Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 32 J'aime
  • 5 Commentaires

Le monastère des Forts Niqueurs

Chapitre 1

Gay
Depuis toujours hétéro convaincu, la catégorie « GAY », ce n’est pas ma tasse de thé ! Mais je ne suis cependant pas homophobe, et poussé par la lecture sur ce site de deux histoires étrangement semblables (le couvent de la perversion et le couvent des désirs), je me suis essayé à écrire ce qui suit...
Tous les deux cadets de noble famille tombant dans l’oubli, Alix de Mézidon et Victor du Durdard n’avaient plus dans la vie qu’une seule solution : consacrer leur vie à Dieu et entrer au monastère !Si ces deux jeunes hommes venant de contrées différentes ne se connaissaient pas, ils avaient cependant de nombreux points communs, le principal étant que rien ne les prédisposait à une vie de chasteté, eux qui avaient trouvé dans le plaisir des sens tout le sel de la vie, culbutant allègrement et sans distinction gentes damoiselles et jolis damoiseaux. Le hasard voulut qu’ils arrivassent pratiquement en même temps au monastère des Forts Niqueurs, et cette coïncidence rapprocha les deux novices qui découvraient ensemble les règles du monastère. Aussi perverti l’un que l’autre, ils comprirent rapidement que leurs aspirations étaient les mêmes et que si les voies du Seigneur restaient impénétrables, leurs voies personnelles étaient faites pour être comblées...
Chaque frère ayant, dès son arrivée au monastère, droit à sa petite chambre individuelle, celles-ci étaient allouées dans l’ordre des arrivées, et les leurs étaient donc contiguës. Pratique pour ne pas se faire repérer, la nuit dans les couloirs !
Car, bien sûr, ce qui devait arriver... arriva !
Un soir que Victor du Durdard était allongé sur sa paillasse, les yeux à demi fermés et commençant voluptueusement à se palucher, il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit. Ouvrant les yeux, il constata en effet que la clenche de sa porte tournait, que la porte était poussée et qu’elle livrait passage à Alix de Mézidon.
— Ah, frère Alix de Mézidon ! Je me demandais depuis quelque temps quand vous viendriez me le mettre !— Et moi frère Victor du Durdard, il me tarde de savoir si votre dard est bien dur !
Dans un même élan, ils se retrouvèrent l’un devant l’autre, aussi excités l’un que l’autre après ces quelques jours où ils n’avaient pu assouvir leur sexualité, et la robe de bure qui les couvrait encore était tendue comme par un mat, formant protubérance allant fièrement de l’avant. À travers l’étoffe, les deux vits furent vite au contact l’un de l’autre et ils purent rapidement comprendre que l’impatience et la dureté de l’un n’avaient d’égal que l’impatience et la dureté de l’autre !Aussi, les deux robes furent elles rapidement ôtées et les mains impatientes découvrirent l’obscur objet de leur désir.Le premier, Victor de Mézidon se retrouva à genoux.
— Baise-moi la bouche Frère Alix, il me tarde de te recueillir en moi !
Alix ne se le fit pas dire deux fois et son sexe coulissa rapidement entre les lèvres de frère Victor qui empoignant et pétrissant les miches d’Alix le faisait ainsi pénétrer tout au fond de sa gorge.
— Ah Frérot ! Enfin retrouver une bonne bite à sucer ! Quel régal ! Et je suis comblé, car je sens que ton dard est vraiment bien dur ! Lorsque tu me le mettras dans le cul, je sens que je vais me régaler !
Depuis le temps qu’Alix ne s’était pas soulagé, ses couilles étaient pleines et frère Victor s’y prenait si bien à le pomper qu’Alix comprit vite qu’il ne pourrait tenir longtemps.

— Tu es trop bon frérot... je sens que mon foutre va jaillir !— Oui... envoie-moi ta sauce, que je me gargarise !
Et avec délice, il reçut la liqueur de son comparse qu’il fit longtemps tourner dans sa bouche avant de l’avaler.
— Ben mon salaud ! Je crois que je n’ai jamais reçu autant de foutre d’un seul coup ! À mon tour maintenant ; tiens, prends ma queue ; tu verras, moi aussi je crois que j’ai beaucoup à te donner.
Le vit de Victor, s’il était bien épais, n’était pas des plus longs, aussi Alix le faisait-il entrer entièrement dans sa bouche, pouvant même se permettre avec sa langue de venir lécher les testicules de Victor qui commença vite à crier de plaisir avant de se déverser à son tour dans la bouche d’Alix.
— Putain de Dieu, ce que cela fait du bien ! Mais je vois que tu es de nouveau prêt à l’emploi, infatigable frère Alix ! Alors prépare mon cul, j’ai grande envie de te sentir au fin fond de mes entrailles...
Alix retourna alors Victor qui écartait les cuisses, prenait appui de ses mains sur la table et cambrait les reins pour présenter son anus à frère Alix. Celui-ci cracha d’abord dessus, étala bien sa salive, mit son pouce dans sa bouche pour bien l’humidifier puis commença de l’introduire dans le postérieur de frère Victor. Quand il sentit que son doigt circulait on ne peut plus librement, il saisit Victor par les hanches et présentant son gland au cul qui le désirait, il le pénétra d’un seul coup, s’enfonçant jusqu’à ce que ses bourses touchassent le postérieur charnu et offert.
— Oh misère ! Quelle force, quel puissant outil que tu as là ! Encule-moi bien, vas-y... vas-y... ramone-moi le fion, c’est trop bon... booonnnn... j’aiiiiime...
Alix se déchaînait et Victor ne retenait plus ses cris de plaisir. Tout l’étage devait l’entendre !Mais Alix s’arrêta bientôt.
— Non... non, continue, défonce-moi !— Attends, j’ai une idée qui va nous donner du plaisir à tous les deux en même temps !
Farfouillant alors dans le tiroir de la table, il en sortit bientôt un cierge non encore utilisé, d’une longueur et d’un diamètre plus que respectables.
— Regarde ce qui va entrer en toi ! Et là, pas de problème, la cire, ça glisse bien ! Et de plus, celui-ci, comme il vient du monastère, il doit déjà être béni !
Victor ayant toujours l’anus offert, bien ouvert et dilaté, Alix n’eut aucune peine à y introduire une des extrémités du cierge. Lorsqu’il fut profondément entré dans le fondement de Victor, Alix se pencha à son tour en avant, tendit son postérieur et positionna son anus sur l’autre extrémité. Et demandant à Victor de ne pas bouger et de bien rester en place, il recula jusqu’à s’empaler à son tour sur le gourdin de cire. Ils se retrouvèrent bientôt cul contre cul et, avançant et reculant tour à tour leurs bassins, ils faisaient aller et venir le cierge entre eux tout en se masturbant frénétiquement pour augmenter encore leur plaisir.
— Ah, dit Victor... j’ai le cul tellement en feu que je suis certain que je pourrai allumer la mèche de ce gros cierge !
En même temps, tels deux geysers, leur foutre jaillit hors d’eux tandis que leurs culs se démenaient encore sur le cierge.Le lendemain au réfectoire, en voyant le regard de certains autres frères, ils comprirent rapidement qu’ils seraient dorénavant beaucoup plus nombreux à s’adonner à ces petits jeux...
Diffuse en direct !
Regarder son live