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Monique, femme libérée

Chapitre 8

Avec le chef d'exploitation

Avec plusieurs hommes
Femme libérée, avec Geneviève, nous sommes devenues incontournables pour notre direction. Notre discrétion a développé un climat de confiance et de nouvelles responsabilités nous ont été confiées ainsi notre bureau ’’Comptabilité’’ a été rebaptisé

ServiceAdministratif

GenevièveAdam – Monique Lenord


Certains appelleront ça, une promotion canapé. Peu importe le chemin qui conduit à la réussite. J’ai adapté ma garde-robe aux exigences de la direction et j’ai pris l’habitude d’aller ventre nu en portant un plug dans le derrière et des pinces aux lèvres.

…........


Ce matin, nous recevons les félicitations du responsable de quai, le petit Bernard, pour notre initiative d’inverser trois points de livraison ce qui a optimisé la route ! En fait l’initiative est due au hasard et probablement les félicitations sont présentées pour des raisons professionnelles à défaut de pouvoir le faire pour des raisons privées. Il faut savoir que le jeune Bernard ne manque pas une occasion pour venir reluquer mes jambes ou mon décolleté et entamer une discussion qui se veut amicale et se termine en drague lourdingue.

Cette après-midi après à un coup de téléphone, Geneviève me demande de passer voir le chef d’exploitation à 17 heures et s’excuse de ne pouvoir m’accompagner ayant un rendez-vous médical. Avant de partir elle me recommande d’ajuster ma tenue.

Ajuster ma tenue ! J’ai ma nouvelle jupe rouille à volant, je suis " pluguée " et j’ai  à mon sexe les poids offerts par le patron. Je me sens coquine en laissant mes tétons pointer au travers de mon petit pull bordeaux, une retouche de maquillage avant de monter à l’étage de la direction et je me sens correcte .

Personne dans le bureau de la secrétaire, je frappe donc à la porte du bureau de Patrice Lesné, Chef d’exploitation. Je connais bien sûr monsieur Lesné mais n’ai jamais eu à faire à lui. C’est un homme qui m’impressionne, d’une cinquantaine d’années, cheveux grisonnants, grand et baraqué, c’est un ancien chauffeur, bien de sa personne, son accent toulousain le rend encore plus sympathique.

— Entrez Monique, merci d’être venue. Bernard m’a parlé de votre travail et je voulais vous féliciter personnellement. Asseyez-vous je vous prie... Monique attention vous allez froisser votre robe !

A l’étage ce doit être une règle que de relever sa jupe ! Son bureau est une table en verre posée sur tréteaux. Par transparence il me voit sur la chaise, sa demande me panique. Il me fixe de ses yeux bleus, me sourit avec un hochement de tête. Je me lève juste le nécessaire pour faire glisser ma jupe de dessous les fesses et sentir le cuir. Le plug dans les fesses mais surtout les poids aux lèvres me gênent.

— Merci Monique ! (de mon travail ou de ma tenue?) C’est curieux que personne n’ait pensé à cette modification de route (on frappe à la porte). J’ai demandé à Bernard de se joindre à nous. Oui ! Entre.

Le nouvel arrivant, à ma surprise, embrasse son chef qui le retient par la taille.

— Monique ne soyez pas surprise, Bernard est comme mon gamin, il est entré il y a quinze ans, nous avons fait la route ensemble pendant presque dix ans, alors des habitudes se sont prisent.

Bernard s’assied sur une chaise à mon côté face à Patrice et la conversation professionnelle reprend avec félicitations pour l’une et reproches pour l’autre et il conclut :

— Bon, mes amis, je vous demande de reprendre toutes les routes ensemble, Monique je compte sur ton œil neuf et ton inexpérience pour interroger et proposer des alternatives. N’oublie pas ma chérie il n’y a pas de sottes questions mais que de stupides réponses.

Il passe rapidement du vouvoiement au tutoiement et même avec "ma chérie" à l’intime. Il se lève en s’appuyant des deux mains sur le bureau, son regard me glace. A ce moment lentement il fait le tour de la table sans me perdre de vue, face à moi s’y adosse, ses pieds contre les miens.

— Bernard sert nous une bouteille... (Son regard me transperce, me déshabille). Monique vous êtes très intelligente et clairvoyante !

Je suis hypnotisée, je ne me rends plus compte de rien. Le directeur est penché sur moi, je sens son souffle dans mon oreille, un chuchotement « Tu es très belle ». D’un doigt il tire le décolleté de mon chandail et m’oblige à m’avancer. Il m’embrasse dans le cou avant de me relâcher. Il me tend une flûte.

— Buvons à ton travail et à notre rencontre !

Il prend du recul, a un sourire narquois, il me fixe dans les yeux, nous trinquons, ses pieds écartent les miens. Je suis sous son emprise, je deviens écarlate, mes genoux s’ouvrent.

— Bernard aide Monique à se débarrasser, regarde comme elle a chaud.

Il est derrière moi, il me caresse les épaules et les bras jusqu’à descendre à ma taille ; il remonte alors mon pull par les côtés, découvre mon ventre, mes seins. Je me laisse aller, lève les bras, le pull passe la tête, je me retrouve à moitié nue. J’obéis au doigt et à l’œil, je me lève, détache ma jupe qui tombe, je suis en chaussures, bas, serre-taille et sein-nu rouge coquelicot, les poids attachés à mes lèvres sont pris entre mes cuisses.

Le directeur me prend par la taille et me plaque contre lui, je sens le renflement de son pantalon, je m’appuie à ses épaules, d’une main il met ma tête contre la sienne, il murmure :

— Quelle élégance et quelle beauté !

A deux mains il m’empoigne par les fesses, il touche le plug, :

— Et obéissante avec ça !.

Debout les mains dans le dos, Bernard se presse derrière moi, me tient par les épaules, j’ai mes mains sur son pantalon ouvert, je suis directement sur son slip en lycra, si fin, si moulant que j’ai l’impression de toucher le sexe. Le jeune homme m’amène sur le côté du bureau, il me soulève et me pose sur la table de verre. Assise, les cuisses légèrement ouvertes, les deux poids de mon ventre cognent d’un bruit sourd le verre. Il découvre mon sexe étiré, touche les pinces, ses yeux exorbités ne cachent pas sa surprise. Il abandonne son futal et d’un geste retire son pull, il est nu, totalement épilé, le torse musclé. Il me couche, me couvre, me regarde tendrement, il est charmant. Ses mains tirent mes bras au dessus de la tête et il m’embrasse à pleine bouche. D’une main il me caresse, presse mon sein, l’autre file à la jonction de mes jambes, retrouve les poids attachés aux lèvres, les écarte et touche la vulve en faisant légèrement pression.

— Sacrée coquine, C’est vachement sexy tes bijoux !

— Oui mais pour baiser, pas top. Enlève-les moi d’un coup sec, ça fait mal et suce-moi fort, fort tout de suite !

J’ai beau le savoir, m’y préparer, je hurle de douleur alors qu’il me suce et aspire les lèvres. Assez rapidement la souffrance s’estompe, très gentiment Bernard continue à me sucer juste pour mon plaisir maintenant.

— J’imagine que c’est douloureux à porter mais c’est hyper bandant. Ta chatte, on a l’impression d’avoir une langue quand on la suce !

Il relève mes genoux sur ma poitrine et voit le plug au gros cristal rouge,

— Putain t’as aussi un sacré truc dans le cul !

— Ce n’est pas gênant.

Il s’active entre mes cuisses et déjà je sens le gland balayer mes lèvres, se fixer... « Ah ! » il est en moi, avec le bijou dans les fesses c’est comme être prise en double. Je n’imaginais pas comme toute cette quincaillerie allait changer ma sexualité. Il est tout au fond, il ne bouge plus, par contre mon ventre instinctivement se met à le sucer. Ses mains sur mes seins, il m’embrasse dans le cou, me fait un suçon, me mord. Avec beaucoup de douceur et de lenteur il me baise. J’aime comme il le fait, gentiment, je sens bien sa verge aller et venir lentement, c’est un artiste, il fait dans la précision, je monte rapidement au cocotier et l’inonde de ma mouille.

A mon côté il y a Patrice nu, la poitrine velue poivre et sel et le ventre couvert d’une toison noire. Je pivote légèrement en me rapprochant pour prendre en bouche la queue qui se dresse devant moi. Un beau morceau, épais, aux veines saillantes, le gland décalotté, le frein déchiré, il a dû en voir du paysage, le routier !. Mes mains au dessus de la tête, seule ma bouche est en action. L’homme se flatte les couilles d’une main et caresse son compagnon de l’autre .

Ce que je pensais des deux, ne fait plus de doute. Patrice vient derrière son jeune compagnon, le prend par les épaules, l’embrasse dans le cou ; les deux s’arrangent, ont leurs habitudes. Après des « Han ! Hun !Oui, ui ! » ils sont accouplés. Bernard légèrement penché s’appuie sur le creux de mes genoux à la hauteur de ma poitrine et ’’circule’’ entre moi et la queue de son amant.

— C’est bon mon Bébé ? T’aime ça la queue de ton papa ? Tu me sens bien ?

— Oh oui Pat c’est bon, tu es bien dur mais va plus fort !

D’un coup la douceur devient brutalité, les coups de reins de Patrice se répercutent jusqu’au fond de mon vagin. Notre coït devient bestial, les caresses deviennent pétrissages. Les deux s’activent de plus en plus, les respirations s’accélèrent deviennent râles, je jouis une nouvelle fois quand Bernard explose au fond de mon puits. Patrice le couche sur moi d’une main sur la nuque et continue de le sodomiser, on est tous les deux balloter par ses coups de reins, un coup plus violent, un cri « Ouiiiiiii ! », puis tout s’arrête. Le trio se détache, Patrice reprend son souffle :

— Un peu de repos, Bébé sert nous un coup s’il te plaît !

On me tend une flûte. Les deux gars sont beaux, costauds et très différents, l’un velu et grisonnant, l’autre châtain et glabre. C’est la différence d’âge qui a probablement fixé les rôles. Il y a 15 ans, le jeune apprenti avec le chauffeur poids lourd. Aujourd’hui la domination est la même. "Bébé" s’assoit au pied du patron pour lui faire une petite toilette et lui donner du plaisir. Je m’allonge au sol entre les jambes de ’’Bébé’’ et lui fais une gâterie pendant qu’il continue de sucer son amant.

Patrice m’explique alors la vie et la sexualité des camionneurs. Bien sûr il y a les relations avec les putes et les filles des restos mais aussi les petits jeunes comme Bébé. Pendant plus de dix ans ils ont baisé ensemble, ça crée des liens ! Les anecdotes salaces sont nombreuses. Les câlins, les histoires érotiques, réveillent les envies, redonnent la trique.

— Ça te dit une double ?

Je n’ai pas le temps de répondre que Bernard me prend par la main

— Attends, attends, je passe aux toilettes et retire mon bijou.

Patrice me donne une claque sur les fesses :

— Madame ventre nu et ’’pluguée’’ répond aux attentes du patron ! Allez, va te laver salope.

Peu après je reviens libérée du bijou et toute propre, je vais pour me mettre en levrette sur Bertrand quand s’interpose Patrice :

— Non non ma chérie ! dans l’autre sens, comme une table, assise et le dos sur lui.

Waouh ! C’est acrobatique. Je me plante sur le braquemart du copain sans trop de difficulté et en appui sur mes pieds je pars à la renverse jusqu’à poser les mains en arrière. Je pense que là encore pour les deux ce n’est pas une nouveauté puisque le jeune me soulage tout de suite en me tenant par les hanches ce qui lui donne de l’espace pour me sodomiser tandis que l’autre se positionne comme une grenouille au dessus de moi et plonge dans ma vulve largement ouverte de par ma position.

Acrobatique et hyper excitant, le torse bombé, les reins cambrés, maintenir la position m’immobilise et je sens mieux que jamais les deux mandrins me fourrager à la rencontre l’un de l’autre. Pour le monsieur, en appui sur ses genoux, c’est accroupi sur mon ventre, en flexion extension, seul son membre coulisse entre mes lèvres

Acrobatique mais épuisant, je m’écroule sur Bernard en éclatant de rire.

Patrice me relève facilement en me prenant par les aisselles. Je me trouve contre son thorax velu, je suis bien dans ses bras, je suis bien avec eux deux. Je pense que l’amour ça ne peut se faire qu’à deux par contre la baise le mieux c’est à trois.

— Attends ma chérie on va le faire à l’endroit.

— Ouais c’est plus simple même si à l’envers c’est plus excitant.

Il est déjà couché sur la moquette et me tire sur lui. Il me bouscule en relevant et écartant ses genoux entre mes cuisses. D’un doigt dans le croupion, il me guide sur son vit sur lequel je m’embroche. Il me maintient cambré le temps que Bernard s’installe et m’encule d’un coup puissant. Prise en double de manière plus classique et plus confortable, chacun me façonne à son rythme pendant un moment mais je veux autre chose :

— Viens dans ma chatte toi aussi, tous les deux ensemble.

— Putain elle en veut la bite, celle-là !

Oui j’en veux et depuis que les deux arabes m’ont prise ainsi, plus aucune bite ne me fait peur. Bébé se colle à l’autre qui se dégage un peu pour faire de la place. Oufff, ils sont gros tout de même, je sens la pointe forcer la vulve, mes chairs se distendent et le laissent passer. Il est en place, le deuxième membre se glisse, rejoint le premier. Je suis écrasée entre les deux poitrines.

Bernard a trouvé sa place, il fignole l’ouvrage à son habitude. C’est seulement quand il me sent dispo qu’il accélère, qu’il amplifie ses coups. En appui sur mes reins, il sort complètement de mon vagin dilaté et revient. Il ne contrôle plus rien, je l’entends mugir, râler et finir en gueulant. Il n’est plus en moi, je sens ses couilles sur mes fesses, il se branle, un cri rauque, mon dos est arrosé d’une longue traînée puis une deuxième, tout de suite une autre, ça s’arrête il recommence à se masturber, le sperme coule dans le creux des reins juste au dessus du serre taille.

Sa petite affaire terminée, il se lève. C’est à ce moment que Patrice me redresse, ses mains sur mes seins. Je suis sur mes genoux, assise sur lui, je me laisse balloter, balancer, je ferme les yeux, pars en arrière, appuyée sur ses genoux. La cavalcade dure à son rythme, il ralentit, accélère, tape plus fort, tous mes muscles vaginaux l’accompagnent, l’encouragent, je jouis une troisième fois... Il rend les armes, me ramène sur lui, mes mains caressent, massent ses pectoraux, mes doigts sont comme les dents d’un peigne entre ses poils.

On reste encore un moment. Il fait nuit noire. Bernard me donne une serviette pour m’essuyer. On se rhabille, je suis la première à partir, je rencontre la femme de ménage, la salue d’un sourire elle répond :

— Bonsoir madame, bon week-end, les journées sont longues !.
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