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Mona dans ma main

Chapitre 1

Candeur et ambivalences

Hétéro
— Histoire presque vraie *

Je serrais entre mes doigts un des seins de Mona, enfin. Un de ses seins qu’elle dévoilait si volontiers partiellement, certes ainsi que la licence l’exige, échauffant ainsi les destinataires de ce spectacle : les nombreux hommes du centre où je travaillais et où elle effectuait son stage. Blancs et gros, ils pigeonnaient à l’échancrure de t-shirt ou de chemises subtilement et opportunément trop étriqués pour les contenir complètement. Ils soupiraient donc, se soulevaient tels de gros pigeons emprisonnés, pressés de sortir de là.
Tous les garçons rêvaient de les libérer d’une manière ou d’une autre, plus ou moins brutalement, plus ou moins délicatement, de pouvoir les regarder de plus près, les caresser, les embrasser. Les jeunes accueillis dans le centre et probablement la plupart des professionnels mâles formaient de telles pensées à la vue de la poitrine de Mona même si les derniers, retenus par leurs responsabilités, devaient se contenter d’œillades clandestine. Les malheureux tentaient en effet de maintenir leur regard dans les yeux de la stagiaire ou, s’ils n’en pouvaient plus, le détournaient ailleurs en prenant un air pénétré qui ne devait rien à une quelconque réflexion, mais traduisait simplement l’intensité de l’effort nécessaire pour s’arracher à la contemplation des sublimes globes de chair blanche.
Elle était arrivée chez moi, vêtue d’une petite robe noire assez courte, sobrement maquillée, comme à son habitude, et avait commencé d’emblée à dérouler un monologue dont l’objet, ainsi qu’à l’accoutumée, était une plainte contre sa mère chez qui elle vivait et son petit copain, les présentant plus ou moins comme deux empêcheurs de tourner en rond. Accordant peu d’importance à ma déco soignée, ma cheminée où flambaient quelques bûches et mes hauts plafonds pleins de moulures de feuilles d’acanthe, se fichant comme d’une guigne de ce décor qui faisait dire à ma copine que je vivais dans une garçonnière, elle discourait sans s’interrompre comme si elle était déjà venue ici, s’asseyant sans rien demander dans mon immense canapé après s’être débarrassée d’un geste gracieux et leste de ses escarpins sur mon tapis.
— Tu veux une bière ?— Non, je bois pas d’alcool, moi. Une tisane si tu as...
Bien sûr, j’en avais, comme tout homme fréquentant au moins une femme, mes placards recelaient toutes sortes d’infusions aux vertus diverses et aux saveurs plus ou moins insupportables. Elle opta étrangement pour une décoction « ventre plat », en dépit du fait que le sien ressemblait à celui de la fille sur la boîte, le ventre donc de quelqu’un qui n’en a jamais eu.
A son arrivée sur mon service, je crus d’abord qu’il s’agissait d’une nouvelle « jeune majeure», une de ces petites bombes de 18 ans, aussi magnifiques que tourmentées, surprises par leur soudain pouvoir d’attraction, confondant l’empressement concupiscent des mâles avec l’affection désintéressée qui leur faisait défaut depuis toujours. A la différence de ces post-adolescentes absolument intouchables pour toute personne adulte saine d’esprit, Mona était non seulement majeure (depuis plus d’un an), mais aussi stagiaire éducatrice en première année. Pour le reste, elle leur était en tout point semblable : son visage lisse, son corps souple et ferme aux formes rebondies, sa taille svelte, sa diction précipitée, ses mimiques auraient pu appartenir à l’une des jeunes déesses en souffrance que le foyer recueillait.
Médecin dans plusieurs structures, mon travail m’amenait à fréquenter plus souvent ce foyer-ci dont je connaissais bien le personnel avec qui il m’arrivait souvent d’échanger. D’emblée, je trouvai Mona délicieuse. Elle incarnait parfaitement ce qu’on pourrait désigner comme une salope candide. J’adorais recenser ses ambivalences, observer la cohabitation entre la fausse pudeur et la recherche authentique de respect, entre l’ambition d’être désirée comme femme et reconnue comme professionnelle.
Si elle attisait les ados bouillonnants de testostérone tout en les gardant à distance, s’assurant ainsi une certaine emprise sur eux à défaut d’autorité, elle frôlait dès qu’elle le pouvait les bras des éducateurs, appuyait même parfois sa tête sur leur épaule en réunion en singeant l’exaspération que ces instances souvent ennuyeuses lui provoquaient.
S’affalant aussi souvent que possible dans le fauteuil face à mon bureau, Mona me racontait ses éternels tracas avec sa mère, toujours sur son dos et son copain, jaloux pathologique, tous deux bien trop possessifs à son goût. Tandis qu’elle se plaignait de l’atmosphère étouffante dont ils l’enveloppaient, elle illustrait son propos avec forces mimiques, arrondissant ses lèvres, battant des paupières, agitant ses ongles peints et soulevant son hypnotique poitrine.
Je sais, parait-il, très bien écouter. De fait, j’ai toujours aimé qu’on me raconte des histoires, et cela m’a peut-être aidé à développer cette disposition à l’écoute, fort utile dans mon métier autant que dans ma passion pour les femmes, ces dernières ayant souvent des sacs à vider et se montrant reconnaissantes vis-à-vis de celui qui mieux que les autres leur en offre l’opportunité.
D’emblée, il me sembla reconnaître chez Mona en plus de ce besoin de parler, celui de me séduire, le même que j’avais déjà vu se manifester auprès des éducateurs, pourtant beaucoup plus proches d’elle en âge que moi. Pour m’en assurer, je tentais, tout en restant très attentif et bienveillant, de laisser mon regard vagabonder où bon lui semblait et en conséquence s’attarder inéluctablement sur ses seins, ses cuisses, sa bouche, au risque d’y être surpris. Ainsi que je m’y attendais, elle fit comme si de rien n’était, n’essaya pas le moins du monde de baisser sa jupe ou de remonter son corsage, se contentant de détourner les yeux pour laisser aux miens tout loisir de se poser où ils le voulaient.
Un jour qu’elle était en jeans, elle s’assit sur une table face à moi, jambes écartées, et m’expliqua que sa mère, la surprenant sous la douche, lui avait reprochée d’avoir rasé son pubis. Implicitement invité à imaginer son entrejambe glabre, je fixais la zone désignée comme j’eus fixé son coude s’il en eut été question. J’accompagnai même mon commentaire d’un geste, amenant ma main à quelques centimètres de sa chatte. Non seulement ses cuisses ne se refermèrent pas, mais, tout en argumentant qu’elle n’était plus une gamine et qu’elle pouvait faire de son corps ce qui lui plaisait, elle bascula ses bras derrière elle, cambrant son buste pour s’étirer. Jambes largement ouvertes, seins en avant, elle paraissait vraiment bien disposée à mon égard, mais je la savais peu exclusive, aussi me parut-il pertinent de lui proposer rapidement de se rencontrer à l’extérieur afin de pouvoir « discuter plus tranquillement ».
— Ah ouais, super ! Quand tu veux.— OK, ben disons ce soir alors ?— Ce soir ? Attends, je devais voir Tom... Mais bon, il me gonfle lui aussi. Il était bien chez un copain hier. J’ai le droit moi aussi de voir mes copains sans lui non ?— Ben oui, bien sûr. On prend un pot en ville ou tu préfères plus au calme chez moi ?— Comme tu veux, Darryll. Chez toi si tu veux, OK.

Les jambes repliées sous les fesses, Mona se tenait sur mon canapé sans s’appuyer sur le dossier, me rappelant la petite sirène de Copenhague. Sa jupe remontait haut. L’écoutant, opinant du chef, je consacrais la majeure partie de mes capacités cognitives à œuvrer à un rapprochement, touchant dès que je le pouvais sa main, son bras, son épaule quand je parlais à mon tour, c’est-à-dire pas si souvent que ça. Mona était en quelque sorte autosuffisante en matière de conversation, s’interrompant fréquemment pour répondre aux textos de son copain ou de sa mère qui, en l’absence de visibilité sur son agenda de ce soir, s’inquiétait. Tout en s’en agaçant, elle entretenait des conversations parallèles avec eux en tapotant à toute vitesse sur son smartphone.
—’Tain, y font chier, j’te jure !
Jamais en dépit de ces brèves, mais fréquentes interruptions elle ne perdait le fil et poursuivait inlassablement et implacablement sa litanie de plainte contre ses deux interlocuteurs virtuels.Telle cendrillon, elle avait une heure butoir. Elle n’allait pas se transformer en souillon au-delà, mais Dieu sait ce dont était capable, sa mère, déjà anxieuse, si Mona ne respectait pas son engagement. A 2 heures, elle devait être rentrée ou sur le retour, et je me rendis compte près de minuit que j’avais laissé filer le temps.
J’essayai alors de poser une main dans son dos et de l’y laisser. Elle ne s’en émut pas et poursuivit comme si de rien n’était. J’ébauchais ensuite un mouvement lent du bas vers le haut et du haut vers le bas, caressant son dos à travers le tissu du plat de la main et du bout des doigts. Peut-être attendait-elle ce rapprochement, car elle courba le dos pour mieux répondre à mon geste, disant : « HO la la, si tu me fais des gouzous, je suis pas partie, j’adore ça ! Attends, faut que j’aille aux toilettes ».
Elle s’absenta une minute et quand elle revint, souleva mon bras et se colla à ma poitrine, de sorte que son dos ne m’était plus accessible. Je câlinai donc son bras tandis qu’elle reprenait son bavardage, puis remontai dans ses cheveux bruns, fluides et lourds, massant son crâne. J’avais une vue plongeante sur ses seins qui se soulevaient un peu plus fort depuis quelques minutes. Son débit de paroles s’interrompait parfois, avait ralenti en tout cas.
Tentant le tout pour le tout, je glissais la main sur son épaule puis son cou, qu’elle exposa plus largement en renversant sa tête en arrière et poursuivis ma descente vers son corsage, effleurant le haut de sa sublime poitrine.
Les globes blancs se soulevaient de plus en plus haut et elle parlait de plus en plus bas. Je n’écoutais plus rien, continuant ma plongée du bout des doigts dans un mouvement circulaire, touchant maintenant le bord du corsage, effleurant la frontière entre la chair et la robe, retardant le moment de la franchir, que je voyais comme une bascule .
Enfin, du bout des doigts, je m’immisçai entre le tissu et la peau, touchant immédiatement l’épiderme différent, plus fin de l’aréole qui était donc, comme je l’imaginais, dans le voisinage immédiat du bord. L’instant suivant, mon majeur rencontrait le téton dur et fripé, presque accidentellement.
Mona continuait de discourir et de consulter son portable par instant. Je lus par dessus son épaule qu’elle envoyait balader sa mère d’abord puis tentait de rassurer son copain tout en lui reprochant sa jalousie. Elle était passée avec moi à un autre sujet sans que je m’en sois vraiment rendu compte.
— Les garçons croient que je ne les vois pas en train de matter ma poitrine, les naïfs, attends, ils ne sont vraiment pas discrets....
Une espèce de chevrotement fit trembler ses derniers mots tandis que ma main plongeant complètement dans son corsage attrapait un sein en entier.
Elle parla encore, regarda même son portable une nouvelle fois tandis que je le pétrissais désormais sans aucune retenue, pinçant légèrement le bout, passant même bientôt à l’autre sein que je traitais de la même manière. Sa voix tremblait plus fort et elle se pressait de plus en plus contre moi, mais Mona semblait tenir aux apparences d’une conversation banale.Ma main libre se posa à mi-cuisse et remonta sans obstacle le long du collant jusqu’à l’entrejambe. Je caressai un instant la cuisse puis posai enfin clairement ma main sur sa chatte, rencontrant le contact désagréable d’un protège-slip.C’est alors qu’elle prit délicatement ma main et la reposa sur le canapé.
— Je t’avoue, dit-elle, que je suis un peu surprise depuis tout à l’heure. Je veux dire, je te connais pas vraiment, je sais même pas quel âge tu as ! Tu vois je sais pas ce que t’attends de moi, c’est vrai que j’ai une certaine maturité pour mon âge, tout le monde le dit, mais bon je suis un peu gamine aussi, parfois je veux dire... Alors bon, je sais pas trop quoi...
Je tenais toujours le bastion de son sein droit, mais délogé de sa chatte, je crus sage de faire profil bas et de rester immobile pour ne pas risquer de tout perdre.Éludant la question de mon âge (lui avouer qu’en dépit de mon apparence quasi juvénile, je pourrais largement être son père me parut hasardeux), je lui répondis le plus naturellement possible qu’elle était une belle femme, que j’étais à titre personnel aussi bien attiré par les femmes de 40 ans que par celles de 20, la vieillissant au passage d’une année.
Soit parce que mon argument la convainc, soit parce que ses protestations étaient purement formelles, destinées à préserver les apparences de la vertu telle qu’elle se la représentait, Mona récupéra ma main et la reposa sur son sexe avant de consulter les nouveaux messages qui venaient de tomber sur son portable.
Tom disait : « Tu fais quoi ? J’arrive pas à dormir, stp appelle-moi ma chérie ! » A quoi elle répondit : « C’est bon, je suis avec des copains, tu me saoules, bonne nuit ! ».Incommodé par le protège-slip, je décidai de partir en expédition, remontant d’abord sous la robe, presque jusqu’au nombril où je rencontrai enfin la bordure du collant, je redescendis en glissant sur un ventre d’une extrême douceur vers la culotte. L’élastique entravait ma plongée, me retenant par le poignet.
— Je peux retirer ton collant ?— Ouais.
En un geste mécanique, elle souleva son bassin et retira ensemble collants, slip et protège-slip. Son sexe n’était plus recouvert que de sa robe, attendant mes mains, mes doigts, mon bon plaisir.Je savourai brièvement cet instant sans la toucher, admirant la blancheur de ses cuisses, leur galbe satiné avant de relever la jupe.
Apparut une magnifique petite fente aux bords charnus, parfaitement lisse, brillante de mouille.
Mona, chatte à l’air maintenant, se taisait, mais continuait de textoter. Ma main gauche s’invita entre les cuisses qui s’ouvrirent pour faciliter le passage et se logea sur le pubis offert comme s’il s’agissait d’un emplacement réservé, d’un récepteur naturel.
Je me rendis compte à cet instant que je vivais une première. Jamais jusqu’alors je n’avais touché la chatte d’une fille avant de l’avoir embrassée.

A suivre, probablement.
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