Mon voisin jardinier. Bonjour. Je m’appelle Aurélie, 46 ans, et je viens d’acheter une petite maison dans un bourg près d’Amboise. Après 20 ans de vie commune, mon mari est parti avec une collègue prof plus jeune, le coup classique. Donc procédure de divorce de plus d’un an, on ajoute 6 mois pour vendre l’appart en banlieue lyonnaise et me voilà de nouveau célibataire. Comme ma fille vient de rentrer à la fac de Clermont, je n’ai plus d’attaches à Lyon et j’ai décidé de revenir près de chez mes parents en Touraine. J’ai obtenu ma mutation dans un lycée de Tours. Ma nouvelle petite maison est sympa, petite, mais rénovée façon cocoon, avec un jardin pas large, mais tout en longueur, assez spacieux. Cependant, il est en friche, car les anciens proprios ne l’ont pas entretenu les six derniers mois. Alors que je déballe mes cartons, la voisine, une vieille dame sympathique, est venue se présenter. On discute de tout et de rien, dans les villages, la curiosité envers les « nouveaux » reste vivace, mais ça ne me dérange pas, je n’ai rien à cacher. A un moment, elle me parle de son petit-fils qui a 20 ans et vit avec elle : Jeremy, mon petit-fils, est apprenti chez un paysagiste. Il pourrait vous donner un coup de main pour le jardin si vous voulez, il essaie de trouver des petits boulots pour se payer le permis. Ah oui ? Cest vrai que ça me permettrait de rester concentré sur l’aménagement de la maison, mais je ne veux pas non plus le priver de ses week-ends. Oh non ! pas du tout ! le week-end il s’ennuie ! et là nous arrivons bientôt en août, il aura du temps. Ah ? il n’a pas d’amis ? Pas vraiment ! le fait qu’il ait été élevé par sa grand-mère parce que sa mère était tombée dans l’alcool et les drogues dures, il a toujours été marginalisé par les autres jeunes du village ».
Un peu émue par ces révélations, je décide de faire une bonne action et je dis « OK » pour la remise en état du jardin, surtout que le prix donné par sa grand-mère était plus que raisonnable.Le week-end qui suit, voilà mon jeune jardinier qui frappe à la porte. Je lui ouvre. Je vois un jeune comme il y en a tant. Assez grand, autour d’1m80, physique sportif, survêtement Nike foncé, baskets « Nike air Max » aux pieds, cheveux châtain clair en arrière et rasés sur les côtés, bref un peu comme mes élèves de lycée. Mais le trait physique qui attire l’il, ce sont de grandes lèvres qui entourent une bouche assez démesurée, un peu style Mike Jagger de la grande époque. De son côté, je sens son regard appuyé sur moi. A 46 ans, je suis très sportive, menue, peau mate avec un beau visage qu’entoure un carré plongeant cuivré, et je n’ai juste que mon short en jean moulant et un marcel sans soutien-gorge pour être à l’aise. Visiblement, ça le trouble et ça me rassure de savoir qu’après mon divorce, un jeune homme attarde son regard sur moi. On fait connaissance, je lui dis que c’est bien de travailler pour passer le permis, il me répond que son rêve, c’est acheter une BM ... bref, conversation assez typique de pas mal de jeunes comme lui, ce qui me fait sourire. Bon Jérémy, je te laisse travailler. Moi je vais continuer à ranger mes cartons à l’étage. OK madame, je m’y mets !
La matinée se passe tranquillement et je vois que mon jeune jardinier a de l’ardeur au travail. Il revient l’après-midi, en short et maillot, car la chaleur de fin juillet se fait sentir.Continuant de ranger mes affaires à l’étage, dans ma chambre, à un moment, je vois Jérémy travailler. Il s’est mis torse nu, il est en sueur, et l’ampleur de ses mouvements met en valeur un beau corps musclé, sec et fibreux comme on l’est à cet âge, surtout lorsqu’on a un métier physique. Inconsciemment, je l’observe de longues minutes... Je sors de ma torpeur en me disant qu’un an et demi sans rapports sexuels, ça commence à me jouer des tours ! Je me raisonne et me remets à ranger. Mais rien n’y fait. J’ai envie de regarder ce corps de plus près. Comme on arrive au milieu de l’après-midi et qu’il fait chaud, j’appelle Jérémy : Jérémy ! petite pause ! viens boire un verre pour te rafraîchir ! Ah ouais ! bonne idée : j’arrive. Il entre dans la cuisine, je lui sers une bière bien fraîche dans un verre. Il se jette avec gourmandise dessus, et là je crois être dans un cliché type de scène de film. Je vois ses grandes lèvres charnues entourer une partie du col de ce verre et il déglutit sa bière, le torse luisant de sueur. Malgré moi, je ressens une émotion jusque dans mon bas-ventre. Tu peux aussi te passer de l’eau dans le cabinet de toilette si tu veux. Merci, oui ! volontiers ! La journée passe, Jérémy repart vers 18h 30 et me dit qu’il reviendra lundi, car il sera en congé. Super ! comme ça le jardin sera nickel, tu as déjà bien nettoyé en une journée. Merci madame ! Ne m’appelle plus madame, mais Aurélie s’il te plaît, ça me vieillit le « madame ». OK Aurélie, à lundi ! Lundi matin arrive et instinctivement, je retrouve mes pulsions de femme. Je dois aller faire des démarches administratives en ville et je décide de m’habiller sexy, surtout pour voir la réaction de Jérémy ce matin... un jeu dangereux commence à s’installer.J’ai pris une petite robe d’été couleur rouille, large bande de tissu horizontale serrée à la taille, profond décolleté jusqu’au sternum, dos nu, et le bas arrivant à mi-cuisse. Avec ça, j’ai pris mes sandales d’été à bride et talons compensés assez haut. Juste un string comme sous-vêtement. Je me regarde dans la glace, je me trouve super sexy, mes tétons pointent à travers le tissu lorsque Jérémy frappe à la porte. Entre Jérémy ! Il a un temps d’arrêt en me voyant. Tu es très belle Aurélie ! Merci, très belle pour une vieille tu veux dire ? Non, très belle tout court ! Touchée par ce compliment, je lui sers un café en lui mettant la main sur l’épaule, le frôlant au maximum. Bon Jérémy, je pars en ville pour la matinée, on se revoit cet après-midi, tu fermeras derrière toi. OK, je me mets au boulot Aurélie ! A tout à l’heure ! En se levant, je vois bien qu’il a du mal à cacher son érection dans son short, surtout qu’il a mis un short de foot très fluide. Je m’amuse en mon for intérieur. Je reviens en début d’après-midi, la chaleur est assez intense et je monte à l’étage pour avoir une vue dégagée sur mon jardin. Jérémy est là, à travailler torse nu comme le premier jour. Une certaine tension monte en moi à regarder ce corps vigoureux en action.Vers 16h je n’y tiens plus, j’appelle Jérémy. Tu viens te rafraîchir Jérémy ? Super ! oui ! j’ai vraiment besoin d’une pause avec cette chaleur !
De nouveau, je lui sers une bière, de nouveau mon émoi à voir cette bouche avaler le liquide... Va te rafraîchir au lavabo Jérémy si tu veux. Volontiers ! Mais cette fois-ci, je l’accompagne. Il commence à prendre le gant de toilette pour se passer de l’eau sur le torse. Je vais t’aider à le passer dans ton dos Jérémy, si tu permets. Oui ! merci ! Là je prends mon temps pour faire glisser le gant de toilette sur ce jeune dos musclé. Tu as un très beau corps Jérémy ! Très athlétique ! Il ne répond pas, comme tétanisé. Je décide de franchir le pas, sans penser aux conséquences, juste l’appel de la chaire. Retourne-toi, que j’admire l’autre face ! Il se retourne, plonge les yeux dans les miens. Je ne peux pas résister et mes lèvres se collent aux siennes. Nous commençons à nous galocher. Et à ce moment-là, la fougue de la jeunesse prend le dessus ! ses mains me serrent, puis glissent sur mes seins, mes cuisses... Je lui saisis la main, l’entraîne dans le salon, je m’assois dans le canapé et je soulève ma robe. Lèche-moi Jérémy ! Je préfère commencer par ça, car je sais qu’il ne tiendra pas longtemps, sachant par sa grand-mère qu’il n’a jamais connu de filles. Il relève mes jambes puis fait glisser mon string. Regarde avidement ma chatte quelques secondes, puis enfouit rageusement sa tête entre mes cuisses ! Ses lèvres charnues, sa bouche, sa langue semblent aspirer tous mes organes sexuels !! C’est dément ! Et merci Internet, grâce aux vidéos pornos, même les novices savent s’y prendre !! Presque 2 ans que l’on ne m’a pas touchée, la montée de la jouissance jusqu’à un orgasme intense qui me fait gémir comme une folle ! Quel pied !J’écarte cette « ventouse » humaine qu’est la bouche de mon jeune amant, je m’accroupis devant lui, baisse son short libérant une belle verge, bien droite et dure. Je le prends en bouche, au bout de deux ou trois aller-retour, elle livre son jus, je m’en délecte ! Pardon Aurélie ! J’ai pas pu me retenir ... Pardon de quoi ? Tu m’as fait jouir comme une folle ! L’avantage des jeunes, c’est qu’en fin de journée, mon jeune amant avait récupéré et m’a prise sur la table de cuisine comme un pro ! C’était le début d’une aventure sexuelle torride !Durant ce mois d’août, je vis une expérience exceptionnelle ! Un coup, deux coups, voire trois coups par jour, vigoureux, intenses, sensuels, parfois sauvages ! Tous les endroits de la maison y passent : la douche, la cuisine, le lit bien sûr, le canapé, le tapis du salon, le jardin. Ça durera le temps que ça durera, mais en attendant, j’y trouve mon compte. Ma voisine, sa grand-mère, me dit que Jérémy a changé en bien depuis qu’il travaille chez moi : plus mûr, plus adulte et sûr de lui, et aussi plus sociable...Bon ! Bah si tout le monde y gagne ! Un conseil aux femmes divorcées : n’hésitez pas à prendre un petit jeune plein de vie et de testostérone ! Une vraie cure de jouvence !
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L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.