Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 114 J'aime
  • 5 Commentaires

Monique, femme libérée

Chapitre 9

Mon fils, mon amant

Avec plusieurs femmes
Germaine est une amie de plus de dix ans, elle m’a accueillie en arrivant de ma province. Elle m’a tout appris dans la société de transport où je travaille. Il y a six ans elle a quitté cette entreprise et a été remplacée par Geneviève, ma cheffe actuelle. Nous sommes restées en relation étroite d’autant plus qu’elle loge mon fils John et sa fiancée Mélina. Ceci étant, pour différentes raisons, nous ne nous sommes pas vues depuis au moins six mois et il est grand temps que je lui rende visite. Arrivée au pied de son immeuble, je sonne et monte à son étage. Geneviève n’a pas changé, pimpante, cheveux blancs, dame du monde, par contre elle n’en revient pas de me voir :
— Moooniiiiique ! Incroyable, méconnaissable... Waaaaaaaaaaaouh ! Entre, montre-toi !
Adieu mocassin, habits informes et chignon, elle découvre un visage maquillé, des cheveux tombant sur les épaules, un imper soulignant les formes, des escarpins de huit centimètres. Une fois entrée je défais mon vêtement et j’apparais en blouse et jupe évasée. Le corselet que je porte me creuse la taille, arrondit les hanches et gonfle la poitrine. Debout face à moi, elle me tient à la taille, sent le laçage dans le dos, voit mes tétons au travers du coton.
— Sexy et coquine ! Assieds-toi je vais nous faire un café.
En m’asseyant je prends volontairement une attitude provocante en bombant le torse et relevant ma jupe à mi-cuisse sur mes jambes croisées.Le café servi, elle s’assied près de moi :
— Ça fait si longtemps, la dernière fois que nous nous sommes vus, tu m’a présenté ton mari.— Ah oui ? (La salope si elle savait que je sais tout, comme elle se l’ait partagé avec la corsetière, eh bien je vais t’en raconter des cochonneries)
Elle n’en revient pas lorsque je lui explique comment Nadine m’a métamorphosée, comment de ’’grenouille de bénitier’’ je suis devenue ’’une femme libérée’’ comment nous nous sommes aimées, comment nous avons partagé son mari.
— Ben dis donc ma chérie vraiment libérée !
D’un coup la distance qui nous sépare sur le canapé se rétrécit, rapidement la relation amicale devient câline et bientôt intime.Elle n’en revient pas lorsque je lui parle de la croisière dans les Cyclades, des soirées dans les criques, à Mykonos, de mes amours aux pluriels enfin des moments passés avec John et de mon fantasme de passer à l’acte avec lui.
— Ben dis donc ma chérie, tu es devenue une vraie libertine !
Nos baisers amicaux deviennent tendres bisous amoureux. De fil en aiguille elle se libère également et me parle aussi de ses frasques. On se retrouve sur certaines anecdotes de ma boîte de transport, sur ses relations avec Jean, Patrice et Mado.
— Tu vois Germaine, pas de changement dans le Landerneau et avec Geneviève nous assurons la succession !
Depuis un moment elle m’a prise par l’épaule, me serre contre elle et sa main découvre mes formes.
— Et Bernard ?... Quel coquin ce gosse !— Oui avec son patron ! Les deux m’ont félicitée tant pour le travail que pour la bagatelle.— C’est un sacré bon coup. Je te le recommande !

On parle, on se bécote, elle me subjugue, m’envoûte, je suis sa chose. Elle découvre mes jambes, déboutonne mon chemisier. Sans m’en rendre compte je m’abandonne. Au moment de parler de Bernard, ses mains sont sur mon ventre, sur mes seins, ses lèvres sur ma bouche et tout s’accélère. Elle me renverse sur le côté, m’allonge sur le canapé, plaque mes épaules sur l’assise. Sa bouche me dévore, sa langue devient fougueuse, une fois clouée au canapé, ses mains me dénudent, sa bouche me dévore les seins, elle défait ma ceinture, une main s’empare de mon sexe, enfonce le string dans la fente. Je suis totalement à sa merci. Elle est le démon je suis l’ange, j’aime comme elle aspire ma lèvre, comme elle pince le téton, comme son doigt me fouille. Elle s’écarte de moi :
— Tu es toute chaude ma chérie... Va dans la chambre, c’est la porte à droite, j’arrive tout de suite, j’ai un coup de téléphone à passer.
Dans la chambre, un grand lit avec des barreaux de fer, une armoire ancienne, deux fauteuils. Je quitte le chemisier, la jupe et reste debout ne sachant que faire, les mains dans le dos... Quelle position stupide ! Dès son arrivée, son visage se transforme, ses lèvres se pincent, ses yeux s’illuminent, elle est habillée, je me sens fragile, en bas et serre-taille, seins et ventre nus. Les yeux baissés je ne vois que le bas de sa robe. Elle est tout près de moi, me prend violemment un téton, le tire et le tourne,
— Regarde-moi ! (dit-elle avec autorité, elle me fait mal). Tu aimes ?... (elle me prend au ventre, trois doigts dans mon sexe et la paume sur le pubis) Oui, tu aimes ! Tu mouilles... On va s’amuser toutes les deux.— .... — Allonge-toi salope !
Elle vient à côté de moi, un bras au dessus de ma tête, une main sur mon ventre, elle me pénètre et va directement sur le point G, je m’arc-boute pour qu’elle me prenne mieux.
— T’es une petite vicelarde, t’aime çà... Te faire branler ! Oui bien sûr, plus profond comme ça avec quatre doigts !
Elle sort plusieurs foulards de sa table de chevet pour m’attacher aux barreaux de la tête de lit, mes poignets d’abord puis mes chevilles largement écartées. Je suis totalement immobilisée, totalement offerte.
— On t’a déjà bandé les yeux ?... Tu vas voir comme ça décuple les sensations.
D’un mouchoir dans la bouche elle me bâillonne puis me bande les yeux. Comme pour s’assurer du résultat elle jette sur mes épaules un second foulard qui me couvre tout le visage. Elle me caresse partout de ses mains puis je sens une plume courir sur mon corps. Des pointes me piquent les seins, tournent sur les mamelons, excitent le clito, ça part dans tous les sens. La bouche entre en jeu, avec tendresse comme les doigts. A la tendresse suit l’agacement, on griffe, on mordille, on pince, on tord, la douleur augmente.Dring, dring !
— On sonne à la porte, je vais voir, je reviens.
J’entends parler à côté puis plus rien. Un long, trop long silence. Je ne sais ce qui se passe. D’un coup des mains glacées sont sur mes cuisses, me font frissonner, j’ai la chair de poule. Quelqu’un d’autre est avec nous. Il/elle m’embrasse le sexe avec une infinie douceur, un simple baiser d’abord tellement délicat, ce doit être une femme. Elle hume ma fragrance, sa langue glisse sur le périnée s’enfonce entre mes lèvres, les sépare et remonte sur la tige jusqu’au bouton, un nouveau baiser puis elle prend le clito, le suce comme un pénis avant de replonger dans mon vagin, à la recherche de mes saveurs. Je l’en remercie en libérant les vannes de ma jouissance. Ses mains plongent sur mes seins, les palpe avec une infinie douceur, elle agace le clito, les tétons. Ce ne peut-être qu’une femme et mentalement je m’offre à elle.
Ses cuisses à la peau si douce sont sur mes fesses. Là surprise ! C’est un homme ! Je sens son gland aller et venir entre mes lèvres, pointer le vagin et me pénétrer sans effort, tellement il m’a bien préparée, tellement je suis ouverte. Son ventre est épilé, comme ses jambes. Il va et vient doucement, il doit être jeune, tellement je le sens dur, long pas très épais. Il est tellement doux. Ses mains ne cessent de me caresser des seins aux aisselles. Il se penche sur moi.
— Ne t’appuie pas sur elle ! l’ordre claque, Germaine est là, je l’avais oubliée.
L’homme est plié sur moi, appuyé aux barreaux du lit. Il m’embrasse les seins, me tète comme un enfant. J’aime comme il me fait l’amour, j’entends sa respiration. Il s’arrête, revient goûter mon élixir, sa langue descend sur le périnée et me lèche l’œillet. Au moins quatre doigts étirent l’anneau sur les bords, waouh si fort, la salive glisse dans le sphincter, un doigt s’y enfonce puis deux, ouvrent la place. Son gland est sur l’anus, mes chairs ne résistent pas. Il me pénètre jusqu’au fond. Il manque de fantaisie dans son action mais le fait bien. Il passe maintenant d’un trou à l’autre, je me libère complètement je me sens bien. Je ne peux crier ma jouissance mais le chuintement de mes orifices l’exprime
— Oui c’est bien, elle mouille bien alors... Découvrez votre amant !
D’un mouvement les deux foulards sont arrachés. Le bâillon m’empêche de crier mon effroi. John est au dessus de moi, les yeux exorbités, terrorisé il sanglote, il débande d’un coup, reste en moi.
— Germaine, t’es une salope ! C’est ma mère.— Oui ! Et alors tu ne fantasmais sur elle ?... Et elle si tu savais ! Mes chéris, vous êtes adultes, dépassez les limites du soit-disant correct.
John me regarde, une larme tombe sur ma joue, il tire le bâillon de ma bouche. Je ne sais ce qui se passe en moi, la frayeur devient sérénité, le rejet, consentement :
— Maman !— Mon chéri !
Une fraction d’hésitation, il détache mes chevilles, mes poignets, je l’entoure de mes bras, je sens sa verge grossir, durcir, ses lèvres se rapprochent, je l’attends, le désire. Nos bouches s’unissent, nos poitrines se rejoignent, il m’étreint, nous faisons l’amour.
Diffuse en direct !
Regarder son live