J’avais 16 ans la première fois que j’ai vu un cul de femme en "live". Je ne parle pas de celui de ma soeur de 2 ans mon aînée et qui avait été baignée en même temps que moi jusqu’à ses 8 ou 9 ans, mais bien d’un cul de femme adulte, mure. Dans les rares revues que mon copain arrivait à subtiliser à son père, il y avait aussi des photos, mais à cette époque, le nu était encore à moitié masqué. Là, cette fois, j’en voyais un entier sans aucun obstacle entre lui et mes yeux ébahis. J’étais caché sur la mezzanine surplombant le hall de nuit qui desservait la salle de bain et la chambre de mes parents. La chambre de ma soeur, la mienne et celle d’ami était au second étage. A plat ventre sur le parquet j’épiais maman triant le linge sale. Soit elle m’avait oublié, soit elle me pensait ailleurs, toujours est il qu’à un moment elle a relevé sa jupe jusqu’à la taille et retiré sa culotte. J’étais trop surpris et trop hypnotisé par le spectacle pour trouver incongru ce déculottage hors de sa chambre ou de la salle de bain. A peine ce cul imposant dévoilé, je sentis mon sexe durcir dans mon slip; durcir à m’en faire mal. Je n’osais pas le libérer de peur que le moindre bruit trahisse ma présence. Je ne pouvais ni ne voulais détacher mes yeux de ces deux globes blancs séparé par une raie plus sombre et que e devinais profonde. Malheureusement, le plaisir de mes yeux ne durât pas: une culotte propre vint remplacer celle qui en descendant m’avait dévoilé cette merveille. Maman avait un gros cul, ça, je le savait déjà. Ses jupes bien que courtes, ne pouvaient pas le cacher. Mais une fois libérer de la gaine-culotte, il m’avait paru encore plus énorme. J’étais trop jeune et trop bête pour me rendre compte qu’elle avait mis beaucoup de temps pour passer le vêtement propre, sans jamais se détourné d’un seul degré: sa raie culière était toujours restée juste en face de moi.Une fois la jupe remise en place je ne suis pas resté inutilement sur la mezzanine, de crainte de me faire choper à mater les rondeurs troublantes de me mère. Toujours à plat ventre je rampai jusqu’à ma chambre. J’avais laissé la porte ouverte et une fois chez moi, je la repoussai autant que je l’osai sans la fermer complètement toujours par peur d’un bruit intempestif. Il ne me fallut qu’une seconde pour libérer mon sexe de sa cage de tissu et, une fois complètement sorti je commençai à me masturber lentement. Je revoyais la scène de la jupe remontant bien au dessus de la culotte, de ladite culotte descendant petit à petit jusqu’aux chevilles, de ce cul nu qui semblait me narguer avec sa raie sombre dirigée vers mon pénis tendu.Juste au moment où mon jeune sperme s’élançait vers le plafond de ma chambre et retombait sur mon ventre que j’avais dégagé de mon t-shirt j’entendis un: " et bien c’est tout ce que tu as à faire petit dégoûtant!!!" Maman, campée dans l’embrasure de ma porte qu’elle avait ouverte en grand sans que je m’en aperçoive! Venait-elle juste d’arriver ou avait-elle pris le temps de me mater à son tour?
