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Mona dans ma main

Chapitre 3

La trainée amoureuse

Hétéro
Précédemment dans « Mona dans ma main » : Médecin dans un centre pour jeunes en difficulté, j’ai une liaison avec une stagiaire éducatrice de 19 ans qui ne cesse de se plaindre de sa mère surprotectrice et de son copain jaloux.
Assise de l’autre coté de mon bureau, Mona leva les mains au-dessus de sa tête afin d’improviser un chinions en tordant ses cheveux autour d’un crayon. Elle ne cessa pas de parler pendant tout le temps que dura l’opération, mais ses sublimes seins tentèrent à cette occasion de sortir du corsage, ce qui absorba entièrement mon attention, rendant la jeune fille tout à fait inaudible. Je me levai donc, contournai mon bureau, passai derrière elle et plongeai une main dans sa robe, lui saisissant un sein que je me mis immédiatement à malaxer.
— Excuse-moi Mona, j’ai eu une absence, mais là, je suis à nouveau tout à toi. Que disais-tu ?— Hummm, c’est bon ce que tu fais ! Je disais que Kevin est trop bizarre. Il arrête pas de me dire qu’il est sûr que je l’ai trompé le jour où je suis venu chez toi. Je lui ai dit que c’était n’importe quoi, mais il est en boucle, je te jure, il pense qu’à ça, surtout le soir. Hier, c’était trop chelou, franchement, je comprends rien à ce mec.— Qu’est-ce qui s’est passé hier soir mon poussin ?
Je pétrissais maintenant ses seins des deux mains. Souples, lourds et extrêmement doux, ils avaient sur mes mains un pouvoir hypnotique. Je ne me lassais pas de faire circuler entre mes doigts leurs pointes proéminentes, dures et fripées, de les pincer, parfois un peu fort, ce qui provoquait un léger chevrotement dans la voix de Mona qui cependant continuait à parler sans protester.
— Ben hier soir, il m’a demandé de lui raconter ce qui s’était passé quand on était ensemble. Bien sûr, il sait pas avec qui j’étais. Mais il se fait trop des films, tu vois, dans sa tête, il s’imagine que j’embrasse des tas de garçons, que je les suce, tu vois.— Ah oui ? Et ça le rend triste ? Furieux ?— Ben c’est là que c’est bizarre. Un peu des deux et en plus j’ai l’impression que ça l’excite un max... Tu vois hier soir, j’étais OK pour faire l’amour même si franchement j’ai plus trop envie avec lui. Je l’aime tu vois, je l’aime vraiment, mais en ce moment, j’ai pas trop envie de lui. J’arrête pas de penser à comment on a baisé tous les deux. C’était tellement mieux, tu vois, mais bon, hier soir, j’étais OK pour le faire avec lui. Toute façon, c’est l’affaire de deux minutes et après, je me disais qu’il se calmerait un peu. Mais il voulait pas ça. Il voulait que je le branle en lui racontant ce que j’avais fait le soir où j’étais avec toi. Je lui ai dit pour la millième fois que je l’avais pas trompé, alors il m’a dit : ça fait rien, imagine ! Tu te rends compte Darryll ? Il voulait que je le branle en lui racontant comment j’avais baisé avec un autre !— Alors, tu l’as fait ?— Ben en fait, pas tout de suite, je l’ai d’abord traité de pervers, mais il m’a suppliée. Il tremblait, j’te jure, tellement il avait envie de ça... Alors j’ai craqué. Je lui ai raconté ce qu’on avait fait en faisant semblant de l’imaginer. Le pire c’est que j’ai trouvé ça excitant. J’avais sa bite dans la main et je lui disais à l’oreille comment tu m’avais enculée et comment j’avais pris aussi dans la chatte et tout et tout. Il en pouvait plus et c’est quand je lui ai décrit comment tu m’avais demandé de boire ton sperme après avoir baisé ma bouche qu’il a enfin joui. C’était énorme, j’avais l’impression qu’il avait une crise d’épilepsie ou je sais pas quoi. En plus comme il était sur le côté, je voulais pas qu’il m’en mette dessus ou qu’il tache le lit, alors je recueillais tout dans mon autre main. Tu devineras jamais ce qu’il a fait ensuite.— Dis-moi ma chérie.— Il a pris ma main et l’a léchée. Tu te rends compte ? Il a léché le creux de ma main, comme un chien, comme Puffy, la chienne de mamie quand on lui donne du chocolat, elle peut plus s’arrêter de te laper la main, tant qu’il reste la moindre molécule de chocolat. Ben lui, pareil, il s’arrêtait pas, il passait bien entre les doigts et tout. A la fin, il a gardé ma main contre sa joue, s’est roulé en boule contre moi et m’a dit « merci ». Putain, je comprends rien, je te jure.
A ces mots, je sortis enfin ma bite, décidément trop à l’étroit dans mon pantalon, et la brandissais devant le visage candide de la petite stagiaire éducatrice.
— Tu veux bien me sucer ?— Oh oui ! J’étais un peu venue pour ça, s’écria Mona qui s’inclina en croisant les bras derrière elle comme je lui avais appris, ouvrant grand la bouche.
Je glissais ma queue entre ses lèvres et la plongeais immédiatement au plus profond, provoquant un de ces maudits haut-le-cœur qui m’empêchaient de franchir sa gorge. Je me contentais donc de lui baiser gentiment la bouche. De toute manière, dans les couloirs circulaient quantité de jeunes et d’éducateurs, sans parler du chef de service qui occupait le bureau à côté du mien, je devais donc me montrer discret et mon enthousiasme commençait à s’entendre. Ma respiration devenait trop bruyante, le fauteuil grinçait et Mona produisait des bruits de bouche. Je ne pouvais raisonnablement jouir à l’intérieur comme j’en avais une furieuse envie.
— Bon allez, je me calme, dis-je en remballant ma bite et les nichons de Mona que j’avais libérés pour le plaisir des yeux.
Rouge pivoine, elle fit rentrer dans le rang quelques mèches qui s’étaient échappées de son chinions. « T’es sûr de pas vouloir finir Darryll ? Ça me fruuuuustre ! J’avais trop envie de te boire. »
— Tu es une délicieuse petite salope, Mona. Ça ne te vexe pas que je te le dise ?— Naaan, c’est bon, t’en fais pas, j’suis plus une gamine. N’empêche pour mon copain, je suis pas plus avancée.— Ah, oui ton copain. C’est très simple, tu sais, sa jalousie s’est transformée en fantasme de cocu. Ça arrive souvent aux jaloux. A force d’imaginer leur amoureuse dans les bras d’autres hommes, ça finit par les exciter et ils se mettent à désirer ce qu’ils redoutaient le plus...— Ah ouaiiiiiis, trop chelou !— Ça fait combien de temps que vous sortiez ensemble ?— Hyper-longtemps, attends, on se connaît depuis qu’on est gosse, et on est ensemble depuis 5 ans. On s’est dépucelé ensemble, tu vois, et on est jamais allé voir ailleurs... enfin, avant de te connaître. — Je suis ton second amant ?— Ben oui.
Je me rendis compte à ce moment que les tendances séductrices de Mona m’avaient camouflé, ainsi qu’à tout le monde, son manque d’expérience. Son envie de plaire et la fantaisie candauliste de son amoureux prenaient leur source au même endroit : la lassitude d’un jeune couple trop longtemps replié sur lui-même.
— Lundi, c’est notre anniversaire de rencontre, poursuivit Mona. Il va m’inviter au restau. D’ailleurs, faut que je lui trouve un cadeau ! Oh putain, j’avais grave oublié !— J’ai une idée, Mona. Tu aimes ton copain ?— Ben oui, quand même ! Il est gamin, mais bon... je l’aime, ouais.— Alors il faut lui faire un cadeau qui lui plaise vraiment, un cadeau d’amour.— Tu penses à quoi, Darryll ?— Tu pourrais lui offrir ce qu’il désire le plus en ce moment : te voir prise par un autre, moi en l’occurrence. On pourrait par exemple tourner un petit porno ce week-end...— Ah bon ? Mais... tu crois ? Enfin, lui si jaloux, ce serait horrible. Pour l’anniv de notre rencontre en plus...— Oublie ton amoureux jaloux ma chérie, il n’existe plus. Il s’est transformé en amoureux cocu.
Mona arriva chez moi dimanche après-midi, après avoir dit à son homme qu’elle allait passer le restant du week-end avec un copain. Ce dernier avait protesté mollement et avait réclamé d’elle qu’elle gardât son téléphone allumé et qu’elle répondit à ses textos. C’est d’ailleurs ce qu’elle faisait en entrant chez moi, le regard fixé à l’écran de son smartphone, s’orientant sans doute via un sixième sens développé par compensation.D’ores et déjà, mon portable était dirigé vers elle, capturant son joli visage grave tandis qu’elle tapotait à toute vitesse, debout dans mon salon. Je tournai un instant autour d’elle à la Lelouch puis filmai ma main qui glissait de ses nichons à la cambrure de son dos, puis à ses fesses que j’agrippai avant de claquer, deux ou trois fois. Malgré la petite fessée que je venais de lui administrer, Mona ne se départit pas de son sérieux.
— Tu écris à ton amoureux, lui dis quoi ?— Bah, il fait chier là. Il dit qu’il regrette de m’avoir laissée partir en m’affirmant que je pouvais faire tout ce que je voulais, qu’il a peur de me perdre, qu’il en crève de m’imaginer en embrasser un autre, etc. Il fait chier j’te jure, il sait pas ce qu’il veut.— Tu lui as répondu quoi, du coup ?— Qu’il a pas à s’inquiéter, que j’avais pas l’intention d’embrasser qui que ce soit et que je l’aime.
A cet instant, son visage trembla légèrement, répercutant la claque sonore qu’elle venait de recevoir sur le cul.
— Ça te gène pas que je te claque le cul ?— Naaan, c’est bon, j’aime bien, dit-elle, posant sa tête contre ma poitrine en souriant.
La scène figura dans les suppléments de la petite vidéo que je montais le soir même, parmi quelques autres rushs amusants, où on voyait en général Mona tenter de rassurer Kevin par SMS, quelquefois entre deux actes et souvent pendant qu’elle se faisait prendre par un des trois trous dont la nature l’avait doté. La caméra montrait les messages. Elle disait « tout va bien mon cœur, ne te fais pas de soucis », ou « Je n’aime que toi », et toutes sortes de petits mots doux ou d’émoticônes tendres et colorées.
Mona m’ayant procuré quantité de photos, je commençais ma vidéo avec une sorte de diaporama en fondu enchaîné sur fond de musique romantique composée d’images où l’on voyait en général les deux amoureux enlacés, s’embrassant ou riant en famille ou avec des amis. J’avais tenté de respecter l’ordre chronologique, les montrant depuis qu’ils se connaissaient jusqu’à nos jours. Puis le film commençait. Souriante face à la caméra, Mona, avec qui j’avais convenu qu’elle devait, pour plaire à son amoureux, se montrer plus soumise que jamais avec moi, ouvrait la vidéo ainsi :
— Bonjour mon amour. Aujourd’hui, c’est notre anniversaire de rencontre, alors pour toi, pour te faire plaisir, mon amant va nous filmer pendant qu’il me baise et tu pourras, comme tu en as tellement envie, tout voir. Je te demanderais juste, quand tu auras éjaculé en nous regardant, de bien lécher tout ton sperme. Si tu m’aimes, tu le feras. Profite bien du spectacle mon Kevin que j’aime !
Puis la caméra s’éloignait montrant Mona en pied, magnifiquement moulée dans sa robe noire, immobile sur mon tapis rouge aux poils épais. On entendait alors ma voix légèrement déformée, plus grave qu’au naturel qui disait : « A genoux salope ! »

Suivaient de nombreuses scènes filmées un peu partout dans mon appart, où l’on voyait Mona prise de toutes les manières et copieusement insultée par un type qu’elle semblait vénérer. Les nombreux orgasmes de la jeune femme étaient répétés au ralenti et systématiquement suivis de ses remerciements. Bouche entrouverte, yeux mi-clos, teint écarlate, elle approchait son visage de mes aisselles ou mes pieds selon ce que je lui désignais, et lapait avec tendresse et reconnaissance en chuchotant des « merci, merci, tu es merveilleux, jamais je n’avais autant joui, etc. » Selon l’endroit où se trouvait ma bite au moment où son plaisir culminait, on m’entendait lui demander avec ma voix trafiquée : « A qui appartient ta chatte ? » « A qui appartient ton cul ? ». Elle répondait des choses du genre « à toi, rien qu’à toi, mon cul et ma chatte sont à toi, mon corps t’appartient, tu peux en faire ce que tu veux. »
La séquence la plus impressionnante selon moi montrait Mona en train de se prendre ma queue alternativement dans son cul et sa bouche. Allongée sur le dos en travers d’un divan, elle tenait ses jambes pliées dans ses mains, me présentant son cul bien ouvert d’un côté tandis que sa tête pendait de l’autre.
Elle accepta enfin, pour les besoins du film, de me laisser pénétrer au fond de sa gorge, quitte à régurgiter par moments un peu de bile qu’elle devait laisser couler sur son visage renversé. On voyait dans un long plan séquence ma bite s’extraire de son trou du cul qui demeurait béant, contourner Mona pour s’enfoncer d’un seul coup au plus profond de sa bouche. La caméra se déplaçait ensuite entre mes jambes afin de saisir dans le détail le visage de la jeune femme pilonné sans merci. Souvent, je déposai le smartphone sur le sol afin d’avoir les mains libres pour mieux agripper Mona, mais à plusieurs reprises, il se retrouva trempé des fluides qui s’échappaient de sa bouche et de son nez. Je pus à cette occasion vérifier la promesse d’étanchéité du constructeur et cela créa des moments de vérité où, sans plus rien voir, on n’avait d’autre option que de se focaliser sur les gémissements et borborygmes de Mona.
Tandis de grosses bulles se formaient sur sa figure luisante, elle déclara face caméra : « Mon cul, ma chatte et ma bouche sont désormais les propriétés exclusives de mon amant, mais mon cœur est à toi Kévin ! ». Juste avant que mes couilles s’écrasent sur son nez tandis que ma bite reprenait place au fond de sa gorge.
Enfin, Mona maintint sa bouche ouverte en grand, tel un poussin affamé, tandis que j’y déversais les flots de foutre retenus pendant tout le tournage. Gourmande, la jeune femme avala tout avant que j’eus le temps de mettre en scène la déglutition. Il eut sans doute fallu que nous en convenions avant que je jouisse à mon tour.
Vers la fin du film, Mona, débarbouillée et remise à l’endroit, exprima encore dans un nouveau plan serré son amour à son copain, lui souhaitant un joyeux anniversaire de rencontre et poursuivit ainsi : « Mes baisers te sont réservés mon amour. J’aimerais tant que tu sois là à l’instant pour t’embrasser ! Regarde ce que je te donnerais si tu étais ici... ». Puis elle se tournait vers la droite où l’on découvrait mes fesses écartées, débordantes de poils et elle saisissait mes hanches des deux mains avant de plonger son visage juvénile dans ma raie pour donner à mon cul un magnifique baiser de cinéma, profond, avec la langue, que j’illustrai avec la musique du final d’ « Autant en emporte le vent ».
La vidéo se terminait sur la séquence la plus émouvante à mon sens. Satisfaits et vidés, nous reposions tous deux sur le côté, en soixante-neuf. Je tenais le magnifique cul de Mona dans ma main à quelques centimètres de mon visage flouté, un pouce profondément fiché dans sa chatte tandis qu’elle s’assoupissait comme un nourrisson en suçotant ma bite ramollie. Son visage exprimait la paix et la satisfaction. Je conclus le film avec un fondu enchaîné de cette image et d’une photo d’elle et Kevin joue contre joue, rayonnants.
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