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Mon salaud de gendre me révèle à moi-même

Chapitre 5

la surprise

Histoire médaillée
Hétéro
Le week-end s’écoule et s’étire vers le dimanche soir. J’essaie d’être la plus normale possible avec mon mari et ma fille, mais j’ai Jordan en tête. Quand le reverrais-je et comment ferons-nous pour passer un moment torride ?
Dimanche soir est souvent synonyme de devoir conjugal. Je n’en ai pas envie, je ne fais rien pour l’inspirer. Et pourtant vers 22h, alors que je suis devant la télé, plus ou moins attentive à un film, mais avec Jordan dans un coin de la tête, mon mari annonce la couleur : « chéri je monte me coucher, j’espère que tu monteras avant que je m’endorme, sinon je vais mal dormir... ».
Le message est clair, il veut un rapport pour finir la semaine et démarrer la nouvelle. Si je ne veux pas créer de tensions dans mon couple et peut-être éveiller des soupçons, je vais devoir le satisfaire. « Laisse-moi quelques minutes et j’arrive ». Il a un sourire jusqu’aux oreilles, je lui ai laissé entendre qu’il sera satisfait, je ne peux pas me défiler.
Déjà cinq minutes qu’il est couché, il va finir par s’endormir, mais demain au réveil, bonjour la soupe à la grimace ! Allez Marie, secoue-toi, va accomplir ton devoir d’épouse !Et si je « m’aidais » un peu ? J’ai pensé à Jordan toute la journée, ce ne sera pas difficile de sortir du film et de me concentrer sur mon désir. Une fois « à point », j’irais rejoindre mon homme.
Je baisse alors le son de la télé, à la fois pour faciliter ma concentration, mais aussi pour ne pas être surprise si quelqu’un descend les escaliers. Je ferme les yeux et je m’imagine face à Jordan. J’effleure son torse glabre et musclé, je descends ma main vers son sexe qui durcit à vue d’œil. Il ne m’en faut pas plus pour éveiller mon désir. Je retire mon short et je plonge ma main entre mes cuisses au contact de ma petite culotte satinée. Mon index se fait rapidement une place entre mes plis pour aller titiller mon bouton charnu. Le plaisir est là immédiatement. Dans ma tête, je suis en train d’astiquer la jeune et longue hampe de Jordan, frénétiquement, et c’est tout aussi frénétiquement que je fais rouler mon clitoris sous mes doigts, m’arrachant de brefs, mais intenses soupirs. J’imagine les mains de Jordan qui me parcourent. Il s’arrête sur mes seins, et ma main en empoigne un vigoureusement. Je me pince le téton sèchement, avec brutalité.
Mon plaisir en est accru, j’intensifie l’allure sur mon minou.
A présent que je suis chaude, désireuse et toute humide, il faut que je monte dans la chambre, au risque que mon mari ait capitulé et que je passe le reste de la nuit sur le canapé, la main plongée entre les cuisses.J’arrive là-haut et je me rends compte qu’il est trop tard, il a éteint la lumière. Je décide tout de même de m’approcher de son côté du lit.
— - Chéri tu dors ?— Hum... Je pensais que tu n’allais pas venir, que tu n’avais pas envie de...— Chut...
Je préfère qu’on n’ait pas à discuter. Je m’assois au bord du lit et glisse la main sous le drap, à la recherche de son sexe. Je glisse les doigts sous son caleçon et je me saisis du petit chauve endormi. Je le masse vigoureusement pour l’éveiller et je profite de l’obscurité de la chambre pour repasser ma main entre mes cuisses et reprendre les caresses sur mon sexe avant que le soufflet ne retombe.
Ça y est, mon mari est dur. Il se laisse branler sans rien faire ou dire. Il est vrai qu’il n’est pas habitué à autant de « spontanéité » et il a bien le droit d’en profiter un peu. J’essaie de le masturber avec application et je continue à me masser le bonbon avec une telle efficacité que je ne peux retenir un petit cri de plaisir. Mon pauvre naïf de mari s’imagine que c’est de toucher son pauvre membre qui me met dans cet état : « Elle te plaît hein ? Tu as vu comme elle est dure pour toi ?... »
Mais tais-toi donc ! Je ne peux tout de même pas t’avouer que ce qui m’excite c’est de penser à ton beau-fils en ayant la main entre les cuisses !
Alors pour ne pas prolonger éternellement le mensonge et me rajouter un peu plus de culpabilité sur les épaules, je décide qu’il faudra que cela aille vite. Je me relève et fais glisser ma culotte en vitesse. Je ne retire pas mon tee-shirt, il n’aura pas le temps de s’intéresser à mes seins. Je décide de le l’enjamber, et je saisis son sexe pour le diriger vers ma grotte lubrifiée, bien qu’il ne soit pas à l’origine de cette humidité. Je glisse le long de son membre, mais ses « oh oui mon Amour, ah je t’aime bébé... » m’empêchent de me concentrer sur des images mentales de Jordan me pénétrant. Mon excitation est un peu retombée, mais je veux faire ça bien jusqu’au bout. Je m’active au-dessus de lui, montant et descendant au-dessus de ses hanches. Il a l’air d’aimer ça, il gémit et râle tout en s’agrippant à mes hanches larges.
Je continue à m’empaler profondément sur lui tout en remuant le bassin d’avant en arrière, pour le stimuler au maximum et mettre fin à ce simulacre de désir partagé.
Je touche au but, ses phalanges se resserrent sur le haut de mes cuisses, ses muscles se tendent. Il redresse deux ou trois fois son bassin comme pour propulser sa semence au plus profond et à la suite d’un long soupir, son corps se relâche soudainement de tout son poids sur le lit.
L’homme est heureux, l’homme est satisfait. Sa virilité a été flattée, ses bourses sont vides, il va pouvoir plonger dans son sommeil et bien démarrer sa semaine de travail.Quant à moi, je n’ai qu’un souhait, dormir. Pour oublier que je triche avec mon mari, pour oublier qu’il ne me donne pas envie, pour oublier que Jordan n’est pas là et que je ne sais pas quand je le reverrai.
La semaine démarre pour moi dans une grande lassitude. Je suis en vacances, mais je suis seule et l’unique personne avec qui j’ai envie d’être est aussi celle que je déteste le plus au monde, encore davantage lorsqu’elle ne me témoigne plus d’intérêt et ne daigne pas me donner de nouvelles.
Lundi, mardi, mercredi sont d’un ennui mortel, j’ai l’impression que ma vie est vide de plaisir et de bons moments. Jordan fait le mort, ma fille crevée par son boulot ne parle pas de lui et je maîtrise tellement mal mes émotions que je n’ose pas lui demander de ses nouvelles de peur de trahir ce que j’éprouve.
Je m’apprête donc à passer un jeudi de désarroi. Face à mon café, dans la torpeur de ma matinée monotone, je réfléchis à ce que je pourrais faire, de quelle façon donner un peu d’intérêt à cette journée. Le bip de l’alerte SMS retentit, sans quitter mes divagations, je consulte mon téléphone. Il s’agit de ma fille :
— Jordan dort à la maison ce soir, à + tard, biz.
C’est comme un petit électrochoc qui me secoue et me ramène pleinement à la conscience. Il va venir, je vais le revoir et nous trouverons sans doute un moment à partager tous les deux. Je me déteste pendant au moins 10 secondes d’espérer cela, mais le désir est trop fort, au diable la culpabilité ! Je sais désormais comment occuper ma journée : je vais évacuer les tâches ménagères au plus vite, nettoyer et arranger la maison, préparer le repas pour ce soir. Au moins, j’aurais du temps dans l’après-midi pour m’occuper un peu de moi.
Et en effet, une fois toutes mes tâches achevées, il me reste du temps avant que mon mari et ma fille ne rentrent, et pour ce qui est de Jordan, je n’ai malheureusement pas idée de son programme précis. Alors je dois me préparer à toutes les éventualités.
Je fonce dans la salle de bain, musique à fond, je me fais l’effet d’une ado qui se prépare pour sa première soirée ! Je dépose une couleur achetée quelques jours plus tôt sur mes cheveux courts, afin de masquer quelques cheveux blancs sur mes tempes. Pendant qu’elle pose, je m’enduis de crème dépilatoire : demi-jambes, aisselles et pubis. A la pince à épiler, je rectifie un peu la ligne de mes sourcils. Enfin, je plonge sous la douche pour me débarrasser de la couleur et de la crème. Je peaufine au rasoir, et je suis enfin lisse absolument partout. Je m’enroule dans une serviette et pour la première fois depuis longtemps, je choisis un lait pour le corps qui viendra hydrater et satiner tout ça. Je file à présent dans la chambre et force est de constater que je ne suis pas une grande collectionneuse de sous-vêtements.
Des culottes très classiques en grandes quantités, quelques strings d’un autre âge qui à mon avis menaceraient de craquer si je venais à me pencher et une poignée de tanga plutôt sobre, choisie parce que le lot était à un prix intéressant plutôt que tout autre considération.
J’opte pour un de ces derniers, noir, sans aucune fioriture, mais qui me donne l’assurance d’être à l’aise et de malgré tout galber mes larges fesses. Pour le soutien-gorge, ce sera noir aussi, classique, car... je n’ai pas grand-chose d’autre.Un débardeur et un petit short feront l’affaire pour cacher tout ça, et n’éveilleront aucun soupçon.
Je suis prête, ils peuvent arriver, je saurais improviser pour me retrouver seule avec Jordan. Mais il est encore tôt, et je brûle d’envie de savoir quand il arrivera. Je suis sûre qu’il n’est pas avec ma fille puisqu’elle travaille, alors je ne prends pas un grand risque à lui envoyer un SMS.
— Il parait que tu viens dormir à la maison ce soir, je dois te compter pour le repas ?
Un peu sec comme approche, mais après tout, il ne m’a pas donné signe de vie et je ne veux pas lui laisser croire que je suis impatiente de le revoir, même si c’est le cas. La réponse ne tarde pas.
— Non, j’arriverais tard, en fin de soirée. Et M’man, tu peux te coucher tranquille, ce soir je dois m’occuper de ta fille, elle n’en peut plus la pauvre !
Quel salaud, pourquoi me dire ça ? J’ai envie de lui répondre que moi aussi je n’en peux plus, qu’il est ignoble de jouer avec nous deux comme ça, que c’est un petit con et que j’ai bien envie de lui verrouiller la porte ! Mais je n’en fais rien, trop lâche, je me contente de lui répondre « OK ».
Je traverse la soirée comme une ombre et après le repas, je monte me coucher afin d’être certaine de ne pas assister à l’entrée triomphale du jeune coq dans son poulailler. Pas un mot pour mon mari, pas même un regard pour ma fille que je jalouse pour la première fois et à qui je souhaite même une terrible et subite migraine avant de me raviser et de revenir un peu à la raison. Toujours est-il que je parviens à échapper à la situation en plongeant dans un profond sommeil, dans lequel je me cache plus que je ne me repose.
Le lendemain, il me semble qu’il est encore très tôt lorsque j’entends la maison qui s’ébranle. La douche qui coule, des paroles, des pas lourds sur les escaliers. J’alterne les réveils et les micro-sommeils, et il me semble que la porte d’entrée claque deux ou trois fois. Je décide de me lever, ne sachant pas qui sera encore dans la maison, ni même s’il y aura quelqu’un.
Je descends les marches d’escalier, prête à adopter mon rituel habituel, café, petit-déjeuner seule dans ma cuisine. Mais en passant devant le salon, surprise. Jordan est étendu sur le canapé, devant la télé. Je ne peux m’empêcher de lui jeter un regard noir, et aussitôt je reprends mon chemin vers la cuisine, sans lui adresser le moindre mot.
— Bonjour hein maman ? Tu as mal dormi ou quoi ?
Je sens une ironie jubilatoire dans sa voix, je ne lui réponds pas sous peine de péter complètement les plombs.
— En même temps, je comprends que tu aies mal dormi... Avec le boucan qu’on a fait !
Je bous intérieurement, mais je garde le silence. Il serait trop content que je lui hurle dessus. Je ne le regarde pas, mais je le soupçonne de m’observer discrètement alors je tente de rester impassible. Il garde un peu le silence, tel que je le connais afin de réfléchir à sa prochaine ignominie.
— J’ai commencé par écarter ses cuisses et la goûter à pleine bouche (sale con), puis j’ai mis mes doigts dans sa chatte et c’est là qu’elle a commencé à crier, tu as dû l’entendre (je fulmine). J’aurais bien aimé qu’elle me suce, mais elle était trop pressée que je la baise. Alors j’ai bien défoncé son petit minou. Tu aurais dû voir ça maman, ta fille une vraie salope, un aspirateur à queue !
Cette fois c’en est trop, je me précipite vers lui, bien décidée à le faire taire et lui faire regretter ses paroles.
— Tu vas la fermer espèce de sale petit con ? Ne traite plus jamais ma fille de salope !
Hors de moi, en rage, face à ce grand imbécile qui rit à présent aux éclats, j’essaie de lui asséner une gifle, puis deux, qu’il pare avec nonchalance, bien plus fort, agile et rapide qu’il est. Ma colère ne retombe pas et j’essaie encore de le châtier, il me saisit alors les poignets et m’attire précipitamment vers lui, avec une telle force que je perds l’équilibre et me retrouve allongée sur lui, les mains prisonnières des siennes.
— Tu es jalouse en fait ? Hein ? C’est ça ?
Pas un mot en retour, j’essaie de me débattre mollement, sans réussite.
— Tu aurais voulu être à sa place ? Tu aurais voulu que je te lèche toi ?
Disant cela, il fait onduler son bassin pour que nos intimités se frottent l’une à l’autre.
— Tu aurais voulu me sentir dans ton ventre ? Que je te prenne sauvagement dans la cuisine ou sur le canapé ?
Je déglutis avec peine, ma colère se mêle à présent au désir, sa domination me trouble et me fait perdre tout aplomb. Ma seule réaction à ses derniers propos est de lui lâcher un tout petit « oui ».
— Haha, j’en étais sûr. T’inquiète pas, je ne t’oublie pas. J’ai une surprise pour toi. Tu es toujours disposée à jouer ?
Je reste concentrée sur nos bassins qui se frottent et je ne peux que lui faire oui de la tête.
— Si tu veux avoir ta surprise, il va falloir faire tout ce que je te dis. D’abord, tu vas aller te préparer, je vais t’envoyer faire une course pour que la surprise soit parfaite. Vas-y et je t’explique.
Je monte à la salle de bain et je me prépare aussi vite que possible. Je n’ai jamais rien fait d’aussi excitant de toute ma vie et j’ai hâte de découvrir « la surprise », bien que je sois encore fâchée après lui et un peu inquiète de la suite des évènements. A mon retour, j’ai droit à un début d’explications.
— Tu vas aller au centre commercial et tu iras à la boutique de lingerie. Tu achèteras l’ensemble le plus sexy que tu y trouveras. C’est la première étape pour que la surprise ait lieu.
Je donne mon accord d’un hochement de tête.
— A ton retour, tu monteras dans ta chambre et tu y trouveras toutes les instructions nécessaires. Allez, file, tu as une heure devant toi, après ça, la surprise s’envole.
J’attrape mon sac à main et mes clefs et je me mets en route, avec un énorme sourire que je ne peux réprimer, et une boule de nervosité au creux du ventre. Je me fais mille scénarii et en quelques minutes, je suis au centre commercial.
Je sais vaguement où est la boutique, bien que je n’y ai jamais mis les pieds. A l’intérieur, tout me parait très... extravagant. Je ne saurais pas dire quelle pièce est la plus sexy, je suis un peu perdue. Après pas mal d’errance et un peu de projection peu concluante, j’opte finalement pour un ensemble string/soutien-gorge qui me semble à la hauteur de l’évènement, bien que j’angoisse déjà à l’idée de le revêtir : le string est noir, le triangle devant est en broderie très ajourée à motifs vaguement floraux. Trois perles en strass de chaque côté relient le triangle cache-sexe à la ficelle, qui n’est pas plus épaisse qu’un câble de chargeur de téléphone ! Le soutien-gorge est assorti, les broderies assorties à celles du string, les bonnets sont assez ouverts, seules les perles ont disparu. J’ai peur de ressembler au final à un saucisson qui va au carnaval, mais je vais aller au bout, quitte à me casser la figure.
Sur le chemin du retour, plus la rue de ma maison approche, plus je sens mon visage rougir, l’air me manquait. Je stresse follement. Je me fais violence pour continuer à rouler et aller au bout du jeu. C’est un comble, rien ne m’y oblige... si ce n’est moi-même et ce désir fou qui m’anime.
La maison est vide, les volets sont tous croisés et de fait la pièce de vie est très sombre. Comme il me l’a indiqué, je monte dans la chambre. Pas un bruit, j’ai l’impression d’être seule. Je pénètre dans la chambre et découvre sur le lit quelques mots écrits sur une feuille d’ordinateur : « déshabille-toi et enfile l’ensemble que tu viens d’acheter. Laisse la porte ouverte et ne te retourne pas, tu dois rester dos à la porte. Dernière chose, à partir du moment où tu auras enfilé tes sous-vêtements, tu n’auras plus le droit de parler. Pas un mot jusqu’à la fin du jeu !! ».
Ces consignes m’angoissent un peu et en même temps, je ressens beaucoup d’excitation. Peut-être va-t-il me mater pendant que je me change ? L’idée m’excite. Je respire un grand coup et je commence à lever mes habits. J’en suis à retirer ma culotte lorsque j’entends le plancher craquer doucement derrière moi, il doit m’épier le vicelard ! J’avais prévu d’enfiler le string avant de lever mon haut, mais je change d’avis au dernier moment et je reste sans rien en bas pendant que je retire mon haut et mon soutien-gorge. Je ne sais pas si c’est réellement le cas, mais l’espace d’un instant, je me dis que rester nue quelques secondes rend la chose un peu plus sexy. Je déplie avec soin le papier de soie dans lequel ma tenue est emballée, puis j’enfile le string avec l’appréhension d’être ridicule. Je passe ensuite les bras dans le soutien-gorge et je l’ajuste avant de l’agrafer. Je ne sais pas ce que donne le bas, mais en tout cas le soutien-gorge me fait de très jolis seins je trouve.
Je suis prête et j’attends la suite qui ne tarde pas à venir.
J’entends des pas qui se rapprochent et instinctivement je tourne la tête, mais aussitôt la voix ferme et autoritaire de Jordan rompt le silence : « Ne te tourne pas ! C’est pas dans les règles ». Son ton appuyé et déterminé me glace un peu le sang et en même temps l’idée de me soumettre à lui me séduit. Il approche de moi, je sens sa présence dans mon dos. C’est alors que je vois ses deux mains passer de part et d’autre de ma tête, tenant de chaque côté une large bande de tissus noir et épais. Il l’applique sur mes yeux et le noue sur l’arrière de mon crâne. Je n’y vois plus rien, pas la moindre lueur. Peu habituée et légèrement inquiète, j’essaie une question :
— Jordan, je vais devoir.— Tais-toi ! Tu n’as pas droit à la parole ! Encore un mot, un seul et tout s’arrête, je me tire ! C’est compris ?
J’acquiesce d’un hochement de tête.
— OK ! On peut commencer alors. Laisse-moi te regarder... Très bon choix de sous-vêtements. La ficelle doit se sentir toute petite entre tes fesses ! Mais pour une fois, tu es un peu bandante. Le soutif aussi il est sympa. Tu me diras, pour une fois que tu n’achètes pas ça chez Decat’... Ce n’était pas difficile de faire mieux.
Je le sens se déplacer autour de moi et arriver en face alors que je suis ballotée entre humiliation et joie de lui plaire. Du revers des doigts de ses deux mains, il effleure mes seins galbés, dans leur partie supérieure, s’arrêtant au niveau de ma gorge avant de redescendre jusqu’à la lisière du soutien-gorge. Le contraste entre son personnage rude et la douceur de ses caresses commence à m’exciter. Sitôt qu’il s’en aperçoit, ses gestes changent. Il tire sur les balconnets du soutif et dégage mes deux seins qui retombent lourdement par-dessus l’étoffe neuve. S’ensuit une alternance entre des caresses légères sur mes aréoles et des pincements vifs sur mes tétons qui se raidissent et s’allongent. Bien que piquée par la douleur, je trouve cela très agréable et je commence à respirer en ouvrant grand la bouche alors que je sens mon visage s’empourprer.
— Tu es prête à oublier la femme ennuyeuse que tu étais ? Tu es prête à aller au bout de ce que je t’ai préparé ?
A chaque question, ma tête décrit un oui, bien que je ne sache pas de quoi il parle exactement, mais je ne vais pas tarder à le savoir.
— OK, alors la surprise peut démarrer.
Sa phrase m’interpelle et je devine ce qu’il sous-entend lorsque je distingue des pas sur le seuil de la porte qui se rapprochent de moi. Je tente une protestation vite étouffée par la large main de Jordan qui me couvre la bouche.
— Laisse-toi aller maman, c’est quelqu’un de confiance, rien à craindre.
Trop choquée et affolée pour en être rassurée, je suis sur le point d’arracher le bandeau pour fuir lorsque « l’invité » me saisit par la taille. Je sens la force dans ses mains et je n’ose pas bouger. Son souffle sur ma nuque se rapproche, les poils souples d’une barbe me chatouillent, et j’imagine alors quelqu’un de jeune et la liste de tous les jeunes barbus que je connais défile dans ma tête sans que je puisse m’arrêter sur l’un d’eux. Sa bouche épouse mon cou, ses lèvres sont charnues. Un frisson me traverse alors qu’il m’embrasse à pleine bouche et que Jordan retire sa main de ma bouche pour se saisir de mon sein. L’homme à la barbe se rapproche de moi. Mon Dieu il est nu, je sens sa peau contre mon dos et son sexe durci écrasé entre mes fesses et mes reins. Ses mains descendent sur mes hanches et remontent sur mes fesses qu’il palpe généreusement. La main de Jordan descend le long de mon ventre et se met à jouer avec le peu de tissus qui recouvre mon intimité.
Puis très vite, il en contourne la couture pour se glisser dessous et commence à caresser ma fente.
Il suffit de cela pour que je renonce à toute idée de révolte. Bien au contraire, sans même y réfléchir, j’écarte un peu les jambes pour lui faciliter l’accès. Je sens une boule de feu naitre et grandir dans le bas de mon ventre et remonter jusque dans mes seins. Je sais à cet instant précis que ces deux-là feront de moi tout ce qu’ils souhaitent.
L’homme à la barbe commence à s’exciter sérieusement. Son souffle s’emballe, ses baisers sont de plus en plus fougueux. Son sexe est pris de soubresauts espacés, mais réguliers. Il se saisit de ma main et la plaque dans mon dos. Il la maintient fermement et il emmène son sexe à la rencontre de mes doigts. Je l’attrape et le presse tout en me disant qu’il est visiblement moins grand que celui de Jordan, mais tout de même très épais. De son autre main, il s’empare de mon sein laissé libre par Jordan et le palpe avec ardeur, pendant que Jordan lui de son index décrit des cercles sur mon bouton que je sens dur et brûlant. Ces deux petits salauds m’arrachent des cris et des gémissements alors que mes jambes sont secouées de spasme et qu’à au moins trois reprises elles fléchissent sans que je puisse les contrôler.
Jordan retire ses mains et je le sens s’éloigner. L’homme barbu en profite pour plaquer sa main sur mon sexe. Pour la première fois, sa voix résonne : « Tu mouilles salope ». Ces mots me heurtent venant d’un inconnu. J’ai envie de me défendre et de lui interdire de me parler comme ça. Et en même temps, une salope, c’est bien ce que je suis à cet instant précis. De plus, sa voix a quelque chose de très suave et de très pénétrant. Alors je me contente de gémir sous ses caresses très habiles. Alors que je m’abandonne à ses doigts, Jordan m’appelle, il me semble qu’il est sur le lit : « Viens par là maman ». L’invité surprise me dirige dans la chambre en me poussant par les hanches. Je devine que nous contournons le lit et que nous nous en rapprochons par le côté où je dors. Il me tourne alors face au matelas. Lorsque j’en viens à buter contre le lit, Jordan me saisit par les mains et m’invite à le rejoindre. Je grimpe donc à genoux sur le matelas, tout en étant un peu désorientée.
J’avance à genoux, guidée par ses mains et je me retrouve soudain collée à son torse.
L’homme barbu grimpe à son tour et se colle à moi. Nous voici tous trois à genoux, je suis prise en étau entre ses corps de jeunes mâles brulants, et une lourde fièvre monte en moi. Débute alors une symphonie de caresses, de baisers, de langues inquisitrices, de frottements de sexes bandés. Ils sont les musiciens, je suis leur instrument. Mes seins, ma bouche, mon cou, mes cuisses, mon ventre, mes fesses, mon minou... tout y passe, effleurés, embrassés, léchés, mordus. Je ruisselle entre mes cuisses et une main devant, une main derrière j’astique leurs sexes bandés et tripote leurs boules juvéniles. Ils me font ensuite m’allonger en travers du lit non sans m’avoir au préalable retiré entièrement le soutien-gorge et abaissé le string à mi-cuisses. Etendue sur le dos, ivres des caresses reçue, désorientée par le bandeau aveuglant, j’attends la suite avec intérêt. Je ne vais pas être déçue. L’inconnue finit d’ôter le string avec empressement et plonge son visage velu entre mes cuisses.
La sensation est nouvelle pour moi, qui n’ai jamais connu de barbes.
C’est un délice, ses poils me chatouillent le bouton pendant que sa langue fouille entre mes lèvres ouvertes et dégoulinantes. Très vite, il m’arrache des cris de plaisirs qui seront encore décuplés lorsque son doigt juste après avoir recueilli ma mouille viendra danser autour de mon petit trou étoilé.
Je sens Jordan à genoux près de mon visage. Il caresse mes seins d’une main. Je ne peux pas savoir à cet instant-là à quoi se destine sa main laissée libre, mais la réponse va arriver très vite. A mon cinquième ou sixième cri, je manque de peu de m’étouffer lorsque son énorme queue vient remplir toute ma bouche, cognant contre ma langue, mon palet et ma joue. Un assaut bref, brutal. Il en ressort aussi vite. Juste le temps d’avaler ma salive, à nouveau les coups de langue et la barbe qui frotte me font crier, et à nouveau un assaut de la jeune queue jusqu’au fond de ma bouche me prive de son et d’air. Il renouvelle l’opération à chacun des cris suivants. Puis il me laisse un semblant de répit en venant coller sa bouche à la mienne et en faisant danser sa langue avec la mienne. Puis il se relève, je sens sur ma joue une masse douce, chaude et humide dont je devine qu’elle est son gland. Il caresse le bas de mon visage, s’approche de mes lèvres. A présent, il les caresse.
Je l’embrasse, je l’effleure de la pointe de ma langue.
Il fait pression sur ma bouche pour que j’accueille son braquemart. J’entrouvre délicatement les lèvres dans l’intention de le faire pénétrer petit à petit. Mais ce n’était pas ce qu’il avait prévu. Sitôt ma bouche suffisamment ouverte il me pénètre encore d’un coup sec. Mais cette fois, il ne se retire pas. Il reste là collé à ma joue. Le barbu accentue le rythme de ses coups de langue, il me suce le minou comme jamais. Dans l’impossibilité de crier, je suis secouée de spasmes violents. Jordan pivote au-dessus de moi et me plante son dard immense jusqu’au fond de la gorge. Je peine à respirer, l’inconfort me pousse à essayer de le repousser de mes mains. Il les bloque et les écrase de tout le poids de ses bras de part et d’autre de ma tête. Il retire un peu sa queue et l’air passe à nouveau. Je me calme et me concentre à nouveau sur la bouche qui dévore mon entrejambe.
Dieu que c’est bon, je gémis, mon corps est parcouru de frissons, mon bassin ondule tant bien que mal pour recueillir sa langue.
Il accélère et approfondit ses explorations. Un long et puissant gémissement nasal s’échappe de moi. Le sexe de Jordan en tressaille, il commence alors à pilonner ma bouche de grands coups de reins qui font glisser sa queue depuis le bord de mes lèvres jusqu’à ma gorge. Nous bougeons tout trois à l’unisson. L’harmonie est parfaite et bien que je ne la vois pas, j’imagine la scène très belle. Jordan me baise la bouche avec ardeur, tout en me soumettant de ses mains fermes. Je suis sa chose et j’aime ça. L’inconnu lui fait l’amour à ma chatte avec sa bouche, et j’adore les sensations qui en découlent. Mon cerveau est totalement déconnecté, je m’abandonne entièrement au plaisir de cette soumission. Je gémis, je tremble, j’ai chaud, j’ai froid...
Je jouis bruyamment et j’imagine le visage de l’invité maculé de ma cyprine. La sensibilité de ma peau est hyper-développée, je resserre les cuisses pour avoir un peu de répit. Il embrasse mes cuisses, j’aime qu’il soit ainsi à l’écoute de ce que mon corps lui propose.
Jordan lui se plante toujours dans ma gorge avec frénésie. Son ami l’invite à arrêter : « Jo, laisse-la respirer, elle en peut plus la belle-deuche ! ». Jordan rit et se retire. Je prends quelques secondes pour respirer et essuyer ma salive. La pression redescend, j’ai honte d’avoir aimé ça. Je couvre mes seins d’un bras et mon intimité de l’autre.
— Je vais nous chercher des bières, et après je vais baiser ta chatte maman !
Jordan se lève, je l’entends quitter les lieux. Mon ouïe est à l’affut du moindre mouvement de l’homme inconnu. Il est assis à mes pieds, silencieux. Soudain, sa main se pose sur ma cheville. Il m’effleure du bout des doigts, de manière très douce, très sensuelle. Il remonte un peu sur mon genou, puis sur ma cuisse avant de repartir vers le pied. A présent, tout en me caressant, il embrasse mon pied et léchouille mon gros orteil. Je me sens en confiance avec lui bien que je ne le connaisse a priori pas. Mais ses manières sont très plaisantes. Il embrasse désormais mon tibia, puis ma cuisse.
— Tu as aimé ce que j’ai fait entre tes cuisses ?— Ou... ouii.— Ça t’a fait jouir ?— Oui, j’ai adoré... Sa voix me pénètre et fait naitre en moi une sensation de sécurité et de désir inconnu. Je ne le connais pas et pourtant j’ai la sensation de vouloir être son amante pour toujours. — Je suis sûr que tu es douée avec ta bouche toi aussi. Elle mérite mieux que les coups sauvages de Jordan. Tu voudrais bien me faire voir ce que tu sais faire ?— Oui...
Il se lève et va s’assoir près de la tête de lit, pendant que je me redresse et me retourne, prête à me laisser guider jusqu’à son membre à qui je suis déterminé de rendre la pareille. Il m’aide à bien m’installer entre ses jambes. Je suis à genoux, penchée sur les coudes et ses mains guident tranquillement ma tête vers son sexe. Je le sens contre mes lèvres que j’entrouvre pour commencer par l’embrasser. Puis après cette prise de connaissance, je prends sa queue en sandwich en ma langue et ma lèvre supérieure. Je m’applique à le sucer du mieux que possible, avec beaucoup d’applications. Il accompagne délicatement mes allers-retours sur sa hampe avec sa main posée sur ma joue. Plongée ainsi dans le noir, le sexe d’un inconnu dans la bouche, encore retournée par le traitement qu’il a réservé à mon minou... je me délecte des succions que je lui applique. Et je peux même dire que sentir son membre aussi doux que dur fait renaitre mon excitation de ses cendres humides.
Alors que l’homme barbu m’encourage et me félicite par des « oh oui, c’est bon, quelle suceuse tu fais ... », Jordan réapparait. « Bande de salauds, vous ne m’avez pas attendu ! ». Toujours appliquée à liper le membre de l’inconnu, j’entends le léger tintement de bouteilles en verres que l’on dépose au sol. Je sens ensuite deux pressions successives sur le matelas au niveau de mes chevilles. Je devine qu’il se tient debout derrière moi. J’en ai la confirmation lorsque je sens ses cuisses glisser le long des miennes. Je sens sa queue passer et repasser entre mes fesses, de plus en plus vite, de plus en plus dure. Il se branle contre mon cul, il ne va pas tarder à m’assaillir. Je cambre mes fesses, je les remue contre lui, ma chatte réclame son due, elle veut sa grosse bite jusqu’au fond de sa grotte.
Un instant après, son gros gland épais pousse sur mes chairs et retrousse mes lèvres pour aller se loger en moi, au plus profond de mon intimité. Je suis comblée par cette queue trop grosse qui me fait couiner comme un petit animal. L’image d’un sexe dans ma bouche et un autre dans mon ventre me fait perdre les pédales. Je relâche un instant mon étreinte buccale : « Baise-moi Jordan, baise-moi... ».
Mon petit salaud de gendre s’engaillardit et me pénètre avec force et ardeur. Ses couilles claquent contre mes cuisses, son bas-ventre contre mon cul. Il s’accroche à mes hanches pour s’aider à pousser plus fort et plus loin. Je reprends l’invité surprise en bouche et me délecte de son gland satiné, il me palpe les seins et tire sur mes pointes gonflées. J’ai mal, c’est bon ! Il soubresaute, son corps se crispe et se tend, sa gorge émet des sons profonds et continus. Ses doigts se posent sur ma nuque et l’enserrent, il va jouir. Je ne veux pas recevoir sa semence dans la bouche, mais j’attends tout de même l’ultime instant avant de me retirer et de finir le travail à la main dans des mouvements de va-et-vient exécutés rapidement. Accompagnée d’un long râle, son sperme jaillit en trois ou quatre saccades de quantités variées et macule mon visage du front jusqu’au menton.
Alors que je le regarde dans les yeux, fière de mon œuvre, il passe sa main sur mon visage avec tendresse, et étale son jus partout sur ma figure et sur mes lèvres.
Je goûte à ce sperme inconnu du bout de la langue et je suis agréablement surprise par sa saveur. Je regrette presque de ne pas avoir tout pris en bouche.
Jordan se retire. Absorbée comme je l’étais par mes exploits buccaux, je pense un instant qu’il en a fini lui aussi, sans que je m’en rende compte. Mais il n’en est rien. Il me tire par les chevilles avec force, mes genoux et mes cuisses sortent du lit et sont à présent perpendiculaires au matelas. Mes pieds se posent au sol, mon cul et cambré, mes seins écrasés sur le matelas. J’essaie de maintenir ma tête en l’air pour ne pas mettre du sperme partout, mais c’est peine perdue. Jordan me maintient le visage enfoui dans le lit. Je sens qu’il va me prendre encore plus brutalement, cela m’inquiète pourtant bien moins que cela m’excite. De ses jambes puissantes, il rassemble mes pieds de manière qu’ils soient collés l’un à l’autre. Je sens alors son gland se frayer un passage entre mes cuisses et se positionner à l’entrée de mon sexe. Il s’enfonce alors en moi d’un coup si sec et rapide, qu’un cri très sonore m’échappe, et que je relève une jambe pour lui dégager le passage.
Il rabat aussitôt ma cuisse avec sa main libre, il veut visiblement que je sois la plus serrée possible autour de sa queue.
Un deuxième coup, aussi puissant que le premier, je crie dans le matelas, puis un troisième, un quatrième... Enfin, la douleur s’estompe, ma caverne s’est habituée à l’occupant, chaque coup de reins qu’il donne à présent m’a fait franchir un palier vers le plaisir. J’aime être ainsi maîtrisée et sautée sans ménagement. Les « petite pute, salope de maman, grosse chienne » qui parviennent à mes oreilles me font plus de bien que toutes les caresses tendres et les bouquets de roses que j’ai pu recevoir. Oui, je suis sa pute, et j’adore ça !
Une main se glisse avec peine sous mon ventre, et descend vers mon minou brutalisé, pour son plus grand plaisir. Je devine que c’est celle de l’invité surprise, qui s’il n’a pas retrouvé sa vigueur, veut tout de même participer à la fin de cette surprise en mon honneur. Il glisse le long de mon pubis et deux de ses doigts branlent mon bouton avec frénésie, suffisamment fort pour procurer un plaisir intense, mais avec assez de douceur et de retenue pour que ce ne soit pas douloureux. Cet homme a des mains et une langue en or. Je ne maîtrise plus rien, je hurle mon plaisir le plus profondément possible dans le matelas, de mes chevilles jusqu’à mon crâne une succession d’éclairs me traverse, me déchire, me transporte à un niveau de jouissance encore inconnu. Je ne suis plus moi, je suis une poupée de chiffon que l’on électrocute. Les orgasmes s’enchaînent et se lient les uns aux autres de sorte à former un flot continu de jouissance.
Je n’en peux plus, mon système nerveux est en train de surchauffer, je crie, je griffe, je me secoue dans tous les sens...
Je ne me rends même pas compte que la queue de Jordan est immobile et qu’il s’est écroulé sur moi.
Dix, quinze minutes avant que je revienne sur terre et réalise ce qui vient de se passer. Jordan est toujours avachi sur mon dos, son sexe ramolli et dégoulinant posté contre mes fesses. L’homme à la barbe étendu contre moi, sa main toujours posée sur mon minou qu’il a cependant cessé de branler. Je ne sais pas quelle heure il est, combien de temps cela a duré, mais je me surprends à espérer que nous ayons encore du temps devant nous...
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