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Mon tout premier bukkake

Chapitre 1

Hétéro
Mon premier Bukkake
Bonjour à tous, chers coquins,
Je m’appelle Béatrice, j’ai aujourd’hui 24 ans. Il y a quatre ans, j’ai vécu mon premier bukkake et c’était un peu en avant dans ma sexualité un peu débridée. J’étais alors en BTS, je venais d’être célibataire après une aventure de deux ans avec un torride étalon qui m’a appris à aimer toutes les positions et surtout accepter sa bite dans tous mes trous. Mais surtout, abreuvé de films porno, sa pratique consistait à me faire une ejac faciale ; à ma grande surprise, ses couilles étaient toujours pleine d’un jus d’amour, crémeux et abondant, si bien que je me retrouvais la tronche peinturlurée de son épaisse semence.
Après ma rupture avec Kevin, j’ai vécu assez difficilement et enchainé les mecs. Je suis donc sortie avec des gars de l’équipe de rugby, avec des jumeaux, avec un vieux vicelard dans sa ferme et un riche homme d’affaires bien propret, que je rencontrais en cachette à 20h qui m’a bien déglinguée dans sa caravane, pendant que bobonne préparait le dîner à quelques mètres de là. J’ai pris rendez-vous avec des mecs à deux heures d’écart à deux bouts de la ville avant qu’on se rende compte qu’ils étaient meilleurs amis depuis la maternelle ! Je leur ai même proposé un plan à trois mais ils se sont dégonflés.
Face à ma vie sexuelle en pleine ébullition, heureusement Cassandre, une amie du BTS, a trouvé un moyen de m’épanouir. Elle m’a fait la surprise en m’invitant chez elle et quelle n’a pas été la surprise lorsque j’ai vu les quinze élèves d’une autre classe de BTS - il fallait quand même que je n’aie pas trop cette réputation de salope, que je mérite pourtant - se palucher, le caleçon aux genoux, en m’attendant !
Immédiatement, ils m’ont invitée à me mettre à genoux : les gentils avaient pensé à mettre les coussins et oreillers sur le sol, de sorte que je n’ai pas trop mal à genoux, et je me suis mise à les sucer à tour de rôle. Il y avait de tout : des grosses, des minces, des courtes, des longues, des courbées et des droites, des peaux molles et des peaux rêches ; pas de distinction, je suce aussi bien les Européens que les blacks, les asiats commes les beurs. J’ai passé environ trente secondes à bien les pomper, en aspirant fort et en faisant un fort bruit de succion. Pas de jaloux : qu’ils soient expérimentés ou puceaux timides, chacun a eu droit à sa petite turlutte divine, rondement menée de manière professionnelle. Je m’en fiche de la longueur, mais je préfère les bites bien rasées, j’ai beaucoup moins d’appréhension à faire des allers-retours avec mes lèvres pulpeuses, en accélérant : plus je vais vite, plus j’entends des râles de plaisir prolongés ! Slrrp slrrp slrrrrrrrrrp la plupart gémissait, grognait, levait les yeux au plafond. J’ai eu droit à des "tu es une suceuse divine" autant qu’à des "pompe-moi le dard espèce de salope", tout me ravissait, du plus lyrique au plus cru.
Pour éviter qu’ils perdent leur ardeur, Cassandre s’occupait de temps à autre à masturber les uns et les autres, et parfois s’adonnait elle-même à l’art du pompage. Quel plaisir pour cette classe de petits jeunots, la plupart encore puceaux, de se faire tailler une plume par deux belles déesses ! Finalement, mon excitation était tellement à son comble que je me suis débarrassée de mon shorty et de mon débardeur, puis de ma culotte et de mon soutien-gorge, laissant voir sous les compliments ébahis une paire de loches lourdes et un minou bien rasé.
Je me suis allongée sur les oreillers, surélevant le bassin tout en gardant le dos et les pieds au sol, et j’ai invité mes Appolon :
— Venez me baiser bande de cochons !
Ni une ni deux, les plus rapides et les moins timorés sont venus tremper leur biscuit dans ma moule vibrante et gluante. Ils s’activaient à une vitesse folle, me prenant les hanches et me besognant avec des "Han!" de bûcheron à chaque coup de bite au fond de ma chatte.Comme l’exercice était dur - tout comme leurs pénis érigés - je me suis retournée et les ai autorisés à me prendre en levrette, tandis que j’avais la tête contre les oreillers, soufflant rauque et continuant à réclamer des coups de butoir à fond de vagin. Les uns après les autres, j’ai eu droit à plusieurs cow-boys différents - à moins que ce n’ait été les deux mêmes, alternant, car je ne voyais rien la tête dans les coussins et les yeux souvent fermés, pleurant de bonheur qu’on me prenne telle une truie - me pilonner sèchement et m’arrachant des soupirs d’extase.
Enfin, un de mes amants, qui était en train de se masturber frénétiquement à trente centimètres de moi, s’est approché de ma tête, l’a relevée hors des oreillers en me prenant par les cheveux et voilà-t’y pas que j’ai reçu une généreuse giclée de foutre sur le minois. La substance blanchâtre et onctueuse est venue délicatement me repeindre le minois, du menton au front. Le signal de ma déchéance est tombé : aussitôt, je suis entourée de vigoureux éphébes qui se massent violemment la queue avant de m’ordonner de basculer la tête en arrière et d’ouvrir la bouche bien sagement.
Les uns après les autres, ils ont éjaculé en abondance, maculant mon cuir chevelu, éclaboussant de gerbes de jouissance mes joues rosies, m’ont fait un dépôt en liquide sur le bout du nez, et surtout ont rempli à l’envie ma petite bouche de semence bien juteuse, salée et acide. Je n’arrivais plus à contenir leur sirop d’amour, si bien que je suis tombée dans le dilemme : devais-je refermer la bouche et tout faire tomber par terre ou avaler ? Instinctivement, c’est la seconde option que j’ai envisagé, et devant leurs applaudissements j’ai tiré la langue pour montrer que je suis une avaleuse gourmande et docile.
Mais c’était bientôt l’heure des cours ! Tous les garçons ont remonté leur calbute et repris les affaires en rigolant, me laissant honteusement assise jambes ouvertes, du sperme dégoulinant de mes cheveux blonds jusqu’à mes seins, glissant même les long de mes hanches jusqu’à mes jambes.
Quel pied le bukkake !
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