Je suis nu sur un lit recouvert de vinyle, la propreté n’est pas spécialement top, mais ce n’est pas ça qui va m’arrêter. Le lieu est glauque au possible, un club de cruising gay que je fréquente de temps en temps enfin c’est mixte, j’ai vu seulement deux femmes lors de précédents passages. Les hommes présents se regardent, se toisent, sans parler. Moi j’y vais plus franco, direct dans une pièce avec lit, porte entrouverte et moi à poil, jambes largement ouvertes qui me branle. Ça défile à la porte qui reste entrouverte, je distingue des silhouettes, il fait sombre dans cet établissement. Enfin un petit homme entre, la trentaine, petite barbe, il a l’air décidé. Il va me baiser c’est sûr. Je me suis bien préparé : lavement, je me suis godé pour ouvrir mon trou et accueillir une belle queue, je suis lisse recto verso depuis plusieurs mois et j’adore, j’ai ainsi beaucoup plus de sensations.Il va me baiser, j’en ai grand besoin. J’ai appris à écouter mon cul et mes envies. Je m’épanouis dans ce jeu où mon rôle est d’être soumis à une bite. Je n’aime pas les hommes, j’aime la bite, c’est très différent. Mon ex-copine, enfin, la dernière en date, était très vicieuse et ouverte à beaucoup de jeux. Un jour, j’ai acheté un gros gode pour pimenter nos ébats. A la première utilisation, je l’ai godée doucement en lui bouffant la chatte et le cul (je suis bien pervers et elle aimait ça). Quelques semaines plus tard, alors que ce gros gode, qui était noir, était maintenant de presque de toutes nos parties, elle s’est branlé la chatte avec, elle l’a sorti de son trou et a commencé à le sucer. Elle se doigtait souvent lors de nos préliminaires puis léchait ses doigts en me regardant droit dans les yeux, une vraie cochonne, nous nous étions bien trouvés. Il était couvert de sa mouille, surexcité, j’ai approché et l’ai sucé avec elle, j’adorais bouffer sa chatte et boire son jus, elle mouillait abondamment comme j’aime... — Tu aimes le sucer visiblement mon chéri.— Oui il a le goût de ta chatte.— Tu aimes cette grosse bite ?— Oui.— Alors, montre-moi comment tu suces. A cette injonction, très excité, je bandais fort, je commençais à emboucher le gode, ma salope tenant l’extrémité.Elle me regardait heureuse et dominatrice, je voyais qu’elle prenait un vrai pied à m’enfoncer cette bite factice au fond de la bouche. — Suce le gland à petits coups de langue mon chéri. Je ne parlais pas et obéissais, j’étais sur le dos, ma chérie à côté de moi sur les genoux, elle avait les jambes bien écartées. Elle m’a retiré le gode de la langue, j’étais un peu frustré, j’ai essayé de suivre cette bite pour continuer à la sucer, je voyais son œil très satisfait de ce jeu. Elle plaça l’objet sur sa chatte et frotta plusieurs puis l’enfonça dans son con en faisant des aller-retour, ça dura un bon moment, je la regardais se goder en me branlant. Elle s’était déjà godée ainsi plusieurs fois lors de nos baises passées, mais là, le gode disparaissait complètement, elle se godait bien à fond en me regardant. Elle le retira. — Regarde comme Francki brille de mon jus, ouvre la bouche et nettoie petite salope. Je venais de passer de chéri à petite salope J’ai oublié de vous dire que l’engin avait un nom, il était long, large et noir, je l’avais prénommé Francki
