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La moniale démoniaque

Chapitre 3

Lesbienne
La liberté
Mais elle insiste, sa langue vient caresser la mienne, elle la câline, la lèche, la titille. Une de ses mains s’est glissée sous ma chasuble, elle caresse mes seins, j’en éprouve un immense plaisir. Petit à petit, je rentre dans le jeu, ma langue commence à s’animer, je lui rends ce qu’elle me fait, finalement, nos langues s’amusent entre elles, s’aiment et s’enlacent. Elle veut relever la tête, mais je l’en empêche, j’aime trop ce que l’on fait. Je dois céder au bout de quelques minutes, elle se redresse, me regarde, ses yeux sont remplis d’amour, je crois que j’ai le même regard sur elle. Elle se penche sur mon pubis qu’elle a dégagé, sa langue se glisse entre mes cuisses, j’ouvre au maximum mes jambes. Deux minutes plus tard, je jouis une nouvelle fois, elle continue jusqu’à ce que je me détende, elle me lape le vagin, elle me boit. Elle se redresse.
— Bonne nuit ma chérie, je peux t’appeler comme ça.— Oui ma chérie.— Quel est ton vrai prénom ?— Clémence, c’est mon vrai prénom, et toi ?— Margaux, ça ne fait pas très religieux, c’est pour ça que j’ai choisi Marie Madeleine.

Elle pose une dernière fois sa bouche sur la mienne, nous échangeons un nouveau baiser, j’en profite tout de même pour glisser ma main valide sous sa chasuble et lui caresser les fesses. Elle se redresse, je retire ma main à contrecœur, elle me sourit et quitte la pièce. Je suis seule dans l’infirmerie, je pense à tout ce qui s’est passé dans la journée, je réalise que je ne suis plus sûre d’avoir choisi le bon chemin pour avancer dans ma vie. Mon corps est détendu, je suis calme, sereine, je suis bien, mais je suis seule dans une grande pièce qui résonne, j’avoue que ce n’est pas l’idéal pour s’endormir.
Le lendemain, Margaux vient vers sept heures, elle est accompagnée de mère Gabrielle et d’une autre femme.
— Sœur Clémence dort seule ?— Oui madame, elle est mieux ici que dans sa cellule au cas où il arriverait quelque chose.— Oui, mais au cas où il arriverait quelque chose la nuit, il serait préférable qu’il y ait quelqu’un avec elle pour s’en rendre compte.— Vous pensez que c’est nécessaire, nous pensions que ça suffirait.— Pas du tout, il faut qu’il y ait quelqu’un la nuit avec elle.— Très bien docteur, dorénavant sœur Marie-Madeleine dormira dans le box adjacent, vous êtes d’accord sœur Marie Madeleine ?— Bien sûr, ma mère, c’est aussi mon travail.— Bon, voyons voir notre blessée, pouvons-nous rester seules ?— Bien sûr.

Mère Gabrielle et sœur Marie Madeleine sortent, la femme ouvre ma chasuble, le fait que je sois nue ne semble pas la surprendre, elle m’examine de fond en comble. Ses mains se posent sur mon ventre, mes côtes, mes seins qu’elle tâte un instant.
— Pas de problème de petites grosseurs sous les seins ?— Non, jamais.

Elle continue sur mon pubis et les jambes. Je sens que mon corps est au bord de réagir violemment, il devient très sensible aux stimuli, elle s’en rend compter et arrête de me toucher.
— Pas de douleurs particulières ?— Non docteur, j’ai une douleur latente, mais je pense que c’est normal vu l’état de ma jambe et de mon bras.— C’est vrai, je vois que tout se passe bien, mais je ne veux plus que vous restiez seule la nuit, c’est plus rassurant pour vous d’être accompagnée, vous ne pensez pas ?— Oui, je dois dire qu’être seule dans cette grande pièce qui résonne est un peu angoissant, mais je m’y suis faite.— Non, à partir de maintenant, il doit y avoir une seconde personne, ça ne vous dérange pas j’espère.— Mais pas du tout, au contraire.— Bien, je constate que tout va bien, la personne qui s’occupe de vous a l’air compétente, c’est déjà quelque chose. Je vous quitte ma sœur, je repasserais dans une semaine, à bientôt.

Elle quitte l’infirmerie, si je pouvais, je danserais au milieu de la pièce, Margaux va rester la nuit avec moi, je suis au comble du bonheur, nous allons pouvoir nous faire plaisir la nuit. Un quart d’heure plus tard, mère Gabrielle et Margaux entrent, je vois au sourire de Margaux qu’elle pense comme moi. Elle est légèrement derrière mère Gabrielle, elle me fait des bisous avec ses lèvres, elle semble très heureuse des décisions prises. Mère Gabrielle nous quitte après avoir précisé que sœur Marie Madeleine devait quand même vivre un peu avec la communauté. Margaux s’est installée dans le box voisin, inutile de dire que toutes les nuits ont été torrides. Même après deux semaines, je ne peux toujours pas me déplacer toute seule, je ne peux pas m’aider de béquilles, mon plâtre sur le bras droit me gêne. Margaux m’aide avec un immense plaisir.
Au bout d’un mois, je retourne à l’hôpital pour me faire enlever mes plâtres. Mais quand je découvre ma jambe, je tombe sur ses os à peine recouverts de chair, j’ai perdu toute ma musculature, comme pour mon bras. Heureusement, Margaux est kiné, elle va s’occuper de moi. Mère Gabrielle loue une table de massage et du matériel de rééducation pour nous. Nous installons la table dans deux box dont nous avons enlevé la séparation en tissu avec les appareils. La première séance de massage a été unique pour moi. Margaux m’a fait allonger sur le ventre sur la table. J’étais nue, car il fallait aussi masser mes fesses qui avaient perdu un peu de muscle. Ses mains m’ont massé les jambes pour finir sur mes fesses. Ses lèvres se posent dessus, j’ai un frisson dans tout le corps. Elle m’écarte les fesses et je sens sa langue glisser sur mon anus, un autre frisson me parcourt. Au bout d’une vingtaine de minutes, elle me fait mettre sur le dos. Elle se jette sur mon sexe, mais je serre les jambes.
— Pas question si tu ne m’offres pas le tien.

Elle déboutonne sa chasuble, enlève sa jupe de dessous et sa culotte. Elle monte sur moi la tête vers mon sexe. Je me retrouve avec son sexe juste au-dessus de ma tête. Je l’attire sur ma bouche et me délecte de sa cyprine qui commence à couler. Je sens sa bouche sur mon sexe, elle me lèche de haut en bas, je fais de même avec le sien. Nous jouissons ensemble très rapidement, il y a longtemps que nous voulions faire de la sorte, mais mes plâtres nous en empêchaient. La séance se termine, elle se rhabille, j’enfile ma chasuble à même le corps, je ne supporte plus rien dessous, ça m’engonce.
Au début, je ne peux pas marcher sans béquilles, je ne participe qu’à très peu de manifestations du couvent, mais j’ai de plus en plus de mal à rester concentrée sur mes activités, la vie monacale commence à me peser, j’aspire à une autre vie avec Margaux. La vie continue, je retrouve toutes mes capacités, je suis complètement remise sur pied au bout de huit semaines, nos séances sont de plus en plus hard, je commence à ne plus pouvoir me passer de Margaux. Un soir, elle est avec moi dans ma cellule.
— Tu vas bien chérie ?— Oui, mais je ne sais plus où j’en suis, je crois que je craque.— Moi aussi, je ne supporte plus la vie ici, j’ai envie de vivre autre chose.— De même, je crois que je vais quitter la vie religieuse, tu m’accompagnerais si je quittais le couvent.

Elle me saute dessus et me couvre de baisers.
— Bien sûr mon amour, bien sûr, je n’attends que ça depuis très longtemps, j’ai envie de finir ma vie avec toi, je t’aime Clémence, je t’aime.— Moi aussi je t’aime mon amour, moi aussi je t’aime tant.

Nos bouches se soudent pour un long moment, une main parcourt mon corps sous ma chasuble, je parcours son corps sous sa chasuble, nous sommes heureuses. Le lendemain, nous demandons à mère Gabrielle de nous recevoir. Nous lui annonçons notre décision. Elle n’est qu’à moitié surprise, elle nous dit avoir eu des doutes sur notre relation depuis l’accident, mais que nous avions très bien donné le change. Elle n’est pas fâchée, elle sait que la vie monacale est dure pour certaines personnes qui ont vécu autre chose avant comme Margaux. Nous quittons le couvent immédiatement après notre entrevue, nous préférons éviter les questions des autres sœurs du couvent, nous nous installons à Narbonne. Heureusement que Margaux avait une petite réserve d’argent, ça nous a bien aidés les premiers mois. Nous avons trouvé à louer un appartement en ville pas trop cher, nous sommes heureuses, libres de faire ce que l’on veut, et très amoureuses.
J’ai trouvé un travail assez rapidement dans une société de gestion en ville, elle aussi, elle a trouvé une place de kinésithérapeute dans un cabinet du centre-ville, à quelques pas de notre appartement. Mais, je trouvais nos poils gênants, nous sommes donc allés chez une esthéticienne nous faire épiler le mont de Vénus, nous sommes maintenant lisses et douces comme des peaux de bébés. Notre entente physique est de plus en plus grande, nous commençons à nous connaître très bien, je suis de plus en plus accro à cette fille, je ne peux envisager la vie sans elle, je sais qu’il en est de même pour elle. La vie s’écoule doucement, notre amour se renforce tous les jours. Ça ne nous empêche pas de regarder les autres femmes, je dois dire que je suis de plus en plus sensible à la beauté féminine, un beau corps de femme m’émeut, il en est de même pour Margaux, ce sont d’ailleurs toujours les mêmes femmes qui nous attirent.
Un samedi après-midi de fin juin, nous sortons pour faire des courses, j’ai eu deux ou trois remarques de collègues sur mes fringues, elles ne les trouvaient pas très modernes. Elles trouvent que je ne mets pas assez en valeur mon très beau corps comme elles disent. Je suis toujours en jupe assez longue ou en pantalon large, mais je ne supporte toujours pas quelque chose dessous. Je décide de changer ça et d’acheter des vêtements à la mode. Nous rentrons dans une boutique, je vois pas mal de jupes assez courtes et des corsages, je veux essayer. Nous sommes accueillies par une jeune fille qui me dévisage, je la regarde aussi, elle est très jolie, assez grande et très bien faite. Je rentre dans une cabine, me déshabille et enfile la jupe plissée et le corsage crème que j’ai choisi, évidemment Margaux a glissé sa tête pour me voir me déshabiller. Je sors pour me faire voir à Margaux et regarder dans la glace ce que ça donne.
Elle vient vers moi, passe sa main sous ma jupe et me caresse la fesse sans se préoccuper de la vendeuse qui est à côté de nous.
— Super ta jupe, je veux que tu l’achètes et que tu la portes tout de suite.— Mais je n’ai pas de culotte.— Qu’est-ce que ça peut faire, tu n’es pas bien comme ça ?— Oui, mais s’il y a du vent, je vais montrer mes fesses.— Ça me plairait bien de les voir quand tu te promènes dans la rue.— Si c’est pour te faire plaisir, d’accord, mais tu fais comme moi.— OK.

La vendeuse me regarde, elle voit la différence entre les jupes.
— Cette jupe vous va à merveille, il serait dommage de cacher encore ces magnifiques jambes.

Je la regarde, elle est agenouillée devant moi pour vérifier un ourlet de la jupe. Je suis sûre qu’elle voit mes fesses nues, voire même mon sexe, mais ça ne me dérange pas, au contraire, j’en ressens un léger frisson que ne manque pas de remarquer Margaux. Je la regarde un peu mieux, elle a un genou à terre, l’autre jambe pliée, ce qui dégage complètement ses cuisses, je vois son string complètement enfoncé dans son sexe, une grande lèvre dépasse sur le côté, je ne vois aucun poil, elle est épilée. Margaux va essayer une jupe presque identique à la mienne, mais elle n’a boutonné qu’un bouton de son corsage. Elle vient devant la glace et fait un tour rapide sur elle-même. Sa jupe s’envole, me dévoilant ses fesses et son sexe ainsi qu’à la vendeuse qui semble apprécier. Un sein est sorti de son corsage, j’ai envie de lui sauter dessus, et je vois que la vendeuse est fascinée par ce magnifique sein offert à sa vue.
Nous achetons trois jupes assez courtes, et trois corsages chacune, mais pas de culotte ou soutien-gorge, nous voulons rester libres sous nos vêtements, c’est une question d’habitude maintenant. Nous enfilons chacune une jupe et un corsage et nous sortons de la boutique. La vendeuse nous offre un string à chacune, ce n’est pas tous les jours qu’elle vend six jupes et six corsages d’un seul coup, nous les prenons pour ne pas la vexer, mais ils vont rester au fond d’un tiroir, c’est sûr. Nous marchons dans la ville, pour une fois, je sens l’air sur mes jambes, c’est une sensation assez agréable.
— Dis donc, tu ne trouves pas que la vendeuse nous regardait drôlement ?— Oui, comme toutes les lesbiennes, elle regarde les femmes, surtout quand elles sont à moitié à poil comme nous.— Tu crois qu’elle est lesbienne ?— Oui, c’est sûr, en plus, elle est très jolie et elle est pas mal foutue.— Ça, je te l’accorde.

Nous rentrons à la maison, nous allons ranger les affaires dans la penderie, je prends le sac en papier dans lequel la vendeuse a mis les strings pour les ranger dans un tiroir. En les sortant, je trouve un morceau de papier. Je regarde, c’est un numéro de téléphone. Je mets les strings dans le tiroir et vais voir Margaux.
— Devine ce que la vendeuse a mis dans le sac des strings.— Ne me dis pas qu’elle nous a donné son numéro de téléphone.— Exactement, je suis assez étonnée, mais pas spécialement surprise.— C’est vrai qu’elle nous regardait avec envie, tu ne voudrais pas savoir ce qu’elle veut ?— Mais c’est évident ce qu’elle veut, le tout est de savoir si nous voulons le lui donner.— Tu es contre ?— Je ne sais pas, elle est très belle, j’avoue que je ne suis pas restée indifférente en la voyant, pas toi ?— Moi aussi, allez, téléphonons-lui, on verra bien.— OK.

Je lui téléphone, elle est très heureuse que nous l’appelions si vite, elle est libre ce soir après son travail, elle peut être chez nous vers dix-neuf heures trente, je lui dis que nous l’attendons. Nous allons prendre une douche ensemble, crapuleuse comme d’habitude. Nous nous préparons pour l’accueillir, nous voulons qu’elle aime ce qu’elle voit. Nous enfilons une jupe courte et un corsage. Nous préparons un apéritif, nous sommes un peu excitées, c’est la première fois qu’il risque d’y avoir une tierce personne dans notre lit, nous appréhendons un peu. A dix-neuf heures vingt-cinq, on sonne. Nous allons ouvrir la porte ensemble, elle est là devant nous, elle s’est changée, elle porte une jupe plissée assez courte avec un tee-shirt qui lui moule sa superbe poitrine nue. Nous la faisons entrer, elle semble un peu intimidée, je la fais assoir dans un fauteuil en cuir, nous nous asseyons en face d’elle sur le divan.
— Je suis Margaux et voici mon amour Clémence.— Moi, c’est Aline.

Elle ne serre pas complètement ses jambes, je vois clairement qu’elle a enlevé son string, son sexe nous est exposé, il est bien lisse et un peu bronzé, nous laissons nous aussi nos jambes entrouvertes, elle doit savoir que nous sommes nues sous nos jupes. La discussion s’engage, nous apprenons qu’elle a dix-huit ans, qu’elle vient juste de passer son bac, qu’elle vit toujours chez ses parents et qu’elle commence à saturer. Elle n’a plus de copine depuis deux mois, elle n’aime pas les hommes, elle n’est bien qu’avec des femmes. Elle ne travaille dans cette boutique que depuis hier, c’est un job d’été, la patronne est une amie de sa mère. Nous apprenons aussi qu’elle va partir à Toulouse pour ses études, qu’elle est fille unique et que nous lui plaisons bien, nous lui disons que c’est réciproque. Elle me regarde fixement.
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