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Mon salaud de gendre me révèle à moi-même

Chapitre 2

Hétéro
La suite de la journée fut un long supplice. Tiraillée que j’étais entre la colère, la détestation, la culpabilité et il est vrai une excitation nouvelle pour moi, je ne trouvais rien de mieux à faire que rester prostrée à pleurer bêtement.
Sans cesse dans ma tête l’image de Jordan, grand, fort, me dominant et me donnant des baisers ou des caresses que je n’ai pas su lui refuser. Il est vrai aussi que dans les moments où je ne pleurais pas, je surprenais « mon mental » en train de disserter sur la taille du pénis de Jordan et sur ce que cela produirait de se retrouver avec ce morceau enfoncé dans le ventre. Dans ces instants, je me détestais encore plus.
Il m’arrivait également de penser à la suite à donner à tout cela : tout révéler à ma fille pour qu’elle ouvre les yeux sur son copain au risque qu’il nie, me fasse passer pour une menteuse hystérique, ou pire qu’il m’accuse de l’avoir allumé et donc passer pour la dernière des salopes ?? Ou bien mettre les choses au clair avec Jordan afin qu’il ne s’approche plus de moi... mais le voulais-je vraiment ? Enfin, c’était le brouillard absolu et dans ces moments-là, j’aurais voulu dormir pour ne plus penser, mais rien à faire.
Malgré tout, la journée s’écoula et à l’heure où mon mari et ma fille allaient rentrer, il fallait que je me ressaisisse. Une bonne douche, une tenue légère et confortable, quelques grandes respirations et j’étais prête à donner le change. Tous deux rentrèrent et la fin de journée se déroula de manière très classique. Des discussions, des rires, un bon repas... j’avoue avoir quasiment oublié « l’incident » du matin.
Un court instant à zapper devant la télé et ma fille monte se coucher. Quelques minutes après, mon mari pose sa main sur ma cuisse et m’invite à monter au lit avec lui. C’est sa façon à lui de me dire qu’il veut faire l’Amour. Je n’en ai pas très envie, je dois dire, mais j’y vois là un double intérêt : d’abord réparer un peu du mal que j’ai fait en donnant satisfaction à mon époux, et ensuite faire passer un message à Jordan qui ne me trouvera pas sur le canapé en rentrant et qui comprendra donc que je n’ai pas envie de jouer ou de me soumettre à lui.
Quelques secondes après, me voilà donc dans le lit, près de mon mari qui s’est déjà mis nu et s’empresse d’éteindre la lumière. Il se tourne ensuite vers moi et comme bien souvent, embrasse mon épaule en posant directement sa main entre mes cuisses pour m’exciter un peu avant son assaut. Plusieurs minutes passent où il fait les va-et-vient entre mon minou et mes seins tout en appuyant son sexe sur ma cuisse, mais rien n’y fait, je n’arrive pas à m’exciter. Bien déterminée tout de même à le laisser jouir en moi, je fais mine d’y prendre du plaisir et lui joue une petite comédie. Je me tourne ensuite sur le ventre, retire mon short, et l’invite à prendre possession de son dû. Bien sûr, le pauvre ne se fait pas prier et aussitôt, il se dispose au-dessus de moi, j’écarte amplement les jambes pour lui ouvrir le passage et très vite, son sexe trouve le chemin de ma grotte qu’il connaît si bien.
Il ne semble pas se rendre compte du peu d’humidité de mon vagin et très rapidement, il amplifie le rythme de ses à-coups à grand renfort de râles et de grognements dans mon dos.

Pour ma part, j’enfouis mon visage dans l’oreiller, passive, comme très souvent, j’attends le moment où il déchargera sa semence en moi. Je n’ai pas longtemps à attendre pour sentir son liquide chaud tapisser mon intérieur, accompagné d’un long « Ahhhh » salvateur.
Aussitôt vidé, il retourne de son côté du lit, me souhaitant une bonne nuit, accompagné d’un « je t’aime » devenu systématique dans ces moments... « Je t’aime aussi ». Je ferme les yeux, pleine de son sperme, mais bien obligée de faire le constat que les choses pourraient être autrement plus « épicés ». Et involontairement, mais inexorablement, je dois faire un autre constat, l’épisode de ce matin m’a bien plus excitée que ces vingt dernières années de sexe avec mon mari !
Quelques minutes passent, mon chéri ronfle et moi, je cogite. Sentant son sperme dégouliner, je me lève et pars à la salle de bain. Je prends une douche bienfaitrice, ne pensant plus à rien. Machinalement, mon regard se pose vers le rasoir posé au bord de la douche. Je m’en saisis et commence à enlever d’épaisses touffes de mon minou savonneux. Je m’interroge alors sur le pourquoi de ce soudain intérêt porté à ma pilosité. Je n’ose admettre que c’est pour répondre aux ordres de Jordan, j’arrive même à me convaincre que c’est pour des raisons d’hygiène que je le fais et que mon mari y verra une sorte de cadeau fait à sa virilité.
Enveloppée de ma serviette, je retourne dans ma chambre où mon mari dort à poings fermés et ne s’est rendu compte de rien. J’ouvre le tiroir de ma commode et me saisit d’une culotte en satin gris perle et d’un débardeur blanc que j’enfile sur mon opulente poitrine. Je descends les escaliers, me prépare une infusion et m’installe devant la télé, passant d’une série américaine à l’autre sans vraiment m’y intéresser.
Soudain, la porte d’entrée s’ouvre. Je prends un plaid et recouvre mes jambes nues. Pas question d’aiguiser le désir de Jordan ! Il va devoir comprendre que je ne joue pas. Il s’approche de moi :
— Je vous trouve là, comme prévu...— Ce n’est pas du tout ce que tu crois ! Je n’arrive pas à dormir, c’est tout. Tu peux aller te coucher, on reparlera de tout ça demain !
Je m’étonne moi-même de mon assurance et de ma détermination. Sans un mot, il monte à l’étage et j’entends la porte de la salle de bain. Gros ouf de soulagement, j’ai gagné, il a compris qu’il ne m’aurait pas deux fois.
J’entends à présent l’eau couler dans la douche et bien qu’il me semble avoir un peu redoré mon blason, je ne peux m’empêcher de voir mon esprit traversé par des images de lui nu, le corps mouillé et plein de savon.
Cette fameuse petite voix que nous avons en nous et qui est d’ordinaire très discrète me semble ce soir posséder le plus gros des porte-voix pour me dire que je rate sans doute quelque chose et que je le regretterais. Je lutte de toute mes forces pour ne plus l’entendre, mais rien n’y fait.
L’eau s’arrête de couler, puis la porte s’ouvre, puis le silence. Soudain à pas feutrés, je vois Jordan reparaître au bas des escaliers, nu, entièrement nu, et le sexe à demi gonflé. Un tourbillon de chaleur part de mon crâne jusque dans mon bas-ventre, faisant tout frissonner sur son passage. L’émotion qui m’envahit est telle que je me contorsionne et m’agrippe au canapé sans même le vouloir. Il s’avance vers moi, plein d’assurance. Face à moi, il me dévisage.
— Tu m’attendais, hein, salope ? Je ne peux rien répondre, j’avale ma salive avec difficulté. Ne pouvant soutenir son regard, mes yeux s’abaissent vers son membre.— Elle te fait envie ma queue ? Avoue qu’elle te fait envie.— Ou... Oui.— Tu vas être ma salope maintenant, tu sais ça ? J’acquiesce d’un mouvement de tête. Tes seins, c’est pour moi qu’ils pointent durs comme ça ? (je ne trouve rien à lui répondre, mais je me rends compte qu’en effet, ils sont très tendus et que mon fin débardeur ne les masque en rien). Allez maman, fais-moi voir tes gros nichons que je décide si je m’occupe de toi ou si je te laisse là, comme une petite vieille insomniaque !
Comment ose-t-il me parler de la sorte ce sans gêne ! Je bous de colère et mon visage se crispe. Mais je m’exécute tout de même en espérant lui clouer le bac. Je soulève mon tricot que je roule en boule le plus haut possible sur mon torse. Mes seins sont frissonnants, mes aréoles crispées, mes pointes tendues vers l’avant, ils me font presque mal.
— Mouais... Je ne suis pas encore sûr... Caresse-les maintenant !
La colère et l’humiliation me donnent le courage nécessaire pour le regarder dans les yeux. Passant mes doigts sur mes mamelles, je cherche à deviner ce qu’il ressent. Dans mon champ de vision, je distingue sa queue qui soubresaute, elle se dresse puis redescend de quelques centimètres. Un tourbillon de chaleur envahit mon bas-ventre. J’affine mes caresses sur mes seins, titillant les pointes, les étirant, pressant mes grosses masses de chair. Son sexe se redresse ostensiblement et m’emmène à me mordiller les lèvres sans même m’en rendre compte. Il avance d’un pas vers moi et tire d’un coup sec le plaid qui s’envole de l’autre côté du salon. Un petit cri de stupeur s’échappe de moi et instinctivement, je croise mes jambes, en protection. Il s’avance encore un peu et avec autorité, sépare mes jambes croisées. Dans l’attente, un peu craintive, mais brûlante, je m’agrippe fermement au canapé et délaisse mes seins.
— Relève-toi salope. Retire ton débardeur avant que je te l’arrache.
Sans un mot, je lui obéis et me lève, retire mon tricot et me retrouve les seins nus et gonflés face à lui. Un demi-mètre nous sépare, que je n’ose pas combler bien que mon corps soit de plus en plus en demande de sensations. C’est Jordan, qui, d’un pas, se rapproche de moi, suffisamment pour que son énorme et juvénile membre vienne poser sa tête sur mon ventre qui est à présent un véritable brasier. Ses mains se posent simultanément sur mes deux seins qu’il malaxe sans ménagement. Je m’efforce de le regarder dans les yeux et la seule émotion que je distingue chez lui est la satisfaction, la fierté de me voir lui céder. A cet instant, je le déteste plus que jamais, mais mon corps n’est plus du tout en phase avec mon esprit et je m’offre à lui totalement.
Tout en palpant vigoureusement mes seins, il capture ma bouche avec la sienne, arrachant à mes lèvres les baisers les plus fougueux qu’elles aient connus depuis des décennies. Sa langue se force un passage et vient visiter la mienne qui lui répond timidement. Par moments, il lèche mes lèvres, les aspire, les mord, ce qui me fait frémir et tressaillir, d’autant que son sexe à présent très dur s’écrase contre le haut de mon pubis et mon ventre.
Subitement, il me retourne comme une simple feuille de papier de ses bras musclés. Une de ses mains m’enveloppe et se pose à cheval entre mon pubis et mon ventre. De l’autre main, il saisit son membre et le frotte entre mes fesses, le faisant pénétrer un peu plus profondément à chaque mouvement. Ce faisant, sa main avant descend jusque sur mon minou qu’il commence à caresser, alors que celle restée sur sa bite dirige celle-ci vers mon petit trou resté vierge toutes ces années. A ce moment précis, ma petite culotte satinée est la seule chose qui sépare mon anus de son épaisse verge, et elle me semble de plus en plus fine sous les coups répétés de Jordan et sa queue démesurée. J’ai très peur qu’il veuille me sodomiser, et en même temps, je n’ai jamais eu si envie d’être prise par là.
Il coince son sexe entre mes fesses et se concentre sur son autre main qui délivre à ma petite chatte les caresses les plus adroites qu’elle ait connues depuis bien longtemps. Je gémis sans retenue et mon bassin est secoué de spasmes. Un petit rire narquois, comme pour marquer sa fierté et sa domination, et Jordan se redresse un peu, enfonçant un peu plus sa queue et étirant ma culotte, et il attrape mes cheveux sur le haut de mon crâne, tirant dessus à la limite de la douleur.
— J’ai l’impression que tu t’es rasée, comme je te l’ai ordonnée.— Oui...— Mais tu es encore plus salope que je le croyais, c’est très bien, ça. Tu feras tout ce que je te demande ? Tout ce que je veux de toi ?— Ou... oui, je le ferais...— Tu m’obéiras au doigt et à l’œil et tu me laisseras te baiser dès que j’en aurais envie ?— Oui, tu me baiseras...
Je ne sais pas au juste ce que mes réponses impliqueront pour la suite, mais à cet instant précis, je m’en fous, je suis ivre de désir et j’ai envie qu’il me baise.
— A genoux sur le canapé petite chienne !
Je m’installe dos à lui, les coudes sur le dossier. Il tient ma culotte dans sa main et la déchire violemment sur un côté, et la laisse tomber le long de l’autre jambe entre le creux de mon genou et mon mollet. Mon gros cul charnu s’offre à lui et il prend le temps de caresser mes fesses, les écarter, les tapoter sans violence. Puis dans un geste rapide comme l’éclair, il tombe à genoux derrière moi et enfouit sa tête le plus profondément possible entre mes masses charnues. Son nez me hume, sa langue épouse chaque recoin de mon cul, de sa pointe, il étale chaque pli de mon anus qui se détend comme un linge froissé. Sa main fouille entre mes cuisses et ses doigts recueillent mon jus de plus en plus abondant. Il entre son pouce dans mon vagin tout en excitant mon clitoris gonflé avec son index.
Je ne gémis plus, je suffoque, je mords le dossier du canapé pour ne pas hurler. Mais bon sang, qu’est-ce qu’il se passe en moi pour que je ressente ces choses-là avec cette puissance-là ?Jordan se redresse, il se penche sur moi et me saisit à nouveau les cheveux avec force. Il tire ma tête en arrière, attrape mon téton qu’il pince entre ses doigts.
— Alors la vieille, on aime ça se faire lécher le cul ? J’acquiesce en clignant des yeux. Le petit bonhomme là-haut, il ne doit pas la fourrer souvent sa langue dans ton cul hein ? Je garde les yeux fermés pour ne pas lui répondre.
Alors qu’il tire encore davantage ma nuque en arrière et qu’il lèche ma gorge et mon oreille, je sens son bassin bouger pour placer son sexe à l’entrée de mon minou.
— Tu sais « maman », je ne suis pas là pour te faire l’amour moi. Je suis là pour te baiser comme la salope que tu es, alors, serre les dents.
Dès sa phrase achevée, d’un coup de reins bref, rapide, appuyé, son gland épais écarte mes lèvres détrempées et sa queue se fait un chemin entre mes parois. La douleur est intense, mais brève. Très vite, elle laisse la place à une vague de chaleur qui me brûle tout le bas-ventre. Et paradoxalement, tout mon corps est recouvert de chair de poule. Après une immobilité de quelques secondes, il pousse le reste de son immense sexe dans le fond de mon ventre.
Pas le temps de souffler, il recule et aussitôt se ré enfonce sur tout sa longueur. Une fois, puis deux, puis trois. Je m’abandonne à lui totalement, mon corps est désarticulé, incapable de mouvement et en même temps hypersensible à cette queue qui lui laboure l’intérieur.
Jordan se redresse, sans sortir de mon ventre, il pose ses deux mains sur ma tête qu’il enfonce dans le canapé. Il reprend ses coups de boutoir dans ma chatte qui dégouline comme jamais sur mes cuisses. J’essaye de me redresser un peu en poussant sur mes bras pour respirer, il se saisit alors de mes mains qu’il plaque dans mon dos, comme le ferait un policier pour me menotter.
Il accélère le rythme, me pilonnant férocement, j’ai l’impression de sortir de mon corps, de n’être plus celle que j’étais et dans ma tête, je le supplie de déverser en moi un flot immense de son jeune foutre.
Je le sens éructer, râler, gronder, pour la première fois, il n’est plus dans le contrôle, il s’abandonne en moi, et merde, j’aime ça ! Son buste s’écroule sur mon dos, ses mains relâchent leur prise et elles viennent s’accrocher à ma poitrine qu’il comprime au maximum dans un long râle salvateur qui le voit décharger au plus profond de mon intimité en quatre ou cinq salves abondantes, épaisses et brûlantes.
Quelques secondes d’un silence lourd que je n’ose rompre. Puis sa voix qui a repris toute son assurance :
— Pour une première, c’était pas mal belle-mère. Mais dans les jours à venir, j’attendrais encore plus de toi. Garde toujours ton téléphone à portée de main.
Sur ces mots, il se relève et monte se coucher, me laissant dans ma torpeur, pleine de sa semence.En quelques secondes, je me rends compte n’avoir pas de remords, j’ai su à ce moment-là que je ne serais plus jamais la même...
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