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Le monde de Camille

Chapitre 1

Une fille pas comme les autres

Erotique
La nuit est tombée, ma chambre est plongée dans le noir le plus total.
Je suis très excitée. Je m’extirpe des draps, masse et caresse mes seins en passant la main sous ma nuisette. Je joue avec mes tétons qui sont durs... J’envoie ma deuxième main sous ma petite culotte pour me caresser... Je fais glisser ma culotte le long de mes jambes, j’aime la sensation de la dentelle qui effleure ma jambe lisse.
Je me penche sur le côté et attrape un gode dans ma table de chevet. Je le mène à ma bouche et le lèche sur toute sa longueur avant de l’envoyer entièrement dans ma bouche (il mesure 15 centimètres). J’aime faire des gorges profondes à mon gode.
Une fois que j’ai bien salivé dessus, j’écarte mes cuisses et y dirige mon gode.
Je le pose contre ma petite rosette, et appuie doucement. Mon gode pénètre dans mon anus sans aucune difficulté.
De ma main droite, je me sodomise, et de la gauche, je me masturbe. Je souffle fort, et gémis mon plaisir. Je ne veux pas faire trop de bruit.
Mon gode glisse très facilement dans mon petit trou, et c’est si agréable !
Je sens que je vais jouir, j’attrape ma culotte. Je mords dedans pour étouffer les sons qui sortent de ma bouche.
J’ai joui, j’en ai mis partout. J’éponge au mieux avec ma petite culotte, je repose mon gode dans ma table de nuit. Je retire le drap sur moi.

J’ai de plus en plus envie de sexe. Je ferme les yeux et me rendors...
—--
Je me vois, avec ma belle tenue, dans le reflet du miroir. Je me sens belle. Je suis belle. Ce soir, je sors. J’ai une copine qui m’accompagne, il faut que je combatte ma timidité ! En fait, je ne suis pas timide en temps normal, c’est seulement quand il s’agit d’aborder des garçons...
Je m’appelle Camille, j’ai 19 ans, et je ne suis pas une fille comme les autres.
Je n’ai jamais eu de petit copain (ni petite copine), et suis vierge (pas le signe astrologique hein !). Alors oui, j’ai quelques sex-toys type godes et plugs qui m’ont permis d’effleurer le monde du plaisir anal, et m’entraîner à la fellation, mais rien de plus. Et Dieu sait que je les utilise souvent !
Ma meilleure amie Léa m’a poussée à aller en boîte ce soir, ne serait-ce que pour repartir avec un numéro de téléphone. Alors elle est venue à la maison à 19h, pour m’aider à m’apprêter. J’habite chez mes parents (qui sont les plus géniaux du monde !), mais je dispose d’une espèce de « studio » indépendant. J’ai une porte d’accès direct à l’extérieur (je suis autonome sur mes entrées et sorties), une très grande chambre avec mon lit et mon bureau, et une salle de bain.
Donc quand Léa est arrivée, elle rentre immédiatement dans le vif du sujet :
— Ma chérie, ce soir je t’interdis de partir sans avoir récolté ne serait-ce qu’un numéro ! Et attention, je te surveille ! — Promis, je ferai au mieux !  Elle m’aide donc à choisir vêtement, parfum, chaussures, maquillage, coiffure, accessoires.
Ce soir, ce sera donc : des talons compensés de 12 centimètres, une robe couleur bordeaux à dos nu nouée derrière la nuque qui est assez courte, un tanga blanc (pas de soutien-gorge, qui gâcherait le dos nu et le décolleté de la robe), un collier avec une petite étoile qui se fond dans le décolleté de ma robe, un bracelet doré, un sac à main assorti à ma robe, une queue-de-cheval haute (mes cheveux sont très longs), et un maquillage sobre relevé par un rouge à lèvres très rouge !
Quand je me regarde dans le miroir, je me sens belle.
Le décolleté de cette robe met bien en valeur mon 95C, et mes talons m’allongent la jambe (je mesure 1m60 sans les talons).
Mon visage clair contraste avec mes cheveux noirs et mes yeux bleus, le rouge à lèvres souligne parfaitement tout ça.
— Prête ? me demande Léa.— Prête !  Léa commande un chauffeur, il est 20h30, nous allons commencer par un bar, histoire de nous « échauffer » ... Enfin, c’est surtout pour moi !
J’aborde plusieurs garçons, mais aucun ne me plaît vraiment. Ils s’imaginent pouvoir coucher facilement, sont un peu rustres et trop confiants. À 23h30, en nous dirigeant vers la boîte de nuit qui est proche du bar, Léa me questionne :
— Alors ma chérie, ça n’a pas porté ses fruits ? — Non, ils s’attendaient tous à ce que je parte avec eux... Mais tu sais que si je ne suis pas en confiance... Enfin tu sais... Et ce n’est pas facile, si je ne peux pas en parler avec eux, que je ne me sens pas assez à l’aise... J’ai peur de la réaction une fois sur place... — Oh, ma chérie, tu sais qu’il ne faut pas avoir peur, on est en 2019 ! Si tu ne te sens pas à l’aise avec ces gars-là... Tu préfères aller dans une autre boîte... ?? — Mais non !! Je veux un homme hétéro qui pourra m’accepter comme je suis ! — Oui, mais, ce n’est pas tellement ce qu’on cherche ce soir. — Je sais, mais il faut que j’aie le max de feeling. — OK, no soucis. Allez, je suis sûre que tu trouveras exactement ce que tu cherches ! — J’espère...  En entrant dans la boîte, la musique est assourdissante, la température très élevée et les corps s’agitent dans tous les sens.
Nous allons chercher nos boissons, un mojito pour Léa, une caïpirinha pour moi.
Nous nous assoyons un peu, pour observer la faune locale, puis une fois nos verres vidés, nous allons danser.
Pendant une bonne heure, nous dansons sur des musiques plus entraînantes les unes que les autres, nous nous amusons énormément !
On s’enfile un verre de plus, qui finit de nous désinhiber, et on se déhanche encore plus, parfois de manière suggestive, lascive.
Quand un garçon un peu insistant et bourrin s’approche de trop, Léa se colle à moi, plaque une main sur mes fesses et enfouit sa tête dans mon cou. Jusqu’à ce qu’il lâche l’affaire. C’est assez efficace !
Pendant qu’elle joue la comédie et qu’elle a sa tête contre moi, j’aperçois un homme charmant, assis à une table, qui nous observe et semble rigoler. Quand elle a fini de repousser Mister Relou, l’homme se dirige vers nous. Léa me regarde, prête à entamer une nouvelle fois sa technique ultime, je lui fais signe de ne rien faire. Elle semble très surprise, puis intriguée et finalement amusée.
L’homme me glisse à l’oreille :
— Bien joué le coup de la fausse petite amie, mais j’suis pas dupe. Tu n’imagines pas combien de fois j’ai fait ça en accompagnant mes amies pour les protéger des blaireaux ! Mais vu comme vous êtes mignonnes, si elle continue comme ça, tu vas finir par avoir de la corne sur le cou !
Je ris. C’est bête, mais je ris. Je crois que c’est son air malicieux, et le fait qu’il semble plus âgé, ça fait moins le « jeune en rut ».

Je souris et lorsqu’il m’invite à m’asseoir avec lui et m’offrir un verre, je suis à la fois réjouie et apeurée.
Léa me sourit et me dit qu’elle va pouvoir aller chasser à son tour, et me fait un clin d’œil.
Je pars donc m’asseoir avec cet homme élégant et... franchement, c’est un beau gosse !
Il m’offre donc un verre puis nous nous mettons sur un des canapés dont dispose la boîte.
Nous parlons énormément, de choses variées, il me fait beaucoup rire.
Il a 31 ans, est souvent en déplacement et n’est pas dans l’optique de fonder une famille. Il préfère rencontrer des femmes plus jeunes que lui, parce que les femmes de son âge, dit-il, ont souvent envie de se caser.
Au fur et à mesure de notre conversation, nos corps se rapprochent, nos têtes se rapprochent, et nos lèvres se rapprochent... Il finit par déposer un baiser doux sur mes lèvres, puis se recule, me regarde et dit :
— Tu es magnifique. 
Mon petit cœur déjà ramolli se met à fondre, et je me jette à son cou pour l’embrasser plus profondément.

Nos langues se trouvent et jouent ensemble. Tout est si parfait.
Il fait glisser sa main, très douce, sur ma cuisse, et dépose la mienne sur la belle bosse qui s’est formée à son entrejambe.
J’ai très envie de lui, mais...
— Attends Thomas, avant d’aller plus loin, il faut que je te dise un truc... C’est très important... C’est à propos de moi... — Qu’est-ce qu’il y a Princesse ? Tu es pucelle ? — Non, ce n’est pas ça... Enfin oui, je le suis, mais ce n’est pas ça que je voulais te dire... Et bien, disons que si tu cherches à planter ta bite, qui semble bien dure d’ailleurs, dans une chatte humide... Ben, je ne vais pas pouvoir t’offrir ce que tu cherches. — Je ne te plais pas ? — Si, énormément, j’ai très envie de toi... C’est juste que si tu veux faire ça avec une fille, ben... Ben, je n’ai pas toujours été une fille, voilà. Quand je suis née, j’étais un garçon. — Heu... Woa...  Je vois ses yeux s’ouvrir en grand et son regard, planté dans le mien, se figer.
Je vous l’avais dit, je ne suis pas une fille comme les autres. Quand je suis née, je m’appelais Lucas.
—--
Depuis aussi longtemps que je me souvienne, je ne me suis jamais sentie garçon.
Je jouais avec les jouets des filles, je voulais m’habiller comme elles, etc.
J’ai toujours admiré ma mère, et ai voulu devenir comme elle. Je détestais l’idée de devenir un homme, avoir de la barbe, la voix grave et ne pas porter de robes, je voulais être enceinte... Oui, on voit les choses de manière basique quand on est petit !
Du coup, mes parents m’ont très tôt fait rencontrer des psychologues, puis psychiatres. Non pas pour me « guérir », mais pour s’assurer que c’était bien ce que je voulais, et à 9 ans, j’ai entamé ma transition. Ça n’a pas été évident, vis-à-vis de l’entourage, de faire comprendre ma décision. Je suis issue d’une famille bourgeoise, BCBG (père chirurgien et mère avocate). Mais mes parents en ont toujours fait fi des commentaires des autres, et ont toujours fait passer mon bien-être avant tout. Ils n’ont pas hésité à mettre les moyens quand il y avait besoin, jusqu’à m’offrir à mes 18 ans 10 tenues intégrales (sous-vêtements, jupes, robes, bijoux, chaussures) de grands couturiers et bijoutiers. Impossible de trouver plus féminin !
Quand j’étais petit garçon, j’avais les traits fins et le visage androgyne. C’est en entrant au lycée que je me suis officiellement présentée comme fille. Depuis ce jour, je sors rarement sans des talons de 8 centimètres minimum (sans compter la plateforme).
Le suivi d’hormones, opérations diverses (implants, lipofilling, épilation laser intégrale, etc.) n’était pas une mince affaire, mais c’était un mal pour un bien. Et non, je n’ai pas subi de vaginoplastie, j’ai toujours mon pénis. D’où le problème de confiance avec les garçons.
Trouver un garçon qui accepte une femme qui a un pénis, un garçon purement hétéro... bon courage !
Je ne voulais pas aller dans des bars gay où trouver quelqu’un qui m’accepte serait plus facile, parce que je veux être vue comme une femme, séduite comme une femme, sautée comme une femme. Je refuse d’être vue comme un ancien garçon.
Et je ne veux ni qu’on me suce, ni sodomiser qui que ce soit. Je suis une femme, pas un ancien garçon actif ou passif. Une femme.
Je crois peut-être aux contes de fées, mais j’aspire à trouver le prince charmant que je séduirai comme une femme, et qui me fera jouir comme une femme !
Mais revenons à la soirée...
—--
Les yeux de Thomas restent fixes quelques secondes, puis je discerne une lueur dans son regard. Il se penche vers moi, embrasse mon cou et me glisse à l’oreille :
— Ne t’inquiète pas Princesse, si c’est ta première fois, je serai doux.
Puis joignant le geste à la parole, il m’embrasse profondément, en faufilant sa langue dans ma bouche. Nos langues se mêlent, jouent, et je sens sa main remonter le long de ma cuisse, puis décaler le tissu de mon tanga, et il appuie doucement sur mon petit anus avec son majeur, en faisant des petits gestes circulaires... Il me rend dingue.

Au bout d’un moment, en continuant de faire jouer sa langue dans ma bouche, il insère le doigt, passant la barrière de mes sphincters. Je pousse un petit couinement. Il se décolle de ma bouche et me propose d’aller dans un endroit plus calme, par exemple chez lui, pour... boire un dernier verre, puis il me fait un clin d’œil. Je craque.
Je me lève et accepte sa proposition sans y réfléchir une seconde de plus. J’aperçois Léa, qui n’a, semble-t-il, pas perdu une miette du spectacle. Elle s’approche de moi et me dit, avant même que j’ai pu prononcer un mot, que je ne dois pas m’inquiéter, qu’elle rentrera de son côté. Elle me fait comprendre, en faisant un signe de tête vers un garçon, que sa cible va la ramener chez elle. Et plus si affinité !
Je me dirige donc vers la sortie avec Thomas, il lève son bras pour que je m’y accroche en m’enroulant autour de son bras. Gentleman.
Il a appelé un chauffeur qui arrive à peine 2 minutes après qu’il l’ait commandé. Nous nous installons à l’arrière, c’est une voiture type limousine, plus petite, mais avec les sièges arrière isolés de l’avant de la voiture par une vitre qui se lève et s’abaisse. Thomas confirme l’adresse de destination, puis nous repartons dans notre balai de langues mêlées.
Il me caresse, et je ne me prive pas d’en faire autant. Je sens et vois une belle barre déformer son pantalon, je fais glisser ma main dessus, lorsqu’il insère de nouveau un doigt en moi. Je gémis une fois encore. Pendant les dix minutes de trajet, il me doigte habilement, et je lui caresse le sexe au travers du tissu de son pantalon.
Une fois arrivés, nous sortons, et nous dirigeons vers son appartement. Nous rentrons, je le pousse dans son canapé et dis :
— Tu n’imagines pas combien de fois j’ai rêvé de faire ça ! Je me suis beaucoup entraînée sur mes godes, je vais te sucer comme une folle ! — Alors là, avec plaisir ma belle !  Je lui enlève ses chaussures, chaussettes, je me positionne bien à genoux entre ses jambes. Je déboutonne son pantalon, et l’abaisse, en emportant le caleçon.
Ce que je vois me fascine et m’effraie.
Cette bite n’est pas du tout de taille moyenne, et aucun de mes godes ne fait ces dimensions. Je ne saurais pas la mesurer, mais ma main n’en fait pas le tour et elle semble longue. En tout cas bien plus grosse que la mienne (qui tient facilement en main, fine, et qui mesure 10 centimètres de long en érection) !
Je regarde Thomas dans les yeux, et il lit mon inquiétude :
— Tu as confiance en moi ? Ne t’inquiète pas, on ira doucement, on ne forcera pas, je te promets que tu vas adorer.
Je hoche la tête. Pour je ne sais quelle raison, il m’inspire confiance. Je reprends donc mes esprits et m’approche de son membre.

Je le lèche plusieurs fois sur toute sa longueur, puis l’engloutis autant que possible dans ma bouche.
Je joue avec ma langue dessus, et la fais coulisser le plus profondément possible. Je dépose sur son manche toute la salive que je peux, il va falloir que ça glisse après !
De temps en temps, je sors sa bite de ma bouche pour lui lécher et gober les testicules tout en le masturbant. Je remets ensuite son membre entre mes lèvres, et j’essaie de le mettre le plus profondément possible dans ma gorge, mais il est trop gros, et le résultat n’est pas là.
Je continue alors à le sucer en m’aidant de mes mains, qui montent et descendent sur sa hampe.
Je l’entends gémir, souffler, il a l’air d’apprécier.
Il dépose sa main sur ma tête, attrape ma queue-de-cheval et m’imprime une cadence de fellation. Je lève alors les yeux vers lui et le vois me regarder. J’effectue alors les mouvements les plus amples possible, et en conservant mon regard plongé dans le sien, je sors sa bite de ma bouche, un filet épais de salive me lie à lui, et je la lèche de bas en haut, puis je fais jouer ma langue sur son gland. En gardant sa main sur ma tête, il ferme les yeux, lance sa tête en arrière et pousse un soupir de plaisir.
Je me remets donc à le sucer du mieux possible en fermant les yeux, me concentrant sur la sensation de ce manche de chair qui coulisse entre mes mains et mes lèvres.
Au bout d’un long moment, je décide de lâcher sa belle bite, je me relève, enlève mon tanga et grimpe sur lui, en le chevauchant de face.
Je prends son sexe en main et le dirige vers mon petit cul. Au moment où son gland touche mon derrière, il me stoppe et me dit :
— Si tu y vas comme ça, ça ne va pas passer, tu risques de te faire mal. 
Il me fait alors basculer, je me retrouve sur le dos, sur le canapé, jambes écartées robe relevée à ma taille.

Il s’abaisse et s’approche de moi, il insère sa tête entre mes petites fesses et me lèche mon petit trou.
Je sens sa langue faire des allers-retours sur ma petite rose, faire des petits cercles, pousser légèrement... C’est tout bonnement divin !
Il m’insère ensuite progressivement un doigt, puis deux, sans trop de difficulté (merci mes petits godes), me provoquant des souffles de plaisir. Il les fait glisser en moi, tourner, les écarte pour m’assouplir. J’adore le traitement qu’il m’inflige avec ses doigts, sa bouche déposant de doux baisers sur mes cuisses, autour de mon sexe et de mon petit trou. Puis il met un troisième doigt qui me fait couiner plus fort. Là, il augmente la vitesse et active sérieusement ses doigts, je ne peux me retenir de pousser de longs gémissements de plaisir.
Il retire ensuite ses doigts et se place bien au-dessus de moi.
Avec sa main, il dirige son sexe vers mon antre, et commence doucement à pousser pour entrer en moi. Il installe ses bras de chaque côté de moi, et positionne le creux de mes genoux dans celui de ses coudes.
Il pousse un peu plus fort, je sens mon anus s’étirer pour laisser passer son énorme membre, mais je n’ai pas mal, il m’a bien préparée.
Je sens que son gland est entré, ce qui m’arrache un cri de plaisir.
La vache, j’vais le sentir passer !
— Si t’as aimé ça, t’as pas fini de chanter ma belle !  me chuchote-t-il.

Il crache sur mon trou, pas classe, mais efficace, et enfonce ensuite doucement, mais fermement son gros calibre en moi, j’envoie ma tête en arrière et pousse des râles de plaisir. Il reste un moment planté en moi, me permettant de m’habituer à son diamètre, puis fait de tout petits mouvements de va-et-vient, mon anus se détend complètement. Il entame des mouvements plus profonds et lents. Je n’ai jamais pris autant de plaisir. Je sens complètement chaque centimètre de sa bite épaisse entrer en moi, j’ai la sensation que cette queue est interminablement longue.
— Hummm... Thomas, ce que tu me fais est si bon... Je sens bien ta bite épaisse... Hummm.— J’adore quand tu parles de ma « grosse  bite. — Quand je dis que... hummm... ton énorme calibre qui... hummm... entre en moi... hummm... me fait du bien... hummm... ? — Hum, oui petite cochonne. Je vais te faire hurler, je t’interdis de contenir des cris. Je vais te démonter ton petit cul. — Hummm... alors défonce moi mon petit trou avec ta grosse bite... hummm... »
Et là, les choses sérieuses ont commencé. Dès qu’il a perçu que je m’étais parfaitement faite à sa taille, j’ai compris ce qu’il voulait dire par « démonter ». Il s’est mis à me limer à une vitesse folle et avec une force impressionnante, comme s’il voulait me planter dans le canapé !
J’ai alors commencé à crier à m’en vider les poumons, tant le plaisir était intense !
— OH MON DIEU OUI ! C’EST BOOON ! OH OUIII, OUIII, OUIIIIII ! HAAA HAAA HAAAAAA ! Oh ta grosse bite est si bonne dans mon cul ! Oh oui, j’adore que tu me sodomises ! 
Je ne saurais pas dire quelle a été la durée de ce traitement, j’ai complètement perdu la notion du temps à ce moment-là.

Ce dont je suis sûre, c’est qu’il a fini par sortir de moi, me retourner et me prendre aussi vigoureusement en levrette.
Ses puissants coups de reins m’arrachent d’aussi puissants cris de plaisir. La façon dont il me maintenait les hanches m’excitait au plus haut point, mais quand il s’est agrippé à ma queue-de-cheval et m’a tiré les cheveux, je suis rentré dans un état euphorique... J’en aurai oublié qui je suis et où j’étais !
Il me mettait de temps en temps des claques assez fortes sur les fesses et disait de moi que je suis une sacrée cochonne, une petite bourgeoise salope, que j’étais sa pute BCBG, etc.
On repassera pour le respect, mon gentleman s’est transformé en mâle alpha dominateur, ce qui n’est pas le genre de chose qui m’excite... Enfin, en principe... Là, il me procurait tant de plaisir, que je m’en fichais... Ça m’excitait même un petit peu... Là encore, impossible pour moi d’estimer le temps qu’a duré son agréable acharnement à me faire hurler en levrette.
Il a fini par me dire qu’il allait jouir :
— Où veux-tu que je lâche tout ? Hum ! Dans ton cul, ta bouche, sur tes seins ? Où petite salope ?! 
J’ai mis un temps pour répondre. Déjà, parce que ses coups de butoir n’ont pas diminué en intensité, il en allait donc de même pour mon plaisir, mais également de mes cris incontrôlables ! Et ensuite, comme je l’ai dit, ma capacité de réflexion était très basse. Je n’étais qu’une femelle en plein coït !
Mais je ne sais ni comment ni pourquoi j’ai fini par dire :
— Jouis sur moi ! HAAA OUI ! Jouis sur moi ! 
J’avais envie de connaître son goût. De partout. Il s’est donc retiré, je me suis retournée et mise à genoux devant lui, il m’a agrippé les cheveux pour me maintenir face à lui.
Il a joui, en grognant de plaisir, une quantité folle de sperme qui est venue s’écraser sur mon visage, mes lèvres, mes cheveux, et qui a coulé sur ma robe.
Je récupère un peu de sa semence que je goûte et dont, à ma grande surprise, j’apprécie le goût !
Nous étions tous les deux haletants, moi toujours à genoux devant lui, reprenant lentement mes esprits, ne sachant que dire ni que faire.
— Petite douche Princesse ? 
Je fais oui de la tête, je suis encore incapable de construire une phrase correcte.

Il me prend la main, et nous dirige vers sa grande salle de bain, qui possède une grande baignoire et une douche à l’italienne où l’on passerait, sans difficulté, à quatre !
Je défais ma robe, mes talons, pose mes bijoux dans mon sac à main, et retire le chouchou de mes cheveux, les laissant tomber dans mon dos.
La douche qui suit est très romantique. Nous nous savonnons l’un l’autre, tout en plaçant des caresses plus ou moins appuyées et plus ou moins coquines. Il me prend à la taille, m’attire à lui, penche sa tête vers la mienne pendant que je me dresse au maximum pour atteindre sa bouche. Il est beaucoup plus grand que moi, 1m90 je dirais. Puis il dépose sur mes lèvres un baiser d’une tendresse et d’une intensité que je n’aurai jamais cru possible. L’eau chaude qui coule sur nos corps augmente la sensation de bien-être qui traverse mon corps. Il me rend dingue.
Nous finissons cette douche et il me propose rester chez lui pour la nuit, de ne pas repartir.
Je suis très heureuse, comme une gamine et j’accepte sans difficulté ! J’envoie un message à mes parents, pour ne pas qu’ils s’inquiètent de mon absence au petit matin, et Léa, pour la rassurer sur le déroulement de ma soirée. Je laisse mes affaires dans sa salle de bain et en sors.
À peine ai-je posé un pied hors de la pièce que je sens ses mains puissantes m’agripper, me faire chavirer dans tous les sens, et avant même que je n’ai compris quoi que ce soit, je me retrouve portée, telle une princesse, dans les bras de Thomas. Un bras sous mes jambes, l’autre dans mon dos. Il m’amène ainsi jusqu’à sa chambre et me dépose délicatement sur le lit. J’ai l‘impression d’être dans un rêve. Il me rend folle. Il s’en va éteindre toutes les lumières et reviens dans la chambre. Je me glisse sous la couette avec un sourire aux lèvres.
Il me rejoint, dépose un tendre baiser sur mes lèvres et me dis :
— Bonne nuit Princesse, fais de beaux rêves, repose-toi bien. — Bonne nuit, Thomas, merci, dors bien toi aussi. — Si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas à me réveiller. — Merci c’est gentil. — À demain. — À demain.  Il s’allonge sur le dos, je viens me lover tout contre lui, ma jambe sur la sienne. Ses bras m’entourent, je me sens protégée. C’est tellement cliché, mais c’est si agréable. Je crois que je n’ai jamais ressenti autant de bonheur de toute ma vie.
Avant de m’assoupir, j’aperçois l’heure sur son radio réveil. Il est 5h44.
Je n’en reviens pas que cela, mon dépucelage, ait duré si longtemps. Je n’ai pas vu le temps passer.
Vivement la prochaine fois, car j’espère bien qu’il y aura une prochaine fois !
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