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Le monde des hommes-chiens.

Chapitre 3

Première saillie.

Divers
Comme convenu Moolabhit vint nous chercher pour nous faire faire du tourisme et nous montrer le lieu où devaient avoir lieu les accouplements, si toutefois  nous y consentions.
Nous traversâmes la ville quasi déserte en nous arrêtant aux principaux édifices, avant d’arriver au temple de Mélamwa-Tootofon, leur dieu de la fertilité et du sexe. Il n’y avait pas à se tromper compte tenu de l’architecture et du décor de l’édifice.
Un escalier monumental encadré de chaque côté par des statues d’hommes-chiens (c’est comme ça que nous les appelions entre nous) en rut avec des pénis exagérément surdimensionnés, menait à un portail dont la forme était sans équivoque; il s’agissait d’une immense vulve dont les deux lèvres n’étaient autre que deux immenses phallus arqués.
L’intérieur était un vaste stade, de forme également ovale pour rappeler le sexe féminin. Un immense toit en verre était soutenu par des poutres en forme de bites en érection.
Il y  avait une immense place centrale, déserte pour l’instant, au bout de laquelle se trouvait une sorte de petite piscine dont la forme ne pouvait faire penser qu’à une jolie paire de roustons. Puis un escalier montait jusqu’à une sorte d’autel surplombé par une immense statue ithyphallique du dieu.C’est là, nous expliqua notre guide, que chaque année, autrefois, les jeunes mâles et les jeunes femelles qui avaient perdu leur pucelage dans l’année venaient à une cérémonie pendant laquelle chaque mâle s’accouplait avec la prêtresse et chaque femelle, si elle n’était pas déjà grosse, se plongeait dans un bain de sperme destiné aux plus belle promesses de descendance.
C’est au centre de l’esplanade qu’aurait lieu notre accouplement. Les mâles attendant leur tour dans les gradins.
Nous objectâmes qu’il y avait au moins vingt mille places et que nous ne pourrions pas satisfaire tout le monde. Mais il nous fut répondu que la situation démographique ne permettait déjà plus de remplir le stade et que, de toute façon nous étions libres d’arrêter et de reprendre à notre convenance jusqu’à ce que tout les mâles aient vidé leurs couilles, cela dut-il prendre plusieurs jours.
Enfin, la première d’entre-nous à devenir grosse deviendrait grande prêtresse et, si nous avions l’honneur d’être la première de toute la planète, d’être même prêtresse suprême et être ainsi comblée de pouvoirs, de richesses et d’honneur.s Les anciens nous formeraient à notre rôle.
— Ça m’irait bien, dit ma sœur, moi qui n’ai jamais cru ni en Dieu ni en Diable mais qu’au sexe, voila une profession et un culte qui en valent bien d’ autres !
Nous attendîmes donc l’heure fatidique où nous ferions la connaissance des jeunes mâles.
La même scène aurait lieu au même moment dans des centaines de villes.
Le soir même nous nous concertâmes. Que devions nous faire ? Accepter, refuser ? Car bien sûr, il n’était pas question de ne pas être solidaires.Nous pesâmes le pour et le contre. On nous avait enlevées quand même ! et nous ne tenions peut-être pas à devenir des ventres pour cette race là ! D’ailleurs cela marcherait-il, n’était-ce pas dangereux ?

Nous fîmes vraiment le tour de la question, sans doute davantage pour nous donner bonne conscience plutôt qu’autre chose,  et puis ce fut l’envie de sexe qui prévalut. Certes ces mâles avaient un faciès un peu ingrat à notre goût mais ils étaient montés comme des ânes et leur queue à la forme et aux propriétés apparemment extraordinaires nous promettait une expérience hors du commun, d’autant qu’on ne nous forcerait pas et que nous serions rapatriées  quand nous voudrions, selon leur promesse. Mais fallait-il les croire?
-  Quand même, ils ont de sacrées belles bites.-  Et de grosses couilles !
Ce dernier échange entre deux de nos camarades d’ordinaire peu loquaces nous fit éclater de rire et emporta l’adhésion qui était déjà quasiment acquise. Nous irions. Mais, au moindre problème, ce serait stop direct !
A l’heure dite on vint nous chercher.
Nous entrâmes dans le temple par une porte de service qui permettait d’accéder ensuite par ascenseur à proximité de l’autel. Nous étions entièrement nues.
Moolabhit prit la parole et tint un discours pour rappeler l’heure solennelle qui allait décider de la survie de leur espèce. Il demandait de nous traiter avec respect comme si nous étions leurs femelles. Puis on nous fit descendre deux par deux et pendant que nous nous rapprochions du centre, on nous présentait.
C’était très  impressionnant car, si le stade n’était pas plein, il y avait quand même plusieurs milliers de mâles. Notre apparition provoqua un délire d’applaudissements, des sifilets et des cris dont certains ressemblaient à des aboiements.
Pour autant, ce n’était pas de l’hystérie mais plutôt une joyeuse contagion de rires et d’excitation dans l’espérance d’une  partie originale pour ces jeunes couillus qui n’avaient jamais vu de femelle.
A mesure que nous descendions nous nous rapprochâmes des gradins où tout ce petit monde était déjà à poil. Notre apparition avait mis les quéquettes en branle. Nous traversions une forêt de bite tendues à mort mais qui paraissaient agitées de mouvements comme si une main invisible les avait masturbées.
Une à une, comme dans un défilé de miss, nous contournâmes le bassin en forme de couilles, tout en frôlant les premiers rangs de mâles surchauffés. Il montait une forte odeur à laquelle nous devions bientôt nous familiariser, celle de leur sueur et du rut et elle  n’était pas plus désagréable que celles de nos hommes. Sans doute leurs phéromones agissaient-elles sur nous et peut-être avaient-ils aussi manipulé nos hormones pendant le traitement médical que nous avions subi à notre arrivée et qui devait nous rendre sexuellement et génétiquement compatibles. Je dois dire que je me laissai aller au désir et que plus j’avançais moins je redoutais le coït bestial auquel j’avais consenti quand même avec quelque appréhension. Nous prîmes place sur l’espace central où des matelas et des bancs avaient été disposés pour chacune d’entre nous. Je mouillais.
C’est à ce moment que je remarquai que le sol était sillonné de petites rigoles comme si les dalles du carrelage étaient volontairement disjointes.
Il faisait chaud. Je commençai à transpirer mon cœur battait la chamade, je respirai fortement soulevant ma poitrine. J’avais envie qu’on me pince les tétons, j’avais envie de sucer une de ces bites, j’avais envie qu’on me prenne et, n’étant pas la plus délurée, je devinai quel devait être l’état de certaines de mes collègues... et de ma sœur.
Chaque place était attribuée et nous la reconnûmes par une pancarte à notre nom, une sorte d’hologramme où défilaient nos mensurations et où l’on nous montrait nue sous toutes les coutures. Quand nous fûmes installées, il y eut un signal et un mâle quitta le premier rang et s’approcha. La scène se reproduisit trente fois.  Leur tour avait été tiré au sort.... les suivants déjà faisaient... la queue.
Je n’eus que quelques secondes pour apprécier celui qui vint vers moi. Il me parut rougir un peu ce que je trouvais touchant, mais j’étais beaucoup plus attirée par son bas ventre où un énorme sexe ballottait de droite et de gauche au rythme de ses pas. Il me parut terriblement dur, terriblement dressé et je vis les jellubsters se gonfler et dépasser la collerette du gland, dodu et écarlate, désirable comme un fruit à croquer.
Je regardai autour de moi, un peu inquiète, mais les filles étaient déjà dans les bras d’un solide gaillard. Le mien me prit, me retourna et me mit en levrette avant que j’ai eu le temps de dire quoi que ce soit.
Je sentis son énorme braquemart exercer une ferme pression sur ma vulve qui fut tout de suite inondé de jellub. Le pénis écarta les lèvres, entra, et la sensation de cette grosse masse de chair fut exquise et encore plus celle des jellubsters qui suintaient encore et étaient gonflés à bloc. Quand je fus suffisamment lubrifiée, le mâle poussa un grand coup de rein et la bite vint s’enfiler d’un coup tout au fond. Je sentis le gros morceau passer. Aïe ! C’était du calibre XXL et j’eus un peu mal. Je ne pus contenir un cri de douleur qui fit écho à ceux que quelques-unes de mes camarades avaient poussé et qui en précéda d’autres.
La pine me remplissait la chatte et la base se mit à gonfler démesurément. Il me sembla qu’elle s’agitait à l’intérieur sans que le mâle bouge puis il éjacula avec la puissance d’une lance de pompier. Le tout avait duré moins d’une minute. Je n’avais pas joui, j’étais frustrée. Il resta quelques instants en moi le temps que ça bite dégonfle. Je lui demandai de s’occuper de moi mais il était tellement godiche qu’il ne sut rien faire que de rester allongé sur moi. Il était lourd, je sentais et j’appréciais sa masse mais il ne se passait rien.
En regardant à droite et à gauche, je vis que mes compagnes avaient à peu près subi le même sort. L’une d’entre elle, était debout et refusait d’accueillir un nouveau compétiteur qui insistait d’un air dépité alors que sa queue pointait vers le ciel.
Quant au mien,enfin il se retira et son sperme ruissela abondamment le long de mes cuisses.
Déjà un autre se présentait mais je me relevai aussi. Nous étions cinq ou six debout et l’une d’entre nous rouspétait.
-  Venez les filles on se casse ! C’est n’importe quoi ! Que des éjaculateurs précoces ! C’est pas le tout d’avoir une grosse bite, faut savoir s’en servir !
Quelques filles qui étaient encore maintenues par le mec bloqué dans leur chatte nous dirent de les attendre.
Finalement, nous décidâmes toutes de partir aucune n’ayant trouvé son content dans ce coït brutal et, surtout, rapide. On aurait baisé le TGV que cela nous aurait pris plus de temps !
Moolabhit et d’autres officiels , voyant notre bronca, nous demandèrent ce qu’il se passait.
-  Comment c’qui se passe !  Vous baisez toujours aussi rapidement ? Bonjour Madame, au revoir Madame ! Un petit tour et puis s’en vont ! C’est quoi ce bordel ? Vous chronométrez ? Y’a une médaille d’or pour le plus rapide ? Chez nous, les jeux olympiques du sexe, c’est pas le plus rapide qui gagne !
-  Il faut comprendre ils sont jeunes et nous n’avons pas les mêms habitudes et pratiques sexuelles que vous !
-  Comment cela ?
Nous eûmes droit à une nouvelle leçon sur les mœurs sexuelles de nos hôtes.
Leurs femmes mettant bas très tôt de plusieurs petits, n’ont pas un bassin très large ce qui ne leur permet pas d’ouvrir les cuisses aussi grand que nous. Par conséquent, ils baisent rarement en missionnaire car, pour que la femelle profite sur le dos, il faut qu’elle replie complètement ses jambes sur son corps, position jugée peu confortable par les eux partenaires. Bref, à part la levrette, ils n’ont pas grand chose à se mettre sous le ventre...
-  Mais, dit Ivanna, l’ukrainienne, je croyais que vous aviez projeté à tous vos mâles des films nous montrant lors de nos ébats.-  C’est vrai, nous l’avons fait... et amplement!-  Donc ils savent comment nous faisons !-  En principe oui !-  Alors pourquoi ne le font-ils pas ?-  Je ne sais pas, l’instinct peut être..; la timidité... je ne sais pas... je suis désolé.-  Ecoutez, dit ma sœur qui décidément s’affirmait comme une des meneuses de notre groupe, on veut bien se faire saillir, on ne demande pas mieux même, on veut bien encore tomber en cloques et porter vos mômes, mais si vous voulez que nous soyons coopératives il va falloir qu’on nous laisse faire OK ? On veut bien rendre service mais encore faut-il que nous y trouvions notre compte, on veut prendre notre pied, on veut de l’éclate, on veut grimper aux rideaux, c’est le seul intéret que nous ayons à l’affaire... sinon basta, on rentre à la maison... pas vrai les filles ?
Nous acquiesçâmes à l’unanimité.
Alors Moolabhit expliqua à l’assemblée qu’il fallait se conformer à ce que nous voudrions. Les jeunes devaient s’inspirer des films où ils ous avaient vues et faire comme nos mâles. Il fallait nous laisser l’initiative et ils avaient tout leur temps.
 -  Par contre dit-il , pour les rideaux je ne vois pas exactement ce que vous en attendez. Cela risque d’être long à installer dans un si vaste espace.-  Laisse tomber Moolabhit vieux cochon, c’est une expression de chez nous. Donc tu penses qu’ils vont savoir faire ?-  Oui, j’espère, moi en tout cas...-  Pour quoi tu ne le fais pas alors?-  Je suis trop vieux; je n’ai pas été désigné pour m’accoupler, regretta-t-il.-  Et tu aimerais ?-  Oh la la , dit-il en faisant tourner son pagne d’un quart de tour.
Et aussitôt sa tige se dressa, vigoureuse et luisante. Elle décalotta sans difficulté.
-  Bon ben, tu es de la partie !-  Ce n’est pas ce qui était prévu !-  Ou tu t’y colles et tu montres à cette bande de puceaux comment on fait plaisir à une femme, ou on s’en va !
Il consulta le conseil des anciens qui consentit à tout ce que nous voudrions tellement la peur de l’échec était palpable, d’autant que des témoignages affluaient des autres baisodromes répartis dans leur monde où il se passait la même chose.
-  C’est d’accord. Je peux le faire.-  OK, qui y va les filles ?-  J’aimerais bien la femelle rousse... Mildred, s’il vous plait, demanda-t-il timidement.-  C’est d’accord Mildred ? demandèrent plusieurs filles .
En guise de réponse, Mildred fendit les rangs, prit Moolahbit par la main et se dirigea vers sa place.
-  Aller on vous regarde !
Et Moolabhit, qui avait visiblement passé de très longues heures à mater les films de cul dont nous avions été les héroïnes involontaires, éructa un vigoureux : "suce-moi salope" qui reçut immédiatement un début d’exécution.
Partout dans le temple, les écrans filmèrent en gros plan l’accouplement du vieux chaman et de la canadienne rouquine à gros seins. Le gros porc saisissant là une opportunité qui, peut-être ne se retrouverait jamais, s’appliqua à satisfaire sa compagne et à prolonger son plaisir comme s’il avait tourné un bon porno bien de chez nous. Les jeunes mâles autour en prirent de la graine.
A suivre
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