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Mon sosie : Lila Chatte, Star du X

Chapitre 1

Trash
Un jour, un homme me cria dans la rue « Hey ! Le double anal, balèze ! Tu gères à donf ! »
Et je ne compris ni de quoi il me parlait, ni pourquoi il me criait dessus.
Mais dans les mois qui suivirent, on m’apostropha de plus en plus souvent dans la rue, parfois je ne comprenais rien « Ton bukkake il y avait genre cinquante types ! Trop maous ! » ou un noir qui d’un coup m’alpagua pour me dire : « Si t’as envie d’un autre creampie interracial de ma part, tu demandes. » ou des jeunes me siffler pour me dire « Yo meuf, y aller bareback avec ces vieux, fallait oser, t’es trop guedin. »
Mais je croisais aussi de sales types qui me tenaient des propos, hélas, bien plus compréhensible « Ma queue, elle est aussi grosse que celle de ton dernier shot. » « Moi je te prends quand tu veux, si t’as un "trou" dans ton planning. »
Je ne comprenais pas trop pourquoi les hommes s’adressaient à moi avec autant de désinvolture. Comme toutes les femmes, on m’avait déjà fait suer dans la rue ou dans le métro, mais à point, ça devenait invivable ! Enfin… même si j’étais véritablement harcelée, il y avait bizarrement une pointe de… je ne sais pas… d’admiration ou de respect chez eux. Comme si j’étais quelqu’un d’extraordinaire. Ces invectives n’étaient pas seulement de la parade macho pour se vider les couilles, c’était comme si je leur aurais fait un immense honneur en acceptant leur proposition.
Je ne compris de quoi il retournait réellement que quelques mois plus tard. J’étais chez un client pour renouveler une commande de produits pharmaceutiques, et le client m’avait regardé de façon vraiment louche. Comme si je me foutais de lui, ou qu’on lui faisait une blague. Au final on a conclu le contrat, mais toujours comme s’il s’attendait à ce qu’une équipe de télé débarque en criant « Surprise ! Surprise ! » Deux jours plus tard, mon patron me fait venir dans son bureau :
« Madeline… je vais être franc… Est-ce que c’est vous ?
— Eh bien, oui, je crois être moi jusqu’à nouvel ordre.
— Ne jouez pas sur les mots. Vous savez bien ce que je veux dire. Est-ce vous qui faites ces… euh… activités annexes…
— Les conseils clients ?
— Non ! Ne rendez pas les choses plus dures qu’elles le sont ! Enfin dur… Rha ! Cessons de tourner autour de votre pot !
— Euh… Patron, je n’ai aucune idée de ce que vous parlez.
Il s’exprimait bizarrement, il était en colère, gênée semblait bafouiller par moment…

— Enfin… Lila Chatte, c’est vous !
— Qui ? Écoutez, je ne suis que moi, et c’est déjà bien assez.
— Vous ne pouvez être qu’elle ! Vous faites quel tour de poitrine ?
— Vous êtes malade ? C’est du harcèlement vous savez...
— C’est du 100 C, hein ?
— C’est insensé ! Mais euh… Oui comment vous savez ça ?! Vous avez fouillé dans euh…
— C’est la poitrine de Lila Chatte ! Et Lila Chatte, c’est VOUS !
Mon patron était un petit être chauve, assez ridicule, et le voir devenir rouge comme une tomate et agiter ses bras comme un diable aurait donné le fou rire à presque tout le monde. Mais pas à moi, je trouvais ce qu’il racontait assez inquiétant.
— Je ne suis pas Lila Chatte.
— Eh bien, que vous le soyez ou pas, je m’en fous. Je peux pas vous garder ! À chaque fois que je vous envoie chez des clients, ils m’appellent pour me demander pourquoi j’emploie une actrice porno ! Et certains sont déçus que vous ne fassiez pas ce qu’une actrice porno est censée faire. Ça ne peut plus durer ! je vous renvoie ! Là ! Maintenant !
— Vous ne pouvez pas me virer comme ça ! Et je… je ne comprends rien à ce que vous dites… Une actrice ? Quelle...
— J’appelle la sécurité ! Une prostituée ! une pornostar ! Chez nous… chez Pharmasécure ! On vend des capotes et vous… Sans rien ! Rien ! Vous enfilez les queues sans une seule protection ! Même pas celle au goût fraise ! Renvoyée ! Je vous vire !
Un malabar me fit sortir de son bureau, et après avoir fait mon carton je me retrouvais à la rue. Je jurais qu’ils allaient entendre parler de moi ! Non mais ! Licenciement abusif ! Prud’homme ! Diffamation ! Ça allait leur coûter cher.
Mais tout de même de quoi parlait-il ?! Lila Chatte ? Quel nom bizarre. À peine rentré chez moi, je tapais ce nom sur Google. Et alors je vis.
Une rousse avec de longs cheveux tombant sur ces épaules, de gros seins appétissants aux tétons bien dressés. Des jambes fines et des fesses fermes, un sourire mutin soulignant de grands yeux verts dominateurs. C’était MOI !
Enfin, ce pourrait être moi. Car si cette Lila Chatte était mon parfait sosie, je ne faisais rien de ce qu’elle faisait. Les titres de ses vidéos se passaient de visionnage. « Gang Bang pour Lila » « Douche de sperme pour la jeune Chatte. » « Double anal pour une Chatte. » Enfin, ça se passait de visionnage, mais je visionnais quand même… et quelle impression étrange voir quelqu’un qui avait le même corps faire toutes ces choses…
Qu’est-ce que j’en pensais ?
Je ne le cacherais pas de l’excitation. Plus que vous ne pouvez l’imaginer. Je n’eus presque pas le temps de me toucher que je mouillais ma culotte. C’était quelque chose d’incroyable… Pas pour le jeu d’actrice, à ce niveau je n’y connaissais rien. Mais voir son propre corps se faire prendre par des bites monstrueuses, son visage couvert de foutre blanc et gluant...
Jamais je n’avais pensé que ces choses pourraient m’arriver, jamais je n’avais même osé fantasmer à ce genre de perversion. Et pourtant elles étaient toute là. Toutes les saloperies dont ont besoin les hommes pour jouir.
Il fallait voir des hommes me lécher les seins pendant que d’autres me fourraient la chatte. J’étais vraiment une salope. La plus grosse des putes. Je prenais plusieurs queues dans mon cul ! Et puis je n’avais pas froid aux yeux, je prenais des bites de noirs, et pas que des métisses, mais aussi des blacks noirs comme la nuit qui jouissaient dans ma chatte. Et des vieux aussi, je suçais leur bite qui semblait dater de Mathusalem, je pouvais presque sentir le goût de ces bites mollassonnes dans ma bouche. Je dus aller avaler un verre d’eau après m’être vu avaler quelques litres de foutres dans ce qui s’appelait un bukkake. J’essayais de m’imaginer avec une telle quantité de sperme dans le ventre, comment pourrais-je dormir ? Rien qu’imaginer mon haleine sentant le foutre, je venais d’avoir un nouvel orgasme. Et les jeunes, avec leur bite gigantesque qui m’entrait dans la chatte comme si de rien n’était… Et leur énergie, la façon dont ils me traitaient... j’imaginais qu’ils devaient me faire chauffer la chatte, me mettre dans un état de proche de chienne en chaleur. Je devais avoir la chatte en état de surchauffe, et puis... ils me la rafraîchissaient en giclant leur foutre dans mon con. Et voir tout ce sperme dégouliner de ma chatte... n’avais-je vraiment aucune limite ?
J’avais l’impression d’être tombée dans un univers parallèle. Un univers où je n’étais plus une brillante femme d’affaire avec un diplôme d’une des plus prestigieuse école de commerce, mais un garage à bites sur patte. Passant sa vie les jambes écartées à se faire enfiler par les plus vils connards, à sucer des queues qui étaient auparavant passées dans mon cul...
Comment était-ce possible ? Je savais que ce n’était pas moi, mais en regardant les vidéos il était impossible de faire la différence. C’était mon corps, ma jumelle maléfique. Enfin ce n’était pas qu’elle soit maléfique qui m’embêtait, mais qu’elle soit célèbre. La vidéo la moins bien fichue, la plus anecdotique, arrivait à plusieurs millions de vues. C’était une « Star. » Ses vidéos étaient plus regardés que les films de n’importe quelle actrice de films traditionnels. Enfin pour les hommes. Pas étonnant qu’on m’aborde dans la rue. Mais ce n’était pas le genre de célébrité que je recherchais. Il fallait mettre fin tout ça. Il devait y avoir une loi, un code déontologique pour empêcher de se retrouver dans des vidéos pornos. J’envoyais des messages aux hébergeurs de vidéos, mais ils répondirent que Lila Chatte avait autorisé la mise en ligne publique et qu’à moins d’utiliser ses identifiants je n’avais pas l’autorité pour demander leur suppression. J’allais voir un avocat, il me dit que c’était : « pas de chance », mais qu’il n’y pouvait rien…
J’étais à court d’idées. Je devais pourtant trouver une solution ! Je n’allais pas passer ma vie avec profession "sosie de star du porno" ! Je réfléchis quelques heures, et je décidais qu’il fallait affronter l’hydre en face. Laisser la subtilité des lois et la technicité de l’internet de côté et jouer cartes sur table. J’allais rencontrer cette Lila Chatte en personne et lui faire arrêter ses saloperies. Elle n’avait pas le droit de m’humilier en public avec ses coucheries perverses, quand elle verrait le mal qu’elle avait fait à une honnête femme, elle serait bien obligée de cesser ses activités. Il y a une règle non-écrite qui fait que les salopes et les putes quand elles se trouvent en face de la droiture et de la morale font moins les fières. Elles savent au fond d’elle même qu’elles sont en tort.
Mais c’était plus facile à dire qu’à faire. On ne rencontre pas une star du porno comme ça. Impossible d’obtenir son adresse, on pouvait savoir la façon dont elle s’épilait la chatte, mais sa simple adresse, ça : "c’est confidentiel Madame". Elle avait beau être une perverse de première, elle faisait attention à ce que des sadiques ne puissent pas la trouver. Je la comprenais, elle devait avoir honte. Je dus téléphoner à des boîtes de production de pornographie et  me faire passer pour une fan pour réussir à obtenir son adresse mail.
Je lui écris un beau message, sensible, expliquant les difficultés qu’elle me créait à cause de la ressemblance entre elle et moi, que je ne la jugeais pas malgré son métier de pute publique, mais qu’elle devait arrêter.
Elle ne me crut pas, demanda que je lui envoie des photos de moi. Se faire traiter de menteuse par une salope c’était gonflé et humiliant. Mais j’étais forcée de coopérer et lui envoyais des photos. Elle commença par penser que je l’avais photoshopée, mais je me prenais en vidéo et elle fut bien forcée de se rendre compte de notre ressemblance parfaite. Je ne parvins cependant pas à la convaincre d’arrêter sa « carrière » de star du porno sur l’instant. Elle avait soi-disant besoin « d’y réfléchir ». Ses chichis m’exaspéraient. Comment une pétasse comme elle pouvait-elle parler de carrière quand sa bouche ne servait pas à parler affaires, mais à sucer des queues ? Enfin malgré tout, elle acceptait de me rencontrer lors de sa participation à une prochaine vidéo.
C’était deux jours plus tard le « film » s’appellerait : «Lila Chatte esclave de la Black Justice. » C’était d’un goût pour le moins douteux, mais je notais l’adresse.
L’impression qu’elle m’a faite ? Une petite cocotte avec rien dans la tête. Elle avait dû choisir ce métier sous les conseils d’un petit copain, et parce qu’elle aimait se faire mettre. J’étais persuadée de pouvoir la convaincre en quelques minutes une fois face à face. Je lui dirais qu’une femme honnête doit exercer un métier honnête et que lécher des bites sous l’œil des caméras n’était pas un métier « honnête. » Qu’elle agissait par simple paresse et attrait pour la luxure. Bref, à mon sens, elle avait simplement besoin qu’une personne vertueuse la remette sur le droit chemin.
Le tournage devait commencer de bon matin et durer toute la journée. J’allais sur place très tôt pour ne pas louper l’arrivée de Lila Chatte. Le studio était situé en banlieue parisienne, il me fallut quelques heures pour y arriver. Les lieux étaient sinistres, j’attendais plus ou moins cachée lorsque je vis la camionnette de tournage arrivée.
Ce qui devait être le caméraman descendit, il cligna des yeux en me voyant :
« Lila, t’es déjà là ?
— Je suis pas…
— Pressée de te faire fourrer comme d’habitude ! Hahahah !
— Mais je suis pas…
— Bon j’ouvre, qu’on s’installe au chaud…
— D’accord, mais je tiens à dire que… »
Il était déjà entré avant que je ne puisse m’expliquer. De toute façon il était inutile de perdre mon temps à lui expliquer, il comprendrait la situation bien assez tôt lorsque Lila Chatte arriverait. On me servit un café et des croissants, l’équipe se montrait assez respectueuse même s’ils faisaient des plaisanteries assez vulgaires. Ce n’était pas si différent de la vie en entreprise pour le coup...
Arrivèrent les acteurs. De grands noirs assez impressionnants, certains vinrent me saluer j’étais vraiment mal à l’aise. J’avais vu les vidéos de Lila, mais voir les acteurs qui allaient la baiser en vrai c’était différent. Je marmonnais de vagues réponses et attendais avec de plus en plus d’impatience que la « Star » finisse par se pointer.
« Lila, il va falloir te préparer…
— Hein ?
— T’as ton costume à mettre, je te rappelle que tu ne commences pas la scène à poil. »
À suivre !
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