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Monique, femme libérée

Chapitre 4

Rencontre avec mon directeur - 2

Orgie / Partouze
Pour célébrer notre promotion le patron, monsieur Jean Bénard, nous invite, Geneviève et moi à déjeuner dans une auberge tranquille. A la fin du repas Gilles, le chef de cuisine, nous propose de prendre le café dans un salon où avec Geneviève nous leur offrons un petit spectacle

Mon patron arrive nu au dessus de moi couchée au sol. La perspective le fait paraître géant. Il me sourit, s’accroupit comme pour s’assoir, sa verge tombe vers moi telle une cascade sortie d’une épaisse forêt noire, elle rebondit sur deux rondeurs couvertes de végétation, la pointe rouge comme le cul des macaques est sur mes lèvres. L’ordre est cinglant

— Suce, ma belle !

Il s’appuie sur les fesses de ma cheffe, Geneviève, ses cuisses écartées dégagent le sillon et le petit trou couverts de poils noirs. J’ai le gland en bouche, mes lèvres sur son col, il gueule

— Ouais comme ça !.

Un peu de flexion-extension, la verge va et vient, se réveille, grossit, durcit au point que l’angle d’attaque ne va plus du tout. Il se met à genoux entre mes oreilles et se couche sur le dos de Geneviève agrippé à ses épaules. Il me baise la bouche en allant de temps en temps trop profond et provoquant un haut le cœur et un flot de salive. La verge souple est devenue une matraque de gendarme. Elle passe de ma bouche à la vulve de Geneviève en la pénétrant d’un coup puissant jusqu’à la garde. Bien en place, j’ai maintenant le ballet des glaouis sur mon nez. Deux grosses noix au fonds d’un grand sac qui ne me quitte plus le visage. Je lèche les burnes avant d’en prendre une en bouche, il maugrée :

— La salope, elle me bouffe les couilles.

— J’t’avais dit que c’était une bonne, réponds Geneviève la bouche pleine, occupée par le jeune chef de cuisine.

— Ouais, intervient Gilles, plutôt que d’en parler, présente-la moi !


Là, elle prend mes jambes sous ses aisselles et je sens immédiatement sur ma vulve, une bite qui lentement m’envahit. Je ne sais plus comment mais notre groupe compact se met en branle. Le sac de couilles reprend sa valse et le chef fait sa sauce dans mon vagin. Ça brinquebale dans tous les sens. La situation est jouissive au max et je n’hésite pas à lâcher mes vocalismes à haute voix.

— Putain celle-la, il faudra faire attention où on la saute, commente mon patron.

— Ouais Jean il faudra te la prendre aux heures creuses ou la bâillonner.

Je me rends compte que c’est un sacré groupe de fêtards et que Geneviève est une habituée. Presque ensemble tous les quatre nous jouissons, on voit l’orgasme des autres, on sent l’homme se contracter et nous ensemencer et on hurle du plaisir qui nous envahit. Au moment où le groupe se désintègre, monsieur Bénard m’aide à me relever et m’embrasse, je lui murmure :

— Je sais me tenir monsieur quand les circonstances l’imposent.

— Tu me plais-toi... Bon Gilles tu nous sers un coup.

Tout a été prévu par le serveur.

— Pour moi ce sera un jus de pomme, s’il vous plaît monsieur.

— Dis-moi poulette, entre nous il n’y a pas de monsieur, moi c’est Gilles.

— Et en service privé, moi c’est Jean !

 Gilles assis dans un fauteuil me garde à son côté. Négligemment il me caresse alors que je suis à ses pieds. On bavarde tranquillement des divers plaisirs de la chairs dans cette auberge. L’une et l’autre nous occupons des membres de nos amants et après un moment de repos il y a un changement de cavalier. 
Jean me demande de venir sur ses genoux. Avec ses soixante ans, il est bien vert et un sacré coquin, contrairement à une simple assise sur ses genoux, il écarte les cuisses et me met à cheval sur sa jambes, ma chatte et mon cul sont en contact direct de sa peau velue. Il m’entoure de son bras sa main sur mon sein alors que l’autre guide la mienne sur son sexe au repos.

Face à nous, Geneviève est assise cuisses ouvertes, emmanchée sur le vit de Gilles qui a retrouvé toute sa virilité. Le chef tente désespérément d’obtenir une goutte de lait en lui triturant les tétines.

Jean me susurre des cochonneries au sujet du couple face à nous alors qu’on se fait plaisir l’un l’autre. Il me dit combien les dessous affriolants l’excitent  (notez que j’ai gardé mon redresse seins et mon serre-taille de dentelle grise). Le résultat est que monsieur retrouve la forme.

On se lève et en m’embrassant dans le cou il m’amène sur le lit. Dès que je suis allongée sur le dos, il relève mes jamb que je maintiens largement ouvertes sur la poitrine. Il s’enivre des fragrances de mon intimité, se régale de mes sucs. Il goûte à ma source généreuse d’autant plus qu’il excite régulièrement le bouton de la pompe. La bouche va d’un trou à l’autre pour se fixer sur l’œillet. Je me bascule en arrière à sa grande satisfaction alors qu’il concentre toute son attention sur l’anneau serré du bonheur. Ses doigts l’étire, sa langue le pointe mais pur fantasme que de vouloir le pénétrer même si deux doigts l’ouvrent, je sens juste, sa bave couler dans mes chairs secrètes.

J’exprime mon impatience en balançant mon bassin encore plus en arrière au point de toucher le lit de mes orteils. A ce moment Jean surgit au dessus de moi. Son autorité me glace avec son front plissé, ses yeux brun, le nez semblable à un bec d’aigle, sa bouche aux lèvres serrées. Sa douceur fait place à la brutalité :

— Tu veux de la bite, salope, tiens prends-la et t’as pas intérêt à rechigner....

— Ooooh !

Surprise, c’est effectivement du lourd qu’il a et il accentue l’effet en pesant de tout son poids sur mon bassin. J’ai presque l’impression qu’il voudrait y mettre ses couilles, ses grosses noix au fond du sac qui se balançaient sur mon nez

— Voilà, bien au fond, t’aime ça la bite ?

— Oui monsieur mais vous êtes gros !

— T’inquiète ma poule, tu vas t’ y habituer.

Et toujours en appuie sur mes jambes il commence à se mouvoir... très classique, lentement par petits coups, je m’habitue à sa matraque de flic, puis il amplifie, il accélère, il se bloque au fond. Il lâche mes jambes qui partent en grand écart et s’appuie sur ma poitrine.

— T’as de beaux nibards mais je te veux avec des tétines comme ton sexe de jeune fille je le veux plus développé, on verra ça avec Geneviève, elle sait faire.

Je l’écoute et en même temps gémis chaque fois qu’il tape au fond. Maintenant ce sont des sauts de plus de 25 centimètres. Il regarde l’anneau strié probablement rouge coquelicot :

— Gilles vient voir ce cul comme il reste ouvert.

Il vient à quatre pattes de derrière moi où il était avec Geneviève.

— Waouh ! On se fait un ’’swap’’

Les deux intervertissent les rôles, c’est le jeune chef qui me sodomise. Il trouve tout de suite sa place mais attaque beaucoup plus fort., il se couche sur moi, ses mains empoignent mes seins avec force. Je ne vois que ses yeux verts et sa bouche aux lèvres charnues. Sa langue me pénètre profondément et joue comme un petit pénis.

Sur l’autre partie du lit depuis un moment on entend des gémissements suivi d’un « OUI ! » très puissant peu après c’est Gilles qui se lâche. Je me sens toute courbaturée au moment de me déplier, bien heureuse qu’on m’aide à me relever.

Il y a juste une toilette pour se rafraîchir. Monsieur Bénard sonne l’heure du départ, mesdames on va y aller, il est déjà trois heures, le travail vous appelle. Un petit coup d’eau, une jupe et un corsage, le temps de revenir au bureau et nous voilà affairées comme si nous rentrions d’un déjeuner d’affaires... mais n’en était-ce pas un ? Cette relation ne pourra jamais être différente.

A la fin de la journée, je propose à Geneviève de prendre un café à la gare et lui demande des explications :

— Dure journée ! Avec Bénard, ça marche comme ça si tu veux de l’avancement, tu y mets le doigt, le bras y passe. Jusqu’à présent tu n’étais pas prête et puis je t’ai vue, j’ai su, je lui est proposé de te voir. Tu n’es pas fâchée ?

— Non, mais ?

— Mais, ça se limite à des réunions de travail une ou deux fois par mois et au comité stratégique annuel.

— Avec d’autres personnes de la boîte ?

— Tu découvriras, il a beaucoup de contacts.

— Et si tu n’es pas d’accord ?

— Pour une fois sans problème, plus je ne sais pas, je pense qu’il a des moyens de répression.

— Et il me parle de développer les tétons, les lèvres du bas.

— Oui, comme pour moi, avec des pompes, des pinces, des poids et des massages matin et soir, pour les étirer et les gonfler, je t’apprendrai, enfin quelques conseils, être toujours impeccable propreté et habillement, jamais de familiarité en dehors de l’inimité, et elle rigole en ajoutant, quand t’es à poil, être toujours disponible quand il t’appelle, elle rigole à nouveau en précisant, ventre et seins nus et s’il te demande de t’assoir, toujours sans froisser ta robe.

On part dans un grand éclat de rire.

— Bon maintenant ma chérie je vais te quitter. Tu verras tout compte fait ce n’est pas désagréable, il est attentionné et généreux.

Une demi-heure plus tard j’arrive à la maison

— Bonsoir je suis arrivée !

— Bonsoir ma chérie, Comment vas-tu ?

— LILI ! (je hausse le ton pour le rappeler à l’ordre) Prépare-moi un bain, j’ai eu une grosse journée.

— Oui madame, tout de suite.

— Et après tu me prépares un Martini dry .

— Oui madame. Je suis allé chercher vos jupes chez le couturier, elles sont sur le lit.

— Merci, nous avons aussi à discuter. Le patron m’a chargé avec ma cheffe de la gestion des gros-semis de la boîte.

— Waouh, ce doit être une très belle promotion !

— Oui mais qui me donnera beaucoup plus de travail. Il faudra mieux t’organiser pour gérer la maison ! Qu’as-tu prévu pour dîner ?

— Du jambon salade madame... Votre bain est prêt !

— Jambon salade tu te fiches de moi, il faudra apprendre à cuisiner.

— Oui madame !.

Je commence à me sentir très bien dans mes nouvelles fonctions.

Je trouve sur le lit mes jupes retouchées que je range sagement dans mon placard, placard qui paraît bien vide après le tri de mes vêtements.

J’appelle Nadine, je lui raconte comment Lili devient docile et comment je viens d’être promue par mon directeur . Elle me confirme qu’elle rentrera dimanche .

— J’ai hâte de te retrouver ma chérie. Il faut prévoir des journées de shopping, j’ai toute ma garde robe à renouveler... Je compte sur toi. A très bientôt, mille bisous partout, partout !
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