Cette histoire me fait retourner loin dans ma jeunesse et plus précisément à l’âge de mes 16 ans. Je rentrais alors dans un lycée catholique. Je n’étais pas très croyant mais les cours étaient de haut niveau et cela rassurait mes parents. S’il y avait une matière où j’avais du mal par contre c’était bien l’anglais. Mon professeur était un grand mec assez costaud aux yeux bleus, aux cheveux poivre et sel avec une épaisse barbe de trois jours blanches qui entourait ses lèvres pulpeuses. Malgré sa dureté en cours je commençais à me rendre compte que je l’aimais bien et pas uniquement parce qu’il essayait de me faire progresser. J’arrêtais pas de le mater en cours et j’aimais rester à la fin du cours pour lui poser des questions, entendre sa voix chaude, son haleine légèrement mentholée. Il me montrait les erreurs que je faisais en se collant contre moi et en me donnant les explications au creux de mon oreille... J’avais la gaule à chaque fois et il le savait bien. Quand je rentrais chez moi je renifler les feuilles de cours et me branlant en m’imaginant faire des choses pas très "catholiques" avec lui. Mon lycée organisait souvent des week ends d’excursions dans la campagne pour nous réunir, même si finalement peu de personnes y allaient. J’avais 17 ans c’était à la fin de l’année. Mes parents m’avaient forcé la main pour que j’y aille et je renâclais pas mal à l’idée, jusqu’à ce que je sache que mon prof fétiche y allais! Même si pour le coup je ne savais pas trop pourquoi. J’avais peur de m’être monté la tête tout seul et de fantasmer sur le prof d’anglais tout seul. Pourtant ce week end changea tout. La soirée avait été agréable et tout le monde s’était réunit autour du barbecue et je parlais longuement à mon prof, si longuement que finalement nous n’étions plus que deux dans la nuit, éclairés par un feu de camp. Il me proposa de finir cette discussion dans sa chambre, ce à quoi je répondis par un timide "oui" alors que je n’attendais que ça. Il ferma la porte à clé et sorti une petite bouteille de cognac. " - Tu bois parfois?— Non rarement, pas du cognac en tout cas, dis-je timidement— Tu vas voir il est très bon. Tu es pas si jeune que ça haha! ajouta t-il— Oui...— Tu as une copine en parlant de ça? — Non... Dis-je alors que je devenait rouge pivoine— Tu devrais faire tourner les têtes pourtant, tu es un très beau garçon..." Je ne savais plus où me mettre, coincé entre la gêne et l’excitation la plus totale. "Je ne suis pas forcément intéressé par les filles" me risquais-je en mettant ma main sur celle du prof. Il me gratifia d’un large sourire et posa sa bouteille puis m’embrassa tendrement. J’étais dans un autre monde! Nous commencions à nous caresser et enlever nos vêtements tout en nous embrassant. J’étais bouillant et je passais ma main sur sa queue qui était énorme sous son jean. Nos langues s’entrelaçaient sensuellement. Nous nous retrouvions très vite complètement à poil et je me rendait à quelle point il était bandant! Il avait un beau corps large et costaud avec un peu de bedaine et une queue magnifique. Elle mesurait bien 20 cm de loin avec un bon prépuce et une énorme paire de boules soyeuses! Je commençais à le sucer. C’était ma première fois et j’adorais ça, je lécher sa grosse queue de haut en bas, puis que je pinçais avec mes lèvres son prépuce charnu: il rugissait de plaisir. C’était magique, je frottais mon visage sur son énorme verge moite et brûlante! Il changea de position et me suça lui aussi. Le plaisir était intense, unique! Je le regardais avec ses lèvres charnues et sa grosse langue, jouer avec ma queue rouge et très dure. Je descendais jusqu’à ses pieds. J’avais toujours été excitait par les pieds de mâles. Les siens étaient larges, massifs et légèrement poilus. Ils étaient bien chauds et dégageaient un bon fumet dû à la marche de l’après-midi. Je les collais contre mon visage en les reniflant avidement, puis je passais ma langue entre chaque orteil. Mon prof commença en m’écarter les fesses pour me bouffer le cul, il raclait bien mon petit trou moite avec la langue experte. C’était divin! Puis il mis un puis deux doigts dans mon trou. Il avait des grandes mains avec des doigts larges: j’avais déjà l’impression de me faire prendre. Il me souleva tendrement au dessus de lui et cracha un mollard dans sa main pour se lubrifier la queue. Je n’avais jamais baisé avec qui que ce soit avant, et j’avais peur que ce soit terriblement douloureux. Pourtant en quelques coups de bassin experts il avait fait rentrer son énorme queue luisante dans mon petit trou serré. J’étais sur lui et me donnait des bons coups c’était déjà trop intense et je jouis instantanément en catapultant quelques giclées de foutre sur son torse poilu. Ni une ni deux il me retourna et sorti sa queue pour me l’enfourner dans la bouche! En quelques râles graves et largua dans ma bouche gourmande une quantité hallucinante de sperme brûlant! Je ne savais pas si je pourrais l’avaler. Il me dit au creux de l’oreille "Eh oui c’est comme ça que les mâles jouissent". Je ne peux que répondre par une déglutition: j’avais avalé tout le sperme, c’était délicieux! Il me pris dans ses bras, et nous nous sommes endormis noyés dans la chaleur de l’été et l’odeur de la transpiration. Le lendemain à l’aube je fis mine de rejoindre mon dortoir. Je n’ai plus raté un seul week end excursion de tout le lycée....
