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Le monde d'une famille peu ordinaire

Chapitre 1

Inceste
Je vis dans un monde ou le sexe est très peu tabou, sauf en famille, où dans des cas très rares, c’est autorisé, mais il y a très peu de femmes, d’où le fait que quand elles sont en chaleur, je vous laisse imaginer ce qui peut se passer. Le but, c’est de trouver le partenaire idéal pour fonder une famille, évidemment, c’est un phénomène rare. Ici, ce n’est pas comme votre monde, les hommes ont toutes sortes de pénis, félins, cheval... peut-être à cause de nos gènes...
Ça peut paraître simple à vos yeux, mais je vous assure que ce n’est pas facile tous les jours. Depuis quelques semaines, j’ai eu mes chaleurs, j’ai réussi à m’en sortir jusqu’à maintenant... J’ai 18 ans, et je vis avec deux hommes, mon père qui en a 44 ans, et mon frère qui a 19 ans. J’ai réussi à me calmer comme je pouvais avec une amie qui a commencé aussi, ce qu’on fait toutes les deux est très bon, mais je ne suis jamais rassasié, et une femme n’est pas comme un homme, même si c’est elle qui m’a prise ma virginité.
C’est l’été, il fait très chaud même si j’ai la clim à la maison. Je me retrouve toute seule, car mon frère est en camp d’entraînement pour son club, et Papa est à une conférence, il rentre demain normalement. Nous avons un androïde à la maison à l’effigie féminine, qui s’occupe du ménage, mais elle est là surtout pour la sécurité, ses yeux sont des caméras, au moins, comme ça, mon père peut voir ce qui ce passe à la maison, et je soupçonne qu’il m’a déjà vue avec mon amie... L’androïde a sa propre IA et son libre arbitre, peut-être que mon père ou même mon frère a déjà calmé leur ardeur avec elle. Après tout, le père de mon amie le fait bien.
Il est 21h et il est trop tôt pour moi de me coucher, je suis sur mon lit avec mon PC portable et un grand verre d’eau et des glaçons sur ma table de nuit. Je traîne un peu sur Internet, je souffle un peu, car j’ai des idées perverses, alors que j’entends un petit "ting", c’est un message de mon père, un message instantané.
— Bonsoir ma puce, comment tu vas ? Je viens de finir ma conférence.
Je souris et lui réponds :
— Coucou papa, oui, je vais bien, même si j’ai chaud, comment s’est passée ta conférence ?
J’attends quelques secondes et je vois qu’il écrit un message :
« Ma conférence s’est très bien passée, il y a pourtant la clim, tu es sûr qu’elle fonctionne ?« Oui papa, ne t’inquiète pas, c’est juste que j’ai fait un peu de sport... »Je ne vais pas lui dire, même s’il doit s’en douter.
— OK, et ton frère rentre quand ? Dans 3 jours, il me semble ? — Oui, c’est bien ça, peut-être une prolongation du 4e jour, mais je n’ai pas trop compris pourquoi.— Je vois... Les sportifs hein !
Je me mets à rire puis lui réponds :

— Tu connais Tanaka ! Tu fais quoi là, sinon ? — Rien de bien spécial, je venais juste voir si tu allais bien, je vagabonde un peu sur le Net... et toi ?— La même ! Mais j’essaie de me rafraîchir avec des glaçons en même temps, du coup, ça dégouline partout et mon débardeur est mouillé.
Je crois que je viens de jeter de l’huile sur le feu, mais je veux voir sa réaction, et je suis trop excitée pour m’arrêter. Je crois que j’ai dû attendre une minute au moins avant de voir qu’il écrivait, mais ça s’arrêtait, et ça reprenait, pour enfin me répondre, je crois que je l’ai déstabilisé, oups...
— Oh, je vois, tu as essayé la douche froide ? Hahahha...
Oui, je crois qu’il est gêné, mais je crois qu’il veut que je continue.
— Déjà fait papa, tant pis, je me contenterais de mes glaçons... ça fait du bien, je passe ça sur mes bosses pour que je me sente mieux...
Laissant ma phrase en suspens :
— Oh ! Tu t’es fait mal ma chérie !!? Montre-moi à la cam !
Mon père met directement la sienne, il est sur le fauteuil de sa chambre d’hôtel, en jogging et torse nu. Rien que cette vue, ça me rend encore plus excité, il faut dire que mon père est très bien bâti pour son âge. Je peux voir un peu de sueur sur sa peau et l’air inquiet sur son visage. J’allume aussi ma cam, mon débardeur est transparent, et mes tétons pointent assez durement.
— Pas ce genre de bosse papa...
Faisant exprès de montrer ma poitrine sans vraiment la montrer, mais assez pour qu’il comprenne et qu’il entrevoit justement la pointe de mes seins. Je peux voir quelque chose tressauter dans son jogging, cela me fait sourire, et je me lèche instinctivement les lèvres, je crois que mon père a pu le voir.
— Oh, je vois...
Il se remet confortablement dans son fauteuil.
— Ma chérie, tu es en chaleur, n’est-ce pas ? Depuis quand ?
Je ne sais pas pourquoi, mais ce petit jeu m’excite un peu plus.
— hmmm, 2 à 3 semaines...
Je fixe l’écran, en faisant de très lents mouvements, mon père est captivé par ce qu’il voit, même si pour le moment, je ne montre pas grand-chose. Il a quand même l’air surpris par ce que je lui réponds.
— Tu as fait comment pour tenir jusqu’à maintenant ? Du moins, moi je n’ai rien vu, peut-être il a eu des soupçons ces derniers jours...
J’ai un sourire qui s’élargit, mais mes joues rougissent :
— Avec Kana... on a...
Puis, je lui pose une question, je sens mon corps qui reste sensuel quand il bouge, un peu comme une féline.
— Et toi, comment tu as su... ?
Je vois mon père se redresser un peu sur son fauteuil, comme s’il était gêné, la situation ne le déplaît pas pour autant, mais il n’en reste pas moins gêné.
— Eh bien... comment dire... Tu as l’air plus femme ces derniers temps... j’ai envie de te... caresser...
Je le vois déglutir, et son jogging qui se soulève par moments, je me penche en avant, laissant mon décolleté entrevoir un peu plus ma poitrine
— Avec Kana, vous avez fait quoi exactement ?
Sa voix est suave, mais un peu mal assurée. Je prends une petite inspiration.
— Eh bien... On s’est embrassé, on s’est caressé, on s’est masturbé, et on s’est pris la virginité de chacune...
Je vois mon père faire un bon dans son fauteuil, mais il savait pertinemment que ça arriverait, il s’adosse dans le font de son siège.
— Je vois, et ça t’a fait du bien ?
Je souris un peu plus, et cette fois, je prends un glaçon, le pose sur mon cou et le fait descendre jusqu’à la naissance de mes seins, pour le moment je ne vais pas plus loin. Mon père se mord la lèvre inférieure, alors que son jogging tressaute de plus en plus, sa bosse a l’air d’être magnifique, mais avec un jogging, on n’y voit rien, surtout qu’il doit avoir un boxer en dessous.
— Au début oui, mais maintenant... j’ai un peu de mal à me contrôler...
Et je le vois bien, mais je ne peux m’en empêcher, c’est plus fort que moi, j’ai envie, j’ai envie qu’il me touche, qu’il me prenne.
— Tu sais qu’entre membres de même famille, c’est tabou, qu’il faut une autorisation spécial... ?
Il dit ça comme s’il allait vraiment céder.
— Je sais papa...
Et là, le coup de grasse, je passe le glaçon pardessus mon débardeur et le passe sur mes tétons déjà bien durcis, laissant deux auréoles mouillées dessus, la transparence était encore plus apparente, il peut m’entendre gémir doucement. Mes yeux ne quittent pas l’écran, et je mords lascivement ma lèvre inférieure en voyant mon père enlever son jogging prétextant qu’il fait trop chaud, je vois sa bosse, elle est encore plus grosse qu’avec le pantalon.
— Regarde ma fille dans quel état tu me mets !
Caressant sa bosse du bout de son doigt, ce qui a pour effet de me donner comme une petite décharge électrique dans mon corps. Je gémis lascivement, et avant que mon glaçon fond, je commence à le lécher, puis, le laissant renter et sortir d’entre mes lèvres avec gourmandise, la bosse de mon père grossit encore à vu d’œil, et tressaute dans son boxer, il n’a presque plus de place.
— Et toi, regarde dans quel état je suis... Après tout, tu es mon père...
Mon père se lèche les lèvres en même temps qu’il me voit justement lécher le glaçon avant de le mettre en bouche.
— Oui, je suis fier d’avoir pu faire une fille aussi parfaite que toi, ma chérie.
Cette fois, il se caresse la bosse avec sa main, le plus lentement possible, alors que moi, je commence à pincer mes tétons, laissant un petit gémissement sortir d’entre mes lèvres pleines.
— Je veux que tu reviennes à la maison...
Ma voix est suppliante, lascive, et gémissante, alors que mes mains caressent maintenant mon corps, une main sur un de mes seins, où je joue justement avec mes tétons, en les pinçant et en les tirant et de l’autre, je commence à la descendre le plus doucement possible vers mon short
— Il ne faut pas, Yuko... il ne faut pas...
Pourtant son corps dit le contraire, et c’est d’une voix chaude et vibrante que je lui réponds :
— Mais pourtant, ton corps dit autre chose, regarde l’effet que je te fais, tu te caresses ta belle bosse de ta main... je sais que tu as envie de me prendre...
Oui, là, je commence à être un peu plus cochonne...La suite bientôt, si vous aimez.
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