Mon meilleur ami Loan et moi, on était très proche quand on était jeune. On allait à la même école, nos parents nous emmenaient en vacances ensemble, on prenait notre bain ensemble et nous dormions ensemble. À l’adolescence, nous nous sommes éloignés puisque nous n’étions pas dans le même collège et que nos corps changés, nous avons donc arrêté de passer ces moments ensemble et on se voyait principalement en vacances avec nos parents. À l’âge du lycée, Loan est devenue un vrai canon, il faisait 1m90, musclé, brin et avec les yeux bleus. Toutes les filles voulaient sortir avec lui et je dois dire que ça me rendait un peu jaloux. Je n’étais pas moche pour autant, mais loin d’être aussi beau que lui. Je mesurais 1m80, j’étais plutôt mince, les cheveux châtains et les yeux verts. J’étais plutôt timide avec les filles, j’avais peur de me faire rejeter donc je préférais ne rien faire plutôt que d’être déçu. J’étais donc coincé niveau cul et encore puceau... mais ça allait changer cet été. À l’approche des vacances d’été, mes parents m’annoncent qu’ils ne pourront pas partir en vacances cet été, car ils ont énormément de travail pour leurs nouvelles entreprises. D’autant plus qu’ils m’apprennent que je ne pourrais pas partir avec les parents de Loan, car ils ont besoin d’avoir du temps à deux et que c’est une bonne occasion. J’appelle donc Loan pour savoir ce qu’on peut faire de notre côté. Hey salut Loan ! Tu vas bien. Oui et toi ? Ça va, je t’appelle pour qu’on s’organise pour les vacances, mes parents viennent de me dire qu’on ne partirait pas ensemble en vacances cette année... Oui, c’est pourri, mais je me suis dit qu’on pourrait partir tous les deux maintenant que j’ai le permis ! En plus, on aura la maison au bord de l’océan de ma famille ! Ça te dit. Carrément, on est bien majeur et vacciné ! j’en parle tout de suite à mes parents ! OK ! On se rappelle pour s’organiser ! Yes. Après avoir raccroché, je cours voir mes parents pour leur demander leur accord ! Ils n’y voient aucun inconvénient et sont même plutôt enthousiastes à ce que je parte de la maison. Nous organisons avec Loan nos vacances et le jour J finit par arriver très vite. Mes sacs de vacances et de plages sont prêts, je n’ai plus qu’à attendre Loan qui doit me prendre en voiture. À son arrivée, il est torse nu, et son corps est luisant, je ne peux m’empêcher de regarder ses abdominaux... Je me ressaisis et range mes affaires dans la voiture tout en me demandant ce qui m’arrivait. Nous ne perdons pas de temps et partons vers l’océan. Durant la route, mon regard se reporte sur ses abdominaux et de drôles de pensées me viennent à l’esprit. J’ai envie de toucher ses tétons, de les lécher et me surprends à bander comme un âne. Je sens qu’il commence à le remarquer. Je prétexte alors une envie de pipi pour qu’on s’arrête. En réalité, je veux calmer mon érection en me branlant dans les toilettes. Je commence à faire des va-et-vient avec ma main quand des images me viennent en tête... Je me vois en train de sucer Loan et d’avaler tout son sperme. Avec cette image, j’éjacule en abondance sur ma main. Je me lave les mains et retourne à la voiture perturbée. Arrivés à la maison, nous entrons, et nous ne trouvons qu’un lit. Loan me dit que son oncle avait pris les autres et qu’il avait oublié de me prévenir. Il me demande si ça me dérange si nous dormons ensemble. Je lui réponds que non, ça sera comme quand on était enfant. Je décide aussi de faire comme lui et enlève mon caleçon. Quand je le vois se rapprocher du lit, je ne peux m’empêcher de regarder sa très belle verge d’au moins 20 centimètres... Je me rappelle alors les images dans ma tête quand je me branlais dans les toilettes cet après-midi, et je me remets directement à bander. Il le remarque et rougit. Gêné, je lui tourne alors le dos et nous nous endormons comme ça. Vers 6-7h du matin, je me réveille tout doucement quand je remarque que je suis dans les bras de Loan. Sa main est sur mon bas-ventre et sa bite toute dure est collée dans mes fesses le long de ma raie. Je suis totalement tétanisé par la situation... mais je sens aussi que mon pénis durcit de plus en plus jusqu’à cogner sa main un peu plus au-dessus. Il agrippe mon engin et commence à me branler. Je ne sais absolument pas quoi faire, je n’ai ni le courage de le repousser, ni de prendre une initiative et je fais donc semblant de dormir. Mais l’excitation est de plus en plus forte, je trémousse du cul et ma bite est de plus en plus humide. Il accélère sa masturbation et je sens que je ne vais pas tenir. Je gicle une énorme quantité de sperme sur sa main et mon torse et lâche un petit gémissement de plaisir. Je sens aussi sa bite qui remue de plus en plus vite dans mes fesses puis plus rien jusqu’au moment où je sens son gland à l’entrée de mon trou. Je me demande ce qu’il veut faire quand je sens du liquide chaud sur mon anus et qui coule sur mes fesses. Il a joui sur mon trou. Il se lève l’air de rien, s’habille et va préparer le petit-déj. J’essuie le sperme sur mon cul avec un doigt et le porte à la bouche. C’est vraiment trop bon. Je racle tout avec mon doigt et le lèche consciencieusement. Après ça, je vais machinalement sous la douche. Une fois dedans, je réalise ce qui vient de se passer et me pose mille questions. Est-ce qu’il a compris que j’étais éveillé ? Mon meilleur pote est gay ? Les vacances ne vont pas être bizarres maintenant ? Est-ce que je suis gay ? J’ai toujours aimé les femmes pourtant... J’ai vraiment pris du plaisir. Je n’éprouve pas de culpabilité et j’ai même envie de recommencer...
Je sors de la douche et je m’habille pour rejoindre Loan dans la salle à manger. Je le vois en train de manger des croissants et boire un café. Il entame la conversation : Salut ! Tu as bien dormi ? J’ai acheté des croissants et fait du café pendant que tu étais à la douche, t’en veux ? Oui, j’ai passé une excellente nuit, mais j’ai fait un drôle de rêve, lui dis-je. Ah oui, c’est quoi ? Tu vas trouver ça drôle, mais j’ai rêvé qu’on faisait des trucs un peu gay toi et moi. C’était bizarre ah ah... J’étais assez stressé et mal à l’aise à ce moment, je ne savais absolument pas pourquoi je disais ça, mon cerveau ne fonctionnait que par instinct. Et le voir se décomposer me faisait aussi un peu rire au fond de moi. Ca me confirmait aussi le fait qu’il avait vraiment cru que je dormais. Ah... Bon... Oui... C’est chelou... Nous reprenons une discussion plus normale et organisons notre journée. Nous décidons de partir à la plage pour profiter du soleil et bronzer. Une fois sur la plage, je profite d’avoir les lunettes de soleil pour mater l’intégralité de son corps... Tout au long de la journée, j’ai dû faire en sorte de cacher mon érection, ce qui n’a pas été facile. Sur le chemin du retour, je réfléchis et je décide de mettre en place un plan. J’ai beaucoup trop envie de retrouver le plaisir de ce matin et j’ai même envie d’aller plus loin ! Mon désir semble avoir pris le pas sur ma timidité... Je décide alors qu’une fois à la maison, j’essaierai de le chauffer pour voir sa réaction. Nous passons la porte d’entrée, Loan sort une bière et s’assoit sur le canapé. Je vais dans la chambre et me déshabille entièrement. Je suis stressé et à la fois excité. S’il me rejette, ça va être très gênant, mais je suis tellement attiré par mon désir que je prends mon courage à deux mains et franchis la porte de la chambre. Je me dirige vers le frigo dans la cuisine et ouvre la porte. De son point de vue, il peut me voir parfaitement et je sens son regard. Aucun mot ne sort de nos bouches, le silence est pesant. Je me penche pour prendre une bière et prends mon temps pour qu’il puisse bien observer mon petit trou. Une fois attrapé, je vais le rejoindre sur le canapé et remarque l’énorme bosse sur son short. Mon pénis est pour ma part en demi-molle, à cause du stress. Je décide de briser le silence avec une voix timide. C’est moi qui te fais cet effet-là ? - Eu... de... de... quoi tu parles ? me répond-il en bafouillant et en détournant les yeux. Tu sais... J’étais réveillé ce matin... Il tourne la tête et nos regards pleins de désir se croisent et restent bloqués un moment comme ça. Nos bouches se rapprochent petit à petit jusqu’à ce que nos lèvres se touchent. Nous nous embrassons à pleine bouche, nos langues s’entremêlent et nos corps se rapprochent l’un de l’autre. Ses mains parcourent mon corps nu. Il caresse mon dos, mes cuisses et mes fesses tendrement. Je descends vers ses tétons et en lèche un tendrement pendant qu’une de mes mains lui pince l’autre, ce qui le fait gémir. Je continue à descendre pour arriver à son pénis. Je suis à genoux devant lui et ma bouche est devant son gland, mais je ne sais pas vraiment comment m’y prendre. Je commence donc par passer ma langue dessus. Le goût est nouveau, mais très appétissant et excitant ! Il s’affale sur le canapé pour me donner une meilleure position, j’ouvre alors la bouche et avale sa queue. J’essaie de faire ça bien et de ne pas mettre les dents, mais je n’ai pas vraiment d’expérience... Je fais des va-et-vient avec ma bouche en accélérant jusqu’à ce que je sente le liquide pré-séminal sortir. Je retire sa queue de ma bouche et lui relèche le gland pour bien avoir le goût de son liquide sur ma langue. Il a l’air de prendre du plaisir puisque je l’entends lâcher des petits cris de plaisir. Au bout d’une dizaine de minutes, il relève ma tête, m’embrasse et se lève. Il me tire doucement par ma bite pour m’entraîner dans la chambre. Il me pousse sur le lit, m’allonge sur le dos. Il me relève les jambes et crache sur sa main qu’il porte à mon trou. Il me le masse et l’humidifie puis m’insère un doigt avec lequel il fait des aller-retour. La sensation est étrange, mais vraiment excitante. Tout d’un coup, il enlève son doigt et je vois sa tête se baisser encore plus dans mon entrejambe. Je sens sa langue qui me lèche l’anus et qui me pénètre l’entrée. Je ne peux m’empêcher de gémir. Haan oui... C’est trop bon, continue stp... Il continue de me lécher puis m’insère deux doigts pour que je sois bien dilaté. Il se relève, m’embrasse et me chuchote à l’oreille. Mets-toi à quatre pattes mon cur. Ces mots me donnent de véritables frissons. Je sais ce qu’il va faire, et j’en ai très envie. Je lui obéis et me cambre pour que mon cul soit dans la meilleure position. De son côté, je le vois sortir un flacon de lubrifiant. Il en met sur sa verge et sur mon trou puis positionne son gland à mon entrée. Il l’enfonce à l’intérieur de moi, ce qui me provoque une vive douleur. J’ai les larmes qui coulent sur mes joues et j’ai crié de douleur. Ca va ? me demande-t-il. Oui oui, mais attends... T’inquiète pas, ça ira mieux après. D’accord... Je ne suis pas vraiment rassuré, mais je lui fais confiance. Il attend un peu le temps que je m’habitue à son gland puis il rajoute du lubrifiant. Il insère en entier dans mon cul puis attend. Ca fait mal, mais moins que tout à l’heure, et je commence à trouver ça excitant, ma bite se redresse après avoir débandé sur le coup de la douleur. Il commence doucement à faire des va-et-vient dans mon cul puis accélère de plus en plus vite. Le plaisir remplace totalement la douleur et je suis presque en transe tellement je trouve ça bon. Haaaaaan oui, baise-moi, baise-moi. Oh putain, ton cul est trop bon ! Haaan haaaan remplis-le ! Il accélère vraiment vite et des râles sortent de sa bouche. Je sens alors de puissants jets de sperme remplir mon cul, ce qui me fait jouir directement sur le lit et sans même toucher ma bite. Nous nous écrasons en sueur sur le lit. J’essuie le sperme qui sort de mon cul avec mon doigt et l’avale pendant que mon amant me regarde les yeux écarlates. Nous nous embrassons et nous enlaçons sensuellement pendant un temps qui semble infini... j’éprouve alors une drôle de sensation... à suivre
