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La moniale démoniaque

Chapitre 2

Lesbienne
La découverte du plaisir
— Ça va toujours sœur Clémence ?— Oui, très bien.— Vous m’en voulez toujours ?— Non, rassurez-vous, je ne vous en veux pas, j’ai simplement été surprise par ce moment de béatitude que mon corps m’a donné.— Et vous aimeriez recommencer ?— Je ne sais pas, mais je pense que oui.— Vous ne vous êtes jamais masturbé quand vous étiez plus jeune ?— Non, mes parents me disaient que c’était un péché de se toucher là.— Vous ne vous êtes jamais touchée entre les cuisses, vous n’avez jamais titillé votre clitoris ?— Mon clitoris ?— Le petit bouton que j’ai titillé tout à l’heure, c’est votre clitoris, et en dessous, il y a les grandes lèvres, elles sont souples et toujours un peu humides.— Non, je ne l’ai jamais titillé comme vous dites.— C’est pourtant très agréable quand on le titille.— Oui, mais c’est un péché.— Et pourtant Dieu nous a créés comme ça, pourquoi nous a-t-il donné cette possibilité et nous interdire de l’utiliser ?— Nous avons fait vœu de chasteté.— Oui, je sais, mais pour moi, c’est le plus dur à respecter, j’ai connu l’amour avec une femme merveilleuse, je ne peux plus rester longtemps sans faire en sorte que mon corps me donne du plaisir. C’est ce que je suis allé faire à l’instant quand je vous ai quittée.— Vous avez fait quoi ?— Je me suis masturbée, je suis allé me titiller le clitoris.— Vous m’aviez dit que vous aviez un fiancé, pas une fiancée.— Je sais, je vous ai menti parce que je ne voulais pas vous choquer, mais je vous dois la vérité. C’était une femme, une merveilleuse femme, je l’aimais, elle m’aimait, mais elle s’est tuée en allant en Espagne en avion de tourisme avec son frère, ils sont morts tous les deux, elle était pilote de ligne.— Désolée sœur Marie Madeleine, elle pilotait quel type d’appareil ?— Vous savez qu’on ne pilote pas n’importe quel appareil, qu’il faut une formation spécifique par appareil ?
— Oui, j’ai deux passions, la littérature et l’aviation, mon grand-père maternel était pilote de chasse, il a eu le temps de me transmettre sa passion des avions.— Elle pilotait des Airbus A trois cent trente et A trois cent quarante, c’est le même pilotage.— Je sais, c’est le même fuselage et les mêmes ailes, il n’y a que le nombre de moteurs qui change.— Vous êtes étonnante.— Vous n’en avez pas parlé à mère Gabrielle ?— Non, vous êtes la seule à le savoir, j’aimerais que ça reste entre nous.— Ne vous en faites pas, je ne me mêle pas des affaires des autres.

Je suis de nouveau en nage, la chaleur est écrasante.
— Comment faites-vous pour résister comme ça à la chaleur, j’ai l’impression qu’elle n’a pas de prise sur vous.— Je viens du sud, je suis habituée, mais moi aussi j’ai un peu chaud. Vous voulez que je vous rafraîchisse ?

Je la regarde, je suis entre deux feux, je crève de chaud et le gant me rafraîchira, mais je sais que ça risque de se terminer comme tout à l’heure. Tant pis, j’ai trop chaud.
— Si ça ne vous gêne pas.

Je me rends compte de mon hypocrisie, je crève d’envie d’avoir son doigt sur mon clitoris, je veux revivre ce merveilleux moment et je sais pertinemment que ça ne la gênera pas de faire glisser ses mains sur mon corps.
— Mais pas du tout, je m’occupe de vous.

Elle va chercher la bassine, la remplit d’eau fraîche et vient vers moi. Elle me déboutonne ma chasuble, cette fois pas de gant, directement ses deux mains trempées dans l’eau sur mon corps. Elle les fait glisser sur mon ventre et mes seins, elle les caresse lentement, tendrement, je ferme les yeux. Mon corps commence à réagir, je sens cette onde mystérieuse l’envahir. Ses mains descendent lentement sur mes jambes, elles les caressent en les rafraîchissant. Je sens mon bassin bouger, je n’y peux rien.
— Votre corps s’anime, il aime bien ce que je lui fais.— Je n’y suis pour rien, c’est lui qui aime, mais je dois avouer que moi aussi j’aime bien.— Je sais, laisse-toi faire.

D’un seul coup, elle me tutoie, mais je ne réagis pas, je suis trop bien avec ses mains qui se promènent sur mon corps. Je ne veux en aucun cas troubler ce moment de bonheur. L’une d’elles remonte entre mes jambes et vient se plaquer sur mon sexe. Instinctivement, j’ouvre encore ma jambe gauche.
— Merci.

Sa main me caresse le sexe, un doigt s’introduit dans mon vagin, je sursaute.
— Tu es vierge, je suppose.— Oui, toujours.

Le doigt ressort pour monter sur mon clitoris, il le caresse et le titille. Mon corps réagit de plus en plus, il aime beaucoup, moi aussi. La main abandonne mon sexe pour remonter le long de mon corps et venir avec l’autre emprisonner mes seins.
— Tes seins sont magnifiques, souples en étant assez fermes, ronds et merveilleusement doux. Je les adore.

Je ne réponds pas, je suis trop bien, il ne me manque que quelque chose sur mon sexe. Soudain, je sens un souffle sur lui. J’ai à peine le temps de réaliser qu’une bouche se pose dessus, je suis complètement paniquée, mais je n’ouvre pas les yeux, inconsciemment, je ne veux pas savoir. Que fait-elle, elle ne va pas me lécher le sexe avec sa langue tout de même, mais le plaisir ressenti me fait tout accepter. Effectivement, je sens sa langue glisser entre mes lèvres, ses lèvres aspirent quelque chose, sa langue s’enfonce un peu dans mon vagin, je suis paralysée par le plaisir que j’en éprouve, jamais je n’aurais pu imaginer un tel acte. La langue remonte sur mon sexe et arrive sur mon clitoris, mon corps se tend, l’onde grossit de plus en plus, elle envahit tout mon corps. Mais je sens que cette fois, ça ne va pas être comme tout à l’heure, ça va être encore plus fort.
Je sens sa bouche redescendre et appuyer encore plus sur mon sexe, ses lèvres s’enfoncent entre les miennes, son nez touche mon clitoris, je ne me contrôle plus. Ses lèvres remontent et aspirent mon clitoris pendant que sa langue le titille, mon corps explose dans un gigantesque feu d’artifice, il est criblé de million de piques de plaisir, je ne suis plus moi-même, je ne suis plus qu’un voile flottant au gré du vent, une entité céleste libre d’aller où elle veut. Mon corps se cabre, se tend, s’arc-boute, j’en ressens une légère douleur à la jambe gauche, mais j’ai l’impression que ça augmente encore mon plaisir. Je suis complètement submergée par une sensation de bonheur extraordinaire, jamais mon corps ne m’a donné tant de plaisir, je suis dans un nuage de félicité, de joie, d’amour, de bonheur.
Mon corps redevient doucement normal, je ressens toujours ce merveilleux bonheur dans tout mon être, je le savoure le plus longtemps possible, elle passe ses mains mouillées une dernière fois sur mon ventre et mes seins puis, reboutonne ma chasuble. Elle va reposer la bassine d’eau, se débarbouille la figure, se sèche juste au moment où mère Gabrielle entre. Elle vient demander de mes nouvelles, elle remarque que ma chasuble est mouillée par endroits. Sœur Marie Madeleine intervient.
— C’est moi qui l’ai aspergée d’eau fraîche, elle avait très chaud. — Vous avez bien fait sœur Marie Madeleine, je vois que vous vous en occupez bien et que notre blessée va mieux grâce à vous, elle semble tellement sereine, continuez à vous en occuper comme ça. Je vous laisse, mais n’oubliez pas de descendre manger dans une demi-heure.— J’y serais, ne vous en faites pas.

Mère Gabrielle sort, elle me regarde avec un sourire en coin.
— C’était juste, tu as peur ?— De quoi ?— D’être surprise si nous recommençons.— Je n’y ai pas pensé, et je ne veux pas y penser.— Donc, tu aimerais qu’on recommence.— Oui, je l’avoue, je n’ai jamais été aussi bien de ma vie.— Tu vois que Diieu ne s’est pas trompé, le corps est fait pour nous donner du plaisir.— Je pense que là, vous exagérez un peu de dire ça.— Tu crois vraiment que c’est Dieu qui a interdit aux humains de se faire plaisir ?— Oui, bien sûr.— Tu as peut-être raison, mais je peux dire que moi, j’aime bien te faire jouir, au risque de te paraitre un peu vulgaire, je dois dire que j’adore poser ma bouche sur tes lèvres intimes, elles sont souples, lisses, délicieuses, j’aime ton jus d’amour. Je ne vois pas pourquoi Dieu y serait opposé.— Moi, j’aime bien quand vous me faites jouir, j’en ai un peu honte, mais je ne peux plus m’en passer maintenant.— Ne t’en fais pas, je m’occuperais de toi, mais tu tiens tant que ça à me vouvoyer ?— C’est la règle au Carmel.— Oui, mais il y a des exceptions, regarde mère Gabrielle et sœur Angélique, elles se tutoient parce qu’elles se connaissent depuis plus de vingt ans, comme sœur Clarisse et sœur Angélique qui travaillent tout le temps ensemble. Nous nous sommes aussi tout le temps ensemble, je te soigne, je te fais manger, je te lave, je t’accompagne aux toilettes, ça rapproche, je pense que c’est une bonne raison pour se tutoyer, personne ne trouvera ça anormal.— OK, je te tutoie.— Bon, il est l’heure d’aller manger avec les autres, je t’amène ton dîner juste après, à tout de suite.— Bon appétit.— Merci.

Elle quitte la pièce, je reste seule à penser à ce qui vient de se passer, je me rends compte que je ne pourrais plus me passer de ces moments de bonheur ultime, j’en viens à réfléchir à la suite à donner à mon engagement. Je somnole, mon corps est étrangement détendu, je suis bien, presque plus de douleur. Elle revient avec mon repas, elle me fait manger avec tendresse, elle semble très heureuse de s’occuper de moi. A la fin du repas, rassemble tout sur le plateau.
— Tu vas bien, je peux rapporter le plateau ?— Oui, ne t’en fais pas, je suis bien.

Elle ramène le plateau à la cuisine et revient quelques minutes plus tard. Elle s’assoit à sa place.
— Tu es bien ?— Oui, très bien, tu peux me déboutonner ma chasuble, j’ai un peu chaud.

Elle se lève et me déboutonne la chasuble, quand elle est à mon niveau, elle l’ouvre en grand, dévoilant mon corps, j’ai un petit frisson. Je réalise que j’aime bien qu’elle me voie nue, mais moi aussi j’aimerais la voir nue. Je l’attrape avec ma main gauche. Elle me regarde.
— Tu veux autre chose ?— Oui, te voir, tu me vois nue et moi je ne te vois pas nue.— Pas de problème.

Elle se recule un peu et déboutonne sa chasuble. Elle l’ouvre, à ma grande surprise, elle est nue dessous, elle la laisse tomber à terre et se tourne lentement. Je vois un magnifique corps, une belle poitrine haute et ferme, un ventre plat, des jambes longues, des fesses hautes et rondes et un bas-ventre velu, mais avec des poils coupés. Elle s’approche.
— Tu veux toucher.

Je tends ma main valide, elle tombe sur une peau assez douce, ce sont ses fesses, elle se tourne un peu, ma main tombe sur ses poils pubiens. Elle écarte un peu les jambes, c’est me demander d’aller voir par là. J’avance ma main pour tomber sur une chair molle, douce, recouverte d’un liquide gras. Mon pouce touche un petit bouton dur.
— C’est mon clitoris, titille-le avec ton doigt.

Je lui fais exactement ce qu’elle m’a fait, je vois qu’elle se tend un peu, elle commence à onduler du bas-ventre, je sens que son sexe est de plus en plus mouillé, un de mes doigts entre dans son vagin, mais je veux la faire jouir comme elle m’a fait jouir, mon doigt retourne sur son clitoris. Je lui titille de plus en plus vite, elle se raidit d’un seul coup, son visage se transfigure, elle est magnifique, semble au comble du bonheur. Elle est secouée de sursauts et semble en tirer un plaisir extrême. Je continue jusqu’à ce que je voie qu’elle s’est calmée et qu’elle revient à elle. Je glisse ma main entre ses cuisses et en saisis une que je tire.
— Viens, j’ai envie d’embrasser ton sexe.

Elle s’approche de moi, je l’attire vers ma bouche, mais je ne peux pas me pencher suffisamment pour embrasser son pubis. Elle enjambe mon lit en évitant mes plâtres et me présente son sexe sur ma bouche. Je vois un ilot rose au milieu de ses poils, ses lèvres humides enduites d’une crème laiteuse, son clitoris en haut. Elle le pose sur mes lèvres, je donne un coup de langue sur cette chair rose souple et odorante. J’aime ce qui se pose sur ma langue, je la lape un petit moment, mais elle redescend du lit, elle est très mal installée.
— Tu as aimé ?— Oui, j’ai adoré ce liquide onctueux et doux.— C’est la cyprine, on la sécrète quand on est excitée.— J’en ai eu ?— Oui, et je peux te dire que tu en donnes beaucoup.

Elle remet sa chasuble.
— Comment se fait-il que tu sois nue dessous ?— Tout simplement parce que j’avais l’intention de te montrer mon corps, juste pour équilibrer notre relation, mais tu m’as devancée, ce qui prouve que j’ai eu raison de te faire connaître le plaisir. Quand j’ai ramené les restes de ton repas, je suis passée dans ma cellule pour tout enlever et ne garder que ma chasuble.— Viens vers moi, je veux encore toucher ta peau.

Elle s’approche à côté de moi, je passe ma main sous sa chasuble, remonte le long d’une jambe pour arriver sur une de ses fesses. J’éprouve un immense plaisir à faire glisser ma main sur cette masse de chair ferme et douce. Elle se penche sur moi, je vois son magnifique visage s’approcher lentement du mien. Je sais ce qui va se passer, je n’ai jamais embrassé quelqu’un sur la bouche, et c’est maintenant que ça va arriver, elle me laisse le temps de refuser, mais je n’en ai pas l’intention, cette femme m’attire en définitive, je l’accepte. Sa bouche est entrouverte, je fais de même, ses lèvres se posent sur les miennes, j’ai un frisson de bonheur, je ne peux m’empêcher de passer ma main gauche derrière sa tête pour l’immobiliser sur moi. Sa langue passe entre mes dents et vient titiller la mienne, j’ai un réflexe de recul, je rétracte ma langue, c’est ça un baiser d’amour ?
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