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Monique, femme libérée

Chapitre 10

Week-end à la ferme

Zoophilie
Dans la voiture qui nous conduit en Normandie je suis à l’arrière avec Nadine, elle me parle de leurs amis Georges et Marie (Vous pouvez faire leur connaissance avec ’’Libertinage à la ferme’’) qui nous invitent pour un weekend. A l’avant, nos maris Olivier et Yanis discutent affaires. Au milieu du bocage normand nous passons un porche pour entrer dans la cour d’une ferme ; face à nous, un corps d’habitation et sur les côtés des granges, des hangars, l’étable et l’écurie.

Dés notre arrivée, Georges et un chien viennent à notre rencontre. L’homme est un grand gaillard jovial, blond au crane dégarni en jean et chemise grise largement ouverte. Le chien, un magnifique labrador noir, montre sa joie. Sur le seuil de la maison se tient Marie, une femme d’une quarantaine d’années, brune aux formes arrondies, sans être grosse, plutôt bien arrangée.

Nadine et Olivier sont les premiers à descendre de la voiture, alors que Georges fait connaissance d’Olivier, le chien court vers mon amie pour lui faire la fête, tourne autour d’elle et plonge sa tête sous la jupe sous les rires du fermier et les cris de la fermière :

— Rex, vient ici !

Mais Rex continue à renifler les dessous, avant qu’il ne me repère et accourt vers moi. Même accueil, deux petits tours et il me fout sa truffe sous ma robe directement sur le sexe sous les éclats de rire de tous. J’essaie de retirer la gueule sans succès au moment où Marie tire brutalement le collier de l’animal.

— REX CA SUFFIT ! Excusez-le... (mon sourire et mes yeux expriment mon pardon). Vous êtes gentille, moi c’est Marie.
— Bonjour ! Moi c’est Monique (et nous tombons dans les bras de l’autre en nous embrassant amicalement)
— Rex est un coquin mais... tu verras si gentil !

En un instant nous nous tutoyons et par un regard devenons les meilleures amies du monde. Georges m’embrasse sur les joues à son tour alors qu’elle embrasse Nadine sur la bouche. Toutes les trois allons à la maison bras dessus-dessous suivies par nos hommes et les bagages.

La maison est de plain pied, nous entrons dans la cuisine qui est la pièce à vivre avec la grande cuisinière à bois et au centre une table pour au moins 12 personnes, à côté un séjour aussi vaste que la cuisine, avec un coin repas et face à la cheminée un coin salon, dans l’enfilade, il y a une chambre, une salle de bain et une deuxième chambre identique à la première. On dépose nos bagages dans la première, nous allons probablement faire chambre commune.

De retour dans le salon c’est l’heure du thé et le temps de faire connaissance. Devant la cheminée, sur les canapés, Georges me prend sous son aile et Marie s’acoquine avec Olivier laissant Yanis et Nadine sur les fauteuils. La conversation très sage au début, dérape rapidement et devient ’’interdite au moins de 18 ans’’ quand on parle librement de notre croisière et de nos rencontres. 
Nos goûts libertins connus, pour l’apéritif il y a ’’swaping’’. Sous les yeux de Yanis, Nadine caresse Rex, Georges s’occupe d’Olivier alors que je suis dans les bras de Marie. Elle est câline, amoureuse, dés que je l’ai vue dans la cour j’ai été séduite. Yanis met de la musique. ’’Petite fleur’’ c’est trop beau, je ne résiste pas, je prends Marie par la main et nous voilà debout, enlacées dans un slow très sensuel. Nos bouches se soudent, nos corps s’accolent, nos mains indiscrètes découvrent, détachent, défont, dénudent, ainsi nous terminons en string et shorty devant le grand feu allumé dans la cheminée.

L’apéritif s’accompagne de canapés, sandwiches, mignardises, les verres se vident et se remplissent. Une nouvelle fois il y a ’’changement de partenaire’’ et c’est Georges qui me reprend en main. Malgré les slows qui se succèdent on ne danse plus.

Je vois Nadine avec Rex entre ses cuisses ouvertes. Punaise la salope se fait bouffer la chatte par le clébard sous les yeux de son mari qu’elle branle ! Je n’en vois pas plus car Georges qui s’est défroqué, me soulève comme un fétu de paille et je me trouve face à lui, emmanchée sur son gourdin, il me soulève pour me téter ou m’abaisse pour me sucer la pomme. Sa force est herculéenne. Il me baise ainsi un moment puis me dépose au creux d’un fauteuil, mes jambes relevées, les pieds sur le dossier du siège. Je m’offre comme une gourgandine, en maintenant mes cuisses écartées.

Georges quitte la chemise, dévoile son torse poilu, ses bras halés par les travaux des champs. Ses battoirs ouvrent sans précaution mes deux orifices quitte à les déchirer, après la douceur des préliminaires j’aime sa force, sa brutalité, sa langue lèche, son doigt titille. Je ne vois que les poutres du plafond, ferme les yeux. Oufff !!! D’un coup il m’encule. Ses coups de boutoirs sont puissants, espacés, il tient mes jambes au dessus de ma tête. Son chibre trouve sa place, il me laboure comme une charrue, dévaste mes entrailles, répond à mes geignements par de nouveaux assauts. Ses coups s’accélèrent, encore un, plus brutal, je le sens tout au fond, le membre se contracte, éjacule, trois jets puissants puis il se vide. Il me quitte... Je ne bouge pas et là d’un coup Rex est sur mes fesses. Je suis offusquée, je jaillis plus que je ne me relève et me jette dans les bras de Marie :

— Viens ma chérie, me dit-elle, ce n’est pas grave, viens prendre une douche et on va se coucher.

Après la douche, emmitouflée dans un peignoir elle m’emmène dans sa chambre, il y a Yanis au milieu du lit :

— Ça ne te gêne pas qu’on dorme à trois ?

Pour toute réponse je quitte le peignoir et me couche contre Yanis.

…...............


Au milieu de la nuit je me réveille la gorge sèche. Je me retourne et bois une gorgée d’eau du verre que j’ai toujours par précaution à côté de moi. Je m’allonge de nouveau sur le côté les fesses presque en dehors du lit.

A côté de moi Yanis dort profondément, avec une respiration lente et régulière, de l’autre côté du lit Marie semble dormir, un ’’Euh-euh’’ laisse penser que sa gorge la gratte. Tout est calme sauf Rex qui se balade, il s’arrête, il est tout près de moi, je sens son souffle. Le coquin a son museau sur mes fesses, je n’ose bouger et espère qu’il parte.

Le chien plante son museau dans le creux de mes cuisses à la jonction de mes fesses. Sa truffe est fraîche et humide, de plus le bout de la langue est sortie. Il tente de se faire de la place par a-coups. Instinctivement j’y réponds, mon genou du dessus glisse sur le lit jusqu’à ma poitrine et ouvre l’espace entre mes cuisses. Rex en profite, sans bruit il me lèche les fesses, sa langue s’allonge, se faufile entre mes cuisses,

En pleine nuit, dans l’obscurité et le silence ce chien me met le feu au ventre. Je deviens folle, je creuse les reins pour mieux m’offrir. La truffe poursuit son chemin entre mes cuisses, la langue est sur le périnée, atteint le bas de la vulve.

Enfin je libère l’accès à mon sexe en relevant un genou. Immédiatement Rex occupe le terrain, la langue est large et longue, elle couvre tout le sexe, elle est rugueuse et me procure des sensations inconnues. Je la voudrais en moi, je vire sur le côté, mon pied fait un arc de cercle de 270° et se pose au sol. Heureusement la nuit cache ma position obscène face à ce chien ; au bord du lit, une jambe allongée sur le lit, l’autre pliée le pied au sol, j’écarte les lèvres de mon sexe. Le chien a ses habitudes, il est particulièrement doux, il se régale de ma jouissance, fouille ma vulve. Les sensations ressenties sont nouvelles. Cette langue est à la fois sur mes fesses et mon sexe, cette langue se déroule interminable sur mon clito. Sa rugosité enflamme mes chairs fragiles, sa bave inonde mon puits d’amour.

Rex d’abord sagement assis parterre, met une patte sur mon genou, je la prends en main pour vérifier ma perception, le bout de la patte est effectivement habillé d’un chapeau de laine. Le chien prend mon geste comme un signe d’amitié et pose l’autre patte sur ma cuisse allongée sur le lit. Je suis subjuguée. Le chien se dresse sur ses deux pattes arrières son museau est sur mes seins. Comme un amant attentionné il me les lèche, me mordille les tétons. Sa douceur est incroyable.

Je ne suis plus moi-même, je ne suis qu’une sale perverse, je flatte son ventre, pour la première fois je touche le scrotum, le fourreau poilu d’un chien. La peau dénudée du pénis est si délicate, le membre me paraît si fin, tellement pointu. L’animal se dresse encore, il a ses pattes avant sur mes épaules. Nos sexes se touchent sans s’accoupler malgré nos efforts. Après un moment je renverse ma position et me trouve les pieds par terre, la poitrine sur le lit. Rex est derrière moi, il me renifle, me lèche, me monte, ses pattes emmitouflées de bonnets sur mes hanches. Juste un petit cri de surprise, étouffé, imperceptible, ça y est il est en moi, tout fin, mes chairs l’enveloppent, le caressent. Il va et vient trois, quatre fois, peut-être cinq, six et là tout change. Le chien me couvre complètement, j’ai son sternum au creux du dos. Le pénis grossit, s’allonge, me remplit, une balle de tennis se gonfle et bloque le chien dans mon vagin.

Il me fourrage, c’est rapide, puissant, bestial. Il ensemence sa femelle, ça me semble plus chaud, puissant, abondant qu’un homme mais surtout on ne peut pas se séparer une fois terminé. La balle de tennis bloque tout, elle ne se dégonfle pas, je commence à paniquer quand enfin elle se déballonne. Le chien me quitte et sort de la chambre. J’ai le sexe qui déborde de sperme. Je me lève avec précaution, vais jusqu’aux toilettes voisines me vider et m’essuyer. Quand je reviens dans le lit tout est calme, Yanis dort tranquillement, Marie a toujours un chat dans la gorge. Je me rendors heureuse dans le secret de la nuit.

…...............


Il fait grand jour quand je me réveille seule dans le grand lit. Je passe juste un tee-shirt beaucoup trop grand qui me sert de chemise de nuit.
Je retrouve Marie seule dans la cuisine. Elle me regarde d’un drôle d’air, me sourit, m’enserre dans ses bras on se colle l’une à l’autre et s’embrasse.

— Bonjour ma chérie, as-tu bien dormi ?
— Oui, oui très bien, le calme et l’air de la campagne c’est mieux qu’à Paris.
— Rex et les autres (comme si le chien était le personnage central) sont partis à Deauville se promener et faire des courses. Nous sommes toutes les deux, prends ton petit déjeuner et je te ferai visiter la ferme.

On papote longuement sur la vie à la ferme, sur les amis qu’ils fréquentent, elle est très câline :

— Bon je te fais voir la ferme ?
— Attends je passe une robe,
— Mais non tu es très bien ainsi, regarde, moi non plus je n’ai rien en dessous.

Effectivement elle n’a qu’un pull qui lui couvre les fesses. Elle me prend par la taille et faisons le tour des installations.

— Tu sais ma chérie, je t’ai entendue cette nuit avec Rex... (Je reste ébahie, abasourdie, meurtrie, elle connaît mon secret, elle continue en riant). Ne t’inquiète pas je ne suis pas jalouse (Jalouse ! Je n’en crois pas mes oreilles) et même plus je suis contente que tu partages mes plaisirs.

    Viens je vais te faire voir Mistral, un superbe étalon, très gentil (Je la regarde à nouveau affolée) Non, non ! Je ne lui sers pas de jument mais il aime beaucoup mes caresses. (Arrivées devant l’écurie elle reprend) Entre, regarde comme il est beau !
Il est magnifique, grand, élancé, une robe fauve avec une magnifique crinière. Marie se met à sa tête, lui parle « Oui mon beau, je suis là » elle l’embrasse, le caresse, enlève son pull et se retrouve nue. Elle conduit la tête du cheval sur sa poitrine et c’est incroyable de voir comme les lèvres de l’animal se posent en douceur sur la poitrine.

— Ne veux-tu pas essayer, tu vas voir comme il est doux.

Je me trouve à mon tour nue, la bouche du cheval sur mon sein. Elle englobe en aspirant la majeur partie du nichon protégé par les dents serrées. Je caresse l’étalon sur la joue et l’encolure alors que Marie est sous le ventre de l’animal à essuyer d’une lingette le sexe.
Elle tient le manchon et commence à lécher le bout de la bite, une grosse fleur brune, bi-lobée, aplatie et juste marquée par le méat. Mon sein toujours pris entre les lèvres de l’animal, je vois le sexe s’allonger d’au moins 50 centimètres, la peau rose est tachetée de plaques beiges. Marie à genoux au sol prend l’engin à deux mains et embouche au moins cinq centimètres qu’elle suce autant que possible. Le cheval hennit et j’en profite pour me libérer et retrouver Marie, les yeux exorbités, la bouche éclatée.

— Tiens prends-la ! Sûr, une comme ça tu n’en as jamais eue.

J’avale un tout petit morceau alors qu’elle masse l’engin et commence à lui caresser une couille grosse comme une orange. L’effet est immédiat, la bite se redresse et semble grossir encore.

— Branle-le pendant que je lui p’lote les couilles.

Ce n’est plus moi qui agit mais à nouveau la perverse de cette nuit, sa bouche s’élargit, elle a plus de cinq centimètres dans sa gueule, ses deux mains sont sur le membre, plus de 40 centimètres à branler quelle salope n’en rêverait pas.

— Dis ! Tu m’en laisses un morceau ! Dit-elle en riant et déjà sa bouche s’ajuste sur le morceau. Je prends les deux couilles presque noires à la peau glabre granuleuse, je les caresse en douceur alors que Marie le pompe. L’étalon donne des coups de pied arrière de plus en plus rapprochés

— Tiens goutte-le encore avant qu’il n’éjacule.

Comme une gourmande j’y retourne, j’ai l’impression que ma bouche l’avale plus facilement que mes mains le prennent mieux, pourtant il est beaucoup plus dur, peut-être plus gros, l’exploit se transforme en plaisir. Marie me tire en arrière :

— Attention il va te juter dessus.

Je n’ai que le temps de sortir le sexe qu’une énorme giclée me couvre le menton et la poitrine, suivie dans l’instant d’une seconde qui coule sur mon ventre. Je reçois près d’un demi-litre de sperme. La bite perd rapidement de la rigidité mais reste développée. Marie à mon côté prend la bite et la lèche deux, trois fois.

— Tu veux goûter ?

La perverse m’a quittée et je fais signe que non de la tête avec un certain écœurement. Marie se relève, retourne à la tête du cheval et lui murmure à l’oreille :

— C’était bon, mon beau ?

Et l’étalon comme pour répondre frappe du sabot et hennit bruyamment en secouant la tête.
— Viens ma chérie on va se doucher avant que Nadine et les hommes ne reviennent.
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