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La moniale démoniaque

Chapitre 4

Lesbienne
La révélation
— Tu n’as pas une sœur jumelle ? — Non pourquoi ?— Parce que l’année dernière, fin juillet, je suis allé à l’hôpital de Perpignan voir une copine qui s’était cassé un bras en faisant du skateboard, j’ai vu une bonne sœur qui sortait sur une civière, son visage était tellement joli qu’il est resté gravé dans ma mémoire. Je fantasme sur ce visage et cette personne depuis.— Pour lui faire quoi ?— L’amour bien sûr, j’ai envie de sentir sa peau sous mes mains.— Je te promets que je n’ai pas de sœur jumelle, mais je connais très bien la bonne sœur que tu as vue.— A bon, et c’est qui ?— Moi.— Toi ?— Oui, moi, je m’étais cassé la jambe et le bras droit, je ne devais pas être très belle à voir pourtant.— Tu étais magnifique au contraire, j’ai flashé sur ce visage si parfait.— Pourtant, je n’étais pas au mieux de ma forme.— Je ne comprends pas, tu as quitté ta congrégation ?— Oui, et Margaux aussi, nous sommes deux anciennes sœurs carmélites. — Ça alors, je n’en reviens pas, c’était toi, mais que tu es jolie, ce visage d’une finesse extraordinaire, tu n’as pas changé depuis que je t’ai vue. Je dois dire que ton visage m’a hanté pendant très longtemps, je ne pouvais pas me le sortir de la tête, je me demandais ce que tu étais devenue. Et tout à l’heure, quand je t’ai vue entrer dans la boutique, j’ai cru voir un fantôme. Et maintenant, tu es devant moi, en chair et en os, tu es revenue à la vie civile ?— Une civile amoureuse d’une autre civile.— Vous êtes les deux plus jolies femmes que j’ai connues, vous formez un couple extraordinaire de beauté et de charme.— Dis donc Clémence, je crois que cette petite mérite une récompense, qu’en penses-tu ?— Tu as raison.

Nous nous levons et allons chacune d’un côté d’Aline, nous la faisons se lever et lui enlevons sa jupe et son tee-shirt. Nous avons devant nous un magnifique corps d’une fille de dix-huit ans, bien rempli, sain, avec des seins hauts et ronds, bien fermes, un ventre à peine arrondi, un pubis lisse, bombé et bronzé, des jambes galbées et un cul d’enfer. Nous l’allongeons sur le divan, elle se laisse faire en nous regardant avec un léger sourire. Je me tourne vers Margaux pour lui enlever son corsage et sa jupe, elle me fait la même chose, Aline nous regarde, elle semble beaucoup aimer ce qu’elle voit. Je viens me mettre entre ses cuisses et lui écarte un peu les jambes, Margaux pose ses lèvres sur ses seins, je pose les miennes sur son pubis. Ma langue titille son clitoris caché sous son capuchon. Elle descend sur son vagin pour la goûter, sa cyprine est délicieuse, je m’en gave un peu. Je redresse la tête pour aller sur ses seins, Margaux prend ma place sur son sexe.
— Oh oui, j’aime ce que vous me faites, oui, continuez s’il vous plaît, continuez.

Il est évident qu’on ne va pas s’arrêter comme ça. Margaux se cale entre ses cuisses et commence un broutage de minou en règle. La main d’Aline se saisit de ma cuisse et m’attire à elle, je comprends et monte sur le divan pour lui présenter mon sexe. Je sens sa langue me lécher la vulve, elle essaye d’entrer dans mon vagin, elle se dirige vers mon clitoris, le titille deux secondes et le quitte. Elle m’agrippe les fesses et me plaque sur sa bouche, elle m’aspire, me lèche, me mordille les lèvres et le clitoris, je sens monter l’orgasme, je me laisse aller quand je la sens se raidir, son bassin se soulève, Margaux se déchaîne sur son sexe, elle jouit en prononçant un grondement sourd et en me mordant la vulve, ce qui déclenche mon propre orgasme. Quand je redeviens opérationnelle, je vois Margaux qui nous regarde avec un grand sourire, je descends du divan et vais vers elle pour l’embrasser, elle a le goût d’Aline. Celle-ci se lève, prend Margaux par la main et l’allonge sur le divan.
— A toi maintenant.

Elle se jette sur son sexe, je m’occupe de ses seins. Lentement son corps se tend pour finir par exploser dans un sublime orgasme. Quand elle est revenue à elle, nous nous asseyons sur le divan.
— J’aimerais bien goûter plus en profondeur Clémence, je fantasme sur elle depuis trop longtemps.— Je suis à ta disposition.

Elles m’allongent sur le divan, Margaux s’occupe de mes seins, Aline de mon sexe. Elle s’abreuve de ma cyprine, je sens sa langue me lécher, s’enfoncer dans mon vagin, me titiller le clitoris, se promener librement dans mon sexe. La tension monte, l’orgasme s’organise pour faire exploser une multitude de feux d’artifice dans mon corps. Je suis arc-boutée sur le divan, Margaux me mordille les seins, je suis projetée dans la stratosphère. Lentement, je reviens à moi, Aline s’est couchée sur moi, elle pose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un long baiser. Mes mains glissent sur sa peau, surtout sur celle de ses fesses. Elle me libère et nous nous asseyons côte à côte.
— Ça fait un an que j’attendais ça, merci Clémence, merci.— De rien Aline, de rien, ce fut un plaisir.— J’espère bien !!— Bon les filles, il est temps de manger, à table.

Nous dinons en rigolant tout le temps, Aline est une personne très agréable, pleine d’humour et assez cultivée. Ses parents sont tous les deux professeurs, lettres et histoire géo. A la fin du repas, nous allons nous assoir sur le divan, elle va vers ses affaires.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Eh bien, je m’habille, je ne vais pas retourner chez moi à poil.— Non, mais tu ne t’imagines pas qu’on va te laisser partir comme ça, on ne s’est pas assez amusé avec toi, tu vas rester ici cette nuit et être notre esclave, que tu le veuilles ou pas.— Non je ne veux pas et je vais partir, que tu le veuilles ou pas, il faut que je rentre.— Tu ne vas pas nous abandonner tout de même, on commençait juste à se connaître.— Ah ah, je t’ai bien eue, mais bien sûr que je reste, je veux bien être votre esclave, mon corps vous appartient, mais il faut que j’appelle mes parents.

Elle leur téléphone, ils ne semblent pas d’accord, elle est obligée de dire qu’elle a dix-huit ans, qu’elle est majeure et qu’elle peut faire ce qu’elle veut, même s’envoyer en l’air avec des copines, celle-là, c’est du hard !! L’atmosphère entre elle et ses parents semble un peu polluée, elle raccroche, un peu énervée. Margaux se jette sur elle, elle lui prend la main et va vers notre chambre. Je les suis, nous allongeons Aline sur le lit bien au milieu, je lui écarte les jambes pour plonger sur son sexe liquéfié, elle n’attend que ça, elle ruissèle littéralement. Je me goinfre de sa cyprine, je me déchaîne sur son sexe pendant que Margaux s’occupe de sa bouche et de ses seins. Son corps se tend lentement, je ne ralentis pas mon rythme, Margaux la caresse et lui titille les seins. Elle finit par se tendre et exulter dans un magnifique orgasme. Elle met un certain temps à revenir avec nous, elle sourit, elle nous regarde, l’air heureuse.
Margaux se positionne entre ses jambes et commence à lui titiller le sexe. Elle ferme les yeux les bras en croix. Ma bouche se promène sur son corps, elle arrive sur ses seins, les lèche, les suce, les aspire, elle se tord de plaisir entre la langue de Margaux et ma bouche. Elle émet des soupirs de plaisir, son corps se tend pour finir comme un bout de bois au moment où elle jouit, Margaux l’a plaquée contre sa bouche en glissant ses mains sous ses fesses. Nous la laissons un instant pour qu’elle revienne à elle, elle ouvre les yeux, nous regarde et nous sourit.
— Ah lala, quel pied, merci les filles, jamais je n’ai joui comme ça.— Et ce n’est pas fini ma chérie, il reste pas mal d’heures avant huit heures demain.— Tu plaisantes.— Devine.

Je viens me mettre entre ses cuisses pour poser ma bouche sur son sexe. Margaux s’occupe du haut. Elle met une demi-heure à jouir, elle met de plus en plus de temps à jouir et j’ai l’impression que ses orgasmes sont de plus en plus puissants. Je me redresse, Margaux prend ma place, je prends la sienne. Aline jouit encore une fois, elle semble complètement ailleurs, on peut faire ce que l’on veut de son corps. Nous l’avons fait jouir huit fois de suite, elle a fini par demander grâce, ce que nous lui avons accordé avec plaisir. Elle s’est endormie entre nous en deux minutes, elle était complètement HS. Nos nous sommes allongées à sa droite pour faire l’amour. Nous l’avons caressée une bonne partie de la nuit, juste entre deux orgasmes, nous nous sommes endormies enlacées vers quatre heures du matin.
Elle a dormi comme un ange, sur le dos, ses seins montaient et descendaient au rythme de sa respiration, nous ne pouvions pas résister, nos mains se sont promenées sur eux, sans parler du reste de son corps, rien ne l’a réveillée. Au réveil, elle nous regarde avec un sourire magique, elle rayonne de bonheur.
— Vous ne devriez pas me traiter comme ça, je ne vais plus vouloir partir, je veux revivre ça tous les jours. — Il ne faut pas rêver ma petite chérie, il faut savoir s’arrêter, et puis, à force, tu te lasserais.— Peut-être, mais pas tout de suite.— Tout a une fin, il faut savoir ne pas être trop gourmande.— Ce que vous n’avez pas fait hier.— Il faut dire que ton petit minou est vraiment adorable et excellent, impossible de ne pas y revenir.— Vous avez donc bien aimé votre esclave ?— Oui, nous avons adoré et nous aimerions en profiter un peu plus.— Bon les filles, il faut aller faire des courses, ne serait-ce que pour le petit-déjeuner.— OK, on y va.

Je sélectionne une jupe très courte pour Aline, je veux voir ses fesses devant moi. J’en enfile une identique comme Margaux. Nous nous couvrons le haut avec des tee-shirts moulants, le tout sur des basquets bas. Nous voilà dans la rue, une légère brise soulève un peu nos jupes, je me sens bien, je sens que je commence à mouiller, cette situation m’excite plus que je n’aurais pensé. J’ai envie de caresser les fesses de Margaux et d’Aline, et j’ai envie de sentir une main sur les miennes, je deviens une accro au sexe. Tout à coup, je sens une main sur ma fesse gauche, elle reste quelques secondes, je tourne la tête, Aline est derrière moi, je vois Margaux sur le côté, je tends la main, elle se pose sur sa fesse, elle se tourne vers moi et me sourit. Aline vient juste à côté de moi, cette fois sa main se pose sur mon pubis, un doigt glisse entre mes lèvres, effleure mon clitoris une seconde et s’en va. Elle me montre son doigt brillant de ma cyprine.
— Tu mouilles comme une folle chérie, j’ai envie de te faire jouir. — Et moi, j’ai envie de jouir là, au milieu de la rue.— Viens avec moi.

Elle m’entraîne dans une petite rue, Margaux marche derrière nous, elle s’arrête, me fait face et glisse sa main sous ma jupe. Son doigt se lubrifie dans mon vagin et remonte sur mon clitoris, Margaux se met à côté de moi, Aline lui fait la même chose. Elle nous masturbe en même temps au milieu de la rue, je ne peux m’empêcher de glisser mes mains sous mon tee-shirt et de me caresser les seins. Je jouis sous les caresses de mes mains et le doigt d’Aline, Margaux me suit à quelques secondes. Il n’y a personne autour de nous, je le regrette presque, j’aurais bien aimé que quelqu’un nous surprenne. Que se passe-t-il, je deviens folle de sexe, je commence à ne penser qu’à ça. Je crois que Margaux est comme moi, elle a remonté son tee-shirt jusqu’au-dessus de ses seins pour les caresser, je remonte mon tee-shirt, me tourne vers elle pour l’enlacer et la serrer contre moi, nous sommes seins à seins, nos bouches collées pour un baiser de feu.
Aline remonte ma jupe et glisse sa main entre mes cuisses pour lubrifier son doigt et le glisser entre mes fesses. Il vient titiller mon anus, un éclair me traverse le corps, elle insiste et retourne sur mes lèvres pour le lubrifier de nouveau et l’enfoncer légèrement dans mon anus. Je suis au bord de l’orgasme, Margaux doit le sentir, car elle glisse un doigt entre mes lèvres et remonte sur mon clitoris, il ne me faut que quelques secondes pour jouir comme une folle.
Nous nous séparons, mon tee-shirt retrouve sa place ainsi que ma jupe. Nous reprenons notre balade, nous arrivons sur une porte cochère, je plaque Aline contre et m’accroupis pour poser ma bouche sur son sexe. Ma langue lui, titille le clitoris et va entre ses lèvres s’abreuver de sa cyprine qui coule à flots. Margaux lui glisse ses mains sous son tee-shirt pour lui caresser les seins. Elle ne met qu’une minute à jouir. Nous marchons pendant une heure, longeons le canal de la Robine, mais il fait chaud, nous décidons de boire un rafraîchissement sur une terrasse qui borde le canal. Je m’assois en faisant voler ma jupe pour poser mes fesses directement sur la chaise, elles m’imitent, mais ce n’est pas passé inaperçu. Deux jeunes femmes nous regardent, je suis juste dans leur axe, elles ont une vue directe sur mes cuisses que je ne ferme pas pour bien leur montrer que je suis nue sous ma courte jupe.
Le serveur vient prendre la commande, Margaux remarque elle aussi les deux femmes, elle ouvre un peu ses jambes. Quand le serveur nous sert, elle pose sa main sur ma jupe, la fait remonter avec ses doigts et me titille le clitoris, le regard des deux femmes reste fixé sur mon entrecuisse, je pose ma main sur sa jupe, la remonte et glisse un doigt entre ses lèvres, je lui titille aussi le clitoris. Nous jouissons presque ensemble, je vois une des femmes glisser sa main sous sa jupe, je peux voir son string qu’elle écarte un peu pour se caresser en me regardant. Ses mouvements nous disent clairement qu’elle jouit. L’autre est en short, elle ne peut pas imiter son amie. Aline, qui leur tourne le dos, a une main sous la table, aux mouvements de son bras, je vois bien qu’elle se masturbe aussi, elle me regarde, je vois qu’elle jouit elle aussi.
Aline a pris de plus en plus d’importance dans notre vie, elle est venue s’installer avec nous, en septembre, nous avons déménagé à Toulouse pour que nous puissions rester avec elle, avec sa jeunesse et sa fraîcheur, elle a enjolivé notre vie. Margaux a monté son propre salon de kinésithérapie, avec une de ses collègues de son cabinet de Narbonne qui est originaire de la ville. J’ai monté mon cabinet de conseil en gestion, j’ai mis une année à me faire ma place, mais maintenant, c’est fait.
Nous draguons d’autres femmes, mais toujours toutes les trois ensemble. C’est Aline qui a eu l’idée, elle se balade seule et aguiche les belles femmes. Ensuite, nous débarquons et nous finissons en général avec la ou les femmes dans l’appartement. Aujourd’hui, elle n’a mis qu’une robe légère très courte et se promène rue St Rome, il fait assez chaud, elle s’arrête devant les boutiques, la rue est bourrée de monde, nous la suivons à quelques mètres. Nous voyons une femme qui semble très intéressée par son physique, elle est en jupe serrée très courte et en corsage crème, a priori elle n’a rien d’autre sous ses vêtements. Elle est magnifique et semble ne pas dépasser les vingt-deux ou trois ans, elle se rapproche d’Aline. Je lui passe un coup de fil pour lui dire qu’elle peut passer à l’étape suivante. Ça consiste à se passer les mains dans les cheveux, la robe monte et dégage la moitié de ses fesses, ce qui devrait exciter encore plus la femme.
Aline s’arrête devant une boutique, elle se passe les mains dans les cheveux, ses fesses apparaissent, la femme se met derrière elle et lui pose une main sur une fesse, la caresse en se penchant à son oreille. Aline se tourne pour lui faire face, elles discutent un peu, je vois la main de la femme passer sous la robe d’Aline, elle lui titille le clitoris en plein jour dans une rue bourrée de monde. Elle porte sa main sur sa bouche et se suce le majeur en regardant Aline droit dans les yeux. Aline nous fait comprendre qu’on peut arriver. Nous nous avançons derrière la femme pour poser toutes les deux une main sur une de ses fesses. Contrairement à d’habitude où la femme se retourne un peu méchante, celle-ci ne bouge pas, au contraire, elle nous fait comprendre qu’elle aime bien en tortillant des fesses. Au bout de quelques secondes, elle se retourne.
— Je vous avais repérées, je savais bien que ces magnifiques fesses offertes à ma vue n’étaient qu’un piège, je l’ai déjà pratiqué avec des copines. Mais j’avais envie de tomber dedans, vous êtes trop belles toutes les trois, on termine ça où ?— Chez nous, suis-nous.

Elle nous suit à l’appartement, à peine arrivée dans le couloir, elle déboutonne son corsage nous offrant une magnifique paire de seins bien bronzés. Sa jupe suit le même chemin, effectivement elle n’a rien d’autre. Elle va au milieu du salon et tourne lentement sur elle-même.
— Ce que vous voyez vous plaît ?

Pour toute réponse, nous nous précipitons sur elle, nous nous sommes déjà déshabillées, nous l’entraînons dans la chambre où nous l’allongeons au milieu du lit. Aline se jette sur son sexe, Margaux sur ses seins, je lui présente mon sexe dont elle s’empare prestement pour me poser ses lèvres dessus. Nous l’avons fait jouir trois fois de suite, au bout d’une heure, elle est étendue sur le lit, elle ne peut plus bouger.
— Merci les filles, je viens de passer le meilleur moment de ma vie, merci pour ce merveilleux cadeau.— Ce sera malheureusement le seul de notre part.

Elle nous regarde un peu triste, je pense qu’elle aurait bien aimé que ça recommence de temps en temps, mais nous ne voulons pas nous attacher à d’autres personnes, notre trio nous suffit, avec un petit à côté de temps en temps.
Nous sommes de plus en plus accros au sexe, il ne se passe pas une heure sans faire l’amour quand nous sommes ensemble. Aline est heureuse, Margaux est heureuse, je suis extraordinairement heureuse, je n’en demande pas plus à la vie.
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