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Mon salaud de gendre me révèle à moi-même

Chapitre 1

Erotique
Bonjour à tous,Je m’appelle Marie, j’ai 50 ans et je suis une femme de tout ce qu’il y a de plus banal. Du moins, c’est comme cela que je me perçois. J’ai deux enfants, un garçon de vingt-cinq ans et une fille que j’ai eue relativement tard et qui a aujourd’hui 18 ans. Mon mari est le premier et seul homme que j’ai connu dans ma vie, excepté quelques petits flirts de jeunesse.
Notre vie de couple est tout à fait classique, sûrement pas de quoi vous en écrire une histoire ! Je veux dire par là que la sexualité n’est pas une priorité pour moi, que c’est même un sujet qui ne m’a jamais vraiment intéressé. Oh bien sûr, je fais l’Amour avec mon mari, j’aime ça, mais disons qu’une fois par semaine me suffit et toujours dans des conditions très classiques : dans notre lit, le soir le plus souvent, en principe dans la pénombre et toujours un peu de la même manière. Cela me convient et je pense que lui aussi. D’ailleurs, il vaut mieux car je ne suis pas du genre très entreprenante. C’est toujours lui qui me sollicite et « passe à l’action ». J’avoue être très passive, un peu dans l’attente que cela finisse en espérant que ses assauts stimuleront suffisamment mon clitoris pour que je jouisse, mais le cas échéant, je ne suis pas déçue.
Pour ce qui est des « fantaisies », je dois vous avouer qu’en presque trente ans d’union, le nombre de fellations que j’ai pratiqué se compte sur les doigts de deux, peut-être trois mains tout au plus.

Pour finir de me décrire à vous, je dois vous dire que je pense être une assez jolie femme, de grands yeux verts, des cheveux très courts, 1m68, un corps bien proportionné, musclé (merci mon passé de sportive accomplie), bien qu’ayant pris un peu de poids avec les années. Je suis donc plutôt ronde, mais d’un rond harmonieux, la poitrine généreuse, les fesses charnues.
J’allais oublier ! Il va sans dire que jamais tout au long de ma vie de couple, je n’ai dévié d’un moindre centimètre, ni en action ni en pensée... Quand je vous disais que je n’étais pas très branchée sexe...
Pour être tout à fait complète dans les présentations, je dois vous parler de Jordan ! Il est le petit ami de ma fille depuis 2 ans et il est surtout l’archétype de ce que je n’aime pas dans la jeunesse d’aujourd’hui : 20 ans, superficiel, il passe beaucoup de temps à se regarder et à prendre soin de son corps, un brin macho, fêtard, footeux, pas très assidu à l’école (qu’il a abandonné) il ne semble pas pressé de trouver du travail et passe beaucoup de temps chez nous (y compris des nuits) afin, je pense, en partie d’éviter les remarques de ses parents.
Il m’arrive très souvent de me demander ce que ma fille lui trouve et fait avec lui, mais ayant moi-même horreur des conflits, je laisse faire en espérant qu’un jour, elle ouvrira les yeux.Ce petit tour d’horizon de ma vie fait, il est temps pour moi de vous relater les événements qui ont changé profondément ma vie de femme.Nous sommes un matin du mois de juillet et débute pour moi deux longs mois de vacances (les joies de travailler dans l’Education Nationale). Mon mari travaille et n’aura de congés qu’au mois d’août, mon fils est parti en vacances avec des copains et ma fille s’est levée tôt pour aller travailler dans la boutique de ma sœur, comme tous les étés depuis qu’elle a 16 ans. Je suis donc seule et je vais profiter en cette matinée d’essayer des recettes de cuisine collectées pendant l’année afin de régaler les miens quand ils rentreront.
Après avoir bu un thé, je me mets donc aux fourneaux. Au bout d’une bonne vingtaine de minutes à m’activer, il me semble soudain entendre du bruit à l’étage. Punaise, je l’avais oublié celui-là, Jordan a dormi là cette nuit et évidemment, ne travaillant pas, je vais l’avoir dans mes pattes. Il faut que je trouve une solution pour m’en débarrasser, sous peine de l’étrangler ! Pas le temps d’élaborer une stratégie que le voilà qui descend les escaliers et déboule dans la cuisine. « Salut, belle-maman » je me retourne alors pour le saluer et le découvre torse nu, uniquement vêtu d’un boxer moulant. Aussitôt, je détourne les yeux et me remets à mes casseroles, un peu choquée que ce petit imbécile n’ait même pas le respect de se vêtir décemment face à moi. Et en parlant de décence, je me sens rougir en réalisant que je suis encore en pyjama, à savoir un ensemble top et short bleu hyper-moulant et très court ! C’est la honte absolue pour moi.
Je dois à tout prix aller me changer, mais impossible de laisser le feu sans surveillance.
Cela me coûte de lui demander ce service, mais je dois m’y résoudre :
— Jordan, tu peux surveiller le feu un instant s’il te plaît ? Je monte vite me changer.
— Marie, vous êtes très bien comme ça, ne changez pas pour moi hein ! Votre pyjama, il est super !
Je suis un peu stupéfaite par sa réponse et son aplomb. « Fais ce que je te dis, c’est tout ! ». Il se lève alors et me dévisage quelques secondes avant de s’approcher du plan de travail. Mince, ce n’est pas possible ! Une épaisse bosse déforme son boxer alors qu’il s’approche de moi. Je rougis de honte, ce qui n’est pas son cas et je m’enfuis à toute vitesse en lui recommandant de ne rien laisser brûler. En montant les escaliers, je me repasse la scène, pouvant à peine y croire. Certes, à 20 ans, on est plein de vie et de fougue, mais de là à avoir une érection en regardant les fesses de sa belle-mère, je n’ose y croire. Arrivée dans ma chambre, je tombe sur mon armoire à glace et je me rends compte qu’ainsi vêtue, mes seins sont à peine masqués, que leur pointe est visible même sans être érigée et que la découpe du short laisse entrevoir un large part de mes fesses.
Je recouvre tout ça d’un short plus long et ample et d’un tee-shirt et je redescends en essayant de retrouver mon aplomb. En arrivant dans la cuisine, je m’aperçois vite que le volume de son boxer est moindre, ce qui me rassure un peu. Sans doute ai-je rêvé tout à l’heure. Je reprends possession de mes casseroles et je lui ordonne de ne plus traîner dans mes pattes.
— Ne vous inquiétez pas, je m’en vais. Je rentrerais tard ce soir, mais demain matin, je serais là, on pourra prendre le petit-déjeuner ensemble ! me dit-il avec son habituel rictus détestable.— Rien ne me ferait plus plaisir ! lui dis-je avec un sourire forcé témoin de mon ironie.
Quelques minutes après, il claque la porte d’entrée en lâchant un « Ciao » et j’exprime mon soulagement de le savoir parti en soufflant un grand coup. Le reste de la journée se passe tranquillement, seule dans ma cuisine, à faire de mon mieux pour que ma famille se régale ce soir, grâce à moi.
Le soir, après ce bon repas, mon mari et ma fille partent se coucher tôt, fatigués de leur journée de travail, et je traîne un peu sur le canapé face à la télé, en attente du sommeil. Une heure après, Jordan arrive. Il doit croire qu’il est à l’hôtel ce petit c... !
Il vient s’asseoir près de moi et me fait une bise sur la joue ! « Ça va belle-mère ? », surprise par une telle démonstration d’affection, je balbutie un peu, puis laisse ma colère éclater : « Heu... oui, ça va, mais tu n’as pas honte de rentrer à cette heure-ci alors que ma fille qui a bossé toute la journée est couchée depuis une heure ? ». L’impertinent saisit ma main : « relax Marie, elle savait que j’allais rentrer tard, et en plus, c’était pour la bonne cause, j’ai gardé ma petite sœur ». Puis à nouveau, il claque une bise sur ma joue et part se coucher. Arrivé devant les escaliers, il se tourne une dernière fois vers moi et avec son éternel sourire faux me lance : « A demain pour le petit-déj » ponctuant sa phrase par un clin d’œil. Mais pour qui il se prend ? Excédée et il est vrai un peu déstabilisée par cette attitude nouvelle, je monte à mon tour me coucher.
Le lendemain vers 9 heures, je me réveille à nouveau seule mais cette fois-ci, je me souviens tout de suite de la présence de Jordan. Alors que je m’apprête à enfiler une tenue plus décente et couvrante que mon petit ensemble de pyjama bleu, en me regardant dans la glace, un doute m’envahit. Et si hier, je ne m’étais pas trompée et qu’il avait vraiment eu une érection en me regardant ? J’ai honte de cette pensée qui s’empare de moi. Et si cet abominable petit prétentieux superficiel avait eu du désir pour moi-même qu’une seconde ? Il est de mon rôle de mère de m’en assurer et le cas échéant, d’ouvrir les yeux de ma fille sur qui est vraiment son « chéri ».
Convaincue (mais pas rassurée), je descends donc dans la cuisine, vêtue comme la veille, de mon haut moulant et échancré et mon petit short court et serré.
Quelques minutes après, Jordan arrive dans la cuisine et ce matin encore, il ne porte qu’un boxer. En véritable détective, je l’inspecte discrètement et prends le temps d’apprécier (au sens scientifique du terme) la très légère bosse de son entrejambe. En cas de changement, je m’en rendrais compte à coup sûr.
Je vaque donc à mes occupations habituelles tout en étant à l’affût de mon satané gendre qui prend son petit-déjeuner. Je dois dire que je me sens un peu épiée, traquée du regard. Alors pour en avoir le cœur net, à plusieurs reprises, je l’observe discrètement du coin de l’œil et stupeur, à chaque fois, il a les yeux plongés sur moi. Une fois sur mes seins, une fois sur mes fesses... Je n’ose pas y croire, je me fais mater par un gamin de vingt ans, qui plus est petit ami de ma fille.
Dans ma naïveté en matière d’hommes et mon refus de croire que je pourrais être objet de désir, je parviens à me convaincre que ce n’est qu’un hasard, que son regard se perd et qu’il n’y a aucune arrière-pensée.
Puis soudain, alors que je bataille pour attraper des bocaux en hauteur, j’entends sa chaise se déplacer et je le sens se rapprocher de moi. Sans que j’aie eu le temps de me retourner, il se colle à moi et tend la main pour attraper le bocal. La pression toute en longueur et en rigidité que je sens contre mes fesses ne me laisse plus de doute ! Ce petit con bande contre mon cul !
— Heu... Mais... Jordan qu’est-ce que tu fais la ?— Et bien, je vous aide c’est tout.— Ah... Ben... heu, c’est bon, ça ira merci, tu peux te rasseoir...— Pourquoi, on n’est pas bien là ?— Non, non, j’avoue, je ne suis pas très bien là, recule !— Attendez, je vais arranger ça.— Je... Je n’ai besoin de...
Pas le temps de finir ma phrase que ce grand gaillard hébété pose le bocal et passe ses mains autour de ma taille et les remonte vers mes seins. Oh malheur, il est en train de me malaxer la poitrine !
— Jordan, je t’ordonne d’arrêter ça tout de suite !— Chut... j’ai vu comment vos seins pointaient hier matin. J’ai très envie de vous Marie...
Instantanément, il précipite sa bouche sur mon cou et commence à l’embrasser tout en continuant son pétrissage de mes gros seins. Aussitôt, un frisson m’envahit et la chair de poule gagne le haut de mon dos, mes épaules, ma nuque, jusque sur mes seins qui se contractent et se raidissent. Ses lèvres sont brûlantes et humides à la fois, elles parcourent ma nuque, mon cou et remontent sur mes oreilles qu’il se met à lécher finement. J’ai envie de lui hurler dessus, me dégager de son étreinte et le gifler violemment. Mais je n’en ai pas la force, ce frisson me parcourt encore et descend jusque dans mon bas-ventre. Silencieuse et immobile depuis plusieurs secondes, je parviens enfin à me ressaisir au moment où ses doigts s’emparent avec fermeté de mes tétons durcis.
— Stop ! Ça suffit ! (Je me tourne rapidement et le repousse bien plus mollement que je n’aurais souhaité le faire, rouge de colère, et je dois bien l’avouer, de désir honteux)— Regarde ce que j’ai pour toi Marie...
Disant cela, il tire sur l’élastique de son boxer et dévoile sa monstrueuse verge, raide, injectée de sang et légèrement courbée. Je dois dire n’avoir jamais rien vu de pareil et n’avoir jamais imaginé me retrouver un jour face à ça !
Je me revois alors à ce moment-là me répéter sans cesse dans ma tête : « oh merde, oh merde, oh merde... »Jordan s’avance alors à nouveau vers moi, et colle son sexe contre mon ventre. D’une main ferme, il attrape mon menton et immobilise mon visage avant de m’embrasser goulûment. Je ne sais plus quoi faire ou dire et je reste passive sous ses baisers, puis sa langue force le passage de mes lèvres et vient à la rencontre de la mienne qui, très vite, se met en action et se lie à la sienne alors même qu’une petite voix dans ma tête me dit inlassablement « Marie, ne fais pas ça ! ». Le temps de réaliser que je suis en train de lui rendre ses baisers, je sens ses mains descendre le long de mon dos et palper mes fesses sans aucune délicatesse, avec animalités. Dépassée par les événements, je gémis sans le vouloir et aussitôt, m’en veux de perdre pied.
Jordan a alors un petit bruit de gorge, mélange de rire narquois et d’excitation. Le salaud retire alors sa bouche de la mienne, la laissant sans voix, grande ouverte, pleine de sa salive. Il reprend ses baisers sur mon cou, et sans attendre, glisse ses mains sur mes hanches et d’un geste aussi brusque qu’habile, descend mon short d’un coup jusqu’à mi-cuisses. Pour seule réaction, je ne parviens qu’à dire son prénom « Jordan, Jordan » mélange de réprobation et de désir jusqu’alors inconnu. Ah, il est fier de lui, ce salopard, et il grogne dans mon cou.
Sa main telle une griffe se pose sur mon bas-ventre et se dirige vers mon intimité. Ses doigts ratissent mon pubis fourni et ébouriffé, en plusieurs allers-retours où ses ongles se perdent. Puis son bassin se recule, sa main s’enlève et sans voir ce qu’il fait, mon regard perdu vers le plafond, je le sens qui empoigne son sexe et le branle vigoureusement. Tout à coup, je sens son épais gland se perdre à son tour dans ma forêt, mais pas d’allers-retours cette fois, il le descend jusqu’à la fente primitive de mon sexe et force mes plis à s’ouvrir, écrasant mes chairs, massant au passage mon clitoris et terminant sa course entre mes lèvres. Quelques mouvements similaires sur ma fente lui arrachent de profonds soupirs, alors que de mon côté je ferme les yeux et crispe mon visage à la fois dégoûté par la situation et n’assumant pas mon excitation.
Quelques secondes passèrent qui me parurent une éternité, tiraillée que j’étais par tous ces sentiments et sensations contradictoires.Jordan se retire enfin, de sa haute stature il me regarde dans les yeux, plein de son arrogance et de son inébranlable confiance en lui. Alors que je suis apeuré et presque au bord des larmes, il me lance avec dédain : « je n’ai pas le temps de te finir, je dois partir. Mais ce soir, je rentre tard encore, arrange-toi pour que les autres soient couchés... Et tu as intérêt à raser ta chatte. »
Sur ces dernières paroles en forme d’ordre ou de menace, il disparaît à l’étage. Je m’écroule alors, les larmes coulant sur mon visage. Je suis accroupie sur mes jambes, sanglotant, humiliée et par-dessus tout, coupable de ne l’avoir pas arrêté. Dans mon état d’accablement, je passe ma main entre mes cuisses pour la poser sur mon sexe souillé et je me rends compte que le fond de mon short est mouillé, témoin s’il en fallait un que les assauts de ce garçon que je déteste ont réveillé en moi un instinct animal qui sans doute, sommeillait depuis trop longtemps.
Après quelques minutes, toujours en larmes, je l’entends qui descend les escaliers. Je rassemble mes forces, me relève et disparais dans le cellier pour n’avoir pas à le croiser. J’entends la porte qui claque, il est parti.
Je me retrouve seule, et j’ai beaucoup de choses à me dire, à me reprocher...Suite au prochain chapitre...
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