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Monsieur Eric

Chapitre 1

Gay
La journée a été épuisante. Tout l’hôtel a été mobilisé pour l’arrivée des participants d’une conférence, et je commence la dernière heure de service de mon stage hôtelier. Je passe dans les chambres du 4 étoiles, nettoie les pièces du 3ème étage. Ma seule consolation en cette soirée, c’est la vue que j’ai sur l’autre rive de la Seine, sur les belles façades qui trônent sur la berge.
Après avoir fini l’étage, je descends dans la salle des grooms pour prendre mes dernières consignes. Mon manager me commande d’aller apporter un plateau-repas à la chambre d’un gros client qui a une suite Prestige. Je me prépare et monte le plateau dans la suite.
L’homme qui m’ouvre est black, grand, chauve et assez large d’épaules. C’est un des participants à la fameuse conférence, vu son badge indiquant sa nationalité ivoirienne.
— Ah merci, je mourais de faim ! Déposez ça à côté de mon lit, s’il vous plaît ! Au fait, tant que vous êtes là, j’ai vu des tâches de saleté dans la salle de bains ; vous pouvez nettoyer ça ? demande-t-il posément.— Tout de suite monsieur.
Je suis de retour 5 min après avec du matériel de nettoyage. Je retrouve l’Ivoirien torse nu, à mon étonnement.
— Je ne vous gêne pas trop ? Il a fait une chaleur abominable aujourd’hui.
Gêné? Pas vraiment, mais disons que la situation est inhabituelle. En plus, je suis plutôt frêle, ce qui contraste largement avec son beau torse imberbe et ses larges pectoraux, avec juste un petit peu de bide. Essayant de me concentrer sur le nettoyage, je rêverais presque de toucher ses pecs, même si ce n’est pas mon genre de fantasmer sur les hommes.
Je ne résiste pas à jeter quelques coups d’œil discrets vers la poitrine nue du locataire pendant que je nettoie ; comme je suis à quatre pattes et que je lui tourne le dos, lui peut m’observer tranquillement depuis son lit. Pendant que je galère à enlever les taches, je l’entends se rapprocher de moi.
— D’ailleurs, tu peux enlever ton uniforme ici si tu en as envie. Il a l’air d’être serré en plus...— Haha oui c’est sûr, ils ne nous pas filé le plus pratique...
J’hésite un instant, mais moi aussi je crève de chaud dans ce corset qu’on doit porter. Je tire un peu avant qu’il agrippe ses mains au niveau de mon torse :
— Attends un peu, je vais t’aider à le retirer.
Sauf que ce n’est pas mon uniforme qu’il enlève, c’est mon t-shirt qu’il tire ! Avant que je n’aie pu dire quoi que ce soit, je me retrouve torse nu comme lui. S’installe un petit moment de gêne durant lequel je ne sais absolument pas quoi faire. Au bout de cette interminable seconde, j’arrive à articuler un "oups... je vais récupérer mon t-shirt...", mais il me retient le bras d’un seul geste de sa puissante main.

— Surtout pas ! Ce serait dommage, tu es très mignon...
Nouvelle gêne... il fait une tête de plus que moi, on est tous les deux face à face et torses nus, mon visage devient rouge tomate..."Euh... merci... vous êtes très... euh... costaud...
— Viens près de moi.
Ses mains dans mon dos ne me laissent pas d’autre choix. Alors qu’il m’attire vers lui, il se penche très rapidement vers moi et m’embrasse à pleines lèvres, d’un coup. Sa bouche reste collée à la mienne. C’est tout doux. Ses lèvres se referment lentement sur les miennes, dans un long mouvement. Elles ressortent de ma bouche, mais aussitôt après, il m’embrasse à nouveau, plus vigoureusement cette fois. Nos torses se touchent, je fais figure d’un moucheron à côté de lui, mais bizarrement, ses mouvements assurés, la douceur étrange de sa bouche me font sentir en sécurité.
Ses mains sont toujours sur ma taille, comme s’il dansait un slow avec moi. Les miennes étaient d’abord suspendues en l’air sous le coup de la surprise, mais maintenant, elles osent toucher son torse sombre et imberbe... je ne sais pas ce que je fais, là, en caressant son bide ou ses hanches... Le baiser se finit, j’ai grand besoin de respirer, mais lui continue de m’embrasser, dans le cou... mes doigts se referment sur ses beaux pectoraux, sa peau si douce, c’est un régal à caresser. Personnellement, je frissonne dès qu’il passe ses mains dans mon dos. Un je ne sais quoi en moi s’électrise en guise de réaction, me fait réaliser que je suis au contact d’un homme et que je suis en train de vivre le truc le plus érotique de ma vie.
Ses pecs sont vraiment trop attirants... Il me laisse me pencher et porter ma langue aux tétons qui ressortent fièrement. Je me mets à lécher son buste comme un nouveau-né avec sa mère, très instinctivement, sans que je n’aie jamais connu un tel fantasme ; jamais je n’avais rêvé de ça, mais décidément, tout chez lui me stimule, me chamboule.
Il m’arrête tout d’un coup, en me relevant la tête :
— Appelle-moi Monsieur Eric”
Puis il m’embrasse, la main toujours sur mon menton. Je lui ouvre grand le passage, je lui laisse plonger sa langue en moi, bien profondément.C’est si bon de se laisser aller à son contact, entre ses bras, tel une poupée. Même quand il me parle, ça m’excite.
— C’est bien compris, mon petit ?— Oui, monsieur Eric.— Tu es un bon garçon. Ferme les yeux.”
Je m’exécute, fidèle à son ordre. J’entends aussitôt un bruit de vêtement qui tombe. Puis je sens ses mains qui se portent sur mes fesses. Mon pantalon d’uniforme tombe tout doucement. Je reste les yeux clos, dans un mélange de crainte et d’excitation. Les mains remontent, se posaient sur mon caleçon, je le sens sur mes fesses, c’est plutôt agréable. Puis je sens sa langue se poser sur la demi-molle qui pointe sous le tissu. Il est en train d’embrasser ma queue, de la suçoter, je crois rêver... je mets instinctivement ma main là où est sa tête, pour l’encourager, mais il me bloque avec sa propre main.
— Tu aimes ça, mon garçon ?— Oui, monsieur Eric.— Tu peux ouvrir tes yeux maintenant.
Quand j’ouvre les yeux, il relâche ma main et baisse mon caleçon, libérant ma bite bien dressée. Je suis en train de me faire allumer par un mec qui a bien 20 ans de plus que moi, et je bande comme un âne... Puis je le vois gober ma bite tout d’un coup, sans préparation, m’arrachant un léger gémissement de surprise. Il pompe mon chibre comme s’il n’en avait pas vu un seul dans sa vie... et vu comment il léchait mon gland avec attention, je doute que ce soit le cas !
Mes gémissements sont très vite la seule façon pour moi d’exprimer mon plaisir. Qu’importe si quelqu’un dans le couloir m’entend. « Monsieur Eric " me procure des sensations terribles... d’une certaine manière, je suis à lui... Non, c’est sûr en fait, je lui appartiens presque...
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