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Oh mon soumis...

Chapitre 3

Oh mes soumis

SM / Fétichisme
Aujourd’hui est une journée spéciale. C’est une séance que tu as su me réclamer. Une séance que tu attends depuis si longtemps. Je me souviens encore du jour où tu me l’as demandé. Nous venions de finir une séance particulièrement intense de par la punition que tu venais de subir. Après tout, tu m’avais défié avec bien trop d’aplomb. Alors que je te déliais doucement et que ton corps tremblait encore des restes de l’orgasme qui venait de te dévaster, tu étais venu te mettre à genoux devant moi. Tu avais posé ton front sur le sol devant mes pieds et tu avais enfin trouvé le courage de formuler cette pensée qui te hantait. Comme si la punition avait brisé les dernières barrières de ta retenue. Ta voix ne contenait plus une seule once de défiance à mon égard et je t’avais juste répondu que j’y réfléchirais. Et j’y ai réfléchi longtemps et durement. Pesant le pour et le contre de ta demande. Mais je n’ai jamais su te résister bien longtemps.
Et aujourd’hui, tu es nu, à genoux devant moi alors que je me saisis de tes poignets un par un, pour les accrocher au-dessus de ta tête au poteau qui maintient ton dos droit. Tu me regardes avec cet air à la fois triomphant et suppliant. Tu es heureux, tu vis cette future séance comme un cadeau et en même temps, tu sais ce qui va se passer. Tu sais que tu seras lié dans ce coin pour un bon moment. Ta laisse me sert à accrocher l’anneau de ton collier à la même barre qui maintient déjà tes mains.
Oh mon soumis, si tu savais comme tu es beau. J’aime que tu me laisses faire de toi ce que je veux, que tu acceptes aussi docilement que tu n’es rien sans moi. Je ne peux pas m’empêcher de t’embrasser fougueusement. De mordre ta langue une dernière fois avant de te passer le mors. Je me recule de quelques pas pour t’admirer. Si tu savais, comme tu occupes toutes mes pensées. Je ne peux passer une journée sans imaginer la prochaine séance, ta prochaine punition, notre prochain moment ensemble. Certains pourraient dire que je t’aime, mais ils se trompent. Ce que j’aime c’est ta soumission. Te voir perdre petit à petit le contrôle alors que je t’ordonne de retirer tes vêtements, de quitter tout ce qui fait de toi cet être si fier et si égocentré. Je te regarde ainsi paré uniquement de ton collier et de tes menottes. La bave commence déjà à te couler des lèvres. Ce que j’aimerais pouvoir m’occuper de toi, pouvoir te faire tâter de la cravache que tu aimes tant.
Mais ce n’est pas ce qui a été convenu pour aujourd’hui.Des légers coups sont frappés à la porte. Je récupère la cravache et me penche vers toi en posant le bout de la cravache sous ton menton pour relever ta tête. Mon ordre sort, aussi froid et sec que la cravache de dressage sur ta peau : « Tu n’as pas le droit de jouir et je ne veux pas t’entendre ».
Je me détourne de toi, jetant un rapide coup d’œil dans le miroir pour vérifier ma tenue. Cette fois encore, je suis entièrement vêtue de noir des bas à la chemise. La seule note de couleur étant mes escarpins rouges. Je vais ouvrir la porte et un autre homme entre dans la pièce. Dans ce cocon qui n’appartenait qu’à nous. Je le salue bien plus gentiment que je ne le fais avec toi et lui ordonne de se dévêtir pendant que je vais chercher ma boîte de métal. J’entends tes chaînes cliqueter, mais un simple regard de ma part te suffit pour comprendre que tu es bien trop présent. L’homme se retrouve rapidement nu face à moi, à genoux sur le sol. Je prends quelques instants pour lui caresser la joue et lui sourire en déposant un doux baiser sur ses lèvres. Il tremble déjà à mes pieds, son innocence attise mon désir envers lui.
Je sors de la boîte le collier violet, celui que tu appelais ton collier de transition lorsque nous nous testions encore, et je le referme sur le cou de ce nouvel homme que tu ne connais pas. Il y a encore quelques semaines, c’était le tien. Mais tu as obtenu ton Collier, celui qui ne peut être fermé que par moi et uniquement sur ton cou, celui qui te lie à moi. Mais que ressens-tu en me voyant refermer ce collier sur un autre cou que le tien ?
Je récupère aussi ta première laisse. Celle qui est faite d’un cuir bon marché et dont la sensation ne m’a jamais plu. Celle faite de chaîne te maintient fermement au poteau. Je le guide sur le tabouret des supplices, celui que tu aimes tant. Celui sur lequel je t’ai montré mes capacités la première fois. Que ressens-tu mon soumis alors que tu assistes impuissant à la soumission de cet homme ?
Je prends le temps de venir lier la laisse au tabouret et de faire de même avec chacun de ses membres alors que j’embrasse et caresse sa peau de ma langue. Ce que j’aime voir son corps ainsi exposé, chaque zone de son anatomie, offerte à mes soins. Oh mon soumis, comme j’aimerai savoir ce qu’il se passe dans ta tête en ce moment. Je laisse mes mains parcourir ce torse que je ne connais que peu. Caressant, pinçant et griffant pour tester les réactions de ce nouveau partenaire. Ses premiers gémissements ne se font pas attendre. Tout comme toi, il aime la douleur. A un niveau moindre, alors je dois me restreindre pour ne pas le blesser. Ma bouche rejoint bien vite mes mains et je lui mords l’épaule, ce qui lui arrache une longue plainte de plaisir. Alors, je sais que je peux enfin me faire plaisir. Mes mains se font douces, bien trop douces, bien trop caressantes. Je le sens lutter sous mes doigts. Je le caresse, l’embrasse et le lèche. Je le regarde se tordre et lutter contre ses liens.
Je surveille sa verge grandir et grossir.Mon excitation grandit elle aussi. Après tout, je m’empalerai bien sur lui. Mais ce serait trop facile, trop rapide. Non je préfère, vous faire saliver tous les deux. Ma main droite descend le long de son torse et s’empare de son membre que je caresse. Ses plaintes résonnent dans mes oreilles et je me délecte de sa perte de contrôle. Ma main gauche se saisit de ses cheveux et je l’embrasse fougueusement alors qu’il perd la tête. Je m’arrête subitement alors qu’il était sur le point de finir. Je retourne à la boîte des plaisirs sans un regard pour toi. Après tout, tu n’existes plus pour moi. Du moins, je dois te le faire croire. Je me saisis des pinces et de la cravache avant de retourner à ses côtés. Je viens refermer les pinces sans ménagement sur les tétons de ce pauvre homme qui ne se doutait pas de ce qui l’attendait lorsqu’il m’a demandé de l’initier à la soumission. Son corps tressaille et son esprit lutte. Aime-t-il ou a-t-il mal ?
Je passe dans son dos en laissant la cravache glisser le long de ses bras. La caresse du cuir aiguise toujours les sens. Une fois dans son dos, je retourne la cravache et je fais remonter le pommeau de métal le long de sa colonne vertébrale. Je ne lui ai jamais interdit de jouir contrairement à toi et pourtant il ne sait pas s’il peut le faire ou non. Il hésite, son désir de plaire prend déjà le pas sur son désir de jouir. Son corps voudrait, mais sa tête lui dit d’attendre que la libération n’en sera que meilleure. Le pommeau quitte son corps au niveau de la base de son crâne et c’est le cuir de la cravache qui vient s’abattre sur son épaule.
Ses gémissements sont de plus en plus forts à mesure que la cravache continue de s’abattre. Puis je cesse sans prévenir et ma langue vient caresser chaque marque laissée par la cravache. Cette douceur après la douleur l’électrise et sa tête bascule en arrière. Je l’attrape alors par les cheveux pour l’embrasser de nouveau. Ma main droite glissant vers ses tétons pour tordre quelque peu les pinces avant de redescendre entre ses jambes, caresser son membre. Sa respiration devient saccadée et son corps est parcouru de tremblements. Je viens me placer face à lui et d’une main, je maintiens son menton pour le forcer à me regarder dans les yeux pendant que la deuxième vient le branler. Je viens de nouveau mordre ses épaules et ses bras. Je le sais à deux doigts de finir alors je le lâche, et prends quelques secondes pour regarder la peur passer sur son visage. Je l’embrasse de nouveau pendant que ma main droite redescend doucement vers son entrejambe sans jamais dépasser son nombril.
Je viens caresser et griffer l’intérieur de ses cuisses, remontant doucement de ses genoux à son sexe sans jamais l’atteindre. Puis je me saisis de sa verge et recommence à le branler doucement jusqu’à ce que sa respiration devienne saccadée et que son corps se tende de nouveau. Alors je viens lui arracher les pinces en prononçant un seul et unique mot « jouis ».

Je le fixe droit dans les yeux alors qu’il se répand sur son ventre et ses cuisses. Je l’admire alors qu’il m’appartient, je me régale du plaisir que je lui procure et de sa soumission. Mon esprit s’embrume comme à chaque fois. Je le sens confus et perdu alors qu’il tente de comprendre ce qui vient de se passer. Puis je t’entends gémir dans ton coin et je retombe sur Terre.
Je me retourne alors pour te regarder pour la première fois depuis quelques heures. Toi mon soumis que j’ai abandonné dans un coin alors que je m’occupais d’un autre homme. Je m’approche de toi et l’envie de te punir inonde mon esprit. Après tout, tu viens de me forcer à quitter mon petit nuage. Mais je veux aussi jouer avec toi, alors je viens te saisir par les cheveux pour fixer mon regard dans le tien : « Tu voudrais te joindre à nous ? ». Tu hoches la tête et je viens alors libérer ton cou du poteau laissant la laisse traîner le long de ton torse. Puis je détache tes mains du poteau et je finis par te retirer le mors avec un nouvel ordre : « nettoie-le ».
Tu t’avances alors vers lui à quatre pattes, engourdi par tout ce temps passé à genoux. Mais tu finis par arriver jusqu’à lui et tu commences alors ta mission. Je te vois le lécher précautionneusement alors qu’il est encore attaché. L’opération te prend quelques minutes pendant lesquels notre invité tente de reprendre ses esprits. Tu finis de le laver et je viens te récompenser de ton obéissance par un langoureux baiser. Je m’affaire ensuite à détacher notre invité. Lentement et avec douceur, je laisse mes mains parcourir une dernière fois son corps sous ton regard. Il finit par se relever et nous le regardons tous les deux se rhabiller avec des gestes gauches. Tu restes à genoux aux pieds du tabouret des supplices pendant que je l’embrasse une dernière fois avant qu’il ne prenne la porte et nous laisse seuls. Tu me retrouves enfin pour toi tout seul. Je me retourne et baisse les yeux vers toi et je te vois partagé entre la joie et la tristesse.
J’ai accédé à ta requête, mais par ta faute, je ne me suis pas occupé de toi. Et si je n’étais plus d’humeur ?Oh mon soumis, c’est bien mal me connaître. Tu as été sage, tu as su te faire oublier, du moins jusqu’à la fin, alors que je me déchargeais sur un autre. Il est maintenant l’heure de te récompenser pour ton obéissance. C’est à ton tour de prendre place sur le tabouret des supplices. Tu t’actives de peur que je ne change d’avis. Oh mon soumis, cette expérience était grisante, mais il n’y a que ta volonté que je veux briser, que toi que je veux réellement dominer. Je fixe tes mains aux bords du tabouret et ta laisse à la première marche. Tu souris comme un bienheureux, car tu es redevenu le centre de mon attention. Je passe dans ton dos et te mords l’épaule sans ménagement, faisant sauter toute la retenue que j’avais avec cet homme. Tes gémissements résonnent dans mes oreilles et augmentent mon excitation. Mes mains passent au-dessus de tes épaules et viennent griffer ton torse alors que tu te reposes sur moi. Je caresse ensuite tes bras, profitant de ton contact et t’offrant le mien.
Puis je m’éloigne en allant chercher la cravache et les pinces tétons que je glisse dans la poche de ma jupe. Le cuir de la cravache parcourt ton torse, je m’attarde sur tes tétons, les caressant doucement, te faisant anticiper le moment où elle viendra s’abattre plus durement.
Je te tourne autour, admirant la blancheur de ta peau et les couleurs de tes tatouages. Tu es pour moi comme une toile vierge que je me dois de peindre. Comme une œuvre que je recréé à chaque fois. J’abats la cravache une première fois sur ton épaule. Le coup me paraît trop doux, mais après tout, je ne fais que commencer. Le deuxième coup suit rapidement et je t’entends gémir. Tu prends enfin du plaisir. Je commence à alterner les coups de cravache et les caresses du cuir, mettant tes nerfs à rude épreuve et ta peau à vif. Puis je m’arrête d’un coup.
Je dépose la cravache en récupérant le bandeau avant de revenir auprès de toi. J’admire chaque zébrure que la cravache a marquée, en laissant mes doigts les parcourir. Je viens embrasser ta peau ainsi striée avant de venir me placer face à toi et plonger mon regard dans le tien. Un doute passe sur ton visage, mais tu te ressaisis bien vite. Tu me connais, tu sais comment me faire réagir, mais tu sais
aussi ce que j’attends de toi. Je te saisis par les cheveux pour t’embrasser fougueusement pour la première fois depuis ton arrivée.Oh mon soumis, que j’aime t’avoir ainsi en mon pouvoir. Je lâche tes cheveux et viens me saisir de ton menton que je lève. Je fais glisser ma langue de tes lèvres à ton cou, puis de ton épaule à tes tétons, autour desquels je viens tourner, attisant ton envie. Je me redresse et viens déposer le bandeau sur tes yeux avant de m’éloigner de toi.
Comme à ton habitude, tu me cherches tout de suite, mais je reste immobile face à toi. Je t’admire alors que la privation de ta vue aiguise tous tes autres sens. Je reprends la cravache et recommence à te caresser avec. Le contact du cuir t’arrache des gémissements de plaisir. Je dessine des arabesques sur ton torse avant de la retourner et de venir appuyer le pommeau froid contre l’un de tes tétons. Je peux sentir chacune de tes barrières céder sous les coups du plaisir que je t’inflige. Je parcours ton corps avec ma bouche, léchant et mordant chaque bout de peau dans le seul but de briser un à un tous les murs que tu as érigés. Mes deux mains viennent s’occuper de toi et je caresse ta peau, la griffant par moments. J’entends le cliquetis des chaînes alors que tu voudrais me toucher. Tu ne vois rien, tu ne peux que ressentir, mais ce n’est pas suffisant. Je m’éloigne alors de toi pour récupérer ton casque. Je sais que tu viens toujours en écoutant de la musique.
Tu entends la voix numérique s’activer alors que je le déplie pour le poser sur tes oreilles et tu te permets une réflexion : “C’est fourbe”. Comment puis-je être fourbe alors que je suis celle qui établit les règles ? Comment oses-tu me faire une réflexion ?
Je reprends la cravache, moi qui voulais être gentille après ce que je t’avais déjà fait subir. Mais il faut croire que tu me préfères froide et dure plus que chaleureuse et douce. Je m’approche de toi, et me saisis de ta tête pour t’indiquer ma position : « Pourquoi ne peux-tu pas apprécier ? Pourquoi dois-tu toujours me défier ? » Je laisse tomber ta tête et recule d’un pas avant d’abattre la cravache fortement sur l’un de tes tétons. La douleur est bien plus vive après toutes ces caresses. Je prends le temps de marquer ta peau plus durement au niveau de ton torse, de tes épaules et de ton dos.
Apprendras-tu un jour quelle est ta place ? Je ne sais pas combien de fois je fais résonner la cravache. Je le fais seulement jusqu’à ce que je perçoive de la douleur dans tes expressions. Puis je me place dans ton dos et je viens caresser les marques les plus intenses, appuyant légèrement pour que tu les ressentes, guettant le moindre gémissement.
Dès que tu entrouvres tes lèvres, je viens placer le manche de la cravache dans ta bouche. Tu n’as pas besoin d’ordre, tu sais ce que j’attends de toi et ta mâchoire se referme dessus. Tu te retrouves privé de la vue, de l’ouïe, et parce que tu l’as cherché, de la parole aussi. Je me retrouve avec tes épaules dénudées à porter de bouche et je ne peux m’empêcher de venir les lécher et les mordre. Tes gémissements, étouffés par la cravache, me ravissent. Je profite du fait que tu sois à ma merci pour te tourner autour et te caresser du bout des ongles. Je trouve le temps long, beaucoup trop long entre chacune de nos séances, et pourtant, c’est cette attente qui fait que chaque séance à ce goût de première fois. Je me pose face à toi et commence à jouer avec tes tétons. Les pinçant, les tirant, alors que tu ne peux que gémir, la mâchoire ancrée dans le manche de la cravache. Puis je sors les pinces de ma poche et je les pose sans ménagement.
La surprise te fait presque ouvrir la bouche, mais tu rattrapes la cravache au dernier moment.Bien. La laisser tomber t’aurait coûté cher. Ma main droite attrape ton menton pour le relever et je viens lécher tes lèvres pendant que l’index de ma main gauche plante son ongle à la base de ton cou avant de descendre sur ton torse, passant tes tétons sans leur accorder d’attention, fendant ton torse jusqu’à atteindre ton pubis. Ton souffle se fait court et ton cœur saute quelques battements. Vais-je enfin te toucher après tout ce temps ?
Ma main continue sa course pendant que je me délecte de tous les bruits que tu tentes de cacher. Je me saisis enfin de ta verge et ce simple geste te fait perdre la tête. Pour un peu, j’entendrais presque la cravache craquer sous la pression de tes mâchoires. Je commence à te caresser. Doucement et du bout des doigts, mais c’est déjà plus que ce que tu as eu jusqu’à présent et tu commences à perdre pied. Oh mon soumis, que j’aime être celle qui te fait complètement perdre la tête. Mais avec tout ce qui s’est passé aujourd’hui, j’ai peur que tu en oublies les règles, alors j’approche ma bouche de ton oreille et fais légèrement glisser le casque : « Je t’interdis de jouir ». Tu resserres tes mâchoires sur la cravache alors que je ne pensais plus cela possible. Tu luttes déjà, mais pas assez à mon goût. Après tout, tu n’es pas encore en train de me supplier. Alors, quitte à avoir ma bouche près de ton oreille, je te la mords pendant que ma main se saisit enfin fermement de ton membre.
Ma deuxième main vient jouer avec les pinces et ce mélange de douceur et de plaisir de force à jeter ta tête en arrière. Ton corps tremble et tes mains s’agitent. Te voilà enfin sur la bonne voie. Je te retire la cravache parce que je veux te donner le droit de me supplier. Mais tu desserres les dents justes assez pour me le permettre et ta bouche se referme tout de suite après. Tu te fais désirer, comme si tu en avais le droit. Mais ce que tu ignores mon soumis, c’est que je te désire déjà. A ma façon. Ton corps et ton esprit ne m’intéressent que parce que tu me laisses les dresser et les briser, te façonner à ma volonté. Je n’ai que faire d’un énième coureur de jupons qui me ferrai jouir de ses doigts ou de sa queue. Non, je préfère te forcer à jouir sous mon ordre, c’est ce qui rend mon plaisir meilleur.
Alors, je reviens à la charge. Une main te branlant, la deuxième jouant avec une pince pendant que ma langue joue avec l’autre. Et je l’entends enfin. Une Maîtresse murmurer entre deux râles de plaisir. Tu n’arrives pas à te décider. Peux-tu encore te retenir sachant que c’est cette lutte qui me procure le plus de plaisir ou veux-tu céder maintenant ? Je continue mes assauts sur chaque bout de ton corps qui passe à ma portée et tu finis par me le crier de ta voix suppliante : « Maîtresse, laissez-moi jouir ». Alors j’arrête tout. Je te laisse en plan, au bord de l’orgasme, haletant et tremblant. Je sais que tu me détestes en ce moment, mais ce n’est pas encore assez. Je veux que tu me haïsses de te torturer ainsi.
Tu luttes pour retrouver ton souffle et reprendre contenance pendant que je te tourne autour. Le casque t’empêche toujours d’entendre le bruit de mes talons et le masque de me voir. Mais rassure-toi mon soumis, je suis là. Et pour te le prouver, je reprends la cravache et la laisse courir sur ton dos. Le moindre contact te fait tressaillir. Chaque centimètre de ta peau est à vif et c’est le but que je recherchais. Je veux que tu ressentes la plus petite attention que j’aurai à ton égard, le moindre contact. La cravache quitte ta peau, mais uniquement pour revenir la frapper. Tu râles. Pour un peu, tu prendrais trop de plaisir. Les coups s’abattent et j’avoue ne pas les compter. Je n’ai d’yeux que pour tes réactions. Et mon soumis, qu’elles sont belles.
Je pose la cravache plus loin, et ce sont mes ongles qui reviennent sur toi. Je veux te sentir alors que tu tressailles, alors que ton corps tremble et se contracte. A mes ongles s’ajoute ma langue et je te tourne autour. Je reprends les choses où je les avais laissées, faisant remonter ton plaisir toujours plus haut. Je me replace devant toi et je reviens te caresser aussi doucement que je le peux, te frôlant à peine, forçant ton sens du toucher à monter à son paroxysme. Et tu me supplierais presque alors de te laisser jouir. Ma main droite revient alors sur ton sexe pour te branler et ma main gauche te retire la pince gauche. Tu hurles dans mon oreille. Oh mon soumis, si tu savais comme j’aime ta détresse.
Je te branle bien trop doucement à ton goût, mais tu ne peux déjà pas résister à cette charge. Je t’arrache la deuxième pince avec les dents pendant que ma main gauche vient pincer ton autre téton. Et tu me supplies à nouveau. Ta voix se brise alors que tu tentes de me demander la permission de jouir. Oh mon soumis, je voudrais que cet état dur indéfiniment. Mais si je ne t’autorise pas rapidement, la douleur prendra le dessus et je ne pourrais plus rien sortir de toi. Alors je te retire le
casque et place ma bouche à côté de ton oreille. Je continue de te branler et de te torturer les tétons parce que je veux l’entendre encore une fois.Tu ne me fais guère attendre. Entre deux suffocations, tu me supplies de nouveau. Mais cette fois, je suis prête et je prononce un simple mot dans le creux de ton oreille : « Jouis ». Ma bouche se referme sur ton épaule, mordant presque à sang pendant que la tienne s’ouvre sur une longue plainte. Tu te déverses dans ma main, relâchant la pression de ta semaine et de notre séance. Je reste quelques instants contre toi, t’aidant à redescendre doucement de ton petit nuage. Je ne fais que commencer mon soumis. Je suis loin d’en avoir fini avec toi.
Et mon soumis, je n’en ai pas l’intention. L’autre n’était pour moi qu’un amuse-bouche, tu es mon plat de résistance et ma jouissance, mon dessert. J’attends encore quelques minutes avant de t’agripper par le collier pour te relever la tête. Je plante mon regard dans le tien et je me délecte de cette souffrance qui est tienne. Tu ne sais jamais à quoi t’attendre avec moi et c’est ce que tu aimes et ce que tu redoutes en même temps. Je ne perds guère de temps à énoncer mes ordres, je m’en voudrais de te punir, car je n’aurais pas su me faire comprendre alors que trois mots suffisent "fais-moi jouir". De toi-même tu viens te placer à genoux devant moi, me laissant la place sur le tabouret des supplices. Son assise est petite, ce qui m’oblige à me tenir en équilibre. Mais c’est cette sensation qui augmente mon plaisir. Ta langue remonte le long de mes cuisses pendant que tes doigts s’enfoncent dans mes chairs alors que tu t’agrippes à moi.
Tout ce plaisir accumulé à te titiller et te faire jouir jaillit enfin. Tu t’appliques à ta tâche, il s’agirait de ne pas me décevoir. Ta langue roule, tourne et s’insinue en moi, que j’aime ces sensations que tu me procures. Je me sens dérivée sous tes assauts et chacun de mes muscles se détend enfin.
Je jouis une première fois, mais ce n’est pas suffisant. Il va m’en falloir plus, bien plus si je veux être rassasié. Mais pour l’instant, j’ai envie de plaisir plus mental que physique. Je repousse ta tête pour t’attraper par le collier une nouvelle fois et venir t’embrasser. Oh mon soumis, que serai-je sans toi ? Je t’indique le lit d’un signe de la tête et tu t’y diriges pour t’allonger dessus. Je me redresse, ôtant ma jupe et mes chaussures qui risqueraient de me gêner pour la suite des opérations. Je prends avec moi la boîte métallique et je ramasse la cravache avant de venir déposer le tout à tes côtés. Tu portes encore toutes les menottes, ce qui me facilite grandement la tâche. Tu te retrouves une nouvelle fois privé de tes mouvements, intégralement lié sur le lit. Je me pose quelques instants, debout à tes pieds pour admirer ton corps ainsi offert. Tu es recouvert de marques de cravache, de morsures et de griffures. Oh mon soumis, ce que tu es magnifique.
Je voudrais pouvoir planter mes dents dans ton torse encore et encore.Je laisse mes mains remonter le long de tes jambes, caresser ta peau, frôler ton entrejambe puis remontant toujours plus haut, effleurer tes tétons. Je viens te chevaucher et planter mon regard dans le tien quelques instants. J’aime te voir ainsi, dépossédé de toute volonté. Je replace le bandeau sur tes yeux et le casque sur tes oreilles puis je viens lécher ton torse délicatement, par petits coups, juste pour faire monter la pression. Je me redresse pour me saisir de la cravache et son cuir mord à nouveau ta peau. Tes râles reprennent et je viens te mordre à nouveau. Tant de douleur pour une seule séance, tant de sensation. Puis tu me demandes grâce. Enfin. Je laisse tomber la cravache sur le sol à côté du lit et je remets les pinces à leur place sur tes tétons. Si tu savais que chacune de mes actions avait pour but de te mener à cet état. Que je ne cherchais qu’à saturer ton corps de douleur pour pouvoir décupler ton plaisir !
Oh mon soumis, les pinces t’ont arraché la plainte la plus longue que tu n’aies jamais poussée en ma présence.Mais j’en ai fini avec la douleur. Mes mains et ma langue se font d’une douceur absolue alors que je parcours ton torse. Ma langue navigue d’un téton à l’autre pendant que je m’empare d’un dernier objet que tu ne connais que trop bien. Mes mains glissent le long de ton torse toujours plus bas, laissant l’objet caresser ta peau. Je ne doute pas que tu l’aies déjà reconnu. Mes doigts commencent un long ballet le long de ta verge pendant que je viens t’embrasser. Puis sans signe avant-coureur, j’active l’oeuf vibrant et viens le placer sur ton gland. Ton corps se tend et tu gémis de plus belle, serrant la mâchoire, me refusant le plaisir de te voir me supplier. Cependant, je ne fais que commencer et tu finiras par me céder, nous le savons tous les deux. L’oeuf vibrant placé contre ton sexe, je viens doucement embrasser tes tétons et les libérer de l’emprise des pinces en jouant avec ma langue tout autour.
La première pince tombe et un « putain » s’échappe de ta bouche, me confirmant que je suis sur le bon chemin. Alors je joue un peu plus longtemps avec la deuxième, la faisant tourner dans ma bouche en appuyant encore plus l’œuf contre ton sexe.
Je viens frôler de mes ongles ton premier téton et j’exulte enfin.
— S’il vous plaît Maîtresse, laissez-moi jouir.
Oh mon soumis que c’est bon de t’entendre. Je redouble d’efforts avec ma langue et mes ongles, faisant tomber la deuxième pince. Au bord de l’orgasme, ton corps se tend à en craquer, ta voix se brise alors que tu me supplies encore et encore.
Je finis par me redresser pour t’admirer, laissant tomber mon dernier ordre : « jouis ». Tu tournerais presque de l’œil alors que ton orgasme ravage tout sur son passage, oh mon soumis, tu n’es jamais aussi beau que lorsque tu es mien. Je reste sans bouger jusqu’à ce que tu redescendes quelque peu pendant que mon esprit s’embrume. Je diminue les vibrations de l’œuf jusqu’à l’éteindre, accompagnant ta descente alors que je me trouve à des lieux de cette chambre perdue dans les méandres de mon propre plaisir.
Je me relève enfin, peu consciente de mes gestes, alors que je te rends tes sens et ta liberté de mouvement. Tu te redresses et je viens t’enlacer et t’embrasser, rêvant que ce moment ne s’arrête jamais. Tu me rends mon étreinte et mon baiser comme si c’était notre dernier. Oh mon soumis, j’ai tant besoin de toi, tant besoin de ces moments. Sois mien à jamais.
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