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Monsieur Eric

Chapitre 2

Gay
« Est-ce que tu sens que tu vas jouir, mon garçon ?
— Oui monsieur Eric, c’est si bon...
Il arrête alors ses câlins pour se lever et m’embrasser. Je passe mes bras autour de son corps musclé, je savoure ce baiser.
— Maintenant, viens avec moi dans la douche »
J’enlève mes derniers vêtements, je suis comme lui, nu comme un ver. Nous allons vers la douche de la suite, mais il pose déjà une main impérieuse sur mes fesses. Ca fait bizarre d’être caressé ainsi, en tant qu’homme. Mais ce n’est pas désagréable, au contraire, j’ai même envie qu’il mette sa main plus loin encore...
— J’ai très envie de jouer avec ton petit trou... mais avant tout, on va voir s’il est bien propre.
Il enclenche la douche et s’applique à me laver abondamment les fesses. Je me mets à quatre pattes, lui offrant un total accès à mon cul. Maintenant, j’attends chaque moment où ses mains caressent mes fesses. Quand il se met derrière moi pour faire couler l’eau sur mon dos, son sexe lourd touche sans gêne mon derrière. J’ai un sursaut d’appréhension chaque fois que sa queue s’approche de ma raie des fesses ! Il en profite pour me pincer un téton, il ne loupe aucune occasion pour se coller à mon dos et maintenir sa queue collée à mon cul, ce pervers. J’en imagine vite des choses ...
Tout en me caressant le torse, il me demande :
— T’es-tu déjà fait pénétrer par un homme ?— N... non...— Je vais te faire toucher du doigt ce que tu pourrais ressentir si un beau sexe rentrait dans ton cul jusqu’à t’en faire perdre la raison... tu es prêt ?
Je m’empresse de crier “oui”, en m’y reprenant à deux fois, bégayant sur le coup de l’excitation. L’expression “toucher du doigt” m’amuse intérieurement, je suis pressé de lâcher encore plus prise, de donner mon cul à ce bel homme.
— Vraiment, quel joli petit trou...
D’un geste autoritaire, sa main me plaque contre la paroi de la douche.

— Ouvre tes jambes, mon petit.
Je n’imaginais pas qu’il viendrait embrasser la mince région située entre mes fesses, cette zone particulièrement honteuse dont je me demandais pourquoi M. Eric s’y intéressait tant. Je suis d’autant plus ébahi de ressentir ces...étincelles de plaisir partir de mon fion. Sa langue explore autant que possible mon trou des fesses sans dégoût, sans retenue. Je n’ai même pas gémi, ébahi que j’étais et curieux à chaque fois des prochaines secondes. Quel plaisir d’avoir, remuant entre mes fesses, ce corps chaud, agile, visqueux... Quand mon bienfaiteur cesse son exploration, je ressens un mélange de détente et de manque.
— Maintenant, ton trou est véritablement propre.— Merci, M Eric. cette chose...— Cela s’appelle un anulingus.
Je suis toujours surpris par les belles manières qu’il a quand on sort deux secondes du sexe : quand on y replonge, il semble beaucoup plus abrupt, ses gestes ne souffrent pas d’obstacle. Mais quand il m’enlace pour m’embrasser, pourquoi résisterais-je ? Je suis à nouveau piégé dans ses bras, il me soulève sans effort pour m’allonger sur le lit, les piercings de ses tétons toujours au contact de mon torse. Cette fois, c’est moi qui lui vole un baiser, auquel il répond avec enthousiasme. Je me remets face à lui, prenant mon temps pour caresser son large torse.
— Je ne t’ai pas appris à prendre de telles initiatives, vilain garçon.— J’aime beaucoup vos lèvres, M. Eric. Elles sont si attirantes !— Si tu veux y regoûter, garde tes cuisses écartées.— Tout de suite monsieur...
Je commence à aimer follement ce jeu de rôle auquel je joue, même si j’ai légèrement débandé après l’anulingus. Mais alors qu’il me roule une nouvelle pelle, je sens son index caresser mon trou des fesses. Bien détendu après le traitement en douceur dispensé à coups de langue, il ne tarde pas à s’ouvrir pour laisser passer le doigt. J’hallucine de le sentir bouger en moi, j’ai le souffle coupé pendant un très court instant. Quand il rajoute un doigt puis qu’il ressort de mon orifice, ma queue a retrouvé une érection complète.
Il renouvelle l’expérience plusieurs fois. A chaque fois que je suis le plus excité, c’est juste avant que les doigts ressortent, quand ils passent au niveau de l’entrée de ma rondelle et que mon intérieur retrouve son état initial. En plus de bander comme un fou, je sens peu à peu le poids du travail de ces derniers jours me quitter. En bref, je suis probablement extrêmement influençable à ce moment précis. Etrangement, j’en ai peut-être un peu conscience et j’ai aussi envie qu’il profite de mon état...
Pendant que je lève les yeux au plafond, je l’entends fouiller avec sa main libre son sac resté de l’autre côté du lit. Je repose les yeux sur lui et je le vois tenir à sa main un long et fin godemiché noir qu’il fixe au sol à l’aide d’une ventouse située à la base du gode. Les allers-retours de son doigt entre mes fesses se font plus mécaniques, plus vigoureux. Je reporte mon attention sur le gode, manifestement conçu pour ressembler à la véritable bite d’un homme noir, avec un gland et des veines artificielles.
Cette fois, il n’eut pas besoin de me dire un seul mot. Un regard de sa part suffit pour que je me lève et m’assoie sur le chibre siliconé, je sens à peine son doigt ressortir. Je prends ce silence comme une marque de confiance, mais une part de moi aurait aimé l’entendre dire, de sa voix grave et sensuelle, “Ça va ? Tu es bien installé ? Tu aimes remuer ton beau cul blanc sur mon petit jouet ?” et bien d’autres remarques graveleuses. Je lui aurai répondu que ce gode n’était en rien comparable à son propre engin... Parce que je me demande combien de temps je vais réussir à tenir avant de toucher la belle bite qui pend entre ses jambes comme un pendule, à demi tendue.
En allant lentement et en gardant les jambes fermes, la douleur initiale est minime. En revanche, sentir le gode écarter mon anus jusqu’à son fond est une sensation incomparable. Je fais un aller-retour. Puis un autre. Je n’agis plus seulement comme le bon passif qu’il veut que je sois, mais aussi comme la petite lope que je voudrais désormais être. Le temps que mes maigres jambes perdent leur énergie, je me sens comme une jouvencelle qui viendrait de se faire poutrer pour la première fois et dont la pénétration a brisé les dernières barrières mentales.
Encore empalé sur le phallus siliconé, je me penche vers sa propre queue. Depuis tout à l‘heure, je suis hypnotisé par cet épais membre noir, je l’ai observé et l’ai même senti contre moi : ma première initiative de la soirée sera pour embrasser ce beau membre qui m’est offert. J’y dépose un baiser. Maintenant initié au plaisir entre hommes, mon désir grandit pour une autre que la mienne. Je la prends en main, continue de l’embrasser, je me mets à genoux, toujours le gode enfoncé en moi. Mais, au moment de mettre ce beau pénis dans ma bouche, il bloque ma tête de sa main :
— Non. Pour ta première fois, c’est moi qui te ferai jouir. Reste bien assis.
Il se met à genoux, à ma hauteur, et me roule une magnifique pelle, comme il en a l’habitude depuis une heure. Alors que nos langues s’entremêlent, je sens sa main caresser mon sexe tendu. Ses doigts caressent mon prépuce. Puis il empoigne mon sexe tendu et commence à me branler. Après toutes les expérimentations d’aujourd’hui, je suis très vite à deux doigts d’exploser, surtout qu’il continue à me parler à l’oreille :
— Quand on se reverra, j’espère que tu te seras bien entraîné pour me recevoir...
Je n’ai plus la force de répondre. A chaque mouvement de sa main, je ressens d’autant plus le gode enfoncé dans mon cul, culbutant ma prostate à chaque mouvement, jusqu’à l’éjaculation où la stimulation est à son apogée, chaque saccade de sperme qui sort de moi répond à une pulsation venue de mon fondement.
La suite est légèrement confuse. Sous la douche, nous nous embrassons encore. Je finis par partir, après qu’il ait repris un air respectable et que le pervers en lui se soit calmé. Le lendemain, je passe dans sa chambre vide pour la nettoyer. Je résiste à l’envie de m’y masturber. J’ai toujours envie de lui. Je vais m’entraîner.
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