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I - Liaisons dangereuses

Chapitre 4

Le monde de Jenny (2)

Hétéro
Après ce petit « apéritif », nous sommes allés manger dans un restaurant non loin de chez Jenny. Elle a changé de robe, la rouge ayant sans doute trop souffert de la chevauchée de Julien et je soupçonne aussi que du sperme soit tombé dessus. A la place, elle a revêtu une robe noire un poil plus longue que la précédente, ses jambes cette fois-ci gainées de bas noirs transparents. Son dos, en partie nu, laissant apparaître une attache de soutien-gorge, il semble donc que, cette fois, elle ait mis des sous-vêtements. Le repas est très sympa et convivial, on parle et rigole tous les trois comme si nous étions des amis de longue date. Je découvre une Jenny que je ne connaissais pas, adorable, drôle, enjouée, et je pense que c’est ça, la vraie Jenny. Au boulot, elle est dans un autre rôle, mais ayant passé plus de trois ans à la côtoyer exclusivement au travail, ça fait bizarre de la voir ainsi. Je savais au fond de moi qu’elle n’était pas aussi désagréable qu’elle peut le laisser paraître et je suis content de ne pas m’être trompé.
Le repas fini, nous reprenons la direction de chez elle, mais sans monter cette fois.
— Suis-moi avec ta voiture, me lance-t-elle.
Je monte dans ma voiture et la suis, Julien étant monté avec elle. Nous roulons un petit moment pour finir par arriver dans une petite ville voisine. Il est presque 23h et les rues sont désertes. On finit par se garer devant un magasin qui s’avère être un centre de bien-être et d’esthétique, centre qui, vu l’heure tardive, est bien entendu fermé. Je connais bien cet endroit pour y avoir souvent emmené une ex qui y passait sa vie - et son argent - et vu qu’ils font aussi des soins pour les hommes, elle m’avait tanné pour que j’y aille pour me faire épiler toute la zone intime. J’ai jamais voulu, préférant garder mes poils et me contentant de passer un coup de tondeuse de temps à autre quand ça devient vraiment trop fourni. Bref, que faisons-nous ici ?Jenny se dirige vers une porte sur le côté de la vitrine et sonne. Une voix lance :
— Oui ?— C’est Jenny !! répond-elle d’une voix chantante.
La porte s’ouvre et nous rentrons dans un couloir éclairé uniquement grâce à un bloc lumineux d’évacuation d’urgence. Nous marchons quelques pas jusqu’à ce que Jenny ouvre une porte qui donne directement sur l’accueil du salon. Ce dernier est éclairé d’une petite lumière tamisée qui vient de derrière le comptoir à quelques mètres de là. Une fois la porte et le verrou de celle-ci refermés, Jenny se met à l’aise en enlevant la petite veste qu’elle porte et en posant son sac dessus. Julien, quant à lui, ne prend même pas le temps de faire de même et s’éclipse par une porte au fond du salon, ce qui fait doucement rire Jenny.
— Qu’est-ce qu’on fait ici ? Lui demandai-je.
Elle me sourit avant de prendre ma main :
— Viens avec moi !
Nous marchons alors dans la direction que Julien a pris quelques secondes auparavant. Une fois la porte ouverte nous débouchons dans un couloir bordé de part et d’autre de box qui servent sans doute pour les soins. Certains d’entre eux sont fermés et on peut clairement deviner qu’ils ne sont pas vides, des gémissements et autres bruits venant résonner dans le silence apparent de l’endroit. Nous marchons jusqu’à arriver tout au bout du couloir et rentrons dans le dernier box. Une table de massage, une chaise ainsi qu’un petit meuble à roulettes, voilà les seuls objets meublant ce box qui est plutôt exigu. On peut entendre de petits rires et gémissements venant de l’autre côté de la fine cloison qui nous sépare du box attenant.Jenny se met face à moi et commence à me déshabiller. Elle enlève mon pull qui représente la seule couche que je porte en haut, puis déboutonne mon pantalon et le fait descendre, ainsi que mon boxer. Elle prend la chaise, s’assoit face à moi et prend mon sexe encore mou pour le mettre dans sa bouche. Elle est très appliquée et très lente dans ses gestes. Je ne mets pas longtemps à bander et elle continue à me sucer quelques instants puis se relève, met la chaise de côté et pousse la petite commode qui cache derrière elle un trou d’une vingtaine de centimètres de diamètre fait dans la cloison. Jenny me regarde avec un petit sourire et reprend la direction du couloir. Elle se retourne avant de sortir :
— Tape trois coups quand tu seras sur le point de craquer, me dit-elle en m’adressant un clin d’œil avant de disparaître.
En regardant de nouveau le trou, je peux voir qu’il y a de l’agitation derrière, quand soudain, des lèvres toutes fines font leur apparition, lèvres desquelles finit par s’échapper une langue ornée d’un piercing. Je m’approche, la queue en main, et fait entrer en contact mon gland avec cette langue. Un gémissement s’échappe de la bouche alors que la langue commence à me lécher. Afin de faciliter les choses, je m’avance encore jusqu’à me retrouver collé à la cloison, la queue et les couilles de l’autre côté. Je sens immédiatement ma bite engloutie par une bouche bien chaude, la sensation du piercing massant mon gland est géniale ! Pendant que cette bouche va et vient sur ma queue, une main me masse délicatement les couilles, les faisant rouler l’une contre l’autre ; puis, je sens une autre bouche venir les lécher puis les gober. Elles sont donc deux derrière cette cloison, et si je sais que ce n’est pas Jenny qui me suce car elle n’a pas de piercing, peut-être est-ce l’autre ? Ma queue quitte la bouche en train de me sucer, puis une autre prend le relais.
Cette fois-ci, pas de piercing, les lèvres semblent être beaucoup plus grosses que la précédente bouche et les mouvements sont plus soigneux et plus appliqués, sa langue joue avec mon gland, appuyant sur le frein tout en me branlant de ses belles lèvres. Cela aurait pu être Jenny par sa manière de sucer, mais les lèvres ne correspondent pas. Je sens la langue au piercing venir me lécher à son tour.La sensation d’être collé contre une cloison dure et froide sans pouvoir faire quoi que ce soit de ses mains et de ne pouvoir voir qui s’occupe de moi est très frustrante, mais, malgré tout, j’y prends beaucoup de plaisir, les deux bouches qui s’affairent sur mon sexe le font très consciencieusement et avec beaucoup de plaisir si j’en juge aux gémissements gourmands qu’elles lancent. Deux bouches bien différentes d’ailleurs, je pense que celle au piercing doit être plus jeune et fougueuse, sans doute moins expérimentée, alors que la seconde est beaucoup plus posée mais n’en demeure pas moins très efficace ! Je me décide à fermer les yeux plutôt que de fixer la cloison afin de me concentrer sur les bruits que je peux entendre et les sensations que j’éprouve. On peut d’ailleurs deviner, venant d’un autre box plus éloigné, qu’une belle partie de baise est en cours, si j’en juge par les gémissements bruyants et les bruits de peaux qui claquent l’une contre l’autre.
Il me semble reconnaître les complaintes de Jenny, mais c’est difficile de juger. Pendant ce temps, la bouche que je devine expérimentée continue à me sucer alors que l’autre langue arrête de me lécher. Puis, ma queue quitte la bouche et une main vient la remplacer, tirant la peau de mon sexe vers l’arrière et la maintenant immobile. Je sens alors une sensation chaude et humide entourer mon gland, puis se propager à toute ma queue, la main qui la tient l’ayant lâché. Un long gémissement se fait entendre et je sens quelque chose venir appuyer sur la cloison. Je prends l’une d’elles en levrette, la plus jeune si j’en juge par le fait que son vagin est bien serré autour de ma queue. Elle commence les va-et-vient, se contentant de la première moitié de ma bite par des mouvements courts mais rapides. Ses gémissements étouffés trahissent le fait qu’elle a la bouche prise, je l’imagine bien en train d’embrasser ou de sucer les seins de sa copine. Cette pénétration est délicieuse, bien que dangereuse, car l’étroitesse de sa chatte est de nature à faire beaucoup plus vite monter la pression, et je ne veux pas craquer, je veux donner l’occasion à l’autre d’en profiter aussi.
Je tente donc de garder mon calme, aidé en cela par le fait que je ne vois rien, ce qui me permet de me contrôler plus efficacement, et ce malgré les gémissements venant de l’autre côté de la cloison. La pénétration continue, cette fois sur toute la longueur de ma queue, mais sa chatte m’enserre moins, elle commence sans doute à se détendre. Puis, ma queue quitte ce cocon chaud et humide, remplacé quasi instantanément par l’autre bouche qui prend le relais beaucoup plus doucement et calmement. Elle s’arrête de me sucer pour me branler lentement en me massant doucement à la base de la bite. Elle a dû sentir en me prenant en bouche que je suis très tendu et elle fait tranquillement redescendre mon excitation. Là, plus de doute, elle a clairement plus de métier que sa petite protégée !! Elle continue comme ça quelques instants, puis je peux l’entendre se lever et sentir mon gland passer entre deux lèvres humides avant de venir frotter sur un petit tapis de poils.
Les lèvres de sa chatte semblent aussi charnues que celles de sa bouche, et elles entourent délicieusement mon gland avant qu’il ne vienne se faire doucement gratter par les poils de son pubis. Le contraste de cette sensation mêlant douceur et légère rugosité est délicieux, je m’en mords les lèvres de contentement. Je peux la sentir lever une de ses jambes et la poser plus haut, puis ma queue la pénètre, d’abord une petite partie, puis entièrement lorsqu’elle trouve la bonne position, que je devine être assez acrobatique. Ma queue est entourée d’une chatte moelleuse, bien différente de la précédente qui était beaucoup plus serrée ; elle fait des va-et-vient lents en ondulant ses hanches légèrement, c’est un régal !!
Puis, une petite voix s’élève :
— J’ai envie de la sucer s’il te plaît !!
Ma bite quitte alors la chatte pour être remplacée par la bouche au piercing. Elle me pompe la bite avec vigueur tout en usant de son piercing pour appuyer ses caresses. Puis elle se met à me branler avec rythme en me donnant de petits coups de langue. Je sens alors la deuxième bouche rejoindre la première, l’une s’occupant de suçoter mon gland pendant que l’autre léche le reste de mon sexe, c’est divin, j’aurais bien voulu pouvoir admirer ça !! La plus jeune continuant à s’occuper de ma bite, l’autre lui dit :
— Tiens, mets là moi !!
Elle retire sa bouche, crache sur ma bite avant de me branler un peu pour ensuite l’immobiliser. Je peux sentir mon gland bien gonflé qui force pour la pénétrer, je sens bien qu’elle veut que je lui prenne le cul mais son petit trou ne semble pas décider à me laisser la prendre. Je me fais branler quand je sens une sorte de liquide me couler sur le sexe. C’est sans doute du lubrifiant car une fois que la main se remet à me branler, elle glisse parfaitement entre ses doigts. Après que ma bite fut bien recouverte, mon gland appuie de nouveau sur son petit trou, que je le sens s’ouvrir petit à petit pour finir par se dilater et accueillir ma queue entièrement. Elle pousse un long et bruyant gémissement en sentant mon sexe prendre place en elle. Puis elle colle son cul à la cloison. J’aurais voulu agripper ses fesses mais je ne peux que me contenter de la sodomiser. Son cul collé à la cloison, je peux voir son anus enserrer ma queue qui va et vient. Elle pousse de petits cris à mesure que ma bite visite son cul, les bruits de claquement de peau remplacés par les chocs et les vibrations de la cloison en bois à chacun de mes coups de reins.
Entre deux gémissements, la personne à qui appartient le cul que je suis en train de pilonner chuchote à l’autre :
— Bouffe-moi la chatte, vas-y !!
Elle s’exécute et elle se met à gémir de plus en plus fort. Je pose mes mains sur la table de massage derrière moi et me mets à accentuer cette profonde sodomie, elle se met alors à crier de plus belle, la cloison tremble de plus en plus sous mes coups de butoir, je suis sur le point de jouir, et je me souviens alors de ce que m’a dit Jenny avant de me laisser :
— Tape trois coups quand tu seras sur le point de craquer
Comme je peux, d’une main et tout en continuant à l’enculer, je tape à trois reprises à la cloison.
— Oui, vas-y, lâche-toi dans mon cul !!! crie-t-elle
Je ferme alors les yeux tout en laissant s’échapper un long et fort gémissement alors que je jouis dans son cul. Elle crie de contentement en sentant mon foutre chaud se déverser en elle. Elle ondule son cul quelques instants en gémissant plus doucement, puis elle retire ma bite de son cul pour venir me la lécher langoureusement. La seconde langue vient aussi se joindre à la fête et toutes deux me lèchent la bite, la nettoyant de toute coulée de sperme qu’il peut rester.Puis elles la lâchent et au bruit que je peux entendre, j’imagine qu’elles doivent s’embrasser. Je m’appuie alors sur la table, reprenant mes esprits. Ma bite est bien rouge et encore tendue de cette puissante jouissance, je ne pensais d’ailleurs pas en avoir encore autant à donner malgré l’éjaculation de début de soirée avec Jenny. Je m’assois sur la chaise quelques instants, histoire de me détendre tranquillement. De l’autre côté de la cloison, je peux entendre les deux coquines en train de quitter le box et marcher à pas de loup dans le couloir. Ma bite est à présent en train de bien se ramollir, je la prends entre mes doigts pour doucement la caresser, elle est encore moite de salive et je ne peux m’empêcher de m’en lécher les doigts.Tout est silencieux à présent, alors je reste là quelques minutes, puis je me décide à bouger. Je remets mon boxer, puis mon pantalon, mais pas mon pull car j’ai encore chaud. Je sors du box et me dirige vers l’accueil du salon. J’ouvre la porte et en rentrant, je vois Jenny, assise sur un tabouret haut derrière le comptoir, en train de boire un verre. Elle m’accueille avec un grand sourire et me fait signe de la main de la rejoindre, ce que je fais. Je récupère un tabouret et m’assois face à elle, de l’autre côté du comptoir. Elle est seins nus, les jambes croisées et porte un joli porte-jarretelles bleu nuit avec un string assorti.
— Tu veux un verre ? Me propose-t-elle ;— Avec plaisir merci !
Elle attrape une bouteille de vin et un verre posés derrière elle, puis me le tend remplit.
— Tchin !! dit-elle en heurtant son verre avec le mien ;— Tchin !!
Nous buvons une gorgée tous les deux en nous regardant dans les yeux.
— Alors, tu as aimé ta petite surprise ? m’interroge-t-elle.
Je lève les yeux au ciel en soupirant.
— Ooooh oui, c’était... étonnant, mais diablement excitant quand même !!!
Elle sourit.
— Si j’en juge à ce que j’ai pu entendre de là où j’étais, la personne derrière a dû apprécier aussi !!— LES personnes plutôt !— Ah, elles étaient deux ?
J’acquiesce.
— Veinard va ! Dit-elle avant de boire une nouvelle gorgée de son verre ;— Et toi ? Dis-je en l’imitant ;— C’était... intense ! Dit-elle en souriant de toutes ses dents ;— Ah, il me semblait à un moment entendre pas mal de raffut venant de je ne sais où, il m’a même semblé reconnaître ta voix ;
Elle baisse un peu la tête en rigolant doucement.
— Oui, ça se pourrait bien que ça vienne de moi...— Tu étais avec Julien ? D’ailleurs, où est-il ?
Elle lance un rire plus sonore cette fois.
— Oh non, Julien est parti depuis un bon moment !!— Ah bon ? Un souci ?— Non, du tout, mais il marche comme ça, il commence à s’amuser ici puis s’éclipse avec sa partenaire pour finir chez lui ou chez elle ;— D’accord. Ça ne te pose pas de problème ?
Elle me regarde en fronçant les sourcils.
— Pourquoi ça devrait me poser des problèmes ??— Ben je ne sais pas, vu qu’il était chez toi, c’est que vous avez dû vous remettre ensemble, non ?
Elle éclate de rire, renversant presque le vin se trouvant dans son verre.
— Moi ? Avec Julien ?? Non, non, pas du tout !! C’est lui qui t’a dit ça ??— Ben quand on s’est vu lorsqu’il est venu au bureau, il m’a dit que ça faisait environ deux ans que vous étiez ensemble.
Elle me fait des gros yeux :
— Ah le con, je le crois pas, qu’est-ce qu’il peut raconter comme conneries !! Je le connais effectivement depuis à peu près deux ans, mais Julien et moi n’avons jamais vraiment été ensemble. On restait pas mal ensemble au début, c’est vrai, obnubilée que j’étais pas sa belle grosse queue, mais c’est tout ! Il voulait que ça aille plus loin, mais j’ai toujours refusé.— Pourquoi ? Si c’est pas indiscret bien sûr...— Julien est très sympa, il est de bon délire comme tu as le constater au restaurant, mais il est... ennuyeux à la longue. A part pour le sexe, c’est pas super passionnant d’être avec lui. Il a une grosse bite dont il se sert bien, il le sait, et il joue beaucoup de ça. Au début, ça marche, c’est clair que c’est un gros plus, mais quand tu grattes un peu, ben il n’y a pas grand-chose d’autre. Donc voilà, on s’est engueulé l’autre jour parce que j’ai, une énième fois, refusé un vrai rencard en bonne et due forme avec lui, et il m’a piqué une crise.— Je comprends mieux. Mais je ne peux pas lui en vouloir perso...
Elle me regarde l’air interrogateur.
— Et bien s’il t’avait pas fait sa crise au bureau, je l’aurais jamais revu, et je serais pas là ce soir !
Elle rigole de bon cœur.
— C’est pas faux !! Donc, trinquons à Julien, un doux rêveur à grosse bite !!
Nous trinquons de nouveau avant de boire, toujours en se regardant dans les yeux. Je parcours le salon du regard et interroge Jenny :
— Bon, qu’est-ce que c’est que cet endroit alors ? Un centre de bien-être ou un lieu de débauche et de luxure ?
Elle sourit.
— Les deux descriptions vont bien ensembles je trouve...
Devant mon regard insistant, elle continue :
— C’est Denise, une très, très bonne amie qui tient cet établissement et parfois, durant les périodes de fermeture, elle le convertit en une sorte de... club très privé et select.— C’est à dire ? Il faut payer une grosse somme pour y entrer ?— Tu as payé toi ?— Non ;— Donc non, ce n’est pas une question d’argent. Denise et moi sommes les deux seules personnes qui décidons qui peut entrer ici ;— Et quels sont vos critères ?— Hygiène, discrétion, confiance et respect, voilà les critères. Quand on est sûre qu’une personne les réunit, alors elle peut entrer, peu importe son expérience, sa taille, son physique ou autre. Denise et moi nous faisons confiance l’une comme l’autre sur les choix que nous faisons, et pour l’instant, on n’a pas trop à s’en plaindre.— Et combien de personnes ont cet honneur ?— On ne tient pas de listing ou de planning, on invite qui on veut, quand on veut, ça dépend des périodes, des disponibilités de chacun et du feeling.— Ça se passe souvent ?— Ça dépend de nos envies du moment, sourit-elle ;— Content d’en faire partie en tout cas. Vu le coup que je t’ai fait au bureau, on aurait pu croire que tu penserais plus à me virer qu’à me faire venir avec toi dans ce genre d’endroit !— Maiiiis, j’y ai pensé à te virer, dès que tu as sorti ta bite devant mon nez !!— Pourquoi n’as-tu rien fait alors ?— Et bien... Je peux me targuer de bien connaître les gens avec qui je bosse, je connais leurs qualités et leurs défauts, en tout cas pour ce qui se rapporte au travail, et pour le reste, au fil du temps, je cerne mieux les personnes, et toi, je ne te considérais vraiment pas comme quelqu’un de manipulateur, ou en tout cas qui ait assez de couilles pour faire un truc comme ça. Je te pensais plutôt... chiant, rasoir !!— Eh ben, j’ai bien fait de poser la question tiens...
Elle rigole, puis continue :
— Mais le fait est qu’apparemment, j’avais l’air de m’être trompée, en tout cas en partie, et c’est pas souvent que ça m’arrive. J’ai donc temporisé et attendu de voir si tu allais aller jusqu’au bout ou bien te dégonfler. Et bien tu es allé au bout, et avec la manière en plus !! J’ai beaucoup aimé tout ce qui s’est passé ce jour-là, je peux t’assurer que je n’ai pas simulé ma jouissance !— Oui, j’ai bien senti que tu ne faisais pas semblant. Et ensuite ? Je pensais avoir des représailles mais rien ;— Ensuite, j’ai appelé Julien pour lui pousser une gueulante ;— Oui, il me l’a dit quand on était chez toi ;— Voilà, et je lui ai demandé ce qu’il savait de toi, s’il était bien un ancien pote de lycée. Il m’a confirmé tout ça, mais il n’en savait pas plus, vu que ça faisait un moment que vous ne vous étiez pas vu.
J’acquiesce.
— J’ai donc attendu de voir comment toi, tu allais réagir, voir si tu allais continuer ton petit chantage pour essayer de profiter encore plus de moi, si tu allais t’en vanter avec les autres au boulot, ou bien encore montrer tout ce que tu avais sur moi à n’importe qui...— Non, je n’ai vraiment jamais pensé à faire tout ça. Je me sentais plutôt assez con et honteux après coup...
Elle sourit et continue :
— Et au final, non. J’ai fait en sorte de rester la même, et tu as fait de même. Tu réunissais donc les quatre critères requis : l’hygiène, j’ai pu la constater, la discrétion et la confiance aussi, quant au respect, si on met de côté ton petit chantage pour me sauter, on va dire que ça passe aussi !
Je lance un petit rire puis dis :
— Je suis désolé d’avoir fait ça en tout cas, même si j’ai passé un super moment aussi, c’était vraiment pas cool ;— Ne sois pas désolé, je ne le suis pas. J’ai beau aimer le sexe, si j’ai pas envie qu’on me baise, on me baise pas !! J’ai accepté de mon plein gré, donc trinquons une dernière fois, à ton audace cette fois, qui t’a aussi permis d’être ici !!— A mon audace alors !!
Nous vidons nos verres, puis Jenny se lève :
— Allez, viens avec moi, je vais te présenter quelqu’un !— A deux heures du mat’ ?— T’as prévu autre chose ?— Non non !— Alors viens, et arrête de discuter un peu !!— Bien patronne...
Elle me regarde en souriant tout en passant devant moi. La lingerie qu’elle porte la met vraiment en valeur. Nous retournons dans le couloir bordé de box d’où des gémissements se faisaient de nouveau entendre, un couple remettant sans doute le couvert. Jenny ouvre une porte donnant sur un escalier que nous montons avec de s’arrêter à une autre porte. Elle tapote doucement à celle-ci et une voix se fait entendre pour nous dire d’entrer.Nous pénétrons dans un petit appartement, directement dans la pièce principale ; une femme nous accueille avec un grand sourire. Elle doit avoir dans la cinquantaine je dirai, elle a de beaux cheveux avec des reflets blonds et porte une robe de nuit en soie, robe de nuit qui dissimule une belle et généreuse poitrine.
— Flo, je te présente Denise, la propriétaire du salon. Denise, voilà Florian dont je t’ai parlé l’autre jour.
Elle s’approche de moi en ouvrant les bras avant de m’enlacer chaudement en me faisant deux bises bien appuyées. Je peux sentir sa grosse poitrine rouler sur mon torse nu ; je lui rends son accolade et sa bise avec plus de retenue ; Jenny, que j’observe du coin de l’œil, nous regarde d’un air amusé, appuyé de l’épaule contre un meuble imposant se trouvant à côté d’elle.
— Aaaaah, Florian, ravi de te voir enfin !!! J’avais hâte de rencontrer celui qui a si bien manipulé ma chère Jenny ! Je ne pensais pas que c’était possible, mais tu l’as fait, mes félicitations !!
Jenny se met à soupirer derrière moi, secouant la tête en regardant en l’air.
— Et bien merci, je prends les félicitations avec grand plaisir !— Genre tu t’es sacrifié ! Lance Jenny ;
Je rigole en la regardant et en lui lançant un clin d’œil. Elle me répond en me tirant ostensiblement la langue. Denise éclate d’un rire sonore avant de retourner en direction de sa chaise.
— As-tu passé une agréable soirée Florian ?— Très bien merci, vous savez recevoir en tout cas !
Elle rigole de nouveau.
— Et d’après ce que je sais, tu fais aussi un excellent invité !!
Je lui souris.
— Vous voulez boire ou manger quelque chose les enfants ? Demande-t-elle tout en s’asseyant.— Non merci, répond Jenny pour nous deux, on peut aller sur la terrasse ?— Mais bien sûr ma chérie, mais je te conseille de prendre une couverture car malgré la véranda, l’air y est frais !— D’accord, merci Denise !! lui lance-t-elle tout en allant l’embrasser et lui faire une accolade.
Jenny prend alors la direction du couloir avant d’en revenir peu après avec une petite couverture en polaire. Elle marche vite en faisant de petits pas silencieux, sa poitrine remuant à chacun de ses mouvements. Elle ouvre une large baie vitrée et me fait signe de la tête de la rejoindre. La terrasse est très grande, elle fait bien la même surface que le salon, voir même plus, un canapé rond de bonne taille orné de plusieurs coussins s’y trouve, le reste étant occupé par une table de jardin et quelques chaises autour. Jenny referme la baie, baisse le store et bondit sur le canapé. Elle tapote de sa main à côté d’elle pour m’inciter à la rejoindre, ce que je m’apprête à faire avant qu’elle ne m’arrête :
— Attends, enlève ton pantalon d’abord, c’est un coup à filer mes bas !!!
Je souris et accède à sa demande, puis viens m’allonger à ses côtés. Elle lance son bras au-dessus de ma tête pour appuyer sur un interrupteur et éteindre la lumière se trouvant au-dessus de la baie. Elle lance la couverture sur nous puis pose sa tête sur mon épaule et enroule ses jambes autour des miennes. Je passe une de mes mains autour de son cou et pose l’autre sur son genou, qui chevauche une de mes cuisses. Elle pousse un long soupir de contentement.
— J’aime venir me détendre ici, c’est calme et ce canapé est hyper confortable, je l’adore !! Si j’avais eu assez de place chez moi, ça fait longtemps que j’aurais le même !
Elle a raison, c’est très confortable. Nous sommes là, enlacés dans les bras l’un de l’autre, comme le ferait un couple lambda, alors que nous n’en sommes pas un, à moins d’avoir loupé un épisode. Elle n’est pas du tout gênée, ne demandant même pas si cette proximité me dérange, c’est tout naturel pour elle. J’ai vu son côté chienne quand elle baise, j’assiste maintenant à son côté câline. Sa peau est très douce, je voudrais la caresser sans arrêt mais je n’ose pas ; et c’est alors qu’elle commence à faire courir sa main sur mon torse, la montant et la descendant lentement, de l’élastique de mon sous-vêtement à la base de mon cou. Je fais alors de même, lui caressant la cuisse du bout des doigts. Elle frissonna et se serra un peu plus contre moi. Je relève la couverture afin de ne plus laisser dépasser que nos visages.
— Denise a l’air adorable, lançai-je presque en chuchotant ;— Oui, elle l’est ! Confirme-t-elle— Vous êtes très proche, je me trompe ?— Non, nous le sommes, je la considère comme ma seconde mère, et elle me considère comme sa fille ;— Et ça fait longtemps que vous vous connaissez ?— Oulah oui, presque onze ans. J’avais 17 ans quand ma mère m’a emmené dans le salon pour la première fois, elle m’avait offert un soin bien-être pour mon anniversaire, et c’est Denise qui s’est occupée de moi. A cette époque, le salon ne lui appartenait pas, elle y était juste employée. On a tout de suite accroché, elle m’a beaucoup impressionné ;— Pourquoi ça ?— Et bien c’est une belle femme comme tu as pu le constater, elle a de très belles formes et aime les mettre en valeur. C’est quelque chose qui a d’ailleurs toujours déplu à ma mère, elle ne l’aimait pas, elle la trouvait trop vulgaire dans sa manière de s’habiller. Elle m’a dit un jour :« C’est une provocatrice », pffff, une femme qui est fière de son corps a le droit de le mettre en valeur, tu crois pas ?— Oui bien sûr ! C’est vrai que Julien m’a dit que tes parents étaient très stricts et qu’il en avait été de même pour ton éducation ;— Ah, je vois qu’il ne t’a pas raconté que des bêtises ! Oui, il a raison, j’ai eu une éducation très stricte, enseignement privé catholique, etc... Bref, la panoplie de la parfaite jeune fille modèle, bien éduquée et tout et tout. Je n’ai jamais eu de discussion d’ordre plus intime avec ma mère, à peine si elle m’a accompagné pour acheter des serviettes hygiéniques quand j’ai eu mes premières règles. Pour le reste, fallait que je me débrouille seule. Mon corps évoluait, mes seins poussaient et certaines envies commençaient à se faire sentir, mais je savais pas trop comment faire, j’en avais presque honte, fallait que je cache toutes mes formes et mes envies. Puis j’ai rencontré Denise. J’étais rouge de honte quand je me suis retrouvé en petite tenue devant elle pour les soins, j’étais très pudique à l’époque, et c’est elle, la première personne à m’avoir dit que j’étais belle et que j’avais un très beau corps. Il n’y avait rien de vicieux là-dedans, elle était vraiment sincère, ça se sentait.
Elle connaissait un peu ma mère et son style, et elle voyait très bien que j’étais fortement influencée, donc elle y est allée doucement, sans me brusquer. J’essayais d’aller la voir le plus souvent possible, pleurant à ma mère de me laisser l’accompagner quand elle y allait, et après chaque séance, je ressortais avec un peu plus de confiance en moi. Quand j’ai eu 19 ans, Denise repris le salon et je pouvais donc aller la voir sans crainte que quelqu’un balance à ma mère que je venais trop souvent. Ma mère, d’ailleurs, a arrêté de fréquenter le salon à partir du moment où Denise en était la patronne, ce qui m’arrangeait bien pour le coup ! C’est à partir de là que j’ai vraiment commencé à changer, j’ai appris à aimer mon corps, à lui faire du bien, et donc me faire du bien, elle m’a offert mes premiers dessous sexy, bref, elle m’a beaucoup apporté. J’ai connu ma première expérience sexuelle avec elle, elle m’a fait découvrir des sensations que je ne soupçonnais même pas, quand j’ai joui pour la première fois, j’ai cru mourir tellement c’était fort !!!
En parlant de ça, elle tressaille et sa jambe vient remonter encore un peu plus, venant se caler contre mon sexe emprisonné dans mon boxer. Elle continue son récit :
— Puis j’ai connu mon premier mec assez tard, j’avais tout juste 20 ans et j’étais folle amoureuse, et comme toutes les premières fois, c’était pas la joie... J’ai eu mal, je n’ai ressenti aucun plaisir, bref, je ne voulais plus entendre parler des mecs ou voir une bite ! Là encore, elle m’a convaincu de ne pas me braquer parce que j’étais tombé sur un bourrin, que tous les mecs n’étaient pas comme ça et qu’il fallait que je réfléchisse plus avec ma tête plutôt qu’avec mon cœur pour essayer de trouver un mec vraiment bien. Je l’ai écouté et au final, c’est ce qui s’est passé, je suis tombé sur un mec très sympa et très doux, il m’a vraiment fait aimer le sexe. Je suis ensuite parti pour mes études à Paris et on s’est séparé. J’étais loin, j’avais un appartement et il fallait que je me débrouille seule, c’est dans cette période où j’ai commencé à assumer pleinement mon corps et mes désirs sexuels. Je multipliais les expériences avec les mecs et même les nanas, je testais tout un tas de nouvelles pratiques, et quand je revenais dans le coin pour les vacances, j’allais voir Denise qui, elle aussi, me faisait découvrir pleins de choses.
Le glory-hole par exemple ! Pour Denise, c’est un excellent moyen pour apprendre à s’occuper d’une queue car on n’a à s’occuper que de ça vu qu’on ne peut rien faire d’autre ! Aujourd’hui, j’aime moins car je préfère avoir un corps entier pour moi, mais c’est très formateur !
— Oui, je vois très bien ce que tu veux dire, je pense la même chose, c’est une bonne expérience, mais je n’en abuserais pas quand même !
Sa main continue à courir sur mon torse, et cela, conjugué à l’appui de sa cuisse contre mon sexe, commence à doucement me faire bander. Elle poursuit :
— Ensuite, j’ai obtenu mon diplôme, j’ai bossé quelque temps dans une boite de com’ sur Paris puis, on a décidé avec mon frère de monter notre propre boite, et voilà !— Et bien, ça en fait des choses à raconter !— Oui hein, tu as vu !!
Elle lance un petit rire et continue ses caresses, sauf qu’elle a dû sentir que ma queue commence à enfler de plus en plus, et ses doigts descendent un peu plus bas, touchant mon gland à travers le tissu. Elle s’attarde dessus, caressant le boxer du bout des doigts tout en accentuant légèrement la pression de sa cuisse, puis elle passe doucement ses doigts sous l’élastique pour venir me masser délicatement le gland. Je prends une grande inspiration en continuant à lui caresser la jambe, puis en descendant jusqu’à la raie de ses fesses. Elle baisse alors un peu sa jambe pour pouvoir prendre ma queue entièrement dans sa main et commencer à me branler doucement. Le contact de ma main sur son cul se fait plus appuyé. Elle abaisse mon boxer jusqu’à mi-cuisse et découvre le haut de nos corps pour ensuite faire courir sa langue sur mon torse, s’arrêtant à mes tétons pour les lécher délicatement, passant entre mes abdos jusqu’à finir par toucher mon gland du bout de sa langue. Elle joue comme ça un moment, la tête appuyée sur mon ventre, dégustant les quelques gouttes qui en coulent, puis elle s’avance pour engloutir ma bite entière.
Je soupire longuement en sentant sa bouche chaude et douce emprisonner mon sexe, à présent bien dur, ma main agrippe un peu plus fort sa peau, mes doigts parcourant son sillon inter-fessier, caressant la ficelle de son string. Elle remonte légèrement ses hanches pour m’offrir un accès plus facile à son intimité. Je passe alors mes doigts sous son tissu pour effleurer sa chatte qui, je peux le sentir, est déjà bien humide. Elle gémit doucement, ma queue toujours dans sa bouche, jouant avec mon gland, le léchant, le suçotant tout en me branlant doucement. Elle déguste vraiment mon sexe avec un grand plaisir et s’y prend parfaitement bien. Je repense à sa remarque sur le glory-hole, elle a vraiment bien potassé ses leçons !! Deux de mes doigts finissent par pénétrer sa chatte et elle gémit de plus belle avant d’accélérer légèrement la cadence de sa fellation. Tout est silencieux, les seuls bruits sont la douce succion de sa bouche sur ma queue et les petits clapotis humides de mes doigts pénétrant sa chatte.
Elle se met alors à encore plus accélérer la cadence, et je fais de même, rajoutant un troisième doigt en elle ; d’une main, elle me caresse les couilles, et de l’autre, elle me branle vigoureusement tout en emprisonnant mon gland entre ses lèvres. Elle gémit toujours plus à mesure que mes doigts vont et viennent en elle, puis je sens venir ma jouissance, je me crispe et elle dût le sentir car elle gémit de manière plus saccadée en me branlant toujours plus vite, puis je mets mes doigts entièrement en elle en étouffant un gros gémissement en me mordant les lèvres au moment où je sens mon sperme couler dans sa bouche. Elle pousse un long soupir de satisfaction en dégustant ma semence, me branlant beaucoup plus doucement cette fois. Mes doigts continuent de la pénétrer doucement avant que je ne finisse par les enlever pour lui caresser sa belle peau douce. Elle me suce encore quelques instants avant de revenir poser sa tête sur mon épaule. Elle prend les doigts qui étaient en elle et les suce délicatement un par un, avant de relever la tête, de me sourire et de me donner un long baiser appuyé, sa langue allant trouver la mienne.
Puis elle pose sa tête de nouveau sur mon épaule et ne dit plus un mot. Je remonte la couverture sur nous et ferme les yeux. Je ne sais pas pour Jenny, mais perso, je ne mets pas longtemps à sombrer dans un sommeil profond.
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