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Monique, femme comblée

Chapitre 8

Avec ma soeur - 2

Orgie / Partouze
Je retrouve Eve après sa journée de travail. J’ai beaucoup d’empathie pour cette jolie blonde de trente ans, née garçon est devenue femme il y a trois ans et en même temps a été adoptée par ma sœur.

Après le dîner nous bavardons toutes les deux sur la terrasse. Face à nous, ma sœur et son mari avec le mien se font des câlins, au moment où ça devient indécent Jade se lève et entraîne Olivier et Théo dans la maison. Le silence du jardin est juste troublé par le chant des criquets. Eve éteint la lumière, par cette nuit sans lune je ne distingue que sa silhouette. Elle revient s’asseoir sur mes genoux, ses cuisses de part et d’autre de mes hanches. Elle me prend par le cou, moi par la taille, on ne se parle plus, on sent juste la respiration de l’autre, on s’embrasse longtemps, très longtemps. Subitement, comme une gamine, en rigolant elle m’ébouriffe les cheveux, se lève et me tire en chuchotant « Viens ! ». On entre dans la maison, seule la lumière du fond éclaire le couloir qui mène aux chambres. Sans bruit pieds nus on avance main dans la main, la chambre de Eve est face à celle éclairée.

La porte de la chambre de Jade est grande ouverte. Eve s’appuie au chambranle, je suis collée à son dos, elle passe mes bras sur ses épaules, mes mains croisées sur son ventre.
Le trio se livre à nous en toute indécence. Jade est couchée, Olivier à genoux entre ses cuisses et Théo accroupi derrière lui. Mon mari est pris entre les deux et donne le meilleur de lui, un sac à foutre pour l’un et une langue sans pareille pour l’autre. Jade, béate, les yeux clos, se laisse aller. Théo usine le fion de mon mari en rythme avec la respiration de sa femme.

Je tiens Eve serrée contre moi les deux mains glissées dans son pantalon. Face à nous le trio s’échauffe, Jade écarte les genoux, tient la tête d’Olivier à deux mains, tente de contrôler ses convulsions. Plus elle respire fort, plus elle respire vite, plus Théo accélère son coït. Les murmures de celui-ci deviennent audibles, orduriers :

— Hein salope, t’aime ça te faire défoncer ! Déjà hier et maintenant... J’ t’emmènerai à la plage, tu verras.

Et il termine en un long rugissement en projetant la tête d’Olivier sur la poitrine de sa femme. C’est à ce moment que Eve se retourne :

— Laissons-les tranquilles.

Elle m’entraîne dans sa chambre de l’autre côté du couloir. Une belle pièce avec un grand lit et une commode de bois laqué blanc, un miroir de modiste sur pied à trois faces et un rocking-chair ancien. Au mur une grande photo d’une jeune fille dénudée sur une plage signée David Hamilton. Sur la table de chevet, une lampe diffuse une lumière tamisée et un énorme gode attire mon attention. Alors que je pose le doigt sur son sommet arrondi, elle rigole, fait volte face et me pousse sur le lit.

Elle s’allonge sur moi et m’immobilise en tenant mes bras au dessus de la tête. Nos nez se touchent, je ne vois que ses yeux immenses, vert d’eau, sa langue balaye mes lèvres. Notre baiser est tendre, intense, nos langues tournent l’une sur l’autre, passent d’une bouche à l’autre.

Elle commence à me déshabiller et je m’abandonne en laissant mes bras au dessus de la tête. Au fur et à mesure qu’elle déboutonne ma robe elle me couvre de baisers, s’enivre de mon odeur, libère mes seins, les tète. Elle est à la fois douce et gourmande, mes tétons grossissent, s’allongent.

Après un moment je m’empare de l’arrière de son pull et le fait passer par dessus la tête entraînant en même temps un baby-doll de satin. Elle se redresse, bombe le torse fière de sa poitrine d’ado qu’elle masse pour en faire bander les pointes. Je dégrafe son pantalon, découvre le haut de son string, d’un bond elle se lève quitte ses derniers vêtements et revient nue sur moi. C’est à ce moment qu’on entend dans la chambre voisine des râles et des cris étouffés de jouissance, immobiles on prête l’oreille, plus rien si ce n’est un murmure, on glousse de rire et retombons dans les bras de l’autre.

Je la caresse, c’est la deuxième fois que nous faisons l’amour et je n’arrive pas à imaginer qu’elle soit née garçon, tellement ses courbes sont féminines, tellement sa peau est douce. Mon envie l’emporte, je la renverse, on change de position, elle est sous moi en tête à queue. Je reste émerveillée par son sexe de femme, à la fente bordée de lèvres épaisses, au clito si particulier, c’est du grand art chirurgical. Je suce l’un, lèche l’autre, je relève les jambes, titille le petit trou sombre, strié en étoile. Immédiatement elle gémit de contentement. Je la maintiens en grenouille, branle la tige et lèche l’œillet.

En levrette sur elle, elle découvre mon sexe aux babines allongées par les pinces et au bouton décalotté par le Byzantin (voir Monique, femme libérée chap.12). Elle goûte à mon élixir, sa petite langue vibre sur mes chairs intimes.

Puis, d’un coup tout s’arrête, arrêt sur image... Oh la la ! Ce sexe sur ma vulve, ces mains à ma taille, l’homme me pénètre d’un coup. C’est Théo, c’est la première fois qu’il me voit ainsi, c’est la première fois qu’il me prend ainsi. Il m’a connu pendant 20 ans ’’grenouille de bénitier’’, il m’a découverte hier désirable et aujourd’hui il me prend comme une ’’Belle de nuit’’. Après l’instant de surprise, j’aime comme il me baise, lentement, je sens son pubis, ses couilles glabres battre régulièrement mes fesses. Il y ajoute une volée de claques.

Ses claques ralentissent, deviennent plus fortes se terminent en caresses appuyées, se transforment en massage. Il me pétrit les fesses, les écarte, il s’immobilise au fond de moi. Un filet de bave coule sur mon petit trou, il joue avec, l’étire, le fait sourire comme je dis, puis le resserre pour mieux l’écarter. Deux doigts de chaque main le pénètrent et l’ouvrent à le déchirer :

— T’as un cul de rêve ! Une rosette toute sombre, bien creusée. T’es comme ta sœur, une vraie salope à se faire défoncer régulièrement. T’es vachement souple pour une toute jeune libertine !

Ses paroles crues sont choquantes et pourtant j’aime comme il me traite, c’est vrai que je suis devenue une vraie salope. Il abaisse mon bassin et d’un coup m’encule à fond. Sous moi Eve reprend en bouche mes nymphes, les aspire comme pour les avaler tandis que je continue à lui téter le clito. Nous voilà tous les trois en harmonie secoués au rythme des ’’han, han’’ de l’homme. Il me ramone avec frénésie, elle me bouffe la chatte et je lui suce le bourgeon.

A côté il y a du remue ménage, quelqu’un file à la salle de bains et au même moment Olivier entre dans la chambre. Debout, il me regarde orgueilleux les mains sur les hanches, la bite en berne, le pubis luisant de mouille ! Le salaud vient de baiser avec ma sœur et me nargue, il me sourit et sans me quitter des yeux s’allonge à mon côté sur le king-size.

Devant cet intrus, Théo change l’ordre des choses en se retirant de mon puits d’amour. D’une violente tape il me pousse sur le côté et se place entre les jambes d’Eve, il la prend doucement en missionnaire. Le fumier sort de mon cul et baise l’autre fille dans la foulée.

Olivier me saisit par une jambe et me fait passer de la bouche de Eve à la sienne. Tout de suite il me suce, me fouille, son dard s’enfonce en moi, ses mains m’écartent les fesses, ses doigts me pénètrent le fondement aussi profondément que possible. Je tombe sur son ventre couvert de jouissance avec son sexe endormi plein de sperme. Ça pue le stupre, c’est dégueulasse.

A côté de moi Eve paraît peu réceptive à Théo et semble même se protéger en reculant le pubis, elle grogne un peu, l’accouplement s’arrête, j’entends juste un murmure « Excuse-moi ». A genoux à son entrejambe, il relève ses jambes en V, sa vulve, son périnée sont couverts de salive, il pointe et perfore l’œillet sous un ’’wow’’ étouffé. Les deux amants se retrouvent, se mettent en branle. Visiblement elle est restée anale, immédiatement elle amplifie le coït, elle se masse les seins, elle court sur le chemin de l’orgasme.

Le spectacle offert, la langue et les doigts qui me fouillent, le sperme maculant le pubis, me font tourner la tête, d’un coup ça sent bon la baise, j’adore. Je lèche avec gourmandise ce ventre souillé, relève ce pénis endormi et comme le Prince charmant de Blanche neige, je l’embrasse, le suce, le caresse, je lui redonne vie. Les genoux de l’homme se relèvent, je les passe sous mes aisselles et découvre le cul de mon mari comme jamais je ne l’ai vu. La pastille brune striée est devenue une énorme rose écarlate plus étendue que mes trois doigts réunis, le pli fessier allonge l’entaille sanguinolente et la fait ressembler à une chatte, du trou béant suinte un filet blanchâtre, c’est dégoûtant et pourtant je lèche, je me régale, j’écarte les chairs endolories, deux doigts de chaque main les pénètrent, je m’enfonce dans le jus blanchâtre. L’homme bande, je le suce encore, le rend bien dur, trouve toujours quelques traces de son accouplement.

A côté, Eve jouit dans un râle guttural profond, Théo n’y est pas encore, il continue à la marteler, les jambes de la fille se balancent dans le vide, ses ’’Ui, Ui’’ donnent le tempo. Il continue encore en branlant le clito à deux doigts. Il s’emporte, se laisse aller, ses coups de reins s’accélèrent, sa respiration devient bruyante, il gémit comme en pleurant jusqu’au coup final qui la projette vers le haut du lit sous un ’’Aaaah’’ de dernier souffle.

Olivier prend le dessus. Il me renverse, me sourit, d’un sourire carnassier. Il me replie jusqu’à mettre mes genoux entre ma tête, il me casse en deux en pesant de tout son poids sur mon bassin. Mon intimité est exposée, il la prend toute entière, la masse, crache dessus. Tel un marteau piqueur il me traverse la vulve, deux trois fois, passe dans l’anus deux, trois fois. Se redresse, revient devant, derrière, puis quatre doigts se plantent dans mon vagin, le tire vers l’avant comme pour me déchirer et son chibre se plante dans mon sphincter. Il me fourre les deux trous à la fois. On ne se quitte plus des yeux, son visage se crispe. Il ne parle pas mais j’entends « T’es une salope, t’es immonde, t’es immorale, tu baises avec ton fils, avec des animaux, avec n’importe qui, n’importe où, dans la nature, dans les camions, dans les chambres de passe, tu te fais prendre par deux, trois, quatre types ». J’entends rythmé par ses coups de boutoir « Salope ! Débauchée ! Sale pute ! Bouffeuse de bites ! Assoiffée de sperme ! ».
Je me laisse bercée dans la fange. Je mouille de partout. Je ne me rends même pas compte que Eve et Théo ne sont plus là, que Jade les a remplacés. L’homme qui me baise, se vide en moi comme dans une pissotière, il se lève, m’embrasse tendrement les fesses, l’entrejambe, me couvre de baisers, me déplie, me repose sur le matelas. Il s’allonge, je suis entre lui et ma sœur, elle me regarde appuyée sur un coude, me sourit, m’embrasse du bout des lèvres en chuchotant « Que tu es belle quand tu fais l’amour ! ». Elle éteint la lampe de chevet, se couche contre moi. J’ai de l’autre côté mon mari qui me caresse le ventre en disant à voix basse :

— Mone, tu es formidable, à la fois soumise et maîtresse, à la fois épouse et amante, tu es la femme idéale, à la fois sage et dévergondée, bourgeoise et courtisane et toujours disponible... Mone je t’aime comme tu es ! »

De l’autre oreille j’entends la respiration régulière de Jade. Je me sens comblée.
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