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Monsieur M.

Chapitre 1

Hétéro
Je venais de réussir mon examen pour devenir professeur d’histoire. Comme tout jeune professeur on ne choisit pas sa première affectation affectation. Je me suis retrouvée propulsé en région parisienne dans un lycée dit « difficile ». Je suis montée seule sur Paris, je retrouvais mon copain toute les deux semaines. C’était provisoire, le temps que j’obtienne une affectation dans ma région. Dès les premiers jours je me suis faite un peu chahutée du fait que j’étais nouvelle. J’avais des élèves assez difficiles, mais j’arrivais à me faire respecter. Le soir, dans mon petit studio, je me sentais seule, mon copain me manquait, j’avais envie de le sentir contre moi, j’avais envie de lui. J’étais en manque d’affection, alors je me plongeait dans le travail pour penser à autre chose. Mais un soir, l’envie fût plus forte, alors je suis sortie et je suis allée au cinéma pour me changer les idées. Là, j’ai rencontré Monsieur M., le professeur de mathématique. Il avait 58 ans, divorcé, physiquement plus que banal. Il m’a invité à prendre un verre dans un bar, puis nous sommes allés dîner. Nous parlions du lycée et la conversation est venu sur un de nos élèves communs, un cancre de première. Monsieur M. le détestait, il n’attendait qu’une chose c’est qu’il soit définitivement viré du lycée. Nous échangions nos points de vues, nous n’étions pas beaucoup d’accord sur l’avenir de cet élève. Le dîner terminé, Monsieur M. m’a gentiment raccompagné chez moi, car il n’y avait plus de bus à cet heure tardive. Une fois devant chez moi, il est devenu entreprenant. Je savais qu’en lui proposant de pendre un verre chez moi, j’acceptais ses avances. Il était assis sur le canapé, je lui apportait une bière et je me suis assise face à lui. Il regardait mes jambes gainés de collants chairs. Ses yeux brillaient, il bandait, une bosse déformait son pantalon. J’imaginais sa queue, j’étais excitée. Pourtant ce type ne m’attirait pas du tout physiquement. Je me suis mise à écarter légèrement les jambes, a ce moment, il s’est enfoncé dans le canapé pour essayer d’apercevoir ma culotte. Très vite il a vu que je n’en portais pas, ce qui a eu pour effet d’accroitre son excitation. Je l’étais moi aussi. Je me suis levée, je suis allée chercher une bière, il s’est levé à son tour. Il était derrière moi, je sentais son souffle dans mon cou. Sa main est passé sous ma jupe, je sentais ses doigts glisser sur mes cuisses, remontés lentement jusqu’à mes fesses. Je réalisais que j’allais tromper mon copain. Si ma conscience disait de tout arrêter et de le renvoyer chez lui, mon désir de faire l’amour, de sentir un homme était la plus forte. Ses doigts étaient au niveau de mon sexe humide. Il était collé contre moi, je sentais sa bosse contre mes fesses. Il a baissé mon collant et j’ai entendu le zip de sa braguette. Il m’a penché légèrement en avant, je ne voyais pas ce qui ce passait et c’était mieux ainsi. Il a retroussé ma jupe, j’ai senti son sexe à l’entrée de ma chatte. C’est le moment de dire non. Trop tard, son gland prend possession de mon intimité. Ça y est, je trompe mon copain. Le sexe de Monsieur M. est entièrement en moi et il commence à me limer. Sans me vanter, il ne doit pas souvent baiser des femmes aussi mignonnes moi, le prof de mathématique. Sa queue coulisse en moi m’arrachant des râles à chacun de ses coups de reins. Il accélère le mouvement, que c’est bon ! Je gémis, je crie de plaisir, ce type me baise divinement bien. Je n’en peut plus, j’ai un violent orgasme. Monsieur M. se retire, je me retourne, je découvre cet queue qui me donne du plaisir. Qu’elle est belle et bien plus grosse que celle de mon copain. Il m’entraine sur le lit, nous nous déshabillons. Je m’allonge, Monsieur M. vient sur moi, son sexe bien dur à la main. Il me pénètre de nouveau, sa queue coulisse de nouveau dans ma chatte trempée. Je suis impressionnée par l’endurance de cet homme. Il veut m’embrasser, mais je tourne la tête, lui faisant comprendre qu’entre lui et moi c’est purement sexuel. Je gémis, je crie sous ses assauts, j’ai du mal à me contenir, je jouis pour la seconde fois, aussi violemment que lors de mon premier orgasme. Monsieur M. ne tenant plus, jouis à son tour, je sens son sperme inonder mes entrailles. Il se retire, s’allonge a côté de moi et me remercie pour ce délicieux moment. Il est près de 2 heures du matin, Monsieur M. à retrouvé de la vigueur, il me demande de le sucer. Malgré la fatigue qui commence à se faire ressentir, j’en redemande. Je me penche, j’avale sa queue que je pompe avec gourmandise. Tout en le suçant, je le regarde gémir. Il est aux anges le professeur de mathématique. Ça dépasse toutes ses statistiques. Il se fait pomper par une jeune prof de 24 ans, elle pourrait être sa fille. Qui aurait pu prédire cela ?Il n’en peu plus, sentant qu’il allait jouir, il s’est retiré de ma bouche. A sa demande, je me suis mise à quatre pattes. Il est derrière moi, son sexe bien dur à la main. Il me pénètre, il me prend en levrette. Cet queue me besognait de nouveau avec la même efficacité que tout à l’heure. Je prends mon pied comme jamais je ne l’ai pris avec un homme. Faut dire que je n’en avait connu que deux, sans compter Monsieur M., qui est sans conteste le meilleur de tous. Après un long moment de plaisir, le troisième orgasme est au rendez-vous, tout aussi violent que les précédents. Monsieur M., vaincu m’a suivi de peu, inondant pour la seconde fois ma chatte de son liquide chaud. Il se rhabille, il me remercie encore pour cet incroyable moment, il souhaite ardemment me revoir. Je ne réponds pas, pour ne pas lui donner de l’espoir. Pourtant je sais que ce n’est pas fini entre nous. Je lui ai demandé une totale discrétion sur notre aventure, que demain je me comporterais comme les autres jours. Le lendemain au lycée, nous nous sommes croisés. Nous faisons comme si rien ne s’était passé, c’est ce que je souhaitais, il a respecté ma volonté. Il bande, je vois cette bosse déformée son pantalon. Cette vision m’excite, mon collant est humide. En début d’après midi, nous nous retrouvons seuls dans la salle des professeurs. Timidement, il s’approche. Il s’assoit face à moi, me demande comme je vais. Discussion banale, mais je le provoque en lui disant que tout va bien, et comme hier, je ne porte pas de culotte. Il est rouge d’excitation. Un collègue entre, nous parlons de choses et d’autres. Le collègue repars, il me reste une heure de cours, ensuite je rentre chez moi. Je propose à Monsieur M. de venir me rejoindre chez moi en début de soirée. Il était 18 heures quand Monsieur M. a sonné à ma porte. J’avais troqué mes collants contre des bas, il a beaucoup apprécié. Nous avons refais l’amour comme la veille, avec la même intensité. Monsieur M. est vraiment un amant d’exception. Nous sommes devenus amant, nous passons des nuits ensembles aussi bien chez moi que chez lui. Peu avant Noël, je lui ai offert mon anus, il a été très touché de le dépuceler. Il l’a fait avec douceur. Monsieur M. est partit à la retraite, j’ai eu la chance de trouver une affectation dans un lycée de ma région. Il restera un merveilleux souvenir.
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