Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 40 J'aime
  • 1 Commentaire

Mon super anniversaire

Chapitre 4

Lesbienne
Lundi
Je me réveille la première, Julie est sur le dos, le drap ne lui couvre qu’une partie des jambes. Elle respire lentement m’offrant le merveilleux spectacle de son magnifique corps. Je me penche sur sa bouche pour y déposer un baiser furtif, mes lèvres descendent sur ses seins, son ventre pour arriver sur son mont de Vénus. Je suis sûre qu’elle est réveillée mais qu’elle fait semblant de dormir. J’en profite. Je lui écarte doucement les jambes, me glisse entre elles et pose mes lèvres sur sa vulve étrangement très humide pour quelqu’un qui dort. Je lui lèche les lèvres, glisse ma langue dans son vagin le plus possible, son ventre commence à bouger imperceptiblement. Je remonte un peu pour titiller ses petites lèvres et glisser ma langue sous son clitoris qui commence à prendre du volume. Elle réagit en accentuant les ondulations de son ventre. Je finis par lui aspirer son clitoris en le titillant avec ma langue. Elle explose.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH oui, oui, encore, encore, ouiiiiiiiiii, je t’aime.
Je me redresse, elle est rayonnante, elle se redresse, m’enlace, se laisse aller sur le dos en m’entraînant sur elle. Un long baiser nous unit.
— Comme j’aimerais être réveillée comme ça tous les jours.— J’avoue que moi aussi j’aimerais te réveiller comme ça tous les jours, on verra plus tard.
Son air s’assombrit un peu, l’espace d’une seconde. Je la serre dans mes bras.
— Je suis très prudente, je ne veux pas foncer tête baissée, bien que tu me plaises énormément et que je sois bien avec toi, très bien même.— Alors, où est le problème ?— Dans ma tête, je suis comme ça, mais ne t’en fais pas, ça se soigne.
Nous éclatons de rire, l’ambiance est revenue à la rigolade. Nous nous levons pour foncer à la douche. Evidemment, elle est ponctuée de plusieurs orgasmes, bien aidée par l’appareil miracle de Julie. Après le petit-déjeuner, il est temps d’aller chez moi pour me changer. J’enfile ma jupe moulante de la veille et mon débardeur. Nous marchons tranquillement dans la rue, le vent est tombé. Nous arrivons assez vite chez moi. Julie fait le tour du studio, elle est un peu triste de savoir que je vis dans si peu d’espace.
— Comment tu fais pour vivre dans ce petit studio ?— Je fais avec ce que j’ai, je n’ai pas les moyens de me payer autre chose.— Il y a toujours la possibilité de la colocation.— Oui, mais je ne trouve pas, je suis assez exigeante vis-à-vis des autres personnes, je ne veux pas m’engager et réaliser après que je suis tombée sur des personnes avec qui je ne peux pas m’entendre.— Moi, je peux te proposer une colocation gratuite.— Julie, tu vas trop vite.
— Excuse-moi.
Nous choisissons toutes les deux une jupe plissée et un corsage assez transparent, mais pas trop, on distingue juste nos auréoles brunes. Nous quittons mon appartement un petit quart d’heure avant l’heure du rendez-vous, nous arrivons juste à l’heure. C’est un bel immeuble haussmannien, elle habite au troisième. Nous décidons de monter par l’escalier, au cas où quelqu’un nous suive où nous croise. Quand nous arrivons sur le palier, la porte de l’appartement est ouverte, Rex se précipite sur moi pour me faire la fête. Il glisse son museau sous ma jupe, mais sa maîtresse le rappelle. Elle est devant la porte, simplement habillée d’une nuisette assez courte aussi opaque qu’une vitre. Je la détaille mieux, ses jambes sont encore bien galbées, son sexe est épilé et bien rebondi, ses fesses ne tombent pas et ses seins sont manifestement refaits, mais sans exagération, a priori, comme elle les avait jeune. Elle est encore super bien foutue. Nous entrons dans un bel appartement de cinq pièces avec un grand salon, le sol recouvert d’un très épais tapis. La maîtresse de maison vient vers moi. Elle dépose un rapide baiser sur mes lèvres, elle se tourne vers Julie.
— C’est ton amie ?— Oui, elle s’appelle Julie.— Moi, c’est Brigitte, mais bien que tu te sois envoyée en l’air avec mon chien et que je t’ai brouté le fion, je ne connais toujours pas ton nom.— Lili.
Elle va déposer un rapide baiser sur les lèvres de Julie.
— Maintenant que les présentations sont faites, je crois que vous devez vous mettre en tenue de travail.— C’est-à-dire à poil je présume.— Tu présumes parfaitement bien ma chérie. Regarde, Rex est impatient.
Rex nous regarde assit, sa bite sort légèrement de son fourreau. Je me mets à poil en deux secondes, Julie aussi. Brigitte vient vers moi pour me caresser, ses mains parcourent mon corps en insistant sur mes seins, mes fesses, et mon mont de Vénus. Elle vérifie avec un doigt si je réagis bien. Elle me fait voir un doigt bien brillant.
— Tu es à point pour lui, tu sais ce qu’il faut faire ?— Oui, je me mets à quatre pattes devant lui.— Exact, ne t’en fais pas, il a l’habitude.
Elle se tourne vers Julie.
— Tu es très appétissante ma petite Julie, tu crois que je peux m’occuper de toi pendant que Rex s’occupe de ton amie ?— Evidemment, je suis à ton entière disposition.— Et tu voudras essayer Rex.— Je suis là pour ça.— OK, à toi Lili.
Je me mets à quatre pattes devant Rex, Brigitte jette une serviette sur mon dos.
— C’est pour qu’il ne te griffe pas, laisse-le faire, il est habitué, il a un rituel.
Il vient derrière moi, je sens sa truffe venir renifler entre mes cuisses, au niveau de mes fesses, et redescendre vers le sexe. Il donne un coup de langue de mi-cuisse à la raie des fesses. Il réitère plusieurs fois, j’écarte le plus possible mes cuisses pour lui faciliter l’accès à mon sexe, sa langue vient me titiller l’anus. Je suis parcourue de violents frissons, mon corps réagit. Il se fixe un moment sur ma vulve, donnant de longs coups de langue qui se glissent entre mes lèvres, je ruisselle. Il finit par me sauter dessus assez lourdement. Il s’agite sur moi, cherchant une bonne position. Je finis par sentir sa bite buter sur mon périnée, glisser vers le bas et me transpercer la vulve d’un seul coup.
— Ah putain quelle bite.
Rex se déchaîne, il me pistonne violemment, ses coups de butoirs sont longs, rapides et violents, il me secoue comme un prunier, mais c’est divin, j’en redemande. Pendant ce temps, Brigitte a allongé Julie sur l’épais tapis à côté de moi et lui fait un broute minou d’enfer à en juger à la tête qu’elle fait. Moi, je déguste cette bite qui me pistonne à un rythme endiablé, je sens des ondes de plaisir commencer à envahir mon corps, mais je suis surprise par un coup plus fort que les autres, mon vagin se dilate au maximum et laisse pénétrer son bulbe. Je suis complètement remplie de son sexe, je suis envahie, pleine, possédée, j’adore. Je sens des jets de sperme me remplir le vagin, Rex bouge à peine, il se vide en moi en donnant des petits coups de reins. Je ne peux résister plus longtemps et parts dans un orgasme comme je n’en ai jamais eu. Je hurle mon plaisir.
— AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiii.
Mes bras m’abandonnent et je tombe la tête la première sur le sol. Mes fesses sont toujours en l’air et le sexe de Rex toujours en moi. Il se vide toujours. Je suis dans mes pensées quand j’entends Julie jouir.
— Oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiii, AAAAAAAAAHHHHHHHHH.
Rex s’arrête et se retourne. Il tire un peu sur sa bite, je me contracte pour expulser sa bite. Je tombe complètement sur le tapis, je sens le sperme de Rex couler le long de ma cuisse. J’essaye de me redresser mais Brigitte vient vers moi.
— Ne t’en fais pas, j’ai ce qu’il faut pour nettoyer le tapis, profite du moment.
Je me laisse aller, le sperme coule toujours, mon sexe me donne l’impression d’être toujours rempli par le sexe de Rex, c’est une très agréable sensation. Brigitte se glisse entre mes cuisses et me lèche. Elle récupère le sperme de son chien. Je vois Rex aller vers Julie. Elle est allongée sur le tapis. Il vient renifler son sexe, il donne un coup de langue. Julie réagit en ouvrant ses jambes au maximum. Rex comprend et lèche l’entrejambe de Julie consciencieusement en donnant de grands coups de langue, lentement et tout le long de sa vulve. On voit qu’il est habitué. Julie se tord de plaisir, sa respiration devient saccadée, son ventre se crispe, elle soulève ses fesses et explose.
— AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiii, quelle langue, quelle langue.
Rex ne s’arrête pas, il continue tant que Julie a les fesses en l’air, ce n’est qu’une fois qu’elle est de nouveau à plat sur le tapis qu’il s’arrête et la regarde. Son sexe est à moitié sorti. Elle se redresse, se met à quatre pattes et attend. Rex vient derrière elle, il lui renifle entre les jambes, les fesses pour redescendre sur son sexe. Il donne de grands coups de langue sur ses cuisses et ses fesses. Il refait exactement ce qu’il m’a fait. Julie écarte les jambes au maximum, il se fixe sur son anus.
— Oui, vas-y mon chien, fait moi jouir avec ta langue et ton sexe.
Maintenant, il insiste sur sa vulve, il va lui monter dessus. Brigitte prend la serviette et la pose sur son dos. C’est ce que Rex attendait, il saute et lui monte dessus. Il donne des coups de reins tout en avançant sur elle. Sa bite arrive sur ses fesses, je la vois buter sur une cuisse, mais le coup suivant, son ventre va jusqu’à ses fesses.
— Oh putain, ça y est, il me l’a mise, je la sens dans mon sexe, il me remplit le salaud.
Brigitte me fait mettre sur le dos et s’occupe de ma vulve qui libère toujours le sperme de Rex. Sa langue me lèche les lèvres et remonte jusqu’à mon clitoris. Je ne résiste pas longtemps et repars dans un nouvel orgasme. Elle continue à me lécher le sexe, mais très vite elle m’aide à me relever. Je vais m’assoir sur un divan pour récupérer. Julie est toujours prise par Rex, elle a posé sa tête sur le sol pour dégager encore plus son sexe. Rex donne de petits coups de reins, il lui a introduit son bulbe et se vide en elle. A sa tête, je vois que Julie est complètement dans les vapes et se délecte de l’instant. Je suis à moitié somnolente quand je sens une présence humide entre mes cuisses. Rex a libéré Julie qui est restée allongée sur le tapis, et a planté sa tête entre mes cuisses. Il me regarde, j’ai l’impression qu’il me demande la permission. Je pose ma main sur sa tête et le repousse. Il comprend, retourne dans son coin pour se coucher et se lécher la bite. Brigitte va relever Julie et l’amène à côté de moi. Nous nous enlaçons pour échanger un long baiser.
— Je vous laisse les filles, je vais préparer de quoi vous remonter un peu. Aimez-vous bien.
Elle quitte la pièce, nos mains se baladent sur les formes de sa voisine, doucement, lentement, comme pour bien s’imprégner de l’autre. Les yeux de Julie sont remplis d’amour, j’ai l’impression qu’elle est complètement folle de moi. Pour ma part, je l’aime bien, je suis bien avec elle, mais j’ai eu tellement de déboires avec mes ancien(ne)s partenaires que je suis un peu sur la défensive. Mais rien n’est définitif, cette fille me plaît beaucoup, et j’ai envie d’aller un peu plus loin avec elle. Brigitte revient avec des petites tartines à la confiture. Nous les dégustons avec plaisir en rigolant. Rex se lève et vient vers moi, il pose de nouveau sa tête sur mes jambes que je maintiens serrées. Il me regarde d’un air de chien battu. Brigitte vient vers moi.
— Il a encore envie de toi, mais pas comme tout à l’heure.— Et comment ?— En missionnaire.— C’est-à-dire ?— Tu t’assois au bord du divan jambes ouvertes, tu t’allonges sur le divan et il te prend de face comme un homme.— Je veux bien essayer, qu’est-ce que je fais ?— Juste t’assoir sur le bord du divan et écarter les cuisses, il comprendra.
Je me pose sur le bord du divan, m’allonge sur le dos et j’écarte les cuisses. Rex passe sa tête entre mes jambes pour venir me renifler. Il donne quelques coups de langue sur mes lèvres grandes ouvertes, il a l’air d’adorer ce qu’il y trouve. Je vois sa bite sortir de plus en plus. Quand elle est complètement sortie, il monte sur le divan, s’avance au-dessus de moi et me plante sa bite d’un seul coup dans le sexe. Sa tête est juste à côté de la mienne, il donne de violents coups de reins, je sens la peau de son ventre frotter contre mon mont de Vénus. J’ai l’impression d’être baisée par un homme, mais beaucoup plus vigoureusement. Je l’enlace sans le serrer, sa truffe est à un centimètre de mon visage. J’étire un peu mon cou pour déposer un baiser sur son museau, comme si c’était un homme. Je suis dans un autre monde, je n’ai plus aucune inhibition, je fais ce qui me passe par la tête, sans penser à rien d’autre, je profite au maximum de cette situation inédite.
— Tu permets ?
Brigitte me regarde avec un téléphone à la main, elle veut prendre des photos. Je fais oui de la tête tout en continuant à embrasser Rex. Je me reconcentre sur lui tandis que les flashs crépitent. Rex se dégage et vient me lécher le cou puis les seins, je suis électrisée. Je n’ai plus de doute, il est dressé sur mesure par la fille de Brigitte. Il continue à me défoncer la chatte, mais il délaisse mes seins pour venir réclamer un baiser. Il me plaque son museau contre la bouche. Je glisse ma langue contre ses lèvres, il me la lèche. Toujours ces flashs. Il donne plusieurs coups de langue sur mes lèvres. Je tire un peu ma langue, j’ai l’impression d’échanger un baiser avec un humain, il bouge sa langue, la mienne s’amuse avec la sienne. Cela dure cinq bonnes minutes, jusqu’à ce qu’il m’enfonce son bulbe dans le vagin et se vide en moi. Je le serre de plus en plus dans mes bras, il se laisse faire et pose sa tête sur mon épaule gauche. Il se vide par petits jets de sperme, je sens mon vagin se remplir, je me laisse aller et jouis en le serrant très fort.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui mon Rex, rempli moi, rempli moi, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH.
Je n’en peux plus, je suis au bord de l’évanouissement. Rex s’immobilise, il reste sur moi sans bouger. Julie est à côté de moi.
— Putain, jamais je n’ai pris un tel pied, jamais.
Ce n’est qu’au bout d’un long instant que je sens sa boule se rétracter et me libérer. Il descend du divan, Brigitte tend le téléphone à Julie, écarte Rex et se jette entre mes cuisses.
— A moi maintenant.
Elle me lèche la vulve du périnée au clitoris. Julie mitraille. Je jouis en moins de deux minutes. Julie tape sur l’épaule de Brigitte.
— Je peux ?— Bien sûr ma chérie, tu connais ?— Pas du tout, mais je vois que tu as l’air d’aimer beaucoup, je pense que ça va me plaire.— Je n’en doute pas, allez, à toi.
Brigitte récupère le téléphone et libère la place que s’empresse d’occuper Julie. Ses lèvres se posent sur ma vulve, étrangement, j’en ressens plus de plaisir qu’avec Brigitte, une joie profonde envahit mon cœur. Serais-je en train de tomber amoureuse de cette fille ? Je me donne avec plus de cœur à cette bouche qui finit par me faire jouir deux fois en moins de trois minutes. Je suis complètement épuisée, je ne sens plus mon corps. Tout à coup, je sens Julie me donner des coups de tête. J’ouvre les yeux pour voir Rex sur son dos.
— Il m’encule le salaud, il m’encule, quel pied..../...
Diffuse en direct !
Regarder son live