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Mon secret enfin découvert!

Chapitre 1

Travesti / Trans
Encore une journée comme les autres, je regarde Carine boire son café le nez sur son portable. À la voir, on dirait une gamine les yeux rivés sur des story insipides.
Je ne vaux pas mieux, loin de là. De mon côté, je lis les informations du jour, sans grand intérêt, je l’avoue.
Le programme de notre journée ? Sans surprise, nous allons faire des courses, manger puis nous regarderons une vidéo.
Que notre vie est triste, monotone et sans surprise.
Pressé d’en finir avec ce calvaire, je sors de table et me dirige vers la salle de bain de notre chambre. Je ne sais même pas si Carine a remarqué mon absence ?
Pendant que je prépare mes vêtements du jour, j’en profite pour caresser ses culottes, regrettant de ne pouvoir en mettre une aujourd’hui... Je dois me contenter d’un simple boxer alors que toutes ses culottes m’appellent.
Déçu, je me dirige vers la douche afin de faire redescendre l’excitation créer par le toucher du satin et de la dentelle.
Une fois calmé, alors que je rince la mousse du shampoing sur mes yeux, je distingue Carine au-dessus de mes affaires.
— Tu es déjà montée ?— Oui, ça fait longtemps que je ne t’ai pas vu nu. À croire que tu m’évites ?— Pas du tout, enfin !— Tant mieux, tu vas pouvoir me montrer ta nouvelle passion.— De quoi parles-tu ?
Elle laisse un blanc et quitte la salle de bain, me laissant seul pour m’essuyer et m’habiller.
Une fois sec, je découvre que mon caleçon, s’est transformé en l’un de ses strings noir en coton. Je feins la surprise avec un air effarouché.

— Où est mon caleçon ? Pourquoi j’ai ça sur mes affaires ?— Je me suis dit que tu préférerais porter mon string plutôt que ton vieux boxer !— Comment ça ? C’est quoi cette idée ?— À toi de me dire, cela fait des mois que tu fouilles dans mon tiroir et que certains de mes dessous sont tachés ! Tu fais quoi avec mes strings, tu te branles ?— Rien... Enfin... Non... Rien.- Si tu ne te branles pas, c’est que tu les portes ? Tu es gay, c’est ça ? J’en étais sûre.
Je suis sans voix et ne peux lui répondre. Elle m’a démasqué.
Elle rit jaune en me le tendant et de toute son autorité.
— Je te dégoûte à ce point que tu as changé de bord ? Ne me réponds pas petite salope et enfile ce string. Je suis sûre que tu en crèves d’envie ! Vas-y !— Ça ne va pas chérie ?— NON, ça ne va pas ! Comment ça pourrait aller alors que je découvre que tu portes mes dessous quand je ne suis pas là ! Tu fais quoi d’autres en mon absence ?
Penaud, je n’ose pas lui répondre, j’aimerais lui avouer que tout son tiroir est déjà passé sur mes fesses, que j’ai même un sac rempli de culottes à moi parce que oui, j’adore porter de la lingerie !
J’aimerais lui dire qu’elle me fait le plus beau des cadeaux en me forçant à porter ce string aujourd’hui. Je reste muet, immobile seule une demi-molle trahit mon excitation du moment.
— Mais en plus, tu as l’air d’aimer ça ! Tu veux l’un de mes soutifs aussi pour qu’elle soit bien dure ? Au moins, tu pourras me baiser !
Son excès d’autorité et cette pseudo-humiliation ont réveillé ma libido, elle me donne envie de lui obéir et de me laisser faire comme avec les hommes.
Pour la faire taire, je l’embrasse et tente de la caresser, elle me repousse. 
— Je vais me laver histoire de digérer ce que je viens d’apprendre. Tu me dégoûtes, laisse-moi tranquille. 
Une idée me vient alors, je prends place sur le tapis de bain à genoux, vêtu de son seul string et la regarde prendre sa douche ! Tout dans ma position indique la soumission.
J’attends de voir comment elle va réagir et qu’elle sera sa réaction. Une fois sortie de sa douche, elle me colle sa chatte poilue sur le visage, je lui réponds en donnant des coups de langue dans sa toison.
— Tu aimes être dominé ?— Oui madame.— Tu lapes comme une petite chienne, je suis sûre que tu aimerais avoir une queue dans la bouche ?— Oui madame.— Tu es donc gay, tu préfères les bites à ma chatte ! Tu es une vraie salope en fait. Couche-toi sur le lit pétasse !— Oui madame.
Je m’exécute. Elle profite de ma position pour me prendre par les hanches et simuler une pénétration.
Mes gémissements, ma gestuelle lui indiquent que je désire plus qu’une simple simulation.
— AH OUAIS !... On va loin, là, tu veux que je t’encule ? Un gros gode dans le cul, c’est ça que tu veux ? Ou alors une bite ?— J’ai découvert que je prends du plaisir avec mon cul.— Comment as-tu découvert ça ? Avec qui ? Avec quoi ?
Je ne réponds pas, elle me retourne et découvre que mon sexe est tout dur.
— C’est pour ça que tu ne me touches plus ?— J’avais envie d’essayer de nouvelles choses !— Tu as essayé la sodomie? Tu as essayé avec un homme ? C’est ça que tu es en train de me dire ?
Je lis dans son regard le questionnement à mon sujet. Bien que je crève d’envie de lui répondre que des hommes m’ont déjà sodomisé, je ne veux pas tout dévoiler à ce moment-là, ça ferait trop pour elle.
— En fait, j’ai acheté un gode et un plug vibrant avec lesquels je joue quand tu es en formation.— Avec lesquels tu joues ? Pour toi, c’est un jeu ? Et ça fait longtemps que tu joues à ce genre de jeux ?— Une petite année environ. 
Tant pis, je tente ma chance
— Est-ce que tu aimerais essayer le gode, il a un harnais pour que tu puisses le porter ?- Attends ? Quoi ? Tu profites de mes absences pour porter ma lingerie et t’introduire des sex-toys dans le cul ! Et là, tu voudrais que je t’encule.Ça fait beaucoup d’un seul coup !— Tu voulais connaître la vérité, la voilà ! Elle est dure à entendre, mais elle n’enlève rien à l’amour que j’ai pour toi.— Quel amour ? Tu ne me baises plus, mais tu as des plaisirs solitaires, là ce n’est pas de l’amour pour moi, mais de la tromperie.
Elle sort de la chambre en claquant la porte, me laissant allongé sur le lit ne sachant pas quoi faire.
Alors que je me suis assoupi, elle me rejoint dans la chambre plus déterminée et en colère que jamais.
— Tu veux que je te baise ? Ou tu préfères un doigt dans le cul ? 
Elle joint alors le geste à la parole et sauvagement son doigt entre dans mon cul sans même me lubrifier. Elle pense me punir, m’humilier.
Au contraire, étendu sur le dos, je la regarde fixement dans les yeux, j’écarte un peu plus les cuisses, je prends son doigt que je lubrifie avec ma salive puis un deuxième comme pour l’encourager à fourrer plus que son index.
Mon attitude de salope la rend folle de colère et ce sont maintenant deux doigts qui me pénètrent.
Ils m’arrachent des gémissements de plaisir ! Sa colère se change en rage, elle commence à accélérer ses mouvements, maintenant ses deux doigts vont et viennent dans mon cul rapidement, violemment, mais avec efficacité. J’ai la tête en feu et des papillons dans le bas du ventre, elle vient de me donner un tel plaisir que je m’éjacule dessus. Sous la pression, mon sperme atterrit sur mon torse.
Carine me regarde d’un air dédaigneux et méprisant.
— C’est bon, tu as pris ton pied ? À mon tour, maintenant !— Attends... Laisse-moi me nettoyer... Et en plus, ma bite est toute molle.— Reste comme ça et baise-moi ! Avec ta langue, avec tes doigts ou avec ton gode je m’en fous, débrouille-toi pour me faire jouir.
Elle se met sur le lit et écarte les cuisses pour que je m’exécute, je décide de la lécher tout en la pénétrant avec mes doigts.
— Arrête avec tes caresses de puceau et baise-moi avec ce gode, je veux enfin sentir un gros membre dans ma chatte !
Honteusement, je m’équipe du gode ceinture, ma bite toute molle est recroquevillée dessous elle ne me sera d’aucune utilité, elle mouille si abondamment qu’il m’est facile de la pénétrer, pour ce qui est de la baiser, c’est plus compliqué. J’ai encore la tête à ce qui vient de m’arriver, c’est pourquoi mes mouvements sont mécaniques sans envie, sans passion. Avec ce gode, je vais bien plus loin que ce que ma bite me permet. Cette dernière tape sur ses grandes lèvres dès que je suis au fond de son vagin. Malgré mon manque de motivation, ce que je fais a l’air de lui plaire, je ne l’ai jamais entendu crier aussi fort. L’ennui avec cette prothèse en silicone, il faut que je lui donne du plaisir quand nos ébats se terminent une fois que j’ai éjaculé. Là, le temps me paraît interminable.Tout d’un coup, ses gémissements se font plus sonores, sa respiration se coupe et un énorme jet de mouille m’indique que je peux m’arrêter.
— Tu vois ce que ça donne quand tu veux bien te donner la peine de me baiser assez longtemps petite salope !Nettoie maintenant ! Ta bite m’a coulé dessus, j’en ai de partout !Lèche-moi tout ça connasse !— Oui madame.
Elle s’installe sur le dos, ma tête entre ses jambes et délicatement, je lèche l’intérieur de ses cuisses, les poils de sa chatte, ses grandes lèvres, son clitoris encore tout gonflé de plaisir et devenu tellement sensible. Carine caresse mon torse plein de sperme et vient coller sa main sur ma bouche.
— N’oublie pas de me nettoyer ça aussi ! Je suis sûre que tu vas adorer le goût de ton foutre.— Oui madame, ce que vous voudrez madame.— Je comprends mieux pourquoi tu ne me touchais plus, tu préfère une bonne grosse queue à ma chatte.— Oui madame.
Pendant que je la lèche, je l’entends qui sanglote, qui pleure. Elle se dégage de moi et sort de la chambre me laissant seul avec mes vérités et mes contradictions.
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