Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 86 J'aime
  • 9 Commentaires

Monique, femme libérée

Chapitre 11

Education de Lili

Erotique
Depuis le jour où Germaine a fait de mon fils mon amant, nos relations sont devenues très intimes et nous nous retrouvons régulièrement.

Aujourd’hui on s’est donné rendez-vous dans un bar pour prendre le café. On discute tranquillement de ma dernière croisière :

— Tu sais Germaine, j’ai rencontré un mec avec une langue extraordinaire, il me fouillait la chatte et me faisait monter au cocotier, tu ne peux imaginer.
— T’es une clitoridienne ma chérie, demande à ton mari de te lécher, fais-en ton esclave sexuel ! À ce sujet il faut que je te présente Élisabeth. (Clitoridienne ? Probablement quand je repense à mon expérience à la ferme).
— Ah ! Maîtresse Élisabeth comme il l’appelle,
— Exactement.
— Ouais, mais... même si Olivier m’obéit au doigt et à l’œil, je ne veux pas tomber dans la Domination sado, Olivier... Lili est docile et s’occupe bien de la maison.
— LILI !!! s’exclame-t-elle de surprise, c’est gentil ce petit surnom. Ma chérie sans parler de Domination sado, parfois la fessée est utile si tu veux obtenir ce que tu veux.
— Ce que je veux c’est ’’Une Suceuse’’. Je veux une véritable sex-machine qui me lèche une, deux heures en continu sans se fatiguer, qui devienne accro de ma mouille.
— Si tu veux, avec Élisabeth on peut t’aider. Toutes les trois ensemble on va lui apprendre à sucer et à avoir le coup de langue ’’résistant’’, à avoir le goût de ta jouissance.
— ….
— Je m’occupe d’organiser une rencontre à la maison avec Élisabeth, tu ne dis rien à ton mari et nous ne sommes qu’anciennes collègues de boulot. OK ?

— D’accord.
— Ceci étant tu devrais mettre Lili en condition avec des sous-vêtements féminins et la mettre en cage pour qu’elle ait le comportement correspondant.

… Quelques jours plus tard …


Sans trop de difficultés Olivier a accepté de changer de sous-vêtements pour de la lingerie féminine ou des slips ’’cul-nu’’ type jockstrap. Je lui ai offert à son anniversaire une cage d’acier pour emprisonner son sexe et il a pris l’habitude de porter le plug offert par Yanis, un truc avec un cristal blanc qui pèse 900 grammes.
Ceci étant, je me suis fâchée quand il n’a pas voulu venir avec moi chez Germaine et j’ai dû lui donner une fessée. Je me suis rendue compte combien j’étais gauche à cet exercice pourtant bien nécessaire pour obtenir ce que je voulais. Bref, il a accepté.

Nous arrivons au bas de l’immeuble de Germaine. Je nous annonce à l’interphone et montons au 4ème étage. Elle nous attend sur le pas de sa porte, élégante à son habitude en robe bleu-ciel, décolletée et boutonnée sur le devant, chaussée d’escarpins à talon aiguille qui la rendent plus grande que nous. Elle m’accueille d’un baiser amical

— Oh, Monique quel plaisir de te revoir après tant de temps.

Par contre le ton devient autoritaire en voyant Olivier :

— Te voilà enfin, ENTRE ! en le prenant par l’oreille et me faisant un clin d’œil entendu.

Nous nous installons dans son salon chacun dans un fauteuil, le café servi nous parlons vacances.

— Olivier, ici au pied ! dit-elle en indiquant d’un doigt la place près d’elle puis se tournant vers moi : Alors ma chérie tel que tu m’as parlé de ta croisière si j’ai bien compris, durant ces vacances vous vous êtes découverts. On s’entend je ne parle pas de vivre à poil ! En éclatant de rire.
— C’est ça, exactement ça. Après plus de vingt ans de mariage, j’ai découvert un mari libertin, pour certains ’’ Un trou à bites’’ et pour d’autres ’’Un bon coup’’ !
— MONIQUE ! s’exclame mon mari.
— DIS DONC OLIVIER ! crie Germaine. Qui t’a permis ! Tu ne parles que quand on te le demande. Puis se tournant vers moi : Quand tu dis d’autres, pourquoi ?... Pas toi ?
— Avec moi c’est une ’’p’tite bite’’ , qui fait son affaire rien de plus.
— Il ne te fait pas jouir ?
— Bofff.
— Monique ! murmure Olivier.
— SILENCE ! S’exclame-t-elle à nouveau en lui donnant une gifle. T’as entendu ’’ P’tite bite ’’ il y a tellement d’autres moyens de faire jouir.
— Oui avec la langue par exemple. Je rêve d’une machine comme dans le film ’’Caligula’’, une roue couverte de langues qui plongent dans un bain de sperme et me lèchent la chatte.
— Waouh ! Géant, Olivier qu’attends-tu ? alors que son regard passe de mon mari à son ventre.

Olivier aux genoux de Germaine commence un déshabillage étrange. Oubliant toute retenue, il fait une bise sur le genou, sa tête repousse la jupe en avançant entre les cuisses. Il arrive à l’ourlet des bas. Il embrasse la chair dénudée. J’ai une telle envie de voir le ventre nu que bien involontairement je me touche  et le besoin de Germaine est tel, qu’elle ouvre brusquement ses genoux et écarte sa culotte de dentelle bleue ; elle découvre son ventre, son sexe, sa fente rouge vif.

Le coquin vérifie et se place de sorte que je voie bien. Elle, la tête renversée, se pétrit les seins au travers de sa robe, sa respiration s’accélère, bruyante comme le souffle d’une forge. Olivier, son museau collé à l’entrejambe, est semblable à un chien face à sa gamelle ou un porc à son auge. Elle ne se contrôle plus, elle ne cesse de gémir, une main dans les cheveux de mon mari, l’autre sous sa robe se caresse. Ça y est, la salope jouit sous mes yeux, hurle son plaisir... Longtemps après elle reprend ses esprits

— Olivier, c’est ta femme que tu dois faire jouir !

A quatre pattes il vient vers moi, j’ai déjà la jupe relevée, les cuisses ouvertes. Ses mains écartent ma culotte et dévoile ma chatte déjà pleine de mouille.

— Waouh, ta chatte !... J’imagine ma chérie que le patron te fait porter des pinces comme en son temps pour moi, regarde le résultat !

Elle attire mon attention sur ses deux petites escalopes qui s’étalent sur ses cuisses. Olivier continue sa lichette, son nez ouvre le chemin jusqu’à mon clito, ses doigts écartent la vulve. En réponse à ses coups de menton je glisse dans mon fauteuil pour mieux m’offrir. Il me prend sous les cuisses et les relèvent sur les accoudoirs, toute mon intimité est visible. Il a fait beaucoup de progrès depuis nos vacances et je me retiens pour ne pas gémir tout de suite de plaisir. C’est à ce moment qu’on sonne à la porte

— Ne vous inquiétez pas, je vais voir qui est-ce.

Peu après je vois entrer, en compagnie de Germaine, une dame filiforme, d’allure austère, dans une robe noire stricte boutonnée sur toute la hauteur alors que mon mari beugle comme un veau en s’abreuvant à ma cramouille.

— Olivier, SUFFIT ! Crie la nouvelle venue tout en me faisant un clin d’œil.

La voix le paralyse, il me quitte de suite et pose la tête au sol. Je suis sidérée de l’autorité que présente cette femme. Elle donne un coup de pied qui le fait se redresser.

— T’es un gros porc Olivier, tu nous présentes !
— Oui Maîtresse ! Monique mon épouse, Maîtresse Élisabeth mon éducatrice.

Elle se tourne vers moi, son visage se transforme instantanément et devient le plus doux, le plus charmant qui puisse exister.

— Bonjour Monique, je suis ravie de faire votre connaissance.

En m’embrassant sur la joue elle murmure « Il faut se montrer autoritaire avec lui. Tu permets ? » Elle m’embrasse à nouveau du bout des lèvres, baiser que j’appuie. En signe d’accord je m’assoie à son côté et réponds à son oreille « T’as probablement raison ! ». Mon mari reste prostré au sol comme un toutou pris en faute. Elle s’amuse avec lui :

— Cette coupe de cheveux te va très bien Olivier (depuis le retour des vacances il se fait teindre les cheveux et s’épile intégralement). Tu te fais voir s’il te plaît ! (Le plus naturellement du monde il ouvre sa chemise) Dis donc tu veux que je me fâche, dit-elle en élevant la voix, Germaine m’a invitée à une après-midi coquine, tu ne vas pas te coucher avec mémère, alors... Émoustille-nous !

Et là tout change, comme un chippendale Olivier, se contorsionne, déboutonne sa chemise, ouvre un pan avant de le refermer et recommencer avec l’autre puis rejette nerveusement la chemise en arrière. Il circule avec aise entre nous trois, ouvre la ceinture du pantalon, invite sa Maîtresse à tirer la fermeture éclair. Il ondule de face, de dos, le pantalon monte et descend sur le bassin, laisse entrevoir le porte jarretelle et de dos il abaisse d’un coup le pantalon jambes serrées en maintenant la position le temps de défaire les chaussures et de faire admirer son fessier habillé d’un ’’cul nu’’ avec le cristal du plug qui brille de tous ses feux.

— Tout bronzé et tout épilé, t’es superbe !

S’exclame Élisabeth suivi d’un « Waouh ! » lorsqu’il se relève en baissant d’un coup son slip et se présente en bas et porte-jarretelles, avec l’escargot dans sa coquille.

— Je vois Monique que tu l’as muselé ! Allez Germaine viens avec nous, on va se faire lustrer la tirelire !!!

En une fraction de seconde sa robe d’éducatrice anglaise est déboutonnée et elle se rassied en corset et bas résille noirs.
Nous voilà toutes les trois assises côte côte, ventres nus et Olivier à nos pieds. Je suis entre mes deux amies, nos cuisses largement ouvertes et nos jambes entre-croisées. Mon mari fourre sa tête dans l’entrejambe de Germaine, il donne des coups de tête tel un veau dans le pis de sa mère avant de venir sur mon sexe, ses mains sur le ventre des deux autres femmes. Il va du périnée à la pointe du clito, suce le bouton, mordille la tige et replonge dans le vagin. Je reconnais qu’il se débrouille de mieux en mieux mais c’est incomparable aux souvenirs que j’ai de Greg à Syros cette langue longue et pointue comme un dard, ceci étant je ne peux m’empêcher de juter abondamment et il me quitte la bouche pleine de mouille pour disparaître entre les jambes de la troisième femme. Il laisse sa main sur ma chatte, le coquin y plonge trois doigts, je la dirige pour en avoir quatre.

— Dis donc c’est comme ça que tu suces, t’as perdu les bonnes habitudes, et Élisabeth lui balance une claque magistrale sur une fesse... Ben voilà, c’est tout de suite beaucoup mieux. Tu vois ma chérie, en se tournant vers moi, c’est comme un enfant il faut parfois le corriger. Voilà mon bébé, regarde comme maman est contente comme elle t’abreuve bien. Tu aimes ? C’est bon régale-toi. Ceci étant je ne sais pas ce que vous en pensez les filles, il suce bien mais... sa langue est un peu courte !

Je m’amuse de la manière dont elle amène le sujet recherché depuis le début.

— Oui, oui je t’approuve.
— Oui moi aussi, ajoute Germaine.
— Tu sais Monique la solution est toute simple, en clinique un petit coup de bistouri...
— NOOOOOOOOOOON ! gueule Olivier.
— SILENCE ! crie la Maîtresse en lui donnant une nouvelle claque sur la fesse. C’est tout simple Monique, je te donnerai l’adresse de la clinique, si tu veux tu peux doubler la longueur et crois moi quand une langue te fouille ainsi tu pars au quart de tour. Bon assez parler. Olivier tu vas goûter à nos chattes, toutes les femmes ont des saveurs différentes, goûte bien et tu devras nous reconnaître.

Il se met à nous lécher à nouveau, le coquin me fait à nouveau jouir et probablement autant les deux autres amies

— Bien ! Voyons voir si tu nous reconnais, Gégé bande lui les yeux... Voilà et maintenant les nanas on se branle un peu et monsieur va nous reconnaître sinon, il sera corrigé pour chaque erreur.

Sans aucune gêne nous voilà toutes les trois à nous branler à savoir laquelle sera la plus bruyante  et les doigts couverts de mouille nous faisons goûter au monsieur. Il reconnaît celle de Germaine la dernière qu’il a sucé et intervertit la mienne avec celle d’ Élisabeth.

— Pas si mal que ça. Tiens Monique un petit cadeau, et elle sort un martinet de son sac. Ça te sera utile simplement le faire voir peut remettre les choses en ordre. Ce sera ton bâton de justice.

Je me lève et Olivier part en courant mais pas assez vite pour éviter le coup de martinet sur les mollets.

— T’inquiète pas Lili, lui dis-je, t’auras l’occasion de me goûter et de me reconnaître parmi toutes les femmes... Demain tu appelleras la clinique, tu feras la démarche pour couper un peu le frein lingual.
— Oui madame !

Je me réjouis de cette décision... Doubler la longueur de sa langue, retrouver le plaisir secret que m’a donné Gregorios en croisière ou Rex à la ferme.
Il est déjà tard, l’après-midi se termine et nous nous séparons en se promettant de nous revoir après l’opération. L’éducation de Lili progresse bien.
Diffuse en direct !
Regarder son live