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Mon super anniversaire

Chapitre 7

Lesbienne
Tout le monde enfile ses fringues et nous voilà cinq minutes plus tard dans la rue au milieu d’une foule très clairsemée, il faut dire qu’on approche des vingt heures. Nous arrivons assez vite chez ses amis, ce n’est pas très loin de chez Julie. Joy met un quart d’heure pour réapparaître avec un sac.
— Ils n’ont pas trop apprécié et m’ont foutu dehors, je suis SDF.— Ne t’en fais, j’ai de quoi te loger.— Tu as une chambre ?— Oui, même plusieurs, mais j’ai surtout un grand lit qui peut accueillir trois personnes.— Super.
Elle s’est changée, elle porte une autre jupe plissée encore plus courte et un corsage crème laissant deviner ses seins libres. Nous marchons un moment, Joy paraît assez heureuse.
— Les filles, je vous invite à manger, et pas question de refuser.
Nous nous regardons et acceptons son invitation. Julie connaît un petit resto pas loin de chez elle, nous nous y rendons, le garçon qui nous accueille nous demande quelques minutes, le temps qu’une table se libère, le resto est plein. Nous nous installons sur la terrasse pour boire un petit apéro. Joy s’assoit en relevant sa jupe pour être au contact du bois de la chaise. Sa jupe ne lui cache pas grand-chose. Nous faisons la même chose en nous asseyant. Il fait encore très chaud, Julie défait un bouton de son corsage, vite imitée par Joy. Pour ma part, le mien n’a que deux boutons, un juste en dessous des seins, l’autre au niveau du nombril. Si j’en défais un, mes seins sortent, ce qui n’est pas très recommandé en public, je ne peux pas les imiter, dommage. Le serveur n’arrête pas de passer à côté de nous, nous en profitons pour ouvrir un peu nos cuisses, nous pencher sur le côté quand il passe. Il fait une drôle de tête quand il vient nous dire que notre table est prête, nous quittons la terrasse sous son regard triste. Nous nous installons de la même manière. Le serveur ne sait plus où donner de la tête. Joy est particulièrement enjouée, elle n’arrête pas de parler, de rigoler, de gesticuler. Elle finit par se calmer et même devenir cette fois-ci trop sérieuse. Elle se penche vers moi.
— J’ai envie de jouir.
Je la regarde en souriant.
— Eh bien, caresse-toi.— Non, j’ai envie de jouir sans me toucher.— Et comment penses-tu y arriver ?— Il suffit que quelqu’un d’autre me touche au bon endroit.
Elle me regarde dans les yeux.
— Toi par exemple.
Je donne un coup d’œil circulaire, seul un couple pourrait nous voir, mais ils sont tellement subjugués l’un par l’autre que plus rien ne compte. Je m’approche un peu de Joy et passe ma main sous le peu de jupe qui couvre son sexe. Je tombe sur une vulve ruisselante de cyprine, elle est super excitée.
— Oui, vas-y, je te rassure, ce ne sera pas très long, je pense que tu t’en es rendu compte.
Mon doigt s’enfonce un peu dans son vagin pour ressortir bien lubrifié et venir titiller son clitoris. Je sens qu’elle se concentre sur son plaisir. Une autre main vient rejoindre la mienne, un autre doigt s’enfonce dans son vagin et vient accompagner le mien sur son clitoris. Au moment où nous sentons qu’elle va jouir, nos deux doigts se positionnent chacun d’un côté de son clitoris et appuient pour le comprimer. Une main se pose sur ma cuisse et se referme pour planter ses ongles dans ma peau. Joy ouvre la bouche, elle est raide, tétanisée, elle ne peut plus respirer, mais aucun son ne sort de sa bouche. Cela dure une bonne minute, sa main me lâche, elle se détend juste au moment ou le serveur arrive. Je retire ma main, mais je pense qu’il a vu quelque chose, il est rouge pivoine. Joy nous sourit.
— Merci les filles, c’est la première fois que je fais ça, mais je vous jure que je recommencerai dès que possible.
Le reste du repas s’écoule normalement, nous quittons le restaurant vers vingt-deux heures trente. Nous repartons vers chez Julie. Le sac de Joy est assez lourd, nous le portons chacune à notre tour. Nous marchons depuis un bon quart d’heure quand je remarque que trois mecs nous suivent. Ils n’ont pas l’air très méchants, mais on ne sait jamais. Je préviens Julie et Joy. Joy se retourne, les voit et sourit.
— Ne vous en faites pas, avec moi, vous ne risquez rien, je suis ceinture noire de karaté, ils ne me font pas peur.— Tu ne vas pas les démolir quand même ?— Non, mais ils ont intérêt à se tenir tranquilles.
Deux minutes plus tard, l’un d’eux nous interpelle.
— Eh les filles ! Attendez-nous, on aimerait bien discuter avec vous.
Nous nous arrêtons et faisons demi-tour. Ils arrivent tranquillement vers nous. Ils sont tous les trois immenses, dans les deux mètres, tous plus beaux les uns que les autres, taillés comme des Schwarzenegger, en tenue de sport, short et tee-shirt moulants. Il y a un black accompagné de deux beurs. Ils s’approchent de nous en souriant, s’arrêtent à un mètre de nous. Le black prend la parole.
— Vous êtes super les filles, super bien foutues et en plus vous le montrez, c’est génial. Vous n’avez pas peur la nuit dans une petite rue comme celle-là ?— Tu penses nous faire peur ?— Pas du tout, on sort d’une salle de gym, on rentre chez nous, c’est le même chemin, c’est uniquement pour ça qu’on vous suit, mais je dois dire que je ne regrette pas.— Ouais, on dit ça.— Je ne vais pas dire que vous nous laissez indifférents, mais on n’est pas des brutes, vous ne risquez rien. Seulement on voudrait juste discuter un peu en marchant, si vous êtes d’accord.
En moi-même, je me dis que tomber sur des mecs comme ça deux jours de suite à Paris, ce doit être très rare. Joy continue sa conversation.
— Pourquoi pas, allons-y.
Un des mecs lui prend son sac.
— Laisse, je te le porte.
J’ai quand même remarqué que les shorts présentaient tous une belle bosse juste en dessous de la ceinture. Joy me regarde, elle l’a aussi remarqué, elle se lèche les babines en montrant le black, je lui souris en me léchant les babines aussi, Julie lève le pouce, j’ai compris. Je connais le quartier, je me dirige vers l’endroit où j’ai fait l’amour avec Pierre et Paul hier. Nous discutons et apprenons que le black s’appelle Omar, les deux beurs Amine et Idriss, ils font de la musculation suite à un pari perdu, mais qu’ils ont fini par aimer ça. Quand nous arrivons, j’ouvre le portail jamais fermé à clé. Ils s’arrêtent.
— Voilà, c’était sympa les filles, j’espère qu’on se reverra.— Et plus vite que tu ne le penses, entrez.
Ils hésitent, mais Idriss entre et les autres suivent. Une fois tout le monde à l’intérieur, je ferme le portail et me tourne vers eux.
— Vous allez être surpris les mecs, mais ce n’est pas chez nous, juste un endroit discret où on peut s’envoyer en l’air sans crainte.
Ils se regardent médusés. Je vais vers Omar, pose mes mains sur la ceinture de son short.
— Je peux.
Il me fait oui de la tête. Je tire vers le bas et baisse lentement son short, il n’a pas de slip, je sens une résistance, c’est son sexe déjà raide qui résiste au niveau de la ceinture. Quand il s’en libère, je vois un énorme sexe noir remonter comme un ressort. Il est gigantesque, terminé par un gland au diapason. Je fais glisser le short jusqu’à ses chevilles, il lève les pieds pour le libérer. Je le pose sur le sol. Je me saisis de son tee-shirt, le fait passer par-dessus sa tête en me mettant sur les pointes des pieds et le pose sur le short. Il s’est laissé faire sans bouger, il est nu devant moi, magnifique. Des pectoraux et des abdos d’enfer, des fesses fermes et hautes, un pubis glabre, des jambes longues comme un jour sans pain et quel sexe !!! Je prends ses mains et les pose sur ma taille.
— A toi maintenant.
Il commence par déboutonner les deux boutons de mon corsage, me l’enlève soigneusement, le pose à terre, déboutonne la ceinture de ma jupe, fait glisser le zip et l’accompagne jusqu’à mes chevilles. Comme lui, je lève mes pieds, il pose ma jupe sur mon corsage. Je tourne la tête pour voir Amine finir de déshabiller Joy et Idriss en faire autant avec Julie. Joy ouvre son sac et en sort des préservatifs qu’elle nous distribue. Je pose le mien sur les fringues par terre. Omar me regarde faire, il attend la suite des évènements. Je fais glisser mes mains sur son corps d’athlète, des épaules aux cuisses, pose mes lèvres sur son torse, descends doucement vers sa taille en déposant des baisers sur tout son corps. J’arrive sur son pubis, mes lèvres effleurent son sexe toujours bien raide, le contournent pour arriver à l’aine. Je le fais pivoter pour m’occuper de ses fesses. Joy et Julie font exactement la même chose que moi. Ils sont tous les trois montés comme des ânes et circoncis, ça va être le pied. Je fais pivoter Omar pour m’occuper un peu de sa bite. Je le prends en bouche mais sans trop insister, juste deux ou trois allers-retours, je ne veux pas qu’il jouisse trop vite. Je finis par me redresser, je lui enfile la capote et passe mes bras autour de son cou. Je suis une nouvelle fois obligé de me mettre sur la pointe des pieds.
— Prends-moi par les fesses et soulève-moi.
Il comprend parfaitement ce que je veux, me prend par les fesses, me soulève comme une plume et me dirige sur son sexe. Quand j’ai passé mes jambes de chaque côté de sa taille il me fait descendre sur son sexe. Son gland écarte mes lèvres et s’enfonce dans mon vagin ruisselant de cyprine. Il me fait monter et descendre sur sa verge comme s’il manipulait un fétu de paille, je sens son gigantesque gland frotter contre les parois de mon vagin, je ne sais plus où je suis, je ne sais plus ce que je fais, je ne suis un sexe qui cherche son plaisir. Des ondes apparaissent dans mon corps, je vais jouir, mais je m’efforce de ralentir le processus, je veux profiter le plus possible de cette bite extraordinaire. J’entends Joy jouir.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, putain que c’est bon.
Julie la suit assez vite.
— Oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiii.
Omar continu à me faire monter et descendre sur sa bite, j’ai l’impression que c’est sans fin, je le souhaite de tout mon cœur, mais tout a une fin. Il commence à se raidir, il va lui aussi jouir, je regrette d’être obligée de faire l’amour avec une capote, j’aurais bien aimé sentir son sperme gicler dans mon vagin. Je me serre un peu plus contre lui, ma peau humide se colle à sa peau humide. D’un seul coup, son sexe palpite, je me laisse aller pour l’accompagner.
— Oui, oui, OOOOOHHHHH, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii.— Oui, je jouis avec toi, tiens, prends mon foutre.
Nous sommes six à jouir dans un porche d’immeuble à moitié désert au risque d’être surpris par quelqu’un. Quand je retrouve le sol, j’enlève le préservatif d’Omar, l’agrippe par les fesses et lui nettoie la bite. Il reste un peu de son sperme, je m’en délecte. Les filles ont déjà fait la même chose. Omar ne peut s’empêcher de me caresser les fesses.
— Excuse-moi, mais elles sont d’enfer.— Pas de mal, tu peux les caresser quand tu veux.
Il ne s’en prive pas, ses mains s’égarent même sur mon pubis, elles effleurent mon clitoris, j’ai de nouveau envie de jouir avec lui. Je me mets contre le mur, en écartant les jambes.
— Branle-moi.— Je préférerais m’occuper de toi avec ma bouche, j’adore ça.— Encore mieux, vas-y, broute-moi le minou.
Il s’agenouille devant moi, me saisit par les fesses et m’attire sur sa bouche. Ses lèvres aspirent mes lèvres, sa langue s’enfonce dans ma vulve, descend sur le périnée, remonte entre mes lèvres pour effleurer mon clitoris et le quitter immédiatement. Il recommence ce manège plusieurs fois, je suis au bord de l’explosion, mes nerfs sont à vif, je veux jouir, mais lui retarde le plus possible le moment de faire exploser mon corps. J’appuie sur sa tête sur mon sexe, mais rien n’y fait. Julie et Joy se font masturber par Amine et Idriss, je suis la seule à profiter d’un broute-minou. Elles jouissent assez vite. Soudain je ne sens plus la bouche d’Omar, il me saisit par les fesses et me soulève. Il m’élève en me faisant basculer légèrement en arrière, Idriss vient derrière moi me récupérer pour me maintenir en position pratiquement horizontale. Deux autres mains viennent me soutenir sous le dos. Deux autres sur le sein gauche, deux autres sur le sein droit. Tout le monde s’occupe de moi, je suis à un mètre soixante du sol. Sa langue s’active entre mes lèvres en contournant mon clitoris, je suis au bord de l’exaspération.
— S’il te plaît, je n’en peux plus.
Sa bouche se pose enfin sur mon clitoris, l’aspire pendant que sa langue le titille. Je sens enfin mon corps se crisper, mon ventre se nouer, mes jambes flageoler, mon cœur s’emballer, j’explose dans un extraordinaire orgasme.
— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH, ooooooooohhhhhhhhh, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, AAAAAAAAAHHHHHHHHH.
Omar m’aspire le clitoris, je ne suis plus sur terre, je suis dans les nuages, je plane à dix mille. Ça dure, dure, jusqu’à ce que mon corps se détende, Omar me lèche les lèvres et le clitoris, doucement, tendrement. Quand il sent que je suis de nouveau consciente, il me fait descendre, et me pose délicatement à terre. Ce mec est adorable, plein d’attention et de tendresse. Il dépose un baiser sur chacun de mes seins et me reprend dans ses bras. Il me présente à ses potes, comme une offrande, chacun dépose un baiser sur chaque sein et mon sexe de même que Joy et Julie. Après m’avoir une dernière fois embrassé les seins et le sexe accompagné d’un dernier coup de langue, il me pose à terre.
— Tu es une fille adorable, vous êtes toutes les trois des filles adorables.— Merci, mais je crois qu’on peut vous renvoyer le compliment.— Comment faire autrement avec vous.— Mais qui t’a appris à faire des minettes comme ça ?— Une de mes ex, elle me guidait quand je lui faisais, j’y ai pris goût, j’adore votre jus d’amour comme elle disait.— Elle t’a bien appris, tu fais des minettes d’enfer, j’ai adoré, le reste aussi d’ailleurs.
Après quelques minutes de récupération, nous nous rhabillons tous. Amine prend le sac de Joy et nous nous dirigeons vers le portail quand celui-ci s’ouvre. Je me tourne vers Julie.
— Tu vois bien qu’il n’y a pas de Bertrand ici, on s’est encore une fois planté.
Un couple apparaît l’air étonné. Je vais vers eux.
— Vous ne connaissez pas de Bertrand dans le quartier ?
L’homme me regarde dubitatif.
— Non, pas à ma connaissance.— Bon, on s’est trompé de rue, on n’est pas sorti de l’auberge avec cette fausse adresse, bonne soirée messieurs dames.
Nous sortons du porche sans nous regarder et nous éloignons assez vite. Quand nous sommes assez loin, nous éclatons tous de rire.
— Putain, mais comment as-tu eu cette idée ?— Ça m’est venu comme ça, d’un seul coup.— En tout cas, ça a été juste, à une minute près, ils tombaient sur Omar en train de te faire une minette. — Ça aurait pu être marrant.— Je ne crois pas non.
Tout le monde rigole. Nous reprenons notre route tranquillement, Omar a bien compris le message et me caresse les fesses constamment. Je dois dire que j’adore ça. Arrivés à destination, je me retourne vers lui et lui dépose un rapide baiser sur les lèvres. Julie en fait autant à Idriss, même Joy le fait à Amine.
— Au revoir les filles, quelle soirée !!!!— Adieu les mecs.
Nous entrons dans l’immeuble et prenons l’ascenseur.
— Dites donc les filles pourquoi ils ne vous ont pas fait une minette ?— Ça les dégoûtait, ils ont préféré nous masturber.— J’ai eu de la chance, je suis tombée sur le bon.— Ouais.— Bon, douche et dodo.
Nous allons prendre une douche très sage et nous retrouvons toutes les trois dans le grand lit de Julie. Dix minutes plus tard, tout le monde dort.
Le mardi, mercredi et jeudi ont été trois jours de plaisir à trois. Je suis de mieux en mieux avec Julie et Joy est une partenaire très active et sensuelle mais non liberticide, elle nous laisse nous exprimer toutes les deux. Le jeudi après-midi est consacré à la préparation de la fête, non sans quelques orgasmes. Claire téléphone pour nous voir, rendez-vous est pris pour vendredi neuf heures chez elles pour une séance de body-painting. Je téléphone à Marie et Sylvie pour leur dire que la fête se passe chez Julie.
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