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Mon voisin est un gros porc et j'aime ça.

Chapitre 5

Partir ou rester ?

Trash
— Il t’a bien pinée ?— Ça t’écorcherait la gueule de dire bonjour !— OK, OK... bonjour bonjour... alors c’était comment ?— Qu’est-ce ça peut te foutre ?— J’ai bien le droit de savoir, non ?
— Tu n’as aucun droit.
Je n’avais pas aimé cette intrusion dans ma vie privée, par SMS à l’heure du boulot. J’avais l’impression qu’il voulait tout le temps que je revienne et qu’il ne me laisserait plus aucun espace de liberté. Il ne fallait pas qu’il devienne envahissant.
— Ben, tu pars de chez moi pour te taper Rémi, alors, je voulais savoir...— J’ai été claire. Je baise avec qui je veux quand je veux et je ne te dois aucun compte.— OK, OK... mal baisée, hein ? T’as pas l’air cool, ce matin.— Non très bien baisée! Il m’a prise quatre fois, dans tous les sens. Ça te va ?
Ce n’était pas vrai mais qu’importe !
— 4 X ? J’y crois pas.— Jaloux ?— Et il a une grosse bite ?— Tu l’as vue sa bite avant-hier soir ! C’est quoi ta question ? Bon aller, j’ai du boulot. Salut.
Et je coupais mon portable.
J’étais en colère... je ne savais pas au juste pour quoi. Certes le boulot commençait par des emmerdes, certes j’avais peu dormi....mais est-ce que cela valait la peine d’envoyer chier l’homme qui m’avait spontanément ouvert ses bras pour me consoler.. et qui l’avait bien fait... trop bien peut-être. Mais peut-être était-il réellement jaloux, et donc possessif... et je ne voulais pas me remettre sous la coupe d’un homme, fût-il le meilleur queutard du monde.

En fait je me sentais mal. Je n’avais toujours pas digéré d’avoir été trompée, même si j’avais fait une croix définitive sur Kévin. Et puis je me demandai si je n’étais pas en train de devenir un objet sexuel. Bien sûr, le sexe avec Jean-Pierre, c’était extraordinaire. Mais me retrouver au milieu de ses potes, offerte à des inconnus, sans m’y être opposée. Comment avais-je pu descendre si bas ? En fait je ne décidais plus de rien. Je me laissai dominer par un appétit sexuel insatiable, qui m’enlevait toute mesure, toute raison, tout libre arbitre.
Pour échapper à l’emprise de Jean-Pierre, ou ce que je prenais comme telle, j’avais passé la nuit avec le livreur de pizza qui m’avait fait l’amour en missionnaire pendant une bonne demi-heure et qui m’avait demandé à mots couverts si je voulais vivre avec lui. Je l’avais gentiment remercié et on avait dormi côte à côte après, comme des inconnus. Le matin on s’était séparé en se disant juste " à plus".
Il fallait que je parle de tout cela à quelqu’un. J’aurais pu aller chez un psy, mais je n’en connaissais aucun.

Il y avait bien sûr Pauline. Ma super pote Pauline. Avec laquelle je m’étais fâchée quatre ans avant pour une histoire de mec. Elle m’avait sifflé un mec sous le nez. Je voulais sortir avec, elle le savait et elle avait dégainé la première. Elle m’avait expliqué que ce gars était un connard et que cela ne valait pas la peine que je sorte avec lui... en quelque sorte, elle s’était sacrifiée pour que je ne me mette pas avec ce mec. Quelques semaines après je rencontrais Kévin.
Quant au gars qu’elle m’avait piqué, elle s’en était débarrassée peu après. J’avais entendu dire qu’effectivement c’était un gros queutard pas honnête pour deux sous, un mec à embrouilles. Pour Pauline, elle s’en foutait. Elle voulait profiter de la vie, pas se mettre en ménage. Elle avait une vie sexuelle très très libre.
Je savais où elle travaillait... et je décidais d’y aller pour la rencontrer "par hasard" à sa sortie du boulot.
Elle m’accueillit immédiatement. Après quelques circonvolutions, je lui demandais pardon pour mon comportement injuste et elle m’offrit de passer la soirée avec elle pour nous réconcilier. Je lui racontai tout. Elle me proposa de passer quelques jours chez elle pour tout débriefer et faire le point... et s’amuser.
Je le fis sans donner de nouvelles à Jean-Pierre ni sans répondre à ces messages qui s’interrompirent au bout de 48 heures à peu près.
Pauline m’avait convaincue de rentrer avec elle pour le week-end. Ainsi je ne serai pas seule face à Jean-Pierre, mais c’est lui qui serait seul face à nous. Il faudrait qu’il assure. En fait je restai chez elle une dizaine de jours avant de rentrer chez moi.
De retour à la maison, une veille de jour férié en début de soirée, avec Pauline, je lui envoyais un message.
— Je suis de retour.
Je ne reçus pas de réponse.J’insistai mais en pure perte.
— Envoie-lui une photo dénudée, suggéra Pauline.
Je le fis.
Pas de réponse.
— Si ça se trouve il n’est pas là dit-elle.— Si, il est là. Sa bagnole est sur le parking et il y a de la lumière qui filtre depuis sa fenêtre.... je l’ai vue en rentrant.— Prends une photo plus suggestive et invite-le franchement.
Je me pris donc en photo, à genoux, jambes écartées m’ouvrant la vulve avec les doigts pour bien montrer mon clito et lui demandant de venir apaiser le feu qui me dévorait.
Il répondit... violemment. En substance, il me rappelait que lui aussi était libre de faire ce qu’il voulait et que je ne pouvais pas disparaître dix jours sans donner de nouvelles et réapparaître comme ça et le convoquer sur commande ! Il s’était inquiété. Il me suffisait de lui dire que je n’avais pas envie de me faire sauter et il m’aurait laissée tranquille. Il me rappelait qu’il ne m’avait jamais forcée à rien que c’est moi qui étais venue le trouver et que je lui avais manqué de respect.
Il n’avait pas tort.
Je m’excusai platement, lui demandai de me pardonner et de venir en guise de réconciliation. Il me répondit d’aller me faire foutre.
— Dis-lui que tu es avec moi ! proposa Pauline.
J’envoyai un nouveau SMS.
— Suis avec une copine.— Eh bien amusez-vous toutes les deux !
J’étais un peu désespérée.
— Il faut le provoquer... envoie-lui une photo de moi.
Nous fîmes un cliché des plus lascifs. Pauline à quatre pattes, écartant sa moule comme je l’avais fait sur la première photo et tournant la tête en arrière avec un regard provocant et la langue sur les lèvres.
— Beau petit lot...
C’était le premier signe encourageant.
— Il faut le chauffer, viens on se met en ciseaux !— Quoi ?— En ciseaux, chatte contre chatte....— Quoi ?— Oui... ça va le provoquer. Sa virilité va être mise à rude épreuve. Voir que tu peux jouir avec une chatte autant qu’avec une queue...— Pauline... j’ai jamais fait ça.— C’est cool... je vais t’apprendre.— Tu fais ça... souvent ?— Dès qu’une nana me plaît...— Ah... Je savais pas...— Mais je ne te dis pas tout...Allez, viens !
Je m’exécutai. Très vite ma vulve frotta la sienne et je ne tardai pas à y prendre goût. Je pris une photo et l’envoyai.
— Amusez-vous bien les filles... moi j’suis en train de troncher une bonne grosse truie délaissée par son mari ce soir... j’suis pas libre.
Une photo suivait. On y voyait la croupe d’une femme agenouillée, offerte. Le cliché était pris avec soin. Les jambes écartées de la femme dévoilaient sa vulve rougie par le plaisir, boursouflée d’avoir sans doute déjà été trop usée, abusée, qui se détachait sur une peau très blanche. Le cul dressé en l’air, la poitrine écrasée sur le matelas, on voyait les poils pubiens, très ras et très denses à peu près de la même couleur que les miens encore qu’il aurait fallu qu’ils soient plus longs pour que je m’en assurasse. Je me dis que décidément, il aimait les nanas dans mon genre et qu’il m’avait trouvé une sorte de sosie.
— C’est vrai ? Amène-la ! Suggérai-je après ces courtes observations.— J’peux pas.— C’est peut-être une vieille photo. Rien ne nous dit que tu es avec cette meuf en ce moment.— Branche-toi là-dessus !
En quelques clics et quelques minutes, un show en webcam s’ouvrit sur mon écran.
La femme, désormais sur le dos, avait un masque. Elle ne semblait pas de la première jeunesse, peut-être entre 50 et 60 ans mais avait encore des formes généreuses malgré des seins un peu tombants, mais gros, comme les miens, selon les goûts très prononcés de Jean-Pierre pour les mamelles opulentes. Il lui faisait subir les derniers outrages.
— Tiens vieille pute ! Y’a longtemps que t’as pas été pinée comme ça !
Le jeu consistait à passer du fion à la chatte et vice-versa en enfilant à chaque fois la matraque dans le trou d’un coup violent et décisif et en empoignant les jambes et les replier sans ménagement pour soulever le croupion autant que nécessaire.
— Tu la connais la meuf ? Questionna Pauline.— Non pourquoi ?— Ben pourquoi il lui met un masque ?— J’sais pas. Elle veut pas être reconnue !— Donc si elle a peur d’être reconnue, c’est que tu la connais. Une femme de l’immeuble ?— J’sais pas. Je pense pas. Elle à l’air plutôt blond foncé, comme moi, et il n’y en a pas comme ça dans l’immeuble.
Nous regardâmes la scène avec envie.
— C’est clair qu’il a une grosse bite ton voisin et qu’il sait s’en servir ! La vache ! Quel baiseur. J’ai envie qu’il me prenne.
Je lui demandai de nous rejoindre.
— Non !— Allez, soit cool !— Et tu feras ce que je te demanderai ?— Oui !— Et ta copine aussi !
Un coup d’œil de Pauline m’invita à répondre affirmativement.
— Et tu ne m’abandonneras plus jamais ? Ton retour est définitif ?— Plus jamais.... mais je garde ma liberté sexuelle.— OK, moi aussi et je pourrais donc continuer de sauter la grosse truie? Tu ne seras pas jalouse ?— Tu sautes qui tu veux. Et je te trouve injuste, elle n’est pas si grosse que ça! Dis-je pour plaisanter et réinstaurer un semblant de complicité.— Alors je veux bien que vous veniez, mais d’abord gouinez-vous en cam pendant que je bourre la vieille. Ça va m’exciter.
Il reprenait la main. Nous voulions le forcer à ramper devant nous et c’est lui qui nous imposait ces conditions. J’avais capitulé sans combattre !Il faut dire qu’il ne fut pas difficile à Pauline d’obtempérer. C’était moins évident pour moi. Je n’avais jamais couché avec une femme. Mais Pauline sait y faire.
Nous reprîmes donc notre partie de ciseaux jusqu’à l’orgasme clitoridien qui ne tarda guère.
— Bouffez-vous la moule en 69 !
Ce fut un régal. Puis les ordres suivirent. "Caresser vous les seins, doigtez-vous, paluchez-vous, pincez-vous les tétons, mettez-vous des doigts dans le cul.. léchez! Fouette le cul de cette gouine avec ta ceinture, etc..."
C’était super bon. La peau de Pauline était douce, ses seins fermes, ses doigts habiles, sa langue nerveuse.... Je regrettai de ne pas en avoir profité plus tôt surtout que j’avais eu tout le temps de le faire.
Pendant ce temps-là, il continuait de baiser la "grosse" femme qui jouissait bruyamment et en mouillant abondamment. La face rubiconde de JP dégoulinait de cyprine et il culbutait la fille inlassablement.
— Venez les salopes ! J’vais jouir.
Nous nous précipitâmes comme si nous avions été montées sur des ressorts. Je pris les clefs, nous franchîmes le palier en un éclair et il nous fallut peu de temps pour nous retrouver autour du lit.

La femme était sur le dos, jambes ouvertes et à genoux, JP se masturbait. Je regardai distraitement la femme dont les cheveux longs avaient été teints de façon à couvrir le blanchiment de la racine des cheveux d’un blond presque vénitien, effectivement très proche du mien mais, je ne m’attardai pas sur elle. Son loup couvrait entièrement le visage et ses yeux étaient clos. Je me fixai rapidement sur la bite, le fantastique braquemart, le dard colossal, objet de tout mon culte...
Le sperme jaillit et vint s’épandre sur les poils de la chatte.
— Sucez-moi la bite les filles.
Pauline se précipita sur le gros nœud.
— Bouffe sa tarte au poil avec la sauce !
Ma copine se pencha et mangea la moule avec voracité.Quand elle eut avalé tout le jus, il nous fit aller dans la salle de bain. Impatiente, j’ouvris la marche.
— Baise la vielle jusqu’à ce que je rebande !

L’ordre n’était pas pour moi. Les deux femmes s’allongèrent sur un tapis de sol et commencèrent à s’embrasser fiévreusement.
Comme je m’approchai malgré tout dans l’espoir de me joindre, JP m’arrêta.
— Pas toi, elle est pas pour toi. Viens par ici toi !
Il s’assit sur un fauteuil. Me posa des pinces à seins, prit une cravache et me fit mettre à genoux entre ses jambes.
— Ouvre ta bouche en grand !
Je le fis sachant ce qui allait arriver. Il avait beaucoup bu. Un flot d’urine se déversa sur mon visage et dans ma bouche en fonction de l’orientation qu’il donnait à sa pine. Je recrachai la pisse au fur et à mesure que j’en avalai.
— Mange-moi les couilles et le sexe ! dit-il quand il eut fini.
Et il resta là à regarder les deux femmes faire l’amour, dirigeant leurs ébats et jouant avec mon corps en me frappant les seins ou le cul, en me doigtant jusqu’à ce que l’érection le reprenne. Quand je voulais regarder en arrière pour le voir faire l’amour, une taloche ou un coup de cravache sur les fesses me rappelaient à l’ordre.
Quand sa queue fut de nouveau bien dure, au bout d’une demi-heure peut-être, il me fit asseoir sur sa queue. Mes genoux et ma mâchoire étaient douloureux, les premiers d’avoir été pliés trop longtemps, la seconde d’avoir trop sucé.
Il me cingla la raie d’un grand coup de cravache avant que je ne m’enfonce.
— Glisse pas complètement au bout et pisse.
Et pendant que je me soulageais sur lui, il tira sur la chaîne des pinces à tétons pour me les tendre au maximum.
— Allonge-toi à côté de la grosse pute. Toi Pauline continue à s’occuper de leurs nibards... tu suces, pinces, caresses, comme tu veux. Quand j’suis sur une de ces putes, tu t’occupes de l’autre.
Il s’agenouilla entre nous, me fit sucer sa queue avant de le faire faire par ma collègue de fortune et planta ses doigts de la main gauche dans mon sexe en faisant la même chose de la main droite avec l’autre fille.
Après nous avoir bien chauffé la moule, il s’allongea sur moi et me pénétra. Je ne pus cacher ma satisfaction. C’était bon de sentir à nouveau ce gros pieu dans mon sexe.
— Alors, elle est bonne la bite de JP, hein ? Tu y reviens cochonne. C’est un vrai aimant à putes.
Et comme je faisais amende honorable en le complimentant sur sa formidable verge et le talent qu’il manifestait à s’en servir, il se retira et se mit dans l’autre femme, allant de l’une à l’autre, toujours en missionnaire, en s’occupant, selon son désir, de nos poitrines et en nous embrassant à bouche-que-veux-tu.
Le plaisir montait. Et quand, enfin j’arrivais à l’orgasme, toujours en me pilonnant, il approcha sa main du masque de la femme...
— Je crois que vous avez gagné en intimité maintenant dit-il. On peut jeter le masque !
A suivre
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