Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 106 J'aime
  • 4 Commentaires

Monique, femme libérée

Chapitre 7

Réunion de travail

Avec plusieurs femmes
Le rituel du matin est pris, Lili fait le petit-déjeuner pendant que je me prépare
— Lili s’il te plaît aide-moi avec ce corset.— Tu vas au bureau avec ça ? Les seins nus !— Dis-moi Lili, je n’ai pas besoin de ton avis, oui seins nus et ventre nu. Allez, sers-le bien, oui comme ça c’est bien et sors-moi des bas et dépêche-toi, la semaine dernière à cause de toi j’étais en retard.— Voilà madame, votre déjeuner est servi.
Je mets mon tailleur noir avec un chemisier blanc boutonné, la jupe droite raccourcie au-dessus du genou et fendue sur le côté est parfaite. Je n’aurai pas à me préoccuper en m’asseyant.
— Vois-tu Lili, le corset est ni vu ni connu !— Vous êtes très belle madame.— Lili, il faudra passer ce soir aux Grands magasins ? chercher trois jupes, j’ai laissé le ticket sur ma table de nuit. A ce soir !— Bonne journée madame.
En moins d’une demi-heure j’arrive au bureau. En m’asseyant je me rends compte que mes seins reposent directement sur la table et que ma jupe couvre à peine la moitié de mes cuisses, la fente latérale laisse voir l’ourlé de mes bas. A l’arrivée de ma cheffe automatiquement je place mon bras devant ma poitrine, ma main en protection d’un sein. Dès son entrée, elle voit ma cuisse dénudée.
— Waouh Monique, t’es hyper-sexy ce matin, on voit ta jarretelle, ça va plaire aux chauffeurs quand ils viendront chercher leurs bulletins de livraison.
Elle vient à mon côté, sa joue contre ma joue, un doigt posé sur le document que je lis. Elle passe son bras autour de mon cou et glisse sa main entre mon bras et mon sein qu’elle palpe doucement :
— Tu apprends très vite les bonnes manières. J’aime ta transformation. Pourquoi avoir caché si longtemps une telle beauté, une telle sensualité ?
Tout en continuant à me peloter outrancièrement, elle me prend par le menton et me fixe du regard. Face à mon silence elle me pince le téton
— Tu me fais mal !

Elle pince encore plus en tordant la pointe. Je ferme les yeux sous la douleur, ma tête part en arrière...
— Et, tu aimes ?— Oui, oui, oui... Tu me fais mal !
Ma bouche lui est offerte, elle l’embrasse, aspire la lèvre inférieure et la mord violemment avant de me quitter.
— Bien au travail, va chercher aux expéditions les bons de livraison pour demain et on va préparer les tournées. A midi le chef de quai passera les récupérer pour préparer les chargements.
La journée passe normalement mise à part la visite du chef de quai venu chercher ses papiers. Le coquin nous a fait perdre du temps en nous demandant plusieurs fois la même chose. Toutes deux attirons ses regards concupiscents :
— Au revoir mesdames, c’est un réel plaisir de travailler avec vous, moi c’est Bernard, ça serait mieux de nous tutoyer.— OK Bernard, excuse-nous, on a beaucoup à faire, moi c’est Geneviève et voilà Monique !
Le garçon éconduit quitte le bureau avec un vague sourire.
Dans l’après-midi, le patron passe une tête dans le bureau pour nous demander de venir le voir avant de partir.
......

A 18 heures le personnel quitte la boîte et Geneviève décide de monter. A l’étage il y a les bureaux du patron, de sa secrétaire et du responsable d’exploitation, ce dernier étant absent il reste la secrétaire, une dame aux cheveux blancs très courts, bien de sa personne, élégante et parfaitement maquillée. Bien sûr je la connais mais n’ai jamais eu à faire à elle alors que ma cheffe la tutoie :
— Coucou Mado, le boss veut nous voir.— Oui, je sais, il vous attend.
On frappe à sa porte « Entrez ! » et nous voilà toutes les deux face au boss. Il nous invite à nous assoir autour de la table de réunion. On parle longuement de nos affaires, Geneviève commente notre première journée d’organisation des gros transports Une fois cette discussion professionnelle terminée il appelle sa secrétaire au travers de la porte fermée en élevant la voix :
— Mado, viens s’il te plaît et sers-nous une bouteille !
Tout est bien organisé, quatre flûtes et une bouteille de champagne sortie du freezer. Puis toujours en s’adressant à Mado et en allant s’assoir sur le canapé
— Viens ma chérie ! en lui tendant la main. Dis nous ce que tu penses de Monique (Je suis sidérée de l’échange pour le moins peu protocolaire entre le boss et son employée).— Une jolie femme. Je serais très heureuse qu’elle se dévoile enfin !— Monique vous avez entendu ? Alors faite plaisir à Mado, dévoilez-vous !
Je reste interloquée, ne bouge pas, j’entends Geneviève murmurer à mon oreille « S’il te plaît ! » Je ne sais comment je fais pour mettre cinq minutes à quitter chemisier et jupe. Les deux sont côte-côte, l’homme tient la femme par les épaules, ils se parlent à voix basse. Debout face à eux, les mains dans le dos, je suis en corset, bas et chaussures, ventre et seins nus. C’est Mado qui ordonne la suite :
— Approche-toi !
A portée de main, elle me prend par la fesse et colle mon ventre à son visage.
— Elle sent divinement bon !
Elle m’embrasse longuement puis d’une main lève ma jambe pour poser mon pied entre elle et le patron sur le dossier du canapé. Elle me voit en perte d’équilibre, je vais tomber au moment où elle appelle Geneviève à mon secours. Appuyée contre elle, je la tiens par le cou. La situation est invraisemblable. Les trois habillés, moi debout en bas et corset, mes cuisses ouvertes à 90°, d’un côté mon patron me trifouillant le cul, de l’autre la secrétaire me suçant l’abricot et sur le côté ma cheffe qui me pelote les seins et chuchote :
— Tu vas voir ma chérie comme c’est une cochonne ! Si elle te fout dans son plume, tu en sors gouine !
Ce que je sens pour l’instant c’est le patron qui me façonne la pastille. Après quelques caresses, deux, trois coups de langue, il me doigte. Sur l’autre face Mado fait monter la température et goûte mes premières larmes de jouissance :
— Tu es délicieuse ! dit-elle.— Et souple ! ajoute l’autre.
Le patron se lève et tout de suite je le sens en chemise contre mon dos, sa tête sur mon épaule
— On va faire des grandes choses ensemble, n’est-ce pas Geneviève ?— Oui Jean, je crois qu’elle est disponible, n’est-ce pas Monique ?— Tout ce que vous voudrez ! que je réponds sans réfléchir en jouissant sur la langue de Mado.
Le boss me fait courber l’échine au-dessus de la tête de son assistante et d’un coup brutal me défonce le cul :
— Tiens prend ça pour l’instant !
Il me laisse retrouver l’équilibre en écartant les jambes et en appui sur Geneviève. Il commence à me sodomiser, alors que j’ai le front de la secrétaire sous mon ventre, elle a en gros plan les couilles du boss. Geneviève ne cesse de chuchoter des insanités :
— C’est bon hein ? Tu t’en prends plein le cul, et la vieille, elle te suce bien ? Et ça (en pinçant violemment le téton) tu aimes ? T’es une salope hein ? Comme ce matin quand je t’ai vu la cuisse à l’air. Tu aimes te faire prendre de tous les côtés !
Je miaule, gémis, chacun des trois le reçoit pour son compte, je le donne à tous qui ne font qu’un. C’est Jean naturellement qui épuise ses ressources, mon sphincter ruisselle, je sens mon cul trempé, Mado depuis un moment m’a foutu quatre doigts au fond du vagin, je sens qu’elle titille le col de l’utérus tellement ma vulve est ouverte. L’homme me donne un coup violent et se bloque au fond de mes entrailles, je sens sa verge tressaillir, il se vide. c’est fini, Mado se relève, lui sort de mes fesses et m’ordonne :
— Ne bouge pas !
Il revient de son bureau avec un plug métallique énorme orné d’un cristal rouge, il me rappelle celui que Yanis a offert à mon mari à Mykonos. Il le met en place sans vraiment de difficulté.
— Tiens Monique, pour éviter que tu ne te tâches et je voudrais que tu le portes régulièrement. Il termine en me donnant une grande claque sur les fesses et en me tendant une boîte en velours noir marqué ’’Pour mon plaisir’’. Geneviève t’en expliquera l’usage.— Allez les filles laissez-moi, j’ai un dîner à la maison.
J’ai juste le temps de reboutonner mon chemisier et d’ajuster ma jupe qu’on sort du bureau. Le plug en acier m’oblige à serrer les fesses. En descendant à notre étage Geneviève se moque de moi :
— Détends-toi, espèce de cul serré ! elle est prise d’un fou-rire alors que je suis crispée et qu’elle m’entraîne, me tenant par les épaules. Allez on rigole, t’inquiète, je connais, tu verras on s’y habitue très bien, fais voir ce qu’il t’a donné.
Dans la boîte de velours il y a une chaîne terminée aux extrémités par une pince, deux autres pinces et cinq séries de poids de 50 à 300 grammes, il y a aussi deux pompes à téton avec deux flacons d’huile essentielles— Je te laisse imaginer le pourquoi. Tu peux porter les poids au sexe incognito durant le journée. Pour les tétons c’est aspiration et massage avec les huiles. Les pinces peuvent être désagréables, là encore c’est une question d’habitude, peu à peu les chairs sont anesthésiées. Je les ai portées plus d’un an, le résultat est assuré.
Diffuse en direct !
Regarder son live