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Monique soumise

Chapitre 1

En forêt

SM / Fétichisme
Après plus de 20 ans de vie rangée, je me suis libérée et suis devenue une femme comblée. Sans limite, je découvre certains plaisirs avec une femme autoritaire, d’une quinzaine d’années mon aînée, Maîtresse Élisabeth.
Peu après mon retour de vacances, un soir elle me téléphone :

— Mone nous irons cueillir le muguet jeudi prochain. Je t’attends pour déjeuner à la maison. Tu viens en tennis, jupette et blouse, légèrement maquillée et les cheveux en queue de cheval. Tu rentreras à pas d’heure.
— Oui Madame à jeudi.

Inutile de demander des explications ça ne me vaudrait que d’être punie. Le jeudi matin, je me prépare. Le cérémoniel de soumission est simplifié puisque mon mari n’est pas invité et qu’il n’y a ni coiffeur ni esthéticienne. Ceci étant j’assure ma propreté, crème dépilatoire, bain et lavement. Je respecte à la lettre ses consignes, nue sous une jupe évasée bleu ciel et une blouse de coton blanc et mon collier de cuir, ça va de soi. J’enfile un petit lainage, prends mon sac à main avec ma trousse de maquillage, un bisou à Olivier « A demain mon chéri ! » et me voilà partie pour le quartier de Saint Sulpice
A l’heure convenue j’arrive au bas de l’immeuble où une plaque de laiton indique « Élisabeth – Corseterie anglaise » Je monte à son palier, sonne.
Élisabeth m’ouvre, en jean et pull ras du cou, le tout souligne son côté svelte. Elle m’accueille en me tirant par l’anneau fixé à mon collier

— Bonjour Mone ! juste à l’heure c’est bien. Elle me flatte les fesses sous ma jupe et me donne une tape par plaisir, elle sait très bien que je n’aurais osé mettre ni bas, ni culotte.
— Bonjour Madame, que puis-je faire ?
— Mets la table, on mange et on file à Rambouillet.

Après le déjeuner, dans la voiture je relève délibérément ma jupe pour m’assoir sur le cuir fesses nues. Élisabeth conduit prudemment, en ce début mai il fait grand soleil et un peu chaud.


— Mone défais-toi !
— Oui Madame.

Immédiatement j’ouvre deux boutons de mon chemisier ce qui montre la naissance de mes seins. Un cri « MONE ! » suffit pour que j’ouvre entièrement le chemisier en laissant couverts les mamelons. Dès que nous sommes sur l’autoroute sans rappel de sa part je dégage totalement mes seins en recevant un regard approbateur.

— Mone, je suis fière de toi, de ton éducation, mais j’aimerais que tu te montres mieux.
— Oui Madame, et je remonte ma jupe jusqu’à la taille.

    Arrêtée au feu rouge dans un village, au moment de me couvrir, je retiens tout geste de pudeur au risque de m’exhiber aux passants. Nous entrons en forêt et arrivons à une mare où on se gare. En partant je garde ma blouse largement ouverte et Maîtresse Élisabeth me tient en laisse. On croise d’autres promeneurs le plus naturellement du monde, on s’écarte du milieu du chemin ce qui m’amène à marcher dans l’herbe du bas côté. Élisabeth maintient cette marche qui m’oblige à fouler des herbes hautes et même lorsqu’on arrive devant un bouquet d’orties. Je tente de l’éviter mais elle me tient serrée à son côté et ordonne :

— AVANCE !

Je sers les dents et entre dans le tapis de feuilles dentelées, la brûlure est vive, intense, j’étouffe des cris de douleur, j’avance encore, les larmes coulent

— Mone, c’est excellent pour la circulation du sang, les soldats romains se fouettaient avec pour éviter les douleurs musculaires et en plus ça évite un tas de problèmes d’arthrite, de rhumatisme.

Inutile de répondre, j’avance comme un automate dans le champs d’orties. On quitte le chemin pour nous enfoncer au milieu des fougères, entrer dans les sous-bois, elle détache la laisse et me laisse aller. Le frottement des herbes entretient la brûlure des orties, je ne peux m’empêcher de caresser mes mollets, d’appliquer un peu de salive. On continue à avancer quand on voit une grande étendue de muguet. C’est la fleur des bois que je préfère, je cueille, je m’éloigne quand je vois un groenendael noir venir vers moi. Il semble gentil, il est tout doux, il me lèche les jambes. Oh, que c’est bon, comme ça me soulage. Je le laisse faire quand arrive son maître, un homme d’une cinquantaine d’années aux cheveux gris coupés courts et avec une barbe de trois jours.

— Alors Pop, t’as trouvé une dame ? Bonjour madame, on aime les chiens à ce que je vois.

Le chien derrière moi passe de mes mollets endoloris à mes cuisses et remonte sous ma jupe à mes fesses nues. Je tente d’éloigner la bête sans succès. L’homme nous observe en s’amusant du jeu de son clebs.

— Vous avez un très beau collier ! en même temps il tend la main vers mon cou, je vois à son annulaire une large bague d’argent avec un petit anneau, semblable à celui que porte de temps en temps Maîtresse Élisabeth. Mon collier, sa bague fixent notre rapport.

— Je m’appelle Jean ! Il sait que je lui dois le respect, que je lui suis soumise et qu’il pourra disposer de moi si on l’autorise.
— Bonjour Monsieur !

Pendant ce temps Pop me lèche le cul et Élisabeth arrive près de nous. Elle salue Jean qui lui rend la politesse. Ils discutent à mi-voix quand elle m’ordonne de me déshabiller. Après un instant d’hésitation, un regard foudroyant de sa part, j’ouvre le bouton de ma ceinture, la jupe tombe au sol en même temps que je rejette en arrière mon chemisier. Jean s’approche de moi, ses yeux gris me glacent. Il me prend un téton et le vrille comme pour l’arracher, il m’entraîne, je tourne sur moi et me plaque contre lui. Toujours tenue par le téton, il m’embrasse le cou, me mord l’oreille, sa barbe me pique, me gratte, il se moque, me murmure

— Alors Mone, on aime les chiens ?

L’homme est dans mon dos, il me tient fermement par le bras, l’autre main plonge sur mon sexe, me branle. Le chien est assis devant moi, il me lèche les cuisses, le ventre ’’Ouaf ! Ouaf’’

— Oui, Pop, je te la prépare, et à nouveau à mon oreille il murmure : Écarte tes cuisses !

Sa main sur mon ventre plaque mes fesses à son sexe, il bande. Le chien me lèche la vulve, il le fait bien, je m’offre mieux, sa langue rapeuse s’étale sur mes lèvres, s’attarde sur le mon bouton, je coule, il me fait jouir, je mords mes lèvres pour étouffer mon geignement craignant d’être frappée pour jouir sans être autorisée. L’homme me tyrannise le téton, d’un coup il me repousse et gueule

— SUCE-MOI !

Adossé à un arbre il se débraguette et sort son pénis et ses couilles du pantalon. Debout face à lui, il me prend par la queue de cheval et me guide jusqu’à son ventre ; à mes fesses le chien me lèche de partout, il jappe, saute, en voudrait plus. L’homme contrôle, accélère ma fellation, ne cherche pas à faire durer la chose, c’est brutal, plus d’une fois j’ai un haut le cœur. Enfin il éjacule au fond de ma gorge, la plus grande partie du sperme s’étale à nos pieds. Il me redresse, me lâche

— Élisabeth ! Ta soumise est très belle, elle aurait un succès fou, vient nous voir au ’’Sans culotte’’

Il est déjà parti avec son chien tenu en laisse et qui ne cesse d’aboyer. Je reste seule avec ma Maîtresse.

— Je suis contente, Mone, tu t’es bien conduite. Et alors que je me rhabille elle crie : RESTE COMME CA !
— Mais je... Un lacet de cuir jaillit de sa poche et me frappe la cuisse qui instinctivement se replie sous la douleur.
— Mais quoi ?
— Non, non rien... Merci Madame.

J’enroule mes deux vêtements sous le bras et continue à cueillir le muguet à sa proximité. Elle avance au milieu des ronces que je contourne.

— Mone, viens par ici, regarde comme il est beau, on croirait du muguet de serre.
— …

Au moment de dire ’’Non’’ je me ravise pour éviter un autre coup de lanière. Avec prudence j’avance prudemment dans les ronces sans éviter de m’égratigner de partout et de réveiller les brûlures d’ortie. Avec le temps, je commence à avoir un joli bouquet quand je vois au loin deux grands gaillards sombres de peau venir vers nous. Je m’éloigne discrètement, me trouve à une centaine de mètres cachée derrière un bosquet, Élisabeth ne tarde pas à m’appeler :

— Mone ! Mone ! Où es-tu ? Viens ici !.... MONE, ICI !!! J’apparais face aux deux hommes en cachant ma nudité, autant que faire se peut, de mes habits roulés ensemble. Ah ! Te voilà où te cachais-tu ? Ces messieurs t’ont vue et m’ont demandé si je te connaissais et qu’elle était notre relation. Ils ne me croient pas, alors démontre-leur ta soumission !
— Oui Madame !

Je suis rouge comme une pivoine, je laisse tomber sur l’herbe mon paquet de vêtements et m’approche d’eux. Ce sont deux forces de la nature au poil noir, à la peau cuivrée qui me dépassent de presque une tête, ceci étant ils semblent plutôt sympas et avenants. Chacun me prend par la main, m’embrasse dans le cou et me fait sentir son état d’excitation au travers de son pantalon. Ils ne tardent pas à déboutonner leurs jeans et à baisser leurs pantalons. Je ne vois que leurs braquemarts noirs circoncis et leurs couilles poilues. Ils se manipulent lentement comme pour bien me faire voir leurs engins. Le plus fort me tire à lui, appuyé à un chêne, le pantalon sur les chevilles, il creuse le ventre pour ressortir le pubis. Sa main sous les couilles relève la queue qui se raidit, il me tient par les cheveux et m’enfonce d’un coup le gland au fond de la gorge. Je m’appuie à l’arbre et d’une main tiens la base du pénis pour limiter ses ardeurs.

Tout de suite je l’accompagne, lui montre ma bonne volonté pour reprendre la main... Avec succès quand il braille :

— Doucement, doucement ! Ne me fais pas jouir tout de suite salope, prends ton temps. T’es une sacrée bouffeuse de bites.

A ma tête tout se calme, à l’arrière tout s’accélère. L’autre gars après m’avoir sucé l’oignon et doigté le fion, se positionne et me défonce. En deux coups de reins il est en moi. Lentement il commence à m’usiner, je lui fais le grand jeu en contractant par a-coups mon anus comme pour le pomper. Nous voilà tous les trois à l’unisson et tel que c’est parti je pense que ça ne va pas durer.
C’est mal les connaître, le plus jeune qui me bourre les fesses se retire :

— Dis moi Arun, on change.
— OK Devi, tu vas voir elle suce comme une pro.

Les deux indiens changent de position, j’ai en bouche une pine plus fine et plus arquée. Arun choisit l’autre voie et me baise brutalement ses mains sur mes hanches, Devi plus doux me laisse faire et me pelote les seins. A nouveau tous les trois sommes en symbiose jusqu’à ce que le plus jeune décide à nouveau de varier les plaisirs

— Arrête, arrête mignonne, tu vas me faire juter !. Arun on s’la prend à deux ?... En sandwich ?
— Crois-tu ?
— Ouais, ouais j’t’assure elle est bonne. Tu l’as prise par le cul ?... Vas-y, elle te fait des trucs invraisemblables.

Et voilà que le grand malabar me prend par les fesses, effectivement même bien préparée je le sens passer d’autant plus que le salaud y va direct, bien au fond. Je ne peux m’empêcher de pousser un bref « Ah ! » comme pour évacuer la pression de l’air dans mon sphincter. Il me donne un deuxième coup pour mieux se positionner, encore plus profond.

— Le cul qu’elle a !
— J’te l’avais dit et touche-moi ces nibards.

Le gars se redresse en m’empoignant les seins et me plaquant contre son torse. Je décolle, seuls la pointe de mes tennis touche le sol. Devi face à moi, genoux légèrement fléchis entre mes cuisses, place son gland sur ma vulve et en se redressant il se plante profondément en me soulevant du sol. Je suis portée par les deux, embranchée sur deux pieux, comme une volaille en broche. Arun me tient par la poitrine, il a sa tête au creux de mon épaule, sa barbe est douce, j’entends son souffle et des mots incompréhensibles. Face à moi, Devi, légèrement en arrière, me porte en me tenant les hanches et me baise au même rythme que son copain. Il est gentil comme il me sourit et m’embrasse du bout des lèvres, sa barbe de quelques jours me pique quand il met sa tête au creux de l’autre épaule. Je suis bloquée entre les deux.

Au milieu de la forêt, face à ma Maîtresse, je suis prise debout en sandwich comme jamais je ne l’ai été. Je suis bousculée, soulevée, plantée et portée par deux sexes, c’est irréel. Les respirations s’accélèrent, les coups de reins sont plus puissants, plus rapides, je subis les assauts, je les sens venir, les deux jouissent presque simultanément en grognant. Je ne suis qu’un sac à foutre, une pute, un sex-toy. Même le sourire, la gentillesse de Devi ont disparu. Les deux me quittent, me posent au sol, me contraignent à m’agenouiller, à les sucer, à les vider, à les nettoyer, une bite en bouche l’autre en main. Élisabeth, protectrice, me tend une lingette pour que je les essuie avant de les prendre en bouche. Je les branlent encore, les pompent, les laissent propres. Puis sans tarder ils se rhabillent et s’éloignent en félicitant Élisabeth pour son éducation et ma discipline.

Assise sur un coussin de mousse je pense à ce qui vient de se passer, je me sens salie, humiliée, outragée. Je pense aussi à ce qu’a écrit Vanessa D. :
’’Apprends à dominer ceux qui usent de toi en rendant mystique et ambiguë l’offrande de ta soumission.’’
Une caresse, une parole « Tu as été parfaite », un baiser sur ma nuque, un geste (elle me tend une lingette) suffisent à me ranimer. Je pense encore à ce qu’a écrit Vanessa D. :
’’Le maître est en réalité l’esclave de sa soumise, de son acceptation à subir les sévices qui l’excitent.’’
Je me relève d’un coup, fière de ma condition. Je bombe le torse, cambre les reins pour m’essuyer de toutes les coulures de jouissance. Je me rends compte seulement que sans le savoir j’ai joui, je m’attarde sur mes orifices, les touche avec plaisir, constate combien ils sont endoloris, combien ils sont dilatés, là encore je me rends compte combien les deux étaient gros.

— On va rentrer, Mone, il va faire nuit.
— Oui Madame !

Je prends mon paquet d’habits, tends mon cou pour que ma Maîtresse attache le mousqueton au collier et prenne la laisse. La forêt est dans la pénombre, silencieuse, même les oiseaux ont cessé de piailler, Je rentre nue jusqu’à la voiture.Élisabeth me sourit :

— Je suis très contente de toi, endosse juste ton chemisier... Nous irons au ’’Sans culotte’’ prochainement, Jean sera heureux de nous y recevoir.
— Oui Madame.

(Si vous avez aimé cette histoire, vous pouvez retrouver Monique et Élisabeth dans ’’Monique, une femme comblée’’ chapitre 1. Ce chapitre aurait pu être le premier de cette histoire.)
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