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Mon rendez-vous à l’Atlas et autres coquineries

Chapitre 1

Travesti / Trans
Trois jours de liberté à Paris. J’irai bien sûr à l’Atlas. Je texte à Isabelle, mais elle ne pourra pas se libérer. Hélène75 avec la (ou le) quelle j’ai tchaté sur xstory à la suite de mes publications sur l’Atlas me dit qu’elle-même n’est pas disponible, mais qu’elle a un (e) ami (e) qui y va parfois en travesti l’après-midi. Elle va le contacter et me donne son mail pour que je lui écrive directement. Je le fais aussitôt et je reçois une réponse très rapide : elle sera blonde, au balcon, vers 14 h 30, mercredi ! Super ! J’ai du mal à m’endormir sans me masturber tellement je suis excité. À l’heure dite, j’achète mon billet et je monte à la salle du haut. Dans la pénombre de l’escalier, je distingue une personne blonde exactement à la place où j’ai rencontré Isabelle l’autre jour. Quelle coïncidence. Il y a aussi une autre blonde de l’autre côté de la salle. Je tente ma chance avec la première :
— Bonjour es-tu Elena ? — Oui, c’est toi qui m’as contacté de la part d’Hélène ? — Absolument...
Je m’assois à ses côtés. Elle est très sexy : un petit haut ajouré, bas, porte-jarretelles, talons aiguilles... Elle a oublié sa jupette alors elle est en slip ! Elle se lève pour que je la voie mieux et - me dit elle - parce qu’elle aime s’exhiber, comme moi. Elle twerke, comme on dit maintenant. Je découvre et caresse ses fesses, ses cuisses et ses jambes. Je m’imprègne de son odeur, j’enfonce mon visage entre ses fesses. C’est bon. Elle se rassoit et je peux accéder à son sexe sous son mini-slip. Elle est bien lisse comme j’aime. De son côté, elle me caresse à travers mon pantalon que je ne tarde pas à descendre. Mais on n’est pas bien installés. Elle m’emmène trois rangs plus haut dans le passage où on peut étendre ses jambes.
Juste à côté, j’aperçois une splendide créature, longs cheveux noirs, robe en résille... excitant. Mais elle est accompagnée par un grand black. Revenons à Elena. Avec le passage dans l’allée, je peux me mettre à genoux entre ses cuisses pour la sucer. J’adore son goût, son odeur. Elle n’est pas très dure, mais elle bouge agréablement les hanches. Je gobe ses couilles sans poil, je lèche sa verge jusqu’au gland, je titille son méat... c’est bon, elle aime ça, elle soupire de plaisir. Je lève la tête pour reprendre mon souffle et je découvre qu’elle est en train de branler un autre type, debout dans l’escalier à notre hauteur.
La salope !
— Tu me trompes déjà !
Je n’entends pas sa réponse, car je suis replongé entre ses cuisses. C’est trop excitant.Finalement, je me rassieds, je baisse mon pantalon et mon slip pour lui donner libre accès à ma queue. Elle m’équipe d’une capote, comme elle m’en avait prévenu dans son mail, et elle se met à l’ouvrage avec conviction. Elle suce, elle pompe, elle branle, elle caresse. C’est bon, c’est trop bon. En même temps, elle me caresse les couilles, le scrotum et jusqu’au trou du cul. Elle remonte sa main dans ma chemise pour me triturer les tétons. C’est électrique. Pour lui faciliter les choses, j’ouvre entièrement ma chemise. Je remue de bas en haut pour accompagner ses mouvements. Le siège couine avec un bruit vraiment infernal. Quelle scène ! Je suis dans un cinéma, torse nu, le pantalon et le slip aux chevilles en train de me faire pomper par un trav. Autour et devant nous, les gens vont et viennent, nous regardent avec envie, certains s’arrêtent en se touchant le paquet ou même en se branlant. C’est vraiment excitant.
Au bout d’un long moment, ma compagne se relève et m’explique qu’elle doit se « reposer les mâchoires » puis m’annonce qu’elle me quitte un moment, mais qu’elle reviendra.Comme dans la chanson, j’ai attendu, attendu, mais elle n’est jamais revenue...Après un certain temps - dix, quinze minutes - je remonte mon pantalon, tout en laissant la bite à l’air et la chemise ouverte (à l’Atlas on est comme chez soi)- et je pars en exploration. J’aborde l’autre blonde, un peu plus vieille, qui est toujours en attente, mais elle décline mon invitation. Je fais le tour du premier étage, j’inspecte les anciennes chiottes entièrement noires, rien, à part, bien sûr, les autres spectateurs-masturbateurs-obsédés qui rôdent, tournent, observent... Je descends à la salle du bas. Je l’aperçois. Elle est là assise seule vers l’avant du ciné. Bizarre. Enfin, je ne vais pas la déranger. Je remonte à l’étage et je me rassois à ma place précédente. Je passe le temps en me branlotant tout en regardant le film. Au bout d’un quart d’heure, elle réapparaît, mais ne vient pas me rejoindre. Elle s’accoude à la rambarde et fait comme si elle regardait le film. Les autres clients tournent autour d’elle et se rapprochent. Il faut que j’y aille.
Je m’accoude avec elle, je lui caresse le dos, les fesses qui sont nues, je lui doigte le trou qui m’a l’air assez serré... Elle réagit peu. Un autre vient lui caresser le cul et la bite entre les jambes. Elle laisse faire.
Je n’aime pas la concurrence alors je quitte la place, un peu dépité, mais en la remerciant quand même. Peut-être la reverrai-je. Je l’espère.Comme j’ai encore une heure à tuer, je me dirige vers l’EMC, l’endroit qui ne m’a jamais, ou rarement, déçu. Sitôt arrivé et après un rapide passage à la douche et au hammam, je m’étends dans ma cabine favorite, la bite en main. Trois minutes plus tard, une première visite (c’est vrai !). Caresses, branle, suce. Bien. Puis une autre : idem.
Encore une autre ! Cette fois-ci mon visiteur insiste. Il pompe un long moment puis me voyant bien raide, il grimpe sur la banquette et s’accroupît sur ma queue. Il se l’enfile, face à moi. Il se balance de bas en haut, de haut en bas. Il soupire, il geint, il grommelle. Il adore ça et moi aussi. Je branle sa bite raide sur mon ventre, je l’encourage :
— Vas-y, décharge-moi sur le ventre, donne-moi ton foutre...
Je le voudrais sur le visage, mais il est un peu loin. Il prend lui même la chose en main et dans un dernier gémissement il me balance deux ou trois jets sur le ventre et la poitrine. Je me masse longuement, lui triture les tétons et son gland luisant. Finalement, il décule et me roule une pelle bien profonde pour me remercier.Je quitte les lieux, ravi de mon après-midi.
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