lèvres se frottaient avec passion sur mon membre, avec une amplitude de plus en plus grande. Sa bouche descendit jusqu’à mes testicules, que sa langue vint titiller en pressant de plus en plus. Ensuite, tout en maintenant ma verge de sa main, elle poursuivit son léchage en remontant mon anatomie, jusqu’au sommet de mon sexe, qu’elle embrassa délicatement puis engloutit entre ses lèvres.
Pendant qu’elle me pompait de sa bouche chaude, elle s’appuyait d’une main sur la hanche, tandis que l’autre main caressait ma verge et mes bourses ; et en plus de ses soins, l’eau qui coulait toujours sur nos corps ajoutait encore ses caresses. Je passai ma main sur sa tête, et appréciai la douceur de sa chevelure trempée, qui ondulait à la mesure des va-et-vient sur lesquels elle se concentrait.L’onde coulait le long de son visage, autour de ses lèvres, glissait sur mon sexe, et retombait sur le sol en rythme, composant une mélodie avec ses halètements et les bruits de succion qui s’échappaient de sa bouche où se mêlaient l’eau, la bave, et les fluides de mon pénis surexcité.
Après quelques minutes de ce traitement, je ne tins plus. Mes mains se posèrent entre ses cheveux et ses joues et arrêtèrent les mouvements de sa tête, tandis que mes propres reins entraient en action, faisant glisser mon membre tour à tour à l’extérieur de sa bouche, puis au plus profond, jusqu’à ce qu’elle m’indique, en le maintenant de sa main, qu’elle ne pouvait pas le prendre plus davantage. Mes mouvements de bassin se firent de plus en plus rapides, et pendant que je baisais sa bouche, ses délicieuses caresses continuaient sur ma verge et mes testicules. Très vite, dans un dernier râle, j’explosai entre ses lèvres, tapissant sa langue de plusieurs longs jets de semence. Ma bite toujours enserrée entre ses lèvres, elle reprit doucement son va-et-vient afin d’extraire les derniers éclats de plaisir, pendant que je reprenais mon souffle.
Enfin, elle recracha le sperme qui remplissait sa bouche, et qui coula le long de son menton, dégoulinant sur ses seins et son ventre. Ensuite, sans attendre davantage, elle prit la serviette mouillée à mes pieds, se débarbouilla rapidement, puis reprit sa robe et quitta la salle de bain en me lançant un sourire évocateur. Déjà, on entendait la porte de la maison qui s’ouvrait, et les bruits de paroles des autres qui revenaient de leur course.
Je manquais légèrement de concentration, mais la suite de la répétition se passa plutôt bien. Lors du repas du soir, Lucie évita mon regard la plupart du temps, mais m’adressa toutefois quelques sourires. Après une soirée sympathique, tout le monde décida de se coucher tôt, afin de pouvoir répéter le lendemain. Mais une fois au lit, dans la chambre d’amis attenante à celle de Lucas, impossible pour moi de trouver le sommeil. Ma tête était encore remplie de la sensation de la langue de Lucie sur mon membre, et des bruits obscènes de la succion sous la douche. Afin de me changer les idées, je descendis à la cuisine. Je saisis un verre, le remplis d’eau, et ouvris le frigo pour prendre quelques glaçons. Je refermai le frigo, et quand je me retournai, elle était là.
Lucie m’avait entendu descendre, et était entrée pendant que j’avais le dos tourné. Elle était maintenant face à moi, dans sa petite tenue de soie, appuyée contre la table de la cuisine, un sourire aux lèvres. Je m’approchai d’elle, l’enlaçai, et l’embrassai langoureusement. Mes mains remontèrent de sa taille jusqu’à son cou, effleurant son flanc, et lorsqu’elles redescendirent vers sa poitrine, je sentis son corps, plaqué au mien, tressaillir. Délicatement, tout en pressant ses tétons tendus, je fis glisser de ses épaules les bretelles de sa nuisette, afin de dégager ses seins et de pouvoir les lécher à loisir. Pendant que ma bouche s’occupait de sa poitrine, mes mains redescendirent caresser longuement ses jambes, puis retroussèrent lentement le bas de sa tenue, tout en frottant avec insistance ses fesses et le pourtour de son entrejambe. Enfin, elle guida ma main droite directement vers sa petite fente, et mes doigts furent immédiatement inondés de cyprine brûlante.
N’y tenant plus, je la saisis par la taille et la soulevai pour l’assoir sur la table. Je m’assis face à elle, et, écartant sa jambe d’une main afin de me retrouver face à son intimité, je commençai à lécher sa chatte en feu. Ma langue pressait avec délices sa fente humide, lapait son clitoris, s’introduisait dans son vagin... Très vite, ses gémissements et les mouvements de son bassin me poussèrent à continuer encore plus passionnément. Ma langue allait titiller son anus, puis revenait à sa chatte, dans laquelle je finis par introduire mon majeur puis mon index. Tout en la doigtant vigoureusement, je concentrais ma bouche sur son petit bouton, l’aspirant et le léchant sans discontinuer.Alors que ma main libre parcourait son corps, son ventre, ses seins, Lucie agrippait ma tête dans ses mains, tout en agitant son bassin frénétiquement. Une fois, deux fois, elle réprima un hurlement et fut prise des tremblements caractéristiques de l’orgasme.
Je me relevai, dégoulinant de bave et de cyprine, et baissai mon pantalon, révélant mon sexe surexcité. Je le frottai contre son entrejambe, d’abord sur toute sa longueur afin de bien l’humidifier, puis en l’agitant frénétiquement contre son clito à l’aide de ma main, déclenchant un nouvel orgasme. Une fois ses convulsions terminées, j’empoignai mon chibre et l’enfonçai résolument au plus profond de ma partenaire. Obnubilé par la chair chaude et détrempée qui enserrait mon engin, je la labourai presque mécaniquement, remarquant à peine ses mains blanchies à force de serrer le bord de la table, et ses dents qui mordillaient ses lèvres pour éviter de crier.
Mes mains parcouraient en tous sens ce corps si doux qui se tortillait avec ardeur. Elles s’agrippaient à ses adorables jambes, accompagnaient les différents changements de position... C’était comme si mon pénis, doté d’une volonté propre, cherchait à la transpercer depuis tous les angles possibles.
Lorsque, m’enlaçant de ses bras, elle se colla à moi et recommença à trembler, prise dans une nouvelle vague orgasmique, je compris que je ne pourrais pas tenir beaucoup plus longtemps. N’ayant pas de préservatif et malgré le plaisir que me procurait l’intérieur de sa chatte, je me retirai dès qu’elle eut repris ses esprits, à temps pour ne pas jouir en elle.
Elle comprit immédiatement la raison, et, toujours étendue sur la table, elle se retourna afin de se retrouver le visage face à mon pénis. En quelques mouvements de sa délicate main, elle acheva de me mener à l’extase, et, dans un grognement sourd, je me répandis en longues giclées sur son visage et sur sa langue tirée.
Comme si elle pouvait ressentir elle-même mes plus profonds désirs, elle continua un moment à presser lentement mon sexe avec sa main, afin de finir d’extraire la semence qui restait en moi. Elle frottait contre ma verge son visage dégoulinant de sperme, puis léchait passionnément le précieux nectar, de la base du pénis jusqu’au gland encore en extase. Elle nettoya ainsi une bonne partie de son visage, puis me reprit en bouche, avec tellement d’ardeur que je sentis ma vigueur revenir. C’était bien ce qu’elle voulait.
Elle se releva, prit mon membre dans sa main comme si elle me tenait en laisse, et, avec un sourire mystérieux, attrapa de son autre main une bouteille d’huile d’olive. Puis, toujours sans un mot, elle me guida jusqu’à la salle de répétition, dont elle ferma la porte. Lorsque je la vis prendre position, un genou sur un ampli, les fesses relevées, et le corps penché en avant, je compris qu’elle avait eu cette idée depuis un bon moment. Déjà, elle versait de l’huile d’olive en bas de son dos, la laissant couler autour de son petit trou du cul, et elle faisait jouer son doigt sur cette belle rondelle.
L’invitation était trop belle, je me mis à genoux derrière elle et commençais à lécher son anus. Le goût d’huile d’olive se mêlait à la sueur de façon étrange, mais très excitante, et je ne tardai pas à me redresser, brandissant mon engin face à cette entrée étroite. Je le tartinai généreusement d’huile d’olive, puis commençai à appuyer pour m’insérer dans cette grotte. Après une petite résistance, mon gland disparut entre ses fesses, lui arrachant un petit gémissement de douleur. Avec une infinie délicatesse, je commençai de lents va-et-vient, allant un peu plus profondément à chaque fois, et très vite, la salle se remplit de cris, de jouissance cette fois.
Agrippé à ses hanches, je me mis à lui défoncer l’arrière-train, entièrement concentré sur cette tâche. Mon pénis, complètement enserré dans cet orifice, me procurait des sensations divines. Lucie s’était recroquevillée et bougeait son bassin au rythme de mes mouvements, tout en stimulant frénétiquement son clito. Elle finit par jouir, tremblante, dans un hurlement, pendant que je me déchargeai à longues giclées dans son trou étroit.Après cette séance épuisante, nous restâmes collés l’un à l’autre quelque temps. Puis je me retirai, elle se releva, et sortit de la salle sans se retourner, un filet de sperme gouttant de son derrière. Après être passés à la cuisine ramasser nous vêtements éparpillés un peu partout, nous retournâmes nous coucher.
Le lendemain, les autres membres du groupe furent bien interloqués par la bouteille d’huile d’olive laissée dans la salle de répétition. Ils passèrent longtemps à échafauder des théories pour deviner qui avait été manger une salade dans la salle pendant la nuit. Et quand ils en parlèrent au repas de midi, je suis presque sûr que Lucie rougit légèrement.
A l’issue du week-end, nous convînmes que c’était très réussi, et qu’il faudrait le refaire plus souvent. J’eus donc régulièrement l’occasion de revenir chez mon ami - et de revoir sa sœur.
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