Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 59 J'aime
  • 12 Commentaires

Monique, femme libérée

Chapitre 13

Méprise 2

Avec plusieurs femmes
Après une après-midi de shopping avec Nadine et un câlin avec John, Olivier (mon mari), Yanis et Mélina (père et fille) nous rejoignent pour une soirée improvisée. Depuis notre croisière nous sommes devenus cul et chemise. Yanis sort le champagne pour l’apéritif et Nadine sert le poulet rôti pour le dîner.

A la fin du repas, nos jeunes fiancés John et Mélina dansent collés-serrés. Ce soir ils ont inversé leurs rôles, Mélina habillée en garçon et John devenue Jane. Face à nos maris, je suis avec Nadine sur un canapé. Nous discutons de John/Jane, fils cachotier, amant merveilleux, travesti surprenant.

— Jane a fière allure et trompe son monde, me dit-elle.

— Ne m’en parle pas ! Tu te rends compte que j’ai mis plus de dix minutes pour m’apercevoir au magasin que la vendeuse c’était lui !

Dans l’autre canapé, Yanis et Olivier se font des confidences et disparaissent subrepticement.

Nous rejoignons le jeune couple pour danser. Les musiques se succèdent dans le même rythme langoureux, lors d’une interruption nous  changeons de partenaire, tandis que Jane enlace Nadine, Mélina me prend par le bras. Malgré son absence de maquillage, sa coiffure à la garçonne, son pull à col roulé et son jean, elle reste très féminine. On danse serrées l’une à l’autre. Ses mains passent et repassent dans mon dos à la recherche de... mais sans rencontrer ni attache de soutien-gorge, ni slip, juste la chaînette au dessus de mes fesses.

— Tu es... ?

Je m’amuse de sa surprise et avec un sourire coquin et des yeux pétillants de malice je réponds :

— Oui ma chérie, je suis nue sous ma robe !


— Waouh !!! super sexy.

— Depuis les vacances, j’ai pris des habitudes, par contre toi...

— Moi, habillé comme un étudiant ! Un étudiant qui doit d’ailleurs préparer son TD pour lundi... Tu viens me faire réviser ? Déjà elle m’entraîne et se tourne vers John et Nadine pour nous excuser : Bonne nuit vous deux, nous allons réviser .

Elle m’amène dans la chambre qu’elle occupait avant d’être en couple et qui n’a rien d’une chambre de jeune fille avec son lit de 160. C’est la première fois que nous sommes toutes les deux ainsi, bien sûr il y eut des bisous, des caresses à Santorin mais jamais dans une telle intimité.

Elle m’embrasse à pleine bouche avant de me pousser sur le lit où je tombe à la renverse, dans le mouvement elle tombe à genoux au sol et relève ma jupe. Elle est impatiente comme une gamine, gourmande comme une chatte. A deux mains elle éclate le fruit et mange ma figue, sa langue fouille, ses lèvres aspirent, ses dents mordillent, je sens sa salive couler dans mes chairs profondes. Je m’enflamme, relève et pose mes genoux grand ouverts sur le lit. Ma respiration se fait plus profonde, plus bruyante, s’accélère. Je cambre les reins, défais ma ceinture, elle continue en écartant brusquement les pans de ma robe au risque de la déchirer. Je suis nue, sous ses yeux brille la figurine en argent de la chaînette qui repose sur mon ventre :

— Ces deux femmes amoureuses représentent ta nature profonde ?

— Un cadeau de Nadine, celle qui a révélé ma sexualité.

— T’aime les femmes ?

— Autant que les hommes !!!

Telle une panthère, avec un regard concupiscent et un sourire carnassier, elle monte sur le lit en se déhanchant, lentement à quatre pattes elle vient sur moi. On s’embrasse amoureusement, je retrouve sur sa langue le goût de mon sexe, mes mains caressent sous son pull son dos nu. En un éclair elle se relève, se débarrasse de tout et nue, se jette sur moi en sens inverse. De nouveau elle plonge sur mon sexe et plaque le sien à ma bouche. Je lui pelote son p’tit cul bien ferme, on se suce, on se lèche, on se gouine longtemps, très longtemps.

Bien après, abreuvée de mouille elle décide de passer à d’autres jeux. Elle se lève, disparaît dans un placard et en sort un double Dong É...NOR...ME , presque aussi long que son bras et gros comme son poignet :

— Un ami fidèle... Tu vas voir comme c’est bon à deux !

— C’est un monstre, tu vas m’exploser.

— T’inquiète, laisse-toi faire.

Elle est à la fourche de mes jambes, l’ouvre au maximum en relevant un genou. Je m’attends à un baiser et c’est une feuille de rose qu’elle me fait. En peu de temps, c’est un déluge de salive qui me tombe dessus suivi d’un, deux, trois doigts dans mon petit trou. Le gode se met en place, à deux mains j’écarte mes mappemondes pour le recevoir, une troisième main tire le périnée. La tête arrondie force le passage. La pression est continue, lentement l’anneau se dilate, s’ouvre et sous un grand « OUFFF ! » je laisse passer la boule et presque de suite 10 centimètres du Dong. Satisfaite de sa victoire, elle se relève souriante, tout en m’astiquant l’anus et en gagnant à chaque mouvement un centimètre, 

— Tu vois qu’il n’est pas si monstrueux que ça
Elle dépose un bisou sur mes lèvres avant de se placer entre mes jambes, nos cuisses en ciseaux. Déjà ses doigts s’activent sur son œillet et l’autre partie du gode disparaît dans ses fesses. Maintenant elle bouge tel un reptile, j’avale peu à peu le monstre, rencontre une résistance, nos mouvements de bassin s’harmonisent et l’objet glisse dans nos ventres d’un coup jusqu’à ce que nos fesses se joignent. Instinctivement nos mains s’agrippent, nous tirent l’une l’autre. Nos bassins accolés se coordonnent. J’aime comme ce gros machin me laboure, je sens mon ventre bouillonner, se dilater je voudrais que ce boudin soit encore plus gros. Je ne contrôle même plus mes gémissements, une main tente de me calmer mais au contraire mon ventre s’agite de plus en plus. Je sens Mélina suivre mon rythme et le Dong entre en résonance comme un pont sous la turbulence du vent. C’est le manque d’air, la fatigue qui viennent à bout, nous font ralentir, nous calment, nous arrêtent. On reste un moment emboîtées à retrouver notre respiration. Mélina retire le gode de mes fesses et d’une lingette je retiens un flot de jouissance.

Après une toilette chacune pour soi, on se glisse dans les draps. C’est à ce moment qu’on entend gratter à la porte. Plus un geste, plus un bruit, à nouveau on gratte, Mélina éteint la lumière et me souffle un mot « On dort ! ».  Comment faire autrement, je suis au milieu du lit, enlacée avec elle.

Dans l’obscurité on entend la porte de la chambre s’ouvrir puis se refermer. Peu après je sens une main sur mon épaule, la personne se glisse sous les draps et se colle à mon dos. L’homme est épilé, le sexe fatigué contre mes fesses. C’est John ! Le coquin après avoir baisé avec sa belle-mère vient nous retrouver. On reste l’un contre l’autre, immobiles, dans un silence absolu. Je sens sa respiration dans mon cou. Sa main est légère, il me caresse le sein puis descend sur mon ventre, le doigt pointe le clito. Son sexe se réveille lentement entre mes fesses. J’aime comme il me touche, j’aime sa douceur. Je ne résiste pas à la pression de son bras sur ma taille, à sa jambe passée au dessus de la mienne et quand il s’écarte de moi, je vire sur le dos sans bouger la tête, faisant semblant de dormir.

John bande vraiment maintenant. J’aime comme il me bouscule, ses deux jambes entre les miennes, il écarte mes cuisses, il dirige son gland d’une main, sépare mes nymphes, va de haut en bas, trouve mon vagin, me pénètre d’un coup. Je me laisse faire, je le sens plus lourd, moins vigoureux. Je fais celle qui se réveille en maugréant, je touche la fesse, une vraie peau de bébé, remonte sur le dos, les épaules, enfin les cheveux :

— Olivier ! …

— Chuttt ! ne réveille pas Mélina.

— Ne vous gênez pas pour moi, chers parents. ! chuchote-t-elle en riant.

Elle se presse contre moi, m’embrasse sur l’épaule alors que sa main rejoint la mienne sur la fesse d’Olivier. De son côté, vraisemblablement tout de suite il la taquine quand je l’entends ronchonner :

— Arrête Olivier, tu me fous le feu au ventre.

— Viens avec nous que j’te mette ma lance d’incendie en place !

Punaise le salaud il y va fort. Elle allume la lumière, rejette les draps à nos pieds, l’ambiance intime devient d’un coup atmosphère de lupanar. C’est la première fois que nous sommes ainsi tous les trois dans un lit. Il sort de mon sexe et la laisse se coucher sur moi, ses genoux contre mes hanches, la position semble lui convenir, immédiatement il la pénètre et commence à la fourrager. La fille est secouée sur mon ventre par la fornication, je m’amuse à la voir les yeux fermés, la bouche entrouverte... La p’tite salope prend tout de suite son pied. Après un bon moment il relève mes genoux, les écarte jusqu’à ce que mes cuisses reposent sur les jambes de la fille qui est sur moi. Il me pénètre brutalement et me baise une vingtaine de fois avant de revenir sur la fille.

— Olivier ! Tu te trompes de trou !

— Ma chérie, je te vois tellement épanouie de ce côté, vu le Dong sur ta table de nuit vous avez dû en faire des cochonneries toutes les deux !

Je vais de surprise en surprise, après la méprise entre lui et John, voilà que sa "p’tite bite" se révèle une belle queue de partouzeur ! Bien sûr j’ai vu Olivier avec une autre femme, mais jamais comme maintenant en trio. Il nous besogne à tour de rôle. Ses va-et-vient, nos gémissements cessent d’un coup par une claque sonore et un « Ouille ! » de Mélanie.

— Mesdames à vous de jouer, c’est le repos du guerrier !

Je le découvre doux et autoritaire, délicat et brutal. Il fait rouler Mélina sur le côté et se place entre nous. Il nous prend toutes les deux fermement par le cou et nous dirige sur son ventre glabre, luisant de mouille, de jouissance. On masse, caresse, on suce, lèche le Priape. Nous le nettoyons, nous l’excitons à savoir la plus gourmande des deux. D’un coup il reprend la fille par la nuque et ordonne :

— Viens que je te suce.

La voilà à califourchon à se faire bouffer la chatte, bien droite, le buste bombé tout en se massant les seins ; face à elle, je m’enfile sur la bite en béton, avant de la tenir par les épaules. Appuyée contre elle, j’adopte une allure de petit trot alors qu’elle miaule de plaisir à mon oreille. Ce climat de débauche intensifie mon coït, mes sauts sont plus rapides, je bouscule de plus en plus Mélina qui part à la renverse. Je tombe de tout mon long en gémissant sur Olivier. Il relève ses genoux entre mes cuisses et donne l’assaut final en râlant à haute voix. Je sens son éjaculation différemment, plus abondante, plus puissante. Mon orgasme est d’une violence extrême.

On reste accouplés un moment à rechercher notre respiration. Mélina éteint la lumière, ramène les draps sur nous. Olivier se tourne sur le côté, on se met en cuillère, je suis épuisée et garde en moi l’élixir de mon mari. Je me sens comblée avec Lili aide ménagère à la langue de velours  et Olivier mari partouzeur. Morphée jette sur nous trois son voile.
Diffuse en direct !
Regarder son live