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Mon prof de Techno

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Océane et j’ai 26 ans. L’histoire racontée s’est déroulée il y a cinq ans. Si j’ai un peu oublié les chiffres, les sensations restent intactes, malgré les années passées.
Plus jeune, et même aujourd’hui, je reste un peu ronde. Rien de grave, mais j’avais des formes généreuses. Ma petite taille, et mes rondeurs auraient pu me complexer si je ne me répétais pas sans cesse que j’étais bien comme je suis. Mes atouts, en revanche, étaient de longs cheveux d’un brun sombre, des yeux narquois et un magnifique 95D, attirant les regards lubriques des garçons.Aussi loin que je me rappelle, je crois avoir toujours été une allumeuse professionnelle. Personne n’avait son pareil pour chauffer les garçons comme moi. J’ai toujours aimé cela. Frôler la main, le bras, la jambe ou même le sexe lorsque j’étais plus audacieuse...c’était mon hobbit. Voir leurs frimousses émoustillées, cachant tant bien que mal de cacher l’effet de leur corps sur ce que je faisais, innocemment. D’ailleurs, si je me souviens bien, je devais avoir, comme beaucoup de filles, le fantasme du professeur. Un peu plus compliqué à réaliser, car sur une quarantaine de professeurs, il devait y en avoir huit masculins, au grand maximum. Deux dont tout le monde se foutait, deux beaufs, trois littéralement charmants. J’en oublie un. Je me souviens parfaitement de lui. De taille moyenne, un peu bedonnant et d’environ quarante-sept je pense, il était loin d’être le beau professeur fantasmique. Mais ces yeux étaient littéralement envoûtants. Je ne saurais décrire leur couleur, mais je dirais, hypnotiques. Tout le monde savait, en revanche, que c’était un reluqueur professionnel, un pervers de première classe. Mon chemisier blanc, dont les boutons s’amusaient à s’ouvrir régulièrement m’occasionnèrent de nombreux moment de gêne. Il faut bien que je confesse, que, au début, comme beaucoup de filles, il me dégoûtait. Mais, au fur et à mesure que le temps et les heures de cours avec lui s’écoulaient, une sorte de jeu s’était installé entre nous. J’étais une élève modèle: toujours au premier rang, à avoir la main levée pour donner une réponse, toujours assidue. J’étais sa favorite, sa chouchoute, celle à qui il passait tout.Ma place me garantissait, par sa position et le recul que veulent prendre les élèves, s’éloignant au maximum du bureau principal, une marge de manœuvre très large. Je pouvais innocemment remonter ma jupe, faire un sourire enjôleur, et laisser paraître un bout de sous-vêtement aguicheur.Je devais être la seule à qui il souriait ainsi, et qui devait l’apprécier réciproquement.Je dois bien avouer, que ce regard lubrique qu’il m’a dressait souvent était une grande cause d’excitation chez moi. Il devait, d’ailleurs, avoir souvent vu des auréoles, synonyme de désir, très marquées. C’est aussi pour ça qu’après ses cours, je profitais de ma pause, pour, très souvent, aller calmer le feu d’ardeur qui grandissait en moi. Je n’ai jamais parlé à personne de ce scénario coquin qui se jouait entre lui et moi, sans que personne n’ose se l’avouer.
Enfin arriva le moment le plus important: les remarques des professeurs sur les examens finaux. Mes parents, habitant bien trop loin, je me chargerais de simplement leur faire le compte-rendu, comme à chaque fois. J’avais précisément choisi l’ordre de mes rendez-vous. J’avais également eu l’occasion de dormir pendant ces derniers, mes enseignants répétant inlassablement les mêmes paroles. Presque du mot à mot.Une fois avoir eu le copié-collé presque exact à chaque fois que je poussais une porte, j’étais à mon dernier créneau. Étant donné que personne n’allait le voir, j’avais tout le temps dont je voulais.J’avais échangé mon pantalon en cuir noir, mon haut rouge et mes ballerines coordonnées contre une robe noire, des escarpins à talons aiguilles, mes cheveux tombant en une cascade sur mes épaules, ayant abandonné la trop sage queue de cheval.
-Bonjour Monsieur, dis-je en poussant le lourd battant de la porte.
Il était plongé dans la lecture de papiers, avant de relever la tête et me sourire.
-Bonjour Océane. Asseyez-vous je vous prie...
Je m’installais sur le fauteuil rouge, tandis qu’il alla fermer la porte à clef.
-Simple question de discrétion, me dit-il en voyant mon regard interrogateur.
Il me posa les questions d’usage avant d’entamer les points qu’il avait pu voir au long de l’année à mon sujet. Pendant ce temps, aguicheuse que je suis, je lui faisais du pied avec mes jambes fuselées, remontant longuement sur sa jambe. Il eut un hoquet et eut une phrase saccadée.
-Donc....je...je disais....haleta-t-il.
-Je vous écoute Monsieur, je suis tout ouïe, répondis-je innocemment, en continuant mon petit manège.
Il continua son discours, et moi je continuais mon numéro. Tandis que ma jambe remontait en un énième aller-retour, je m’enhardis à aller chercher mon butin. Lorsque je le touchais, ayant pris soin d’enlever ma chaussure, je crus entendre un gémissement de plaisir. Rêve ou Réalité ?
Il se leva soudainement et je me rechaussai discrètement. Il se plaça devant moins avant de s’approcher de moi. Plus près. Je pus sentir son haleine, un mélange d’Orange et de thé. Je me relevais et approfondis notre baiser. Il passait une main dans mes cheveux, libérant une odeur vanillée. Chaque contact avec ma peau me faisait l’effet d’une décharge électrique, d’un toucher bouillonnant.
-J’ai envie de toi Océane...
-Moi aussi...
-Christian, me coup a-t-il.
-Peu importe. Je vous veux simplement, dis-je en appuyant sur le "vous", mettant tout la sensualité dont j’étais capable dans ma voix, ôtant en même temps son pull gris.
-Laisse-moi faire, dit-il en me prenant les mains.
Il commença une danse de ses mains torrides, m’apportant un désir supplémentaire. Il baissa lentement, trop lentement à mon goût, les manches de ma robe. Je vis un clair de surprise lorsqu’il s’aperçut que je ne portais pas de soutien-gorge et que mes soins offraient déjà mes tétons qui pointaient. Il s’empara d’un, le suçant, le léchant d’un coup sec. Des gémissements torrides émanaient de ma bouche, sans que je puisse les retenir.
-Ohhhh....Monsieur...je...s’il vous plait... J’en veux...
-Plus?
Haletante, j’acquiesçais. Je n’avais qu’un désir. Lui en moi. Qu’il me prenne. Tout de suite et qu’il éteigne de son foutre le brasier qui émanait de mon bas ventre. Il m’ôta ma robe qui s’effondra à mes pieds. Je l’écartais tandis qu’il pinça mon téton, arrachant un cri de plaisir. Je mouillais comme une folle, je le voulais. Il s’éloigna un peu, me faisant froncer les sourcils. Il me reluqua pendant dix secondes avant d’afficher ce sourire que j’aimais. Ce sourire coquin, ce sourire qui me donnait envie de lui. Encore plus. Je dois paraître répétitive, mais j’étais tellement feu et flamme que je ne me contrôlais plus.
Je m’approchais d’un déhanché digne du plus grand des félins, et commençais à déboutonner sa chemise. Je la jetais à travers la pièce.
-Je suis désolé d’être...
-Peu importe. Je suis ronde aussi et je vous désire comme vous êtes.
J’enlevais à la hâte le reste de ses vêtements, sauf son caleçon. Tandis que je me relevais pour l’embrasser, il en profita pour esquisser un mouvement partant du début de mes fesses à mon cou, me faisant frémir. Je me baissais et malaxais la verge dure et érigée, trahissant son désir. Il retint un faible grognement de plaisir. Je sortais l’engin. Je n’aurais jamais pensé, que, malgré son âge, il soit si bien conservé et qu’il arbore un vingt centimètres de longueur si ce n’est plus, ainsi qu’un minimum de 5 à 6 cm de diamètre.Je lui lançais un regard plein de désir.
-J’espère que vous m’autorisez...
Il déglutit, avant de hocher de la tête. Je commençais par faire de lents vas et viens. Il gémissait, se contractait, et se mordait continuellement les lèvres.
-Ne vous retenez pas... J’aimerais entendre votre voix...
Je me mis à lécher le gros gland gonflé, lui arrachant un vrai cri d’extase. Je continuais jusqu’à ce qu’il pose ses mains sur ma tête, caressant tendrement mes cheveux. Je me décidais alors à prendre cet imposant membre en bouche. Je mis toutes mes forces à le prendre en entier. À ma grande surprise, je n’ai pas eu de haut-le-cœur. C’était ma première gorge profonde et cela ne me gêna pas. Je massais les testicules totalement rétractés, arrachant des soupirs et gémissements de bonheur à Christian. Je sentis, après de longues minutes, qu’il était prêt à jouir. Je le pris le plus profondément possible, et il se contracta et jouis dans ma bouche dans un râle puissante et sauvage. Je me relevais.
-C’était... dit-il entre deux respirations saccadées. Magique...
-Je n’ai pas trop été mauvaise?
-Tu rigoles? Bon...à moi de te faire profiter maintenant....
Il me porta, à mon grand étonnement, la force du désir décuplant sa puissance habituelle. J’étais désormais assise sur la table où je faisais mes TP habituellement. Il m’embrassa et commença à m’enfoncer un doigt de sa grande main dans mon antre chaud et humide. Je me sentais enfin remplie. Mais il n’en avait pas fini. Il en rajoutant un, me faisant me cambrer de plaisir. Il se mit à lécher mon clitoris, ainsi que le nectar qui s’écoulait de mon trou. Je n’arrêtais pas de me contracter suite aux différents assauts. Soudain, je sentis une force plus grande, plus puissante que les autres. Retenant ma respiration, je jouis en un grand cri de plaisir. Encore tremblante, je vis mon amant se relever et m’embrasser. Il se masturbait, pour retrouver sa vigueur et son attaque. Pas encore rassasiée par mon orgasme, je lui tendis mes doigts et il les lécha. Je me mis à me caresser le clitoris encore bandé, et à me mettre des doigts en me caressant les seins de l’autre.
-Oh oui... Oh allez-y Monsieur, tapez plus fort...je crains que mes doigts ne fassent défaut à votre queue.
Mes paroles lui firent effet car il m’empala directement après. Il ne fit que des vas et vient me faisant hurler au désespoir de la jouissance. Lorsque nous vînmes tous les deux, il agrippa mes fesses tandis que je lui faisais un énorme suçon dans le cou.
Nous avons mis de longues minutes à nous remettre, encore terrassés par l’orgasme puissant que nous avions eu.
-Merci Mons....Christian. Grâce à toi, j’ai eu la plus merveilleuse des premières fois...
Il se releva, soudain, interpelé.
-Quoi? Non, je ne voulais pas te voler....
Je l’interrompis.
-Chut... Tu m’as comblée...
Je commençais à me rhabiller.
-Dépêche-toi, nous avons cours demain.
Alors que j’allais partir, il me lança:
-C’est vrai, nous avons encore plein de choses à faire et j’ai à te faire découvrir d’autres plaisirs...
Je souris. Ce n’était vraiment pas sur le point de s’arrêter.
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