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Mon super anniversaire

Chapitre 2

Lesbienne
Nous nous préparons complètement, y compris en utilisant l’engin miracle de Julie. Elle me prête une robe ample et courte boutonnée devant. Elle met une robe similaire, Marie garde sa robe. Elle prépare des godes et les met dans un sac avec deux boîtes de préservatifs et du gel. Quand nous sortons de chez Julie, le vent a faibli, il fait bouger nos robes, elles montent un peu, dévoilant tout juste le bas de nos fesses, rien de bien excitant. Nous décidons d’y aller en métro, la rame est pratiquement vide, ce n’est pas très marrant. Un peu déçues, nous en profitons pour nous amuser entre nous, mais rien de bien spectaculaire sauf pour Julie. Elle s’assied en face de nous, défait lentement ses boutons un à un et ouvre sa robe. Elle écarte ses cuisses en grand et commence à se masturber. Il y a deux personnes derrière elle, mais elles ne peuvent pas la voir. Seules les personnes dans le wagon attenant pourraient le voir. Nous arrivons dans une station, Julie ne bronche pas, elle continue sa masturbation. Juste deux personnes au début du quai qui passent très vite.
— Dommage, je commence à partir dans les tours.
Son doigt caresse doucement son clitoris, la rame redémarre, elle continue sa masturbation, je viens m’assoir à côté d’elle pour lui pincer le sein gauche, Marie en fait autant pour le sein droit. Au moment où la rame arrive à une station, elle se raidit, ferme ses cuisses sur sa main et jouit en poussant un léger cri couvert par le bruit des freins de la rame.
— RRRRRRRRRR
Elle se rajuste et nous sourit.
— Vous venez d’assister à une première, mais je peux vous promettre que ce ne sera pas une dernière, j’ai trop aimé cette sensation de danger.
Deux minutes plus tard, le métro arrive à notre station. Nous arrivons au sex-shop vers quinze heures. Jean, le patron, m’accueille en m’embrassant, je lui présente Julie et Marie qui l’embrassent aussi.
— Bonjour Lili tu viens t’éclater avec des copines ?— Oui, j’ai envie de m’amuser un peu, il y a du monde derrière ?— Un couple et quatre mecs, tu sais, nous sommes dimanche, c’est en général très calme.— Je sais, mais aujourd’hui, je ne suis pas seule, et six spectateurs, c’est déjà pas mal.— Je pense qu’ils sont dans des cabines.— Ne t’en fais pas, je sais comment les en faire sortir.— OK les filles, je pourrais filmer ?
Je regarde Julie et Marie, elles me font oui de la tête.
— C’est d’accord, tu peux filmer, mais aux conditions habituelles.
— Je sais, tu contrôles le film avant de me le donner.— Voilà.— Et bien aujourd’hui, c’est gratuit pour toi et tes copines, entrez dans l’arrière-boutique, Sylvie vous suit, Sylvie, on a besoin de toi, prend la caméra.
Sylvie sort d’une pièce derrière la caisse une caméra à la main.
— Salut Lili, tu vas bien ?— Super, et toi ?— Comme d’habitude, je présume que c’est pour toi la caméra ?— Exactement, on va un peu s’éclater.
Elle vient nous embrasser. Elle ne porte qu’une microjupe plissée sur un cache-cœur minimaliste, ses tétons pointent sous le tissu fin qui ne dissimule rien de ses seins. Je lui soulève la jupe, comme d’habitude, elle est nue dessous. Je caresse un peu ses fesses, ce qu’elle me rend en posant sa main gauche sur les miennes pour les caresser.
— Toujours aussi douces et fermes.— Comme les tiennes.
Je me dirige vers la porte de l’arrière-boutique suivie par les trois filles. Quand j’entre, la salle est vide, mais seule une porte de cabine est fermée. La salle se compose d’une rangée de cabines sur la gauche, d’un énorme miroir qui couvre pratiquement tout le mur de droite du sol au plafond, ainsi qu’un autre miroir sur le mur du fond où un divan encadré par deux chaises viennent compléter l’ensemble. Nous passons devant toutes les portes, la première cabine est vide, dans la seconde, un homme d’une quarantaine d’années est nu et se masturbe devant un film, la troisième est vide, dans la quatrième, c’est un garçon d’à peine vingt ans qui se fait masturber par un mec, dont je ne vois que le dos, à qui il caresse les très belles fesses. Ils ont enlevé leurs pantalons, mais restent avec une chemisette. La cinquième est fermée, les trois autres cabines sont vides, je présume que le couple est enfermé avec le quatrième homme. Je remarque qu’aucune des deux cabines occupées ne comporte de glace, ils ne peuvent donc pas voir ce qui se passe derrière eux. Quand nous arrivons au fond de la pièce, je décide de passer à l’attaque.
— Allez les filles, en tenue.
Je déboutonne ma robe et la laisse tomber à terre. Après une seconde d’hésitation, Julie m’imite suivie par Marie qui a hésité un peu plus. Nous posons nos affaires sur une chaise dans un coin de la pièce. Sylvie filme ce qui se passe. Je viens derrière elle, défais le bouton de la ceinture de sa jupe, fais glisser le zip ce qui la fait atterrir sur le sol. Julie vient la prendre, elle découvre un pubis bien rebondi et glabre. Elle y dépose un baiser furtif. Marie vient vers nous.
— Passe-moi ta caméra une seconde.
Sylvie lui tend la caméra qui filme toujours, Marie l’oriente vers elle pendant que je lui fais passer son cache-cœur par-dessus sa tête. Marie la filme de bas en haut en faisant des pauses au niveau de son sexe et de ses seins. Elle lui fait faire un demi-tour sur elle-même ce qui lui permet de la filmer de dos en faisant le chemin inverse, de haut en bas avec évidemment, une escale sur ses fesses. Sylvie récupère la caméra et la dirige vers moi. Je vais vers la seconde cabine, l’homme se masturbe toujours, je le détaille un peu plus pour constater que sa bite, sans être monstrueuse, est d’un beau calibre. Sylvie filme toujours.
— Belle bite.
L’homme sursaute comme s’il ne nous avait pas déjà entendus. Il se retourne et ouvre de grands yeux en me voyant nue devant lui. J’entre dans la cabine pour m’arrêter à cinquante centimètres de lui en me positionnant pour faciliter le travail de Sylvie. Il me détaille de haut en bas, il ne sait que faire, ça doit être la première fois qu’un truc pareil lui arrive. Je prends sa main libre et la pose sur ma cuisse.
— Tu aimes ?
Il me regarde d’un air apeuré, il retire sa main. Je lui prends de nouveau sa main pour la poser cette fois-ci sur mon pubis.
— Ne t’en fais pas, c’est gratuit.
Il laisse sa main sur mon pubis sans la bouger. Je reste immobile. Au bout de quelques secondes, sa main bouge un peu. Elle remonte sur mon ventre, va sur un côté, redescend sur ma hanche pour revenir sur mon pubis, mais un peu plus bas, à la limite de mon clitoris. J’ouvre un peu mes cuisses. Il comprend, sa main descend sur mon sexe. Il trouve des lèvres ruisselantes de cyprine. Ce contact l’électrise, il fait tourner sa chaise vers moi pour se pencher et venir poser ses lèvres sur ma vulve. Sa langue s’active sur mon clitoris, ses mains me malaxent les fesses, je me laisse aller au plaisir. Mon corps se contracte, j’explose.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH
Sa langue continue de me titiller le clitoris, mon orgasme se prolonge, mais mes jambes ne tiennent plus, je dois m’appuyer sur lui pour rester debout. Quand il comprend que c’est fini, il se redresse, se lève et m’aide à m’assoir sur sa chaise.
— Tu es super, je n’ai jamais rien vécu de pareil.— Oui, mais tu n’as pas joui.— Non, mais je ne regrette pas, ce qui s’est passé est super, je m’en contente.— Tu ne voudrais pas jouir aussi ?— Bien sûr, mais comment ?
Je me retourne et lui montre Julie et Marie qui sont dans l’encadrement de la porte.
— Ça te suffit ?
Il ouvre de grands yeux en les voyant nues elles aussi.
— Mais tout le monde est à poil ici.— Oui, même toi.— C’est un fait.— Allez, viens avec nous.
Je quitte la cabine, il nous suit en tenant ses fringues à la main. En passant devant la quatrième cabine, je vois les deux mecs debout qui nous regardent. Julie va vers eux. Elle s’arrête devant le premier et commence à lui déboutonner la chemisette. Marie vient devant le second et lui fait la même chose. Ils se retrouvent à poil en trente secondes. Ils bandent comme des ânes, ils ont tous les deux une belle bite, pas gigantesques, mais très appétissantes. Surtout celui qui était de dos, sa bite se termine par un énorme gland. Lui aussi doit avoir dans les quarante ans. Marie attrape la bite du plus jeune et l’entraîne vers le divan. Julie sort une boîte de préservatif et en tend un à Marie. Elle s’assoit sur le divan, attire l’homme à elle et lui gobe la bite. Après quelques secondes de fellation, elle l’encapuchonne dans le préservatif. Elle se lève, fait allonger l’homme sur le dos et vient se mettre à califourchon sur lui. Elle se positionne sur sa bite et se laisse descendre doucement pour s’empaler jusqu’à la garde.
— Oui, belle bite bien raide.
Elle monte et descend sur elle, mais le gamin n’a pas trop de résistance et jouit tout de suite. Marie descend du divan a priori un peu déçue.
— Pas de problème mon mignon, ça viendra avec l’âge, et en plus, il y a d’autres bites à croquer.
Le gamin est rouge écarlate, il se lève et va récupérer ses affaires. Une minute plus tard, il a disparu. Pendant ce temps, Julie s’est rapprochée du premier homme.
— Tu t’appelles comment ?— Jules.
Je me retourne vers l’autre.
— Et toi ?— André.— Nous, c’est Marie, Julie, Sylvie et Lili, bienvenue à la fête.
Je fais assoir André sur le divan, sa bite est toujours orientée vers le ciel. Je me retourne et viens m’assoir sur lui après lui avoir enfilé une capote. Son gland vient se glisser entre mes lèvres et entre doucement dans ma grotte chaude et très humide. Je monte et descends sur cette magnifique bite, je sens son énorme gland me masser le vagin et venir buter sur mon col. Soudain André m’immobilise, il se redresse en m’entraînant avec lui, se retourne et me fait mettre mes mains sur l’assise d’une chaise. Je suis courbée en avant avec sa bite enfoncée en moi. Il me saisit par les hanches et me pistonne à un rythme effréné. Son pubis claque sur mes fesses à chaque aller-retour. Un nœud se forme dans mon bas-ventre, il enfle doucement jusqu’à ce que je sente sa bite vibrer. Je me laisse aller et nous jouissons ensemble. Sa bite palpite dans mon vagin tandis que j’explose dans un superbe orgasme. Quand je reviens à moi, je vois Julie allongée sur le dos sur le divan qui se fait faire une minette par Marie qui se fait prendre en levrette par Jules. Sylvie filme, mais elle tient sa caméra d’une seule main, l’autre caressant langoureusement son clitoris. Je viens m’agenouiller devant elle, écarte sa main que je remplace par ma langue. Elle jouit en quelques secondes, juste au moment où Julie jouit elle aussi en poussant un cri aigu.
— HHHHHHHHHHIIIIIIIIII.
Elle est très vite suivie par Jules qui s’exprime haut.
— Oh putain, je jouis, je jouis.
Il donne de violents coups de reins en secouant Marie comme un prunier. Elle se dégage sans avoir joui. Je vois à son visage qu’elle est encore une fois déçue. Jules va récupérer ses affaires et se rhabille.
— Désolé, mais il faut que j’y aille.
Soudain, la porte de la cabine fermée s’ouvre, deux hommes et une femme en sortent. Un homme d’une trentaine d’années assez beau, une très jolie femme du même âge et un garçon qui doit tout juste avoir dix-huit ans. Ils sont habillés et nous regardent sans comprendre ce qui se passe dans cette pièce. Je vais vers eux.
— Nous ne vous avons pas gênés j’espère ?
L’homme le plus âgé me regarde l’air un peu amusé.
— Pas le moins du monde, mais dites-moi, c’est une partie privée ?— Absolument pas, tout le monde peut participer, mais au vu de la tenue des personnes dans la pièce, vous comprenez qu’il y a une « tenue de rigueur ».— Parfaitement.
Il se retourne vers les deux autres.
— Allez, à poil et plus vite que ça..../...
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