Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 25 J'aime
  • 3 Commentaires

Mon p'tit mec à la moto...

Chapitre unique

Erotique
Nostalgie... et tristesse et colère de n’avoir plus mes écrits pour toi, à cause d’un ex jaloux qui m’a enlevé les écrits de mes souvenirs merveilleux avec toi... (« mon trio hhf », « orgasme au commissariat », « mon p’tit mec à la moto »)
Ce vendredi soir, 26 de ce mois de mars 2021, on m’a demandé ce que j’avais fait de plus fou dans le libertinage, sur le chat cam du site entrecoquins, même si ce n’était pas tout à fait dans cette catégorie. Quoi que... La première chose qui me soit venue en tête, c’est toi: mon p’tit mec à la moto.
Avec une vague d’émotion qui m’a parcouru le ventre, la boule dans la gorge en retenant mes larmes de couler incontrolablement, j’ai donc, de manière plutôt abrégée, récité notre moment au commissariat.
Ce défi que tu m’avais lancé, pensant sans doute que je n’y accéderais pas, d’arriver sur ton lieu de travail en minijupe et sans rien pour couvrir mon entrejambe... Je transpirais et tremblais d’une peur indescriptible.
La montée de ces grands et larges escaliers de ce commissariat, l’arrivée dans ton bureau, où finalement tu n’en menais pas large quand même et tu flippais un peu que quelqu’un monte et se rende compte.
Te souviens-tu de ces moments intenses ? De ce semblant de « conflit » de qui donnerait du plaisir à l’autre ? Ce moment où mes fesses contre ton bureau, toi devant moi, tes baisers, tes doigts qui découvraient ce que je n’avais pas sous cette jupe ? Cette excitation qui était présente avant même que l’on ne se touche ?
Je te sentais dur d’excitation immédiatement, serré dans ton pantalon. Tes doigts m’exploraient, jouaient avec moi. J’avais une furieuse envie de toi. Avec bien du mal, j’avais réussi à te faire assoir sur cette chaise derrière toi, m’agenouillant pour venir jouer avec tes nerfs et parcourir ton sexe avec mes doigts, mes lèvres et ma langue, tout doucement, en embrassant en alternance le bas de ton ventre... Car je savais que tu étais sensible à beaucoup de choses qui pouvaient vite te faire partir, comme m’entendre gémir.
Te rappelles-tu que tu me disais « chutttt », car ça t’excitait trop et comme c’était dur pour moi de garder le silence? Lorsque que tu t’es relevé en me posant sur ton bureau pour venir jouer avec ta langue qui glissait lentement, puis indécemment et passionnément sur mon sexe qui n’en pouvait plus, ta langue mêlée à tes doigts qui entraient en moi, ça me rendait dingue et j’avais envie de hurler.
Je tentais à nouveau de reprendre le dessus, difficilement et tu ne lâchais pas ton étreinte entre mes jambes. C’était dur de vouloir abandonner cette étreinte, mais j’avais tellement envie de te rendre ce plaisir. Tu avais finalement lâché prise et m’avais laissée venir m’occuper de toi. Je m’étais mise derrière toi, plaquée contre ton dos pour, du moins je le pensais sur le moment, t’empêcher un peu d’accéder à mon entre cuisses...
Loupé! T’avais encore réussi à me désarmer, passant tes mains derrière ton dos et je n’avais pas su t’empêcher. Au final, tu m’avais eu... Tu m’avais...
C’était monté très fort et je n’arrivais plus à m’occuper correctement de toi. Mes jambes tremblaient, je ne tenais plus. Tes doigts ne s’arrêtaient plus de me caresser, me pénétrer, sortir et me faire languir de les sentir revenir à nouveau, jusqu’à ce que je sois prise d’énormes tremblements... Tu avais dû te retourner et me soutenir tout en même temps que tu ne t’arrêtais pas de me « posséder », me faire couler et couler encore et encore. Ca ne s’arrêtait plus, tu ne t’arrêtais plus, tout en me disant « chuttt » lorsque des cris voulaient sortir de ma bouche et qu’ils ne pouvaient plus ne pas sortir. Et forcément, tu n’avais plus tenu très longtemps...
************
Te souviens-tu de nos instants si fusionnels ? Si intenses ? Ce coup de foudre au premier regard ?
Te rappelles-tu quand tu m’avais dit être en couple et que je ne souhaitais donc pas poursuivre nos échanges ni donc te rencontrer ?
Te souviens-tu que tu m’avais déjà lancée une sorte de défi ? Ou plutôt un défi à toi même et que je devais accepter la récompense si tu gagnais ce défi ?
Sur MSN Messenger (ahhh cette époque)
— OK, mais je te propose un truc... si je te trouve, t’acceptes juste un verre ?— OK (ne pensant oh grand jamais que tu allais me « trouver » ).
A peine quelques jours plus tard sur mon lieu de travail... (Collègue au micro) Isabelle, poste « untel » pour toi...Moi (décrochant le combiné du poste annoncé) :
— Isabelle bonjour ?— Je t’ai trouvée.....
J’étais si mal, si surprise, avec une sorte de peur qui m’avait envahie, à me demander qui tu étais pour avoir eu, ne serait ce que l’info de mon lieu de travail.
On n’avait pas échangé sur nos boulots respectifs, nous avions eu trop peu le temps de discuter sur cet outil de messagerie puisque j’avais coupé court lorsque tu avais annoncé clairement ton NON célibat...
Je n’ai eu le choix que d’accepter ce verre.
Lievin, un café complètement pourri, on ne pouvait pas tomber sur pire lieu. Mais il n’aura suffi que du premier regard et plus rien ne comptait ni n’existait autour de nous.
On se quitta et tu repartis sur ta moto... avec... la bise.
— On se revit, souvent dans le secteur de mon lieu de travail, lors de mes pauses déj, la bise.
La bise et encore la bise. Tu avais su me faire le désirer ce baiser, vilain garçon, qui arriva un jour lors de la pause déj dans ma voiture, peu de temps avant de se quitter pour la reprise du taf. T’as joué avec mes nerfs, caressé mes joues et mes lèvres du bout des tiennes, caressé mon visage et ma nuque de ta main. Que ce souvenir est doux et perturbant...

Te souviens-tu de notre première fois ? Petit plaisantin (timide plaisantin) que tu étais. Tu me disais que je te sauterais dessus, moi timide qui te répondais que jamais je n’ose faire le premier pas.
Tu étais arrivé chez moi, dans ton costume blindé qu’était ta combi de motard. Tu t’étais déshabillé, entièrement déshabillé, direct à poils total. Moi en face toute habillée, tu avais croisé les bras, me regardant droit dans les yeux en me disant « Tu comptes vraiment me laisser comme ça comme un con sans faire un pas ? ».
Tu m’avais faite sourire, timidement je me suis approchée de toi et plantée là juste en face de toi, sans rien faire, laissant nos yeux se regarder...
On s’était embrassé, j’avais découvert ton corps (ce qu’il était dur ce corps... c’est le souvenir que j’en ai...)... tu m’avais serrée dans tes bras. Il y avait de l’émotion et des frissons qui émanaient de ces deux corps. Tu m’as lentement déshabillée. Un corps dur, mais tu étais si doux. Tes gestes, tes caresses, tes baisers n’étaient que douceur. Le simple regard sur toi, dès notre première rencontre, me donnait envie de toi.
Nos échanges furent longuement découverts: baisers, caresses, câlins. Puis folies... douces folies des corps, qui se sont consommés dans une passion et une émotion encore jamais connues pour moi.
Cette relation fut particulièrement spéciale, tendre, passionnée, parfois trop à se faire du mal, à te faire du mal, à me raccrocher au nez lorsque j’accédais à tes « conseils » de voir d’autres personnes, car je méritais selon toi, quelque chose de mieux que toi, mieux que des moments volés extra conjugaux pour toi.
Les sentiments s’en sont mêlés. Ca ne devait pas. Tu te souviens, quand je t’ai parlé de mon fantasme de trio avec deux hommes, et que tu m’as répondu, que ça ne pourrait être toi qui me ferais vivre ça, car trop de sentiments étaient là ? C’était toi qui avait parlé de sentiments, alors que c’était clair dans ma tête: cette relation ne devait pas faire entrer certains mots.
Et puis ce jour de mon anniversaire... (mes 32 ? 33 ans ? je ne sais plus)... tu étais arrivé chez moi. Tu avais sorti un foulard, m’avais bandé les yeux, et m’avais faite assoir sur le milieu de mon canapé. Tu étais parti et étais revenu deux minutes plus tard accompagné. Tu m’avais prévenu que nous n’avions pas le droit, ton accompagnateur et moi, de nous embrasser.
Vous vous êtes assis chacun de part et d’autre de moi.Tu as posé ta main sur ma jambe, ton collègue la sienne sur mon autre jambe. Des caresses, des cuisses, puis tu avais pris une de mes mains pour la poser sur la cuisse de ton collègue.
J’avais senti vos mains parcourir lentement mes cuisses, mon entre cuisse, mon sexe qui commençait à devenir très chaud. Je tentais de contrôler difficilement les tremblements qui parcouraient mon corps tout entier.
Mes yeux étaient restés bandés, je n’avais pas le droit non plus de voir ce fameux collègue et ami (j’avais par contre senti qu’il avait une alliance. Lui aussi s’adonnait à des plaisirs extra conjugaux...).
Ce moment fut une réalisation de mon fantasme, d’une magie extraordinaire. Jamais je n’aurais pu imaginer cela ainsi.
Vos mains qui parcouraient mon corps, les lèvres et les langues qui me faisaient perdre totalement la tête. Tes baisers qui venaient chercher et entendre mon plaisir. Mon plaisir que je sentais dégouliner sur vos doigts, vos mains, vos bouches et vos langues...
Moments très intenses sans doute aussi pour ce collègue, qui avait bravé l’interdit, lorsque de tout son corps m’avait serré fort contre lui et donné un baiser passionné que je n’aie pu, au risque de briser l’instant, repousser (tu ne lui auras jamais pardonné... ce baiser aura eu raison de votre amitié).
Tu étais debout à côté de moi qui étais allongée sur le canapé à ce moment-là. Tu avais quand même tenu jusqu’au bout sans rien dire pour ne pas gâcher ce cadeau que tu m’offrais... Tu m’avais caressé le visage, les seins. J’avais caressé ses fesses (blessées) que j’aimais tant, ton sexe que j’avais lentement caressé de mes mains, de mes lèvres et ma langue, avant de te « manger », pendant que ton collègue était entre mes jambes, me léchant intensément alternant avec des lenteurs avant de me pénétrer.
**********
Notre dernière fois. Tu étais arrivé, encore dans cette combi blindée de motard.Tu étais différent: tu semblais triste. Nous avons fait l’amour. TU me fis l’amour avec une intensité encore plus particulière que les autres. Nous étions dans mon lit, moi sur toi. Un gros câlin après ce moment encore si intense, silencieux... très silencieux... Tu me serrais fort contre toi, ma tête dans ton cou à te respirer, me shooter de toi, de ton odeur, de ta peau.
Puis je sentis du liquide tiède couler sur mon visage... Je relevai la tête vers toi et vis tes yeux humides... tu ne me pas laissas le temps de sortir un mot... tu m’as dit « chuttt » et as forcé mon visage à se remettre là où il était... Je ne sais combien de temps ce moment si silencieux a duré, mais il n’y eut plus que les battements les cœurs qu’on entendait et sentait dans nos poitrines.
Tu repartis. Un long baiser, un long câlin tout serré l’un contre l’autre. A peine deux minutes plus tard, je reçus un SMS de toi :
— Isa... J’aurais tellement voulu que le temps s’arrête éternellement... là... avec toi.....
Isa.
Diffuse en direct !
Regarder son live