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Monique, femme comblée

Chapitre 1

au Club.

SM / Fétichisme
Je m’appelle Monique, blonde pas désagréable à regarder, j’ai 45 ans, suis mariée et mère d’un garçon de 25 ans John. Après plus de 20 ans de vie rangée j’ai eu la chance de rencontrer il y a deux ans Nadine qui m’a fait renaître. De timide, morose et vieille, je suis devenue grâce à elle une belle jeune femme libérée, exubérante, sexy... Je me croyais quelconque, je me suis découverte désirable. Aujourd’hui je suis une ’’Femme comblée’’.
La récente visite de ma sœur Jade nous a montré avec mon mari sous notre vrai jour : un couple libertin. Comme elle dit nous célébrons à deux le dieu "Min" régulièrement et en groupe plusieurs fois par mois, tant au bureau avec la direction qu’avec mes amies, Nadine bien sûr, celle qui m’a déniaisée et Germaine celle qui m’a accueillie à mon arrivée dans la capitale et avec Élisabeth qui nous conduit sur le chemin de la soumission.

Ce jour-là, au téléphone, Maîtresse Élisabeth nous demande de l’accompagner samedi prochain dans un club privé ’’Cris et chuchotements’’. Rien que le nom laisse imaginer les mille douceurs ou violences qu’on y reçoit d’autant plus quand elle exige que nous venions en taxi, nus sous notre cape, avec notre collier et Olivier féminisé.

Élisabeth est très difficile. Alors le samedi matin c’est esthéticienne, manucure et coiffeur, sans parler de lavement et parfum. Pour tous les deux c’est bas auto-fixants, pour Olivier le sexe en cage et pour moi des escarpins de 12 centimètres, la longue cape de velours noir nous couvre parfaitement à l’exception du collier de cuir. Le taxi nous attend devant l’immeuble, nous nous asseyons à l’arrière immobiles, serrant nos capes au risque de découvrir notre nudité. Le trajet jusqu’à la place Clichy se passe sans encombre.

Là commence la difficulté pour rejoindre le bar Wepler où nous attend Élisabeth, il faut traverser la place en restant incognitos alors que notre tenue attire tous les regards des passants de la nuit. On sent le froid s’engouffrer sous la cape et accentuer la chair de poule due au stress. En entrant, dans un premier temps on ne voit pas notre Maîtresse, on circule entre les tables au risque d’accrocher notre habit à une chaise ou un consommateur, enfin on la trouve au fond du bar ce qui nous assure une relative tranquillité. Après un simple « Bonsoir madame » nous nous asseyons, pas question de familiarité dans ce jeu de soumission :

— Ouvrez vos capes ! L’ordre claque, tournant le dos à la salle avec prudence nous écartons les pans de notre vêtement au niveau de la poitrine. Ouvrez vos cuisses !... C’est bien. Donnez vos laisses !

Elle accroche le mousqueton à chacun de nos colliers. La chaîne file entre nos cuisses en portant sur le pubis. C’est à ce moment que le serveur arrive par derrière et certainement découvre ma nudité. Élisabeth commande trois cafés, que nous avalons avant de partir.

— Allons-y, c’est à 300 mètres.

Nous refermons aussi bien que possible nos capes, nous sentons à nouveau le froid et en plus maintenant le balancement du bout de la chaîne entre nos jambes. Nous entrons dans la rue Biot qui nous éloigne de la foule, à ce moment Élisabeth prend nos chaînes

— Il n’y a plus personne, laissez vos capes voler.

La faible protection du velours que nous avions, disparaît et nous recevons le vent glacial directement sur nous. Mes haut talons tapent le pavé, mes pas sont petits et précipités. Je me contracte, serre les dents pour éviter de greloter, mes tétons durcissent comme la pierre et j’ai l’impression d’avoir un bloc de glace à la place du ventre. Heureusement nous arrivons. Pas de façade, une simple porte dans un immeuble, un couloir, une courette, à nouveau une porte avec une petite plaque de laiton gravée ’’Cris et Chuchotements - Club privé’’. Nous y sommes. Le judas s’ouvre, se referme. Nous entrons, dès que la porte se referme derrière nous, nous sommes dans l’obscurité et une douce chaleur se fait sentir. Peu à peu dans la pénombre on découvre l’environnement, un vestiaire, un couple d’une cinquantaine d’années nous accueille, lui pas un poil, sec comme une trique tout habillé de noir, elle brune, plantureuse en corset et pantalon de cuir rouge très près du corps.

Ils embrassent Élisabeth, la remercie sans nous porter apparamment d’attention si ce n’est pour enlever nos capes :

— Élisabeth tu es toujours divinement accompagnée et cette fois d’un minet et d’une jolie blonde, alors que l’homme souligne ma chute de reins, la femme violente un téton d’Olivier et prend la cage qui emprisonne le sexe comme pour détacher un fruit de l’arbre. Ma chérie, tu connais la maison, je te laisse aller, il y a du monde, tes soumis seront certainement très honorés.

Alors que nous descendons un escalier assez raide, Élisabeth marche devant et tente de nous rassurer :

— Vous verrez c’est très sympa, il n’y a aucune obligation, mais faites-moi honneur, j’ai une réputation à défendre dit-elle en rigolant. Si vous voulez que ça s’arrête, le mot magique est ’’Stop’’ enfin vous vous asseyez par terre sauf si on vous invite sur un siège.

Nous arrivons dans une salle aux murs rouges, au sol noir, des canapés, des fauteuils, des tabourets autour de tables basses, des lithos licencieuses aux murs et des appliques diffusant une lumière tamisée. Il y a une dizaine de couples, des filles nues à genoux ou tenues en laisse, on chuchote. Dans une ambiance feutrée, on entend dans une pièce à côté des coups de fouet et des cris . Un arrêt au bar pour prendre une bouteille de champagne et notre Maîtresse nous oriente vers un coin. Elle déboutonne le bas de sa robe noire jusqu’à la taille, s’assied en mettant Olivier entre ses cuisses. Tel un animal docile il met sa gueule sur le ventre nu et s’active.

— Monique, me dit-elle, tu as bien fait de passer à la clinique. Je ne connais pas de meilleur cunni que le sien.

Elle pose ma tête sur sa cuisse pour me caresser la joue, les épaule. Ma vision se limite au carré de moquette noire, devant mes yeux. Il se passe des choses autour de nous, tout en gémissant elle recommande Olivier à une autre femme et mon mari disparaît. Un homme est debout à mon côté, il me caresse la nuque en même temps que ma Maîtresse. Les deux parlent à voix basse, je ne comprends pas sauf « Où que tu la prennes c’est de la soie ou du velours, tu ne me la froisses pas, elle est fragile ».

Elle détache la laisse de mon collier. Ça y est me voilà livrée, sans repère. L’homme me tire par le collier et m’amène dans une petite salle attenante carrelée blanc et noir avec un fauteuil de gynécologue pour tout mobilier. Il m’installe les talons dans les étriers, m’attache, abat le dossier de manière à ce que je sois couchée, je vois entrer deux hommes au poil noir, baraqués en pantalon de cuir et chemise largement ouverte, ils se mettent de chaque côté de mes épaules. Celui qui m’a conduit s’occupe déjà de mon ventre, il lèche, il doigte, vérifie mon élasticité, trois doigts forent alternativement mes orifices avant de me pénétrer brutalement le ventre et d’aller et venir comme un piston. Une femme brune très maquillée entre dans la pièce, un homme de côté lui cède sa place et vient à ma tête, la fait basculer dans le vide et me fourre sa verge en bouche.

La femme rondelette habillée d’un corset de cuir rouge a des seins volumineux à demi dénudés, elle semble gentille en m’embrassant la glotte, la poitrine, avant de tordre un téton à me faire crier de douleur. L’homme entre mes jambes me baise sauvagement, il jouit, se retire et immédiatement un autre le remplace. Il est plus doux, prend son temps, me doigte le cul avant de me pénétrer. La femme me suce le téton et me branlant la chatte qui déjà pleine de sperme fait un’’ clap, clap’’ très évocateur. Celui qui m’encule se vide à son tour en moi, un troisième le remplace. Une fois satisfait, la femme prend sa place et me suce la vulve. Je sens la bave et le sperme couler sur mon périnée, dans la raie des fesses. Elle me plante quatre doigts, touche le fond du puits, quatre, cinq mouvements et la main entière occupe le vagin en l’élargissant. L’homme à ma tête se vide dans ma bouche et là je perds la notion du temps, je change de monde.

On me tripote, on me suce, on me pénètre, on jouit dans tous mes orifices. Je n’en peux plus, j’ai envie de vomir, je m’abandonne jusqu’à entendre un cri « Laissez la ! Laissez la ! ». Je le reconnais, c’est Élisabeth. Elle m’embrasse du bout des lèvres, j’ouvre les yeux, elle essuie une giclée de sperme sur l’œil gauche, me détache et m’aide à me relever. Tout tourne autour de moi. Elle chuchote

— Tu as été magnifique, ça va aller. Viens te doucher et te remaquiller.

Elle me laisse dans une salle de bains où tout est prévu. Une autre femme d’au moins 60 ans est sur le bidet, elle me sourit en me voyant

— Ben dis donc, tu as été honorée comme une reine, veux-tu ma place ?
— Non je vais me doucher.

Je suis impressionnée par sa gentillesse, elle m’attend et me tend un drap de bain avant de me proposer de me maquiller, je la laisse faire

— Tu es belle, tu es jeune, j’aime tes gros tétons, veux-tu que je les maquille aussi ? Je ne l’ai jamais fait et lui réponds d’un sourire. Comment t’appelles-tu ?
— Mone.

Le maquillage est très soutenu, mes mamelons sont peints rouge vif. Elle m’embrasse et me donne une tape sur les fesses :

— Allez, va manger quelque chose, tu l’as mérité et à tout à l’heure, Mone !

En sortant je retrouve Maîtresse Élisabeth, toute tendresse a disparu elle me remet la laisse

— As-tu faim ?
— Oui madame.
— Viens on va s’installer ici.

Elle dans un fauteuil, moi à ses pieds, elle fait signe à une hôtesse reconnaissable par son tablier et commande deux assiettes de fromage avec une salade de fruit. Satisfaite de moi elle me permet de manger à genoux à table :

— Olivier a beaucoup donné aussi, j’en suis fière, je pense qu’il a goûté à toutes les invitées et s’est fait une solide réputation... Surnommé ’’Excalibur’’ en référence à son dard buccal. Maintenant il est dans la pièce d’à côté, nous irons le voir après, mange et prend des forces la soirée n’est pas finie.

On reçoit la visite de connaissances, elle parle, on la félicite de ma présence mais sans m’adresser la parole. Une fois terminé elle m’amène dans une pièce très sombre, il y a au moins sept types de tous genres, un grand black parmi eux, généralement la cinquantaine passée, certains nus, d’autres en chemise, un beaucoup plus âgé observateur habillé de noir comme un curé.

— Celui-là s’amuse à confesser me dit-elle, et... à punir !

Au centre un pont de cuir sur lequel est attaché Olivier. Il est pris par deux hommes à la fois. Le pont est percé de deux orifices pour la tête et le ventre. Je ne sais depuis combien de temps il est là, il semble être inconscient. Je m’en inquiète mais Élisabeth me tranquillise. En sortant elle me conduit vers une croix de saint André. Avec beaucoup de calme elle me dit :

— Je vais te fouetter !... face à mon regard interrogateur elle continue : Pour mon plaisir, pour le spectacle. As-tu déjà été fouettée ?
— Non !.. elle me fixe avec réprobation et avec retard j’ajoute : Madame.
— Bien ! Tu auras mal au début et tu aimeras à la fin, Sois tranquille laisse-moi faire. Je vais te fouetter les cuisses, le ventre et les seins, je veux que tu regardes le public, que tu voies comme tu seras admirée, enviée. Un autre jour je te fouetterai le dos, les coups seront plus violents, marqueront plus.

Elle semble certaine que je revienne, ça me rassure, pour revenir il faut que je trouve du plaisir ou... de la fierté. Je me laisse attacher, écarteler, presque suspendre, j’ai l’impression que mes escarpins reposent à peine au sol. Maîtresse Élisabeth est face à moi, elle me caresse de partout à deux mains, m’embrasse du bout des lèvres, me caresse encore le ventre, s’attarde sur mon sexe comme dans une relation amoureuse :

— Tu es belle ma chérie, tu mouilles bien, tu vas devenir la reine de la soirée...

Je suis séduite par sa douceur, sa tendresse, ses paroles, ses caresses me comblent de plaisir, je me laisse aller quand brusquement elle me gifle violemment le ventre au moins quatre fois de suite. Sa voix toute mielleuse devient autoritaire

— Reine de la soirée comme toutes les filles que j’amène ici.

La salope m’a bien eue, je croyais qu’elle allait m’aimer mais non ! Elle s’arme d’une fine baguette qui se termine par un petit lacet de cuir, elle s’éloigne, tend son bras de sorte que la pointe de la baguette reste à quelques centimètres de moi, le lacet me caresse le ventre deux trois fois et là tout s’accélère, je ne vois plus rien la baguette vibre au dessus de mes cuisses, de mon ventre, tel les ailes d’un colibri, le cuir me balaie à une vitesse vertigineuse. Ça me brûle, ça me pique de partout, la flamme, la pointe se déplace sans cesse du milieu des cuisses au bas des seins avec une précision incroyable. Ça fait étrangement mal, je ne peux bouger tellement je suis étirée.
D’un coup ça s’arrête. Ma Maîtresse est tout contre moi, ses mains sont douces, sont fraîches, me caressent de partout :

— Tu es très belle ! Tu sens, tu entends comme tu mouilles, alors que son doigt s’agite sur ma vulve. T’as confiance ?... Je vais te frapper les seins.

Immédiatement elle ajuste sa position, le lacet vole sur mon ventre, mes cuisses et monte sur ma poitrine, rapidement l’extérieur des seins s’échauffe puis la nuée d’insectes se déplace sur tout le corps. Les pointes me brûlent, je ne cesse de gémir, je ne veux pas crier « Stop » je suis trop fière et c’est Élisabeth qui arrête. Je n’entends que les chuchotements des autres invités et d’un coup je sens la fraîcheur d’une langue sur ma vulve. C’est Olivier qui est à genoux devant moi, qui me lèche, qui me suce, qui me pénètre et me fait un cunni comme il sait si bien le faire, j’oublie tout. Il me lèche tout le corps, me couvre de baisers, s’attarde là où le lacet a marqué particulièrement mon corps. Il termine debout face à moi, ses mains me caressent d’une infinie douceur.

On me détache, je quitte les escarpins pour me trouver à sa hauteur. On s’étreint, je sens sa cage contre mon pubis, sous les applaudissements de la salle. Le couple qui nous a accueilli nous rapporte nos capes et nous félicite en souhaitant nous revoir rapidement. Un taxi nous attend à la sortie.
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