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Mon succube, ma belle-mère

Chapitre 2

Un essayage caliente

Erotique
Après une semaine de statu quo, où ni ma belle-mère ni moi n’avions repris contact depuis notre petite séance à domicile, l’opportunité de forcer à nouveau le destin se présenta à moi.
Cette fois, notre petite histoire se déroula au centre commercial situé dans la ville la plus proche de chez nous, où j’étais allé pour acheter des vêtements à mes enfants.
Alors que j’étais dépité de ne rien trouver, je me rendis compte, en sortant d’une boutique, que mon succube se trouvait de l’autre côté du plateau, assise sur un banc, à une dizaine de mètres de moi. Ma femme n’étant pas présente puisqu’elle avait pris sa journée pour aller remonter le moral d’une de ses amies venant de se faire larguer par son copain, je me décidai rapidement à égayer ma matinée.
Il n’y avait pas grand monde à cette heure matinale, et je voulais être certain qu’elle n’était pas accompagnée. Me plaçant dans une allée comprenant un panel de chaussures éclectiques, je composais son numéro tout en regardant sa réaction de loin, bien à l’abri des regards.
Au bout quelques secondes, je la vis attraper son téléphone et l’extirper de son sac à main. Lorsqu’elle aperçut mon nom sur l’écran, elle se mit à observer rapidement les alentours avant de décrocher.
Sa réaction me plaisait.
— Oui ?
Sa voix était chaude et douce, mais trahissait une certaine inquiétude.
— C’est moi, tu vas bien ?
Je voulais ma voix posée et calme, prêtant plus attention à ses faits et gestes qu’à l’excitation que je ressentais et qui montait déjà en moi.
— Oui, et toi ? Tu as besoin de quelque chose ?— Oui, de toi... Tu es seule ?
Sa voix devint plus fébrile.
— Oui, mais heu... je ne suis pas chez moi et...
Je lui coupai sèchement la parole, sans lui laisser le temps de continuer sa phrase.
— Je sais que tu n’es pas chez toi. Je ne suis pas loin, je viens de t’apercevoir, et comme tu es seule, on va faire un peu de shopping ensemble. Rentre dans le Zara en face de toi, je t’y rejoins dans cinq minutes. Tu peux déjà commencer à te choisir quelques petites tenues d’essayage.— Maintenant ?— Je t’ai posé une question ? C’est un ordre au cas où tu ne l’aurais pas remarqué.
A l’autre bout du fil, je pouvais percevoir le rythme de sa respiration s’accélérer, et juste avant qu’elle ne me réponde, entendre sa langue humecter ses lèvres.
— D’accord... maître.
La façon dont elle prononça ce dernier mot, sur un soupir brulant comme la lave, suffit à rendre ma verge bien visible au travers de mon pantalon.
Après m’être empressé de la rejoindre, je pus enfin la découvrir dans des habits toujours aussi sexy qu’à l’accoutumée.
Une paire de bas noirs surmontant des chaussures à talon haut de la même couleur, dont une fine lanière entourait sa délicate cheville. Elle était vêtue d’une robe très moulante, épousant chacune de ses formidables rondeurs et gonflant sa poitrine aguicheuse.
Elle afficha un sourire en coin lorsqu’elle me reconnut, dévoilant ses dents blanches mordant furtivement sa lèvre inférieure.
Un rapide coup d’œil dans le restant du magasin pour m’assurer que personne que nous ne connaissions ne s’y trouvait et j’arrivais à sa hauteur. Ma main gauche remonta le long du haut de sa croupe pour se caler au creux de ses reins tandis que ma main droite l’attrapa par la nuque dans un mélange de délicatesse et de fermeté. Sans même nous quitter du regard, nous avions abaissé nos masques et nos bouches se rencontrèrent, laissant danser nos langues ensemble le temps d’une poignée de secondes. Lorsque notre étreinte s’arrêta, je lui pinçai légèrement la lèvre en me retirant.
Si mon idée de départ était de réaliser une séance d’essayage, je sentais que les choses allaient aller bien plus loin, pour notre plus grand bonheur certainement.
Nous avons poursuivi notre petit tour dans le magasin, glanant de-ci de-là quelques articles, et après avoir fait rapidement le tour, covid oblige, du choix devenu limité, nous nous sommes dirigés vers les cabines.
Je m’assis face à la cabine dans laquelle elle pénétra. Elle plaça ses affaires sur le crochet et se retourna vers moi :
— Il y a quelqu’un dans les environs ?
Elle semblait à la fois stressée et excitée comme une écolière.
— Non, toujours personne.
Elle me décrocha un clin d’œil et entreprit de se déshabiller sans même refermer la porte derrière elle.
Elle se déshabilla très lentement, en se déhanchant d’une façon qui avait certainement dû faire bander une flopée d’hommes, devenus tous aussi durs que moi à présent.
Elle passa ses mains sur son coup de pied, le caressant en me fixant droit dans les yeux, avant de faire sauter la lichette retenant son escarpin. Elle remonta sur ses mollets, attaqua ses cuisses bien en chair, et finit par atteindre le rond de ses fesses si bien galbé. Elle s’arrêta quelques instants, prenant chacun de ses seins dans ses mains pour les tordre avec force afin de faire baisser la tension qui la tiraillait, et releva sa jupe. Elle ne portait évidemment pas de culotte, et je sortis de ma transe juste à temps pour ne pas commencer à me masturber à la vue de tous.
Cette petite garce jouait avec moi, me montrant son postérieur, les fesses bien écartées, me servant ses deux magnifiques trous sur un plateau. Je n’avais qu’une envie, foncer dans cette cabine et combler ses derniers avec ardeur. Mais alors, elle aurait gagné, et je me devais de garder le contrôle. Elle jouait là-dessus, consciemment ou non, et j’allais lui montrer qu’elle était à moi, et pas l’inverse.
Il n’y avait toujours personne en vue, hormis deux employées lassées d’attendre les clients et discutant à l’entrée du magasin.
Quatre pas plus tard, j’étais à l’intérieur avec elle, nos corps pressés l’un contre l’autre. Elle releva la tête vers moi.
— Baise-moi, prends-moi s’il te plaît, je n’attends que ça depuis la semaine passée !
Elle était sincère, mais je n’allais pas lui faire ce plaisir, pas tout de suite du moins.
— Je peux te donner ce que tu veux, mais n’oublie pas, ce sera selon mes règles.— D’accord !
Elle opina du chef, mais je me devais de la rappeler à l’ordre. Une légère gifle lui fit détourner le regard quelques secondes.
— Je suis désolée... oui maître.
Satisfait, je la fis passer aux choses sérieuses.
— Tu vas me sucer comme la dernière fois, mieux encore même, et si tu fais ça bien, peut-être que je m’occuperai de toi...
Elle se mit immédiatement au travail, ce qui me redonna le sourire, car j’avais repris le contrôle. Désormais, la femme que je désirais me désirait tout autant, et je la tenais au creux de ma main.
Rapidement, elle défit ma ceinture et abaissa mon pantalon au niveau de mes genoux, dévoilant ma verge gonflée de désir à l’idée de ce qui m’attendait. Elle attrapa de sa main gauche mes testicules et les massa avec expérience, même si je pouvais sentir son empressement. Son autre main passa sous ma chemise et mon pull, les soulevant pour dévoiler mon torse qu’elle caressa tandis que sa langue s’arrêta autour de mes mamelons, qu’elle finit par mordre légèrement. Me faisant frissonner.
Mes doigts passèrent dans ses cheveux d’ébène, alors qu’elle s’abaissait pour me procurer encore plus de plaisir. Elle affirma sa prise sur mes bourses en les calant dans sa paume, la contractant à un rythme régulier, tandis que ses doigts jouaient avec ma prostate, s’arrêtant à la lisière de mon anus. Sans plus de cérémonie, je vis mon gland disparaître dans sa bouche pour rapidement buter contre l’entrée de sa gorge.
— Tu es parfaite, si tu arrives à la mettre entièrement dans ta bouche, je pense que tu pourrais augmenter tes chances de te faire baiser...
A nouveau, sans même me prévenir, elle engouffra mon pénis dans son écrin doux et chaud. Durant de longues secondes, elle maintint la position, son nez collé contre mon bas-ventre, sa langue effectuant des va-et-vient rapides autour de mon membre palpitant, cognant régulièrement contre son palais.
Lorsqu’elle ne put plus tenir, elle se retira, un long flot de bave s’écrasant dans un bruit spongieux sur le parquet.
— Tu es très douée, lui dis-je, essoufflé, je crois que tu as droit à une petite récompense...
Elle sourit et se retrouva plaquée contre le mur du fond de la cabine. Elle me suppliait de lui faire du bien, et je comptais bien exaucer son vœu. Je lui intimai l’ordre de se cambrer afin de m’offrir sa croupe. Elle s’exécuta dans la seconde, non sans lâcher un petit gémissement. Je me penchais vers elle pour l’embrasser, lui offrant ma bouche afin de l’empêcher de faire trop de bruits, de peur que l’on puisse nous entendre. Pendant ce temps-là, ma main suivait la courbe de ses fesses, se plaçant sur le dessus alors que mon auriculaire et mon index écartaient ses magnifiques cuisses. Elle se crispa sous les caresses en surface de mon majeur et de mon annulaire joints. Je prenais un plaisir fou à sentir ses mouvements devenir de plus en plus chaotiques alors que je ne faisais que la doigter en surface. Elle transpirait abondamment, et je sentais sa mouille sirupeuse couler le long de mes doigts.
— Attrape ma queue et branle-moi pendant que je te fais du bien, ma petite salope.
Elle la saisit avec tellement de force que j’eus peur que pas une goutte de sang ne puisse plus y passer. Malgré tout, ses mouvements me faisaient du bien, alors je décidai de passer à l‘étape supérieure. Cette fois, il s’agissait de ses lèvres que j’écartai, et je faillis jouir lorsque mes doigts pénétrèrent dans sa cavité humide débordante de cyprine. Lorsque je les insérai en elle, de plus en plus vite, conscient que nous n’avions pas des heures, un flot s’échappa de son vagin pour maculer mes doigts et s’écraser lourdement sur le sol. Nous ne pouvions être plus excités, et je n’avais à présent qu’une seule envie, lécher ce fruit interdit pour en goûter sa saveur.
Je délaissai sa tête pour me positionner derrière elle, mes mains sur ses fesses, les écartant au maximum, ce qu’elle sembla apprécier au vu du frisson qui la secoua. Sans attendre une seule seconde de plus, j’enfouis mon visage au creux de ces demi-lunes halées. L’odeur sucrée qui se dégageait de son entrejambe accentua mon envie de profiter de cet instant désiré depuis des années. Ma langue parcourut sa vulve doucement, partant de son anus pour finir sur le haut de son vagin, où je pouvais sentir une légère toison naissante. Plusieurs secondes durant, je la fis languir en prenant mon temps, sachant pertinemment que tout cela la rendait folle, mais devait aussi la frustrer, ce qui lui rappelait sans conteste sa condition. Elle n’était pas aux commandes, c’était le jeu auquel elle avait accepté de jouer, le contrat que nous avions établi ensemble.
Elle tourna son visage rougi vers moi, et, haletante, m’adressa son ultime désir :
— Prends-moi, s’il te plaît, baise-moi ! Peu importe le trou, mais possède-moi !
Elle voulait que je lui fasse l’amour, tout comme la dernière fois, et elle commettait à nouveau le faux pas de me demander quelque chose pour son propre plaisir... A vrai dire, cela m’amusait plus que ça ne m’irritait ; après tout, difficile d’enlever des années d’habitudes et de réflexe en tant que dominatrice. Étonnamment, sur ce point, je la trouvais même docile, peut-être était-ce dû au cocktail interdit d’amour brut nous sortant de nos habitudes, ou tout simplement à cette envie de nous toucher, de nous découvrir et de profiter du corps de l’autre enfin à notre portée après tellement d’années à pratiquer un jeu de séduction plus ou moins bien masqué.
Non contente de recevoir mes coups de langue, elle agitait frénétiquement son cul, dans le seul et unique but d’en augmenter la cadence. Je mourrais d’envie de la prendre comme la cochonne qu’elle était, mais je devais m’y résigner à nouveau. Je n’allais pas encore pouvoir goûter au fruit défendu de la plus convoitée des façons, mais ce n’était que partie remise.
Mes mains saisirent le devant de ses cuisses avec puissance, l’empêchant d’effectuer tout mouvement. Ceci me permit de profiter d’un plus grand contrôle de mes mouvements, et à elle de se concentrer sur ce qu’elle ressentait sur le moment.
Mon organe fouillait avec avidité son intimité, pressé que j’étais d’en extraire la moindre goutte, d’en établir la cartographie la plus profonde. Au bout de quelques secondes, ses jambes commencèrent à vaciller, secouées de spasmes violents. Je connaissais cette réaction, et savais par conséquent que le temps m’était compté avant qu’elle ne me demande d’arrêter.
— Tiens-toi prête, je vais te faire jouir ma belle.
Ma langue enlaça son clitoris, et de la pointe, je me mis à titiller cette petite excroissance hautement sensible qui ne tarda pas à faire voir ses effets sur ma muse.
Une main devant la bouche, afin d’éviter de laisser échapper un malencontreux cri susceptible de nous mettre dans l’embarras, l’autre se plaça sur le sommet de mon crâne pour se saisir de mes cheveux. Je dévorais à présent littéralement son con, suçant et recrachant successivement cette petite masse rosâtre. En y repensant, je ne pense même pas m’être rendu compte sur le moment que j’étais au bord de l’éjaculation, tant cette fièvre qui s’était emparée de moi me faisait oublier tout le reste.
Sa prise se resserra soudain violemment, j’écartais de mes deux mains sa magnifique chatte béante, et lors d’un dernier passage se terminant sur sa douce petite rondelle, je sentis plusieurs petits jets ponctuels éclabousser mon menton. Je m’empressai de lui fournir un appui, car ses forces s’étaient soudainement évaporées. Elle termina à genoux, à mes côtés. Elle, ses bas et ses chaussures trempés, moi, le menton dégoulinant de son nectar, le pull tout autant souillé.
Nous nous sommes souri, elle semblait épuisée, mais restait terriblement belle, et nous nous sommes embrassés. Mais nous n’en avions pas fini, et j’avais une idée pour le grand final de ma petite soumise.
Il me suffit de me lever pour qu’elle comprenne instinctivement qu’il lui restait une dernière chose à faire. Se plaçant sous moi, elle emplit sa bouche de mes testicules, tour à tour mordant, suçant et léchant mes bourses sans me lâcher du regard alors qu’elle me masturbait avec une vigueur que je ne lui connaissais pas. J’étais tellement excité que je ne mis pas plus d’une poignée de secondes à jouir, et elle le comprit immédiatement au râle que je laissai bientôt échapper malgré moi au travers de mes dents bien serrées. Elle se positionna face à moi, la bouche grande ouverte, la langue sortie.
Un parfait tapis rouge à foutre.
Un large sourire suivi d’un gloussement de satisfaction accompagna mon premier jet de foutre maculant sa langue rose.
Se calquant sur la fréquence de mes jets, elle pressait mes couilles en cadence afin de les vider au maximum.
Le second fusa directement dans le fond de sa gorge.
La forçant à incliner son visage vers le bas, elle se prit une giclée en pleine face, éclaboussant sa joue gauche en grande partie. Le dernier coup d’envoi recouvra son front du sommet du nez jusqu’à la racine de ses cheveux. Harassée, elle prit la peine de me sucer encore quelques instants, le temps que mon pénis cesse ses soubresauts. Envahis par une douce plénitude, nous échangeames à nouveau quelques bisous, et lorsqu’elle fit mine de se nettoyer, mon piège se referma sur elle.
— Tu m’as comblé, ma belle, mais ce que tu as sur le visage, tu vas le garder jusqu’à ce que tu sois dans ta voiture.
Elle parut interloquée, mais la surprise que j’observais dans ses yeux laissa vite place à une forme... de défi.
— Mais... et si...— Et si rien du tout, je suis ton maître, et tu vas faire ce que je te dis. Tu m’as encore désobéi aujourd’hui. Tu n’as pas respecté ta place, tu es ma pute personnelle, tu n’as rien à exiger de moi, ou à me demander. Garder tout ce sperme sur ta gueule de chienne, c’est ta punition.
Elle grommela quelques instants, mais finalement accepta sans dire un mot.
Après un rapide rhabillage et nettoyage de la cabine pour que les suivants puissent l’occuper sans se douter de ce qu’il s’y était tramé, je la regardai une dernière fois avant de sortir de notre cage interdite. Elle était radieuse, et même si sur son visage pouvait se lire une certaine anxiété, je sentais qu’elle aimait ce qu’il se passait. Et puis avouons-le, braver l’interdit est une des choses les plus excitantes, qu’il soit question de sexe ou non.
Prenant une profonde inspiration pour me donner du courage, j’ouvris la porte et... nous étions seuls. Notre petite partie de jambes en l’air avait duré dix minutes à peine si j’en croyais ma montre, et personne ne semblait avoir remarqué quoi que ce soit.
Ma belle-mère reprit ses affaires et avant de sortir, je crus apercevoir sa langue s’étirer avec effort pour atteindre mon jus situé sur ses pommettes et abordant la commissure de ses lèvres. Je ne savais pas si c’était pour le faire disparaître de son visage, ou parce qu’elle en aimait la saveur... Certainement, un mélange des deux, tel que je la connaissais.
Elle me rattrapa très vite et plaça son bras sous le mien. Elle eut un sourire en coin, gênée, me laissant penser qu’effectivement, marcher jusqu’à sa voiture garée dans le sous-sol du centre commercial n’allait pas être une sinécure pour elle. Les premiers mètres lui servirent à trouver son équilibre sur ses jambes vacillantes, mais très vite, elle retrouva sa démarche féline et assurée. Elle se colla tout de même contre moi, et je pouvais sentir sa peau encore moite sur mon poignet.
Après avoir croisé une des vendeuses qui répondit distraitement à nos salutations, sans rien remarquer, nous nous sommes engagés dans les coursives du second étage.
Il n’y avait toujours pas un chat, excepté... un groupe de jeunes ayant établi domicile sur le bas des escaliers, nous avions donc décidé de jeter notre dévolu sur l’ascenseur qui descendait jusqu’au sous-sol (bien entendu, cela ne devait pas devenir scabreux et malsain comme défi, un peu de respect tout de même). Après avoir appuyé sur le bouton de commande, je la complimentai sur le sang froid avec lequel elle avait accepté ma proposition. Et alors qu’elle se penchait vers moi pour me répondre, un couple, dans la trentaine tous deux, nous demanda de retenir la porte qui se refermait. Sans même penser à la situation dans laquelle nous étions, je plaçai ma main devant le capteur pour qu’ils puissent avoir le temps de descendre avec nous.
L’homme me remercia et ils entrèrent. Ce n’est que lorsque je me retournai vers ma compagne, le visage toujours couvert de sperme que je réalisai la portée de mon geste. Elle se mordait les lèvres, mais il était hors de question qu’elle se dérobe à notre accord. Cette substance blanche et épaisse était devenue plus liquide et transparente, mais restait toujours très visible, contrastant sans jurer avec ses cheveux noirs et son teint mat.
Le peu de temps qu’il fallut aux portes pour se fermer, j’avais déjà remarqué deux choses. La première était le regard insistant de l’homme sur nous deux, certainement à cause de notre apparence couple, et de notre écart d’âge. La seconde était la façon dont la jeune femme scrutait de haut en bas le corps merveilleusement mis en valeur de ma petite esclave. Vu comment la situation évoluait, avant que nous soyons tous dehors, l’anomalie allait être décelée. Bien évidemment nous en étions conscients tous les deux.
De longues secondes s’égrainèrent, où je sentis des regards furtifs, mais insistants. Ma partenaire de crime pinça soudainement mon bras, et effectivement, alors que nous venions à peine d’entamer la moitié du trajet, la femme venait de comprendre ce qui clochait. Du coin de l’œil, je vis mon succube, la regardant avec intensité, se lécher les lèvres, et ramasser le plus gros avec son index pour le pousser vers sa langue. Je n’eus pas l’occasion de voir de mes propres yeux la réaction adverse face à cette provocation que la porte s’ouvrit, libérant le couple avec autant d’empressement que lorsqu’ils étaient rentrés, la brune tirant son mari hors de la cabine.
Peu importe, j’en connaissais une, au moins, qui avait pris beaucoup de plaisir à cet étalage de luxure...
Et c’est ainsi que nous nous sommes quittés. Après être montée dans sa voiture, je l’ai aidé à se débarbouiller, et après un bref baiser, nous nous sommes promis de recommencer très vite, ce que j’attendais avec un bonheur et une impatience toute particulière !
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