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Mon super anniversaire

Chapitre 5

Lesbienne
Rex donne de grands coups de reins, je ne peux pas apprécier le spectacle à sa juste valeur, je m’écroule de fatigue et tombe dans un demi-sommeil à peine perturbé par les flashs du téléphone. Je ne sens que les secousses de Julie, ça me berce. Quand j’émerge à nouveau, Julie est toujours à quatre pattes, fesses à fesses avec Rex, il s’est retourné, mais son bulbe reste enfermé par son anus. Brigitte est sur le dos sous elle, agrippée à ses hanches, la bouche collée à son sexe. Elle lui titille le clitoris, ce qui maintient Julie dans un orgasme continu. Je la vois tressauter de plaisir. Je suis envahie par une immense émotion en la voyant comme ça, je suis heureuse pour elle. Rex finit par se dégager, Brigitte se jette sur son anus pour boire le sperme de son chien qui s’en écoule. Je viens devant Julie pour l’embrasser passionnément. Elle me rend mon baiser avec autant de passion. Quand nous nous séparons, je vois dans son regard qu’elle comprend que je m’attache de plus en plus à elle. Quand Brigitte nous fait signe qu’elle a fini le nettoyage de son anus, elle se lève avec mon aide, nous nous allongeons sur le divan côte à côte, juste collées l’une à l’autre pour sentir nos corps vivre.
— Bon les filles, je vous laisse, je vais préparer de quoi manger.— Tu veux de l’aide.— Non, je me débrouille seule, prenez le temps de récupérer, la journée n’est pas finie.— OK.
Brigitte va dans sa cuisine, nous restons côte à côte sans bouger, juste pour être l’une contre l’autre enlacées. Au bout d’une grosse demi-heure, Brigitte revient avec une nappe et des assiettes. Nous nous levons pour l’aider. Une fois la table mise, elle nous entraîne vers sa chambre.
— J’ai quelque chose pour vous les filles, ici, il est obligatoire de respecter un protocole quand on mange chez moi.
Nous arrivons dans une grande chambre avec un grand lit rond, elle se dirige vers une commode et tire un tiroir.
— Venez choisir les filles.
Le tiroir est tapissé de sex-toys, il y en a des dizaines.
— Il faut en choisir un sur lequel vous allez vous assoir pendant le repas. Ici, nous mangeons avec le sexe ou l’anus, voire les deux, rempli par un engin de plaisir. Il y a des vibrants, des réalistes, tout ce que vous voulez, choisissez.
J’en remarque un composé de deux godes montés sur un support plat avec des sangles et un tuyau terminé par une pompe. Je m’en saisis et le montre à Brigitte.
— Celui-là se fixe sur la chaise avec les sangles, en plus, ils sont gonflables, tu peux en augmenter le volume quand ça te fait plaisir.— Je prends celui-là, il me plaît beaucoup.— Il y en a un autre pour Julie si ça l’intéresse.— OK, moi aussi ça me plaît.

Brigitte prend un énorme gode ventouse et ferme le tiroir. Arrivées à la table, elle fixe les lanières des deux ensembles et ventouse son gode sur sa chaise. Je pompe un peu pour donner de la consistance aux godes, Brigitte enduit celui pour l’anus de graisse chauffante.
— Décidément, tu penses à tout.— Question d’habitude, je fais ça au moins deux fois par semaine, un groupe de quatre personnes viennent dîner demain soir, et je peux vous dire qu’ils aiment le sexe et la bite de Rex.— Je vois.— Allez les filles, à table.
Je m’assois sur ma chaise en guidant les godes dans mes deux orifices. Ils s’enfoncent doucement pour bien me remplir. Je trouve qu’ils sont trop fins, je donne deux coups de pompe, c’est mieux, surtout pour celui de derrière, il me dilate bien le sphincter. Je me positionne bien sur ma chaise pour bien les mettre en place, pour bien les sentir. Je donne encore un coup de pompe. Je vois Julie faire la même chose, elle me regarde en souriant. Je commence à manger, mais je ne trouve le met pas assez poivré, je me lève un peu pour prendre le moulin à poivre. Les godes glissent dans mes orifices, me procurant un intense plaisir. Je me rassoie pour me redresser aussitôt, mouvements que je répète un certain nombre de fois. Les godes glissent en moi, je me baise.
— Tu devrais faire comme moi Julie, tu vas voir, c’est divin.
Elle se redresse, s’assoit, se redresse et continue ce mouvement en m’accompagnant. Brigitte fait de même sur son gode. Nous sommes trois femmes en train de se baiser avec nos godes attachés à nos chaises, vu de l’extérieur, ce devrait être assez grotesque, mais nous, nous finissons par jouir l’une après l’autre. Quand nous nous retrouvons un peu plus calmes, je peux commencer à manger.
— Alors les filles, ce n’est pas une super idée ?— Géniale.— Super.
Le manège a recommencé trois fois pendant le repas, à tel point que j’avais des difficultés à me lever. Après avoir débarrassé la table, Brigitte nous entraîne dans sa chambre où nous nous jetons sur son lit. Nous restons toutes les trois sans bouger. Brigitte est entre nous deux. Je regarde Julie qui ferme les yeux. Elle se met légèrement sur le côté en nous tournant le dos. En trois minutes, elle dort. Brigitte se glisse entre mes cuisses et m’aspire le clitoris. Je suis parcouru d’un violent frisson, mais mes yeux se ferment doucement. Brigitte s’en rend compte et vient déposer un baiser sur chacun de mes seins.
— Tu es crevée, je te laisse dormir, fais comme ta copine, à tout à l’heure.
Je la suis dans les bras de Morphée quelques minutes plus tard.
Quand j’ouvre les yeux, Julie dort toujours à côté de moi, Brigitte est agenouillée à côté du lit, le buste sur le lit et Rex la baise avec ardeur. Elle voit que je me suis réveillé.
— Tu as bien dormi ?— Oui, combien de temps ?— Ça fait une heure et demie que vous dormez, je vous ai regardées un long moment, vous êtes tellement belles toutes les deux, vous formez un magnifique couple.— Nous ne sommes pas en couple.— Ça viendra.
Elle se raidit d’un seul coup.
— Il me le met, quel pied, AAAAAAAHHHHHHH, putain, il me fait jouir, oui mon Rex, oui, baise ta maman, baise-la, fait la jouir, rempli la.
Elle est secouée de spasme, son visage est transcendé, elle s’agrippe au lit en le secouant, ce qui réveille Julie qui vient se blottir contre moi.
— Elle est belle quand elle jouit, tu ne trouves pas ?— Oui, très belle.
Julie m’allonge sur le lit est se met tête-bêche. Son sexe atterrit sur ma bouche pendant que sa bouche atterrit sur mon sexe. Elle embrasse mon sexe comme si en embrassait ma bouche en faisant pénétrer sa langue dans mon vagin. J’en fais autant. Nos langues s’activent dans nos grottes pour finir par ressortir, titiller nos lèvres et venir mourir sur notre clitoris. Nos gestes sont coordonnés, ce qui fait que nos corps explosent en même temps. Je m’agrippe à ses fesses pour la plaquer contre ma bouche. Elle fait la même chose. Quand nos corps ont retrouvé leur calme, elle vient s’allonger contre moi en m’enlaçant. Brigitte est debout à côté du lit.
— Magnifique les filles, je viens d’assister à une merveilleuse scène d’amour. Vous êtes faites pour vous aimer.
Julie se sert encore plus contre moi.
— Je le savais.
Je ne dis rien, mais je suis heureuse de ce qui se passe, moi aussi j’ai envie de vivre une histoire d’amour et je pense de plus en plus qu’avec Julie, cela peut être possible. Mais j’ai aussi envie de me faire enculer par Rex. Je me lève et viens me mettre comme Brigitte tout à l’heure. Rex comprend, je sens sa truffe se coller sur mes fesses. Brigitte me met un peu de graisse chauffante. Rex me saute dessus, son sexe me perfore le fion sans aucune hésitation. Mon sphincter en prend un coup et me fait sentir qu’il aurait préféré plus de douceur mais au bout de quelques allers-retours de la bite de Rex, il se calme et transforme la douleur en plaisir. Son rythme est toujours aussi endiablé, ce chien une condition physique extraordinaire. Je sens que son bulbe grossit à chaque fois qu’il vient toucher ma rondelle, je dois dire que j’appréhende le moment de la pénétration de ce monstre. Mon sphincter se dilate de plus en plus, je sens de moins en moins le sexe de Rex tout en éprouvant une énorme sensation de possession. Mon corps est de plus en plus parcouru de frissons et d’ondes de plaisir quand Rex décide d’en finir, donne un coup de reins plus fort et m’enfonce sa boule dans le cul. Je la sens à peine passer, mais ça déclenche mon orgasme.
— AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH, MMMMMMMMMMMMM.
Mon corps explose de mille feux d’artifice, mes jambes flageolent, mon ventre se crispe, ma tête explose, mon cœur est au bord de l’arrêt. Je jouis comme jamais je n’ai joui du cul, c’est une sensation de plénitude totale, surtout en sentant que mon rectum se remplit de sperme chaud. Julie s’est couchée devant moi et m’embrasse goulûment. Je plane, je vole, je suis au-dessus de tout le monde, je suis merveilleusement bien. Je reste en position tant que Rex ne me libère pas, j’aime trop sentir son énorme bulbe me distendre le rectum. Un peu de sperme coule le long de mes cuisses, ce que Brigitte se charge de nettoyer. Rex me libère au bout de vingt bonnes minutes, il quitte la pièce pour aller dans le salon.
— Je crois que c’est fini pour aujourd’hui, il a eu sa dose. — Nous aussi.— Moi, il ne m’a pas prise en missionnaire.— Ne t’en fais pas, ce sera pour la prochaine fois.— J’espère bien.— Il y aura peut-être aussi Bismarck.— Qui est Bismarck ?— Un dogue allemand, d’où son nom.— Original.— Il est plus vieux que Rex, il est beaucoup plus résistant, et surtout, il a une bite plus grosse que celle de Rex, qui est déjà pas mal.— Pourquoi n’est-il pas là aujourd’hui ?— Il est chez ma nièce depuis dix jours, elle en avait besoin. Je le récupère demain, j’en ai besoin pour la soirée.— Est-ce que tu l’auras vendredi ?— Oui, pourquoi ?— C’est mon anniversaire, j’organise une fête, rien que des filles, j’aurais aimé que tu viennes vendredi après-midi.— C’est gentil ma chérie, OK, je suis libre, j’amène les chiens ?— Ce serait super chouette.— Pas de problème, nous serons tous les trois chez toi vendredi après-midi.— Pas chez elle, c’est trop petit, Lili, je te propose d’organiser ton anniversaire chez moi, ce devrait être super excitant.
Je la regarde un peu surprise, mais je réalise qu’elle a parfaitement raison, sept femmes et deux chiens chez moi, on serait transformé en sardine dans une boîte.
— OK, mais je te préviens si nous faisons ça chez toi, il risque d’y avoir un peu de bruit.— Pas grave, l’immeuble est quasiment désert, je préviendrais les quelques personnes présentent, il n’y aura pas de problèmes.— Dans ce cas, c’est OK.
Elle me saute au cou pour m’embrasser. Brigitte en profite pour se mettre à côté de nous et nous caresser les fesses.
— Décidément, elles sont divines, vraiment divines.
Nous nous séparons et allons poser toutes les deux en même temps nos lèvres sur les siennes. Nos mains s’égarent sur ses fesses et ses seins. Nos trois bouches s’unissent et nos langues se battent amicalement. Quand nous nous séparons, elle a les larmes aux yeux.
— Merci les filles, vous êtes adorables.
Je réalise que je n’ai pas goûté au sperme de Rex. Je vais dans le salon, Rex est couché sur son tapis dans son coin, il se lèche négligemment la bite. Je vais vers lui et me mets à quatre pattes devant lui. Il ne bouge pas. J’avance ma tête vers son sexe. Il semble comprendre et libère sa bite. Je me penche pour la gober. Au début, les poils de son fourreau me gênent un peu, mais au fur et à mesure que son sexe sort, ma fellation devient plus agréable. Son sexe laisse couler un liquide que je bois avec plaisir. Je le suce depuis une bonne minute quand je sens un objet dur me forcer l’anus. C’est Brigitte qui veut m’enfoncer un énorme gode enduit de graisse dans le cul. Mon sphincter assoupli par la bite de Rex l’accepte sans broncher.
— Oui, vas-y, défonce-moi le cul pendant que je le suce.— Je te préviens que tu ne pourras pas le faire éjaculer dans ta bouche, je n’y suis jamais arrivé, ni ma fille d’ailleurs. En revanche il va te donner beaucoup de liquide, ça ressemble beaucoup à son sperme.
Je reprends la bite de Rex en bouche, il coule toujours, sa bite est maintenant complètement sortie. Brigitte me sodomise aussi violemment que Rex tout à l’heure. Julie se glisse entre mes jambes et s’occupe de mon clitoris. Une bite dans la bouche qui me verse sans arrêt un délicieux breuvage, un gode qui me défonce le cul, une langue qui titille mon clitoris, je pars une nouvelle fois dans un orgasme d’enfer. J’évite de justesse de mordre la bite de Rex tellement il est fort. Heureusement, je le libère avant. Je tombe à terre, à côté de Julie sans que Brigitte ne s’arrête. Rex se lève et vient vers moi, il me lèche l’entrejambe. Par réflexe, j’ouvre mes cuisses et sa langue vient remplacer celle de Julie sur mon clitoris. J’explose encore plus fort. Je finis par ne plus être complètement consciente. Je pars dans un monde irréel fait de plaisir, de douceur, de bien-être. Quand je reprends complètement possession de mes moyens, Brigitte m’aide à me lever.
— Allez les filles, à la douche.
Nous la suivons dans une énorme salle de bain, la douche est sage, nous sommes toutes les trois repues. Une fois nickel, nous retournons au salon, j’ai envie d’aller me balader, mais Brigitte est trop fatiguée, elle nous libère en nous promettant d’amener les chiens vendredi. Un dernier coup de langue de Rex entre mes cuisses et celles de Julie et nous la quittons. .../...
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